Albert Likuvalu
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| Albert Likuvalu | |
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| Parlementaire français | |
| Naissance | 14 novembre 1943 |
| Décès | |
| Mandat | Député |
| Début du mandat | juin 2007 |
| Fin du mandat | {{{fin du mandat}}} |
| Circonscription | circonscription de Wallis-et-Futuna |
| Groupe parlementaire | Apparenté Socialiste, radical et citoyen |
| Ve république | |
Albert Likuvalu (né le 14 novembre 1943 à Alo Futuna) est une personnalité politique de Wallis-et-Futuna.
Sommaire |
[modifier] Biographie
Membre du Parti socialiste, ancien leader du parti Alliance d'opposition à l'UMP locale de Victor Brial et qui s'est depuis fondu dans la toute nouvelle antenne locale du PS, conseiller territorial élu dans le district de Hihifo sur Wallis, il a été président de l'Assemblée territoriale de Wallis-et-Futuna du 22 février au 24 novembre 2005, bénéficiant alors d'une brève alliance entre la gauche locale et les centristes divers droite, avait déjà été candidat socialiste en 2002 mais n'avait alors obtenu que 928 voix, soit à peine plus de 13 % des suffrages, au 1er tour, arrivant ainsi en 3e position derrière les 40,5 % de Victor Brial et les 37,7 % du candidat divers gauche Penisio Tialetagi.
En 2007, il était le seul candidat de la gauche locale, élu député lors du second tour, le 17 juin 2007 avec 4 152 voix (51,79 %) — ce qui constitue une surprise pour tous les observateurs : la toute 1re fois d'un député socialiste à Wallis-et-Futuna et alors que deux des trois candidats divers droite du 1er tour avaient appelé à voter pour Victor Brial.
Il a été le premier bachelier de Wallis. Il a côtoyé Jean-Marie Tjibaou sur les bancs du séminaire en Nouvelle-Calédonie.
En 2005, il avait soutenu la grande chefferie de Wallis, lors de la crise qui avait opposé l'État (et notamment l'alors administrateur supérieur) au roi de Wallis, le lavelua, décédé depuis. Le vote en sa faveur est considéré par certains observateurs comme une affirmation de l'identité wallisienne face à la métropole [1].
