Adorable Menteuse

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Adorable Menteuse
Réalisation	Michel Deville
Acteur(s)	Marina Vlady Macha Méril Jean-Marc Bory Michel Vitold
Scénario	Nina Companeez Michel Deville
Musique	Jean Dalve
Décors	Alexandre Hinkis
Photographie	Claude Lecomte
Montage	Nina Companeez
Producteur(s)	Fernand Rivers
Format	Noir et blanc Monophonique 35 mm
Durée	105 min
Sortie	2 février 1962 France
Langue originale	Français
Pays d'origine	France

Adorable Menteuse est un film français réalisé par Michel Deville et sorti en 1962

[modifier] Synopsis

Juliette et Sophie sont deux sœurs aussi belles que différentes : Juliette pratique le mensonge par ennui tandis que Sophie pêche par excès de franchise. L’amour va apprendre à Juliette combien il faut être sincère pour gagner l’affection de l’élu de son cœur et à Sophie qu’un mensonge peut être bienfaisant…

[modifier] Fiche technique

Titre : Adorable Menteuse
Réalisateur : Michel Deville
Scénario : Nina Companeez, Michel Deville
Dialoguiste : Nina Companeez
Musique : Jean Dalve
Directeur de la photographie : Claude Lecomte
Ingénieur du son : Jean Rieul
Décorateur : Alexandre Hinkis
Monteuse : Nina Companeez
Année de tournage : 1961
Producteur : Fernand Rivers
Directeur de production : Philippe Dussart
Sociétés de production : ARTF (France), Éléfilm (France)
Distributeur d'origine : Les Films Fernand Rivers
Pays d’origine : France
Format : noir et blanc — son monophonique — 35 mm
Genre : comédie
Durée : 105 min
Date de sortie : 2 février 1962 en France

[modifier] Distribution

Marina Vlady : Juliette
Macha Méril : Sophie
Jean-Marc Bory : Martin
Michel Vitold : Antoine
Ginette Letondal : Jacky
Jean-Luc Adler : un danseur
Christian Alers : le monsieur attablé au restaurant

Jean-François Calvé : Simon
Pierre Clémenti : Pierrot
François Dalou : Thomas
Michael Lonsdale : Albert, l’agent de police
Jean-Pierre Moulin : Vincent
Claude Nicot : Sébastien
Claude Rollet : l'ami de Juliette et Sophie

[modifier] Autour du film

Marina Vlady^[1] : « D’emblée j’accepte le nouveau film qu’on me propose. Son titre, Adorable Menteuse. […] Pour Deville, le plus important résidait dans les sous-entendus permanents courant sous un texte apparemment un peu mièvre. C’était très amusant à jouer, car, tout en proférant des mots d’une grande banalité, on peut, par le jeu des regards, des mimiques démentant ce qu’on avance, donner aux situations tout leur piquant. […] En voilà un qui a toujours aimé les comédiens. […] J’étais moi-même poussée par lui vers le comique, et certaines scènes qui m’étaient apparues presque caricaturales au tournage se sont révélées, le film une fois monté, tout à fait à leur place. […] Adorable Menteuse reçut les louanges de la critique et bénéficia surtout d’un énorme succès public. »