Utilisateur:CésarKeyser/Poésies
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- L'anti religion
- C’est comme un troupeau que nous réagissons
- Pour nous rassurer de nos peur et de nos tentation
- L’homme ne peut il donc plus agir que par la bénédiction
- Et l’adoration de la religion
- L’homme ne pourra plus se contenter
- De vivre pour des écritures sacrées
- O humanité réveille toi !
- Il faut agir de soi
- Eglise, cathédrales, clergé
- Ne nous dictés plus nos pensées
- Les fidèles sont des ignorants
- Que vous manipulées
- Votre dogme de sentiments
- Ne doit plus nous manœuvrer
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- Le cercle des poètes incompris
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- La Chute
- Il ne sait ou il est, mais n’ignore son nom.
- Il désire une vie, ressemblant à ses rêves.
- La routine et l’ennui, il demande une trêve,
- Vieil homme prisonnié, que son voyage est long !
- Un jour il découvre, qu’il peut ne plus subir,
- Qu’il n’y avait d’espoir, qu’il était enfermé,
- Dans le temps et l’ennui, depuis qu’il était né.
- Il s’enfuit de ce monde et cesse de souffrir.
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- Le cercle des poètes incompris
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- Vivre ou Mourir
- J’entendis l’âtre qui veut que l’on aime
- Cette hâte mystérieuse ma poussé vers toi
- De mon esprit tu fait de la fumée bohème
- Qui d’un pied nu aura laissé l’emprunte sur moi
- Et la vie passa, te regarda véhémente
- Vivre mon illusion, de ces mains savantes
- Qui trient parmi les souvenirs, invisibles déchirures
- Tu détruis les lambeaux de mes blessures
- Je cherche l’invisible de ton être
- Des colonnes errantes de fumées
- Il pleut sur le ravin, sur le monde et sur mon cœur
- La parque a coupé le fil de ta vie
- Fil de ma raison, fil de ma vie
- Vois, ce n’est que pour toi que je vivais et que je meurs
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- Le cercle des poètes incompris
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- L’âme du peuple
- Son nom est celui d’une monnaie,
- car à entendre sa bouche l’or n’est point une raillerie.
- Lui ! son seul mérite est d’avoir eu quatorze prédécésseurs tronés;
- qui ont asservis le pays.
- C’est un illustre avare !
- Il a décidé de se montrer impopulaire !
- Afin d’instaurer sa tyrannie en France est de Navare,
- Et ceci, sa famille a toujours su le faire !
- Mais assez de sombres mesquineries !
- Oh non ! c’est un saint
- Il est pleins de connaisances qu’on envie,
- Il sait a merveille choisir les jeunes filles et le vin.
- De tous les rois de France, c’est le plus divin
- N’a-t-il pas pour conseiller l’illustre cardinal,
- Qui saoul rigolait de dieu dans un état infernal.
- N’est il pas le meilleurs dauphin ?
- Il sait tout de la guerre,
- des sabres des canons, des galères !
- Il se détend dans ses joutes nuptiales avec sa bien-aimée,
- Pendant que le peuple malgré la faim viens l’admiré !
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- Le cercle des poètes incompris
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- "Lettre à un égaré"
- Nous dénonçons , nous les chantres populaires
- L’homme barbare, assassin de la versification
- L’infâme qui dans ses moindres pulsions
- Profane la beauté de notre art élémentaire
- Les ménestrels on de tout temps éclairés
- Le monde par leur cadences imagés
- Il sert l’homme béotiens
- Mais l’arriéré ne lui rend rien
- N’est t’il pas un comble d’attaquer
- Le guide d’un monde essouffler ?
- N’est ce pas emprunté de critiquer
- Le bride d’une civilisation effacer ?
- Ce burlesque bouffon est la confirmation
- D’un macrocosme en totale perdition
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- Le cercle des poètes incompris
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- "Lettre à un égaré"
- Ainsi je marche seul, tout en suivant mon ombre
- Et en m'aventurant dans cette pénombre
- Je me sent, au fur et a mesure envahi
- De cette sensation se nommant nostalgie.
- Aillant la nature pour seule companie
- J'aire et vagabonde en cette terre fleurie
- Et plus je m'enfonce, plus ton visage me fuit.
- Ainsi je marche et seule mon ombre me suit.
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- Le cercle des poètes incompris