Discuter:Vague

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je ne sais plus de quand ça remonte mais il me semble avoir lu que les vagues étaient fortement atténuées par les pluies sans vent... quelqu'un pourrait confirmer/infirmer ? --Moala 24 avr 2005 à 16:30 (CEST)

[modifier] Effet de la pluie

Je confirme que la pluie augmente effectivement la turbulence à la surface de l'océan ce qui a pour conséquence de dissiper une partie de l'énergie des vagues de longueur d'onde de moins de 1 mètre, d'où une apparence plus lisse de la mer (sauf les toutes petites vagues crées par l'impact de la pluie).

Fabrice Ardhuin - SHOM

ref: article de 1997 de Yang, Zhizhang, Tang, Shih, Wu, Jin dans Journal of Physical Oceanography

[modifier] Propagation des vagues (Modèle d'Airy)

La référence aux équations de Navier-Stokes, qui concernent les fluides visqueux, ne paraît pas appropriée. Il faudrait peut-être aussi éclaircir la relation entre l'irrotationnalité et les forces de pression.

Quand la profondeur diminue, c'est la pulsation (ou la période) qui reste constante tandis que le nombre d'onde augmente, la longueur d'onde et la célérité diminuant en conséquence.

La dérive de Stokes n'apparaît pas dans la théorie d'Airy mais dans les théories d'ordre supérieur généralement attribuées à... Stokes.

Le déferlement est-il vraiment pris en compte par les théories non linéaires ? Jct 15 février 2006 à 15:18 (CET)

[modifier] Remarques diverses

Le modèle d'Airy a été remplacé par la théorie d'Airy. Je croyais qu'une description d'un phénomène en concurrence avec un grand nombre d'autres descriptions ne méritait pas d'être promue au rang de théorie.

La réflexion se produit sur un ouvrage de hauteur immergée importante par rapport à la profondeur et de largeur importante par rapport à la longueur d'onde.

  • Que représente la différence entre hauteur immergée d'un ouvrage et profondeur ? Si l'on pense à un obstacle partiellement immergé, comme un navire, il crée une réflexion partielle qui devient quasi-totale pour les vagues les plus courtes.
  • Je pense que c'est la longueur de l'ouvrage qui intervient ici et non sa largeur.
  • Enfin, la mise au singulier de longueurs d'ondes ne me paraît pas s'imposer. Non seulement l'ouvrage subit au cours de sa vie un grand nombre d'états de mer distincts mais ceux-ci se décrivent par la superposition d'une infinité de longueurs d'onde. Jct 7 janvier 2007 à 10:10 (CET)