Alliance royale

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Alliance Royale
 
Président Yves-Marie Adeline
Fondation
Disparition {{{disparition}}}
Siège 17, rue des Acacias
75017 Paris
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Présidents du groupe
au Sénat
à l'Assemblée
au Parlement européen
Représentation du parti
Députés {{{Députés}}}
Sénateurs {{{Sénateurs}}}
Idéologie Monarchisme
Affiliation européenne
Affiliation internationale
Couleurs bleu
Site Web www.allianceroyale.fr
voir aussi

Constitution française
Politique de la France
Gouvernement français
Président français
Partis politiques français
Élections en France

Alliance royale est une formation politique française royaliste fondée en 2001. Elle vise au rétablissement d'une monarchie constitutionnelle française telle qu'elle peut être conçue au XXIe siecle.

Sommaire

[modifier] Buts

La formation s'est donnée pour objectif de mettre en lumière la problématique de la royauté au sein du débat politique. Elle vise également à « inviter la France à préparer son avenir dans ses institutions »[1].

Bien que son président soit ou ait été réputé « proche » des milieux légitimistes, l'Alliance royale, « considérant que les querelles dynastiques entravent les royalistes depuis plus d'un siècle, […] se veut unitaire, et ne soutient aucun prince prétendant ».

L'Alliance se veut également « strictement indépendante vis-à-vis de toutes les formations politiques actuelles », d'où l'un de ses slogans :

« Il vous promettent tous la Lune, exigez le Soleil »[réf. nécessaire].

[modifier] Dirigeants

  • Yves-Marie Adeline, président, fondateur et principal animateur, directeur du Bulletin officiel de l'Alliance royale.
  • Robert de Prévoisin, secrétaire général.

[modifier] Participations aux élections

[modifier] Élections européennes du 13 juin 2004

150 candidats ont été investis sous l'étiquette « divers » dans sept circonscriptions de France métropolitaine pour un résultat de 5 248 voix, soit 0,031 % des suffrages exprimés et 0,013 % des inscrits (il y avait 40 082 617 inscrits et 16 922 423 suffrages exprimés, si l'on ne compte pas l'outre-mer). La formation politique a fait son « meilleur score », avec 0,07 % des suffrages exprimés, dans la circonscription Ouest (régions Bretagne, Pays de la Loire et Poitou-Charentes), c'est-à-dire dans les régions réputées les plus historiquement proches du royalisme. Aucun député de l'Alliance royale n'a été élu. Faute de moyens, l'Alliance royale n'a pu procéder à l'impression de ses bulletins[réf. nécessaire].

[modifier] Autre

Cette formation envisage de participer aux diverses élections prévues en 2007 et, dans la mesure de ses moyens, aux élections partielles survenant auparavant comme, par exemple, la législative partielle des 14 et 21 novembre 2004, visant au remplacement d'Alain Juppé, démissionnaire de son mandat de député de la Gironde.

[modifier] Bibliographie

[modifier] Liens externes

[modifier] Notes et références

  1. Page "Les Objectif" du site Internet de l'Alliance royale