Discuter:Élie Guadet

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La partie « Ce voltairien saura attaquer habilement Maximilien Robespierre avec vigueur et efficacité, ridiculisant les invocations de la Providence chère à celui-ci : « J'ai entendu souvent, dans cette adresse, répéter le mot de Providence, je crois même qu'il y est dit que la Providence nous a sauvés malgré nous. J'avoue que, ne voyant aucun sens à cette idée, je n'aurais jamais pensé qu'un homme qui a travaillé avec tant de courage pendant trois ans pour tirer le peuple de l'esclavage et du despotisme pût concourir à le remettre ensuite dans l'esclavage des superstitions ».

Aussi n'est-il pas surprenant de le voir sur la liste des proscrits Girondins du 2 juin 1793. Il s'enfuit de Paris ce même jour et se rend à Caen où il participe à la tentative avortée de création d'une armée fédérale destinée à marcher sur la capitale. Il s'enfuit alors à Saint-Emilion où il se cache dans un souterrain qui communiquait avec la maison de son père. Découvert, il est arrêté et guillotiné à Bordeaux, place Dauphine, le 27 prairial an II (15 juin 1794) en même temps que son père, sa tante et son frère. » est recopiée/plagiée de : Jean Tulard, Jean-François Fayard, Alfred Fierro, Histoire et dictionnaire de la Révolution française 1789-1799, Paris : R. Laffont, 1987, p 862.

Réglé pour l'article et l'historique Le gorille Houba 2 août 2006 à 20:59 (CEST)