Discussion Utilisateur:Airelle/Bistro
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Discussions déplacées du Bistro
[modifier] Au mathématicien masqué
- L'avide œuf incarnat plongé dans l'eau du Styx,
- Aux harpies de grenat fit les doux yeux d'onyx.
- Ce rêve vespéral où les vils lophophores
- Scintillaient dans l'oubli de la pudique amphore,
- Diaprant jusqu'à l'aurore cette amarante coiffe,
- Dithyrambe enflammé exaltant notre soif.
- Sur les crédences nues agonise un preux gomphe
- Qui du néant vaincu troublera le triomphe.
Certes, mon poème n'est sans doute pas d'une aveuglante clarté, mais vous m'accorderez d'avoir réussi une incroyable prouesse : si l'on transforme chaque caractère par son code à ski, qu'on calcule le logarithme népérien du nombre ainsi obtenu, qu'on retienne la partie entière de son carré et qu'on la divise par un milliard, on obtient alors : 2,530409868 ! Sidérant, non ? Airelle 19 fev 2005 à 11:46 (CET)
Pour faire de l'humour, il faut avoir de l'esprit ! faire de la littérature facile de pédéraste ne pourra jamais faire illusion...M le Maudit
- Si avoir de l'esprit, c'est cracher des propos méphitiques sous couvert d'un courageux anonymat, alors, je me réjouis de n'en pas avoir. RL
- ptêt, mais c'est plus sympa que ton intervention. Al ☮ 1 mar 2005 à 08:27 (CET) (répond à 82.122.119.9)
au fait, rl, tu peux refaire tes calculs ? moi je trouve pas 2,530409868. merci d'avance ;D Al ☮ 1 mar 2005 à 08:27 (CET)
- Combien trouves-tu ? Peux-être est-ce simplement les CRLF, dont je n'ai pas tenu compte (il me semble). RL
je vois que les minables sont légion sur Wikipédia !MM 1 mar 2005 à 10:34 (CET)
- Soyez le bienvenu parmi eux !
Note à méditer (et non à m'éditer !) : À défaut d'imagination, vous semblez avoir de l'endurance, puisque vous avez effacé plusieurs fois des paragraphes entiers de cette page. S'agissant d'une page personnelle, je pourrais évoquer l'impolitesse de vos exactions. Si le but est de me faire devenir grossier, je préfère vous dire que vos tentatives sont vaines : je n'ai guère de temps à accorder aux goujats ou à un blanc-bec. Si le but est de m'énerver, sachez que vos pitoyables agissements, loin de m'exaspérer, me font rire. Ou plutôt sourire ; pour que cela me fasse rire, il faudrait que vous le fissiez avec un minimum de finesse et quelque peu d'esprit.
