Antoine Antignac

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Antoine Antignac (Paris, 5 décembre 1770 – Paris, 21 septembre 1823)

Si les bons cœurs ont droit au bonheur des élus,
Si l’esprit, la gaîté, peuvent prouver ses charmes,
Sur Antignac cessons de répondre des larmes,
C’est un ami de moins, c’est un heureux de plus.
(Marc-Antoine Désaugiers)


Employé à l’administration des postes, Antignac est un chansonnier très fécond, membre du Caveau Moderne.

"C’est un poète enjoué et correct, sans beaucoup de verve ni de malice. Trois fois seulement il sortit de son rôle pour devenir poète politique : la première fois (c’était à l’occasion du mariage de Napoléon en 1810), le frondeur Cadet Roussel (…) eut un succès de vogue, la deuxième fois, il s’agissait de chanter le retour des Bourbons et la troisième de celui de l’Empereur". [1]


[modifier] Sources

  • Archives nationales, collection Henri Bachimont (AB/XIX/707)
  • Henri Bachimont, La galerie chansonnière, tome 1, p. 35-37.

[modifier] Liens externes

  1. Dezobry et Bachelet, Dictionnaire général de biographie.