Discuter:Paris au XXe siècle (roman)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Dans ce roman, qui trahit une réelle étroitesse d'esprit, Jules Verne proclame son goût de l'académisme le plus sclérosé. Enfin... on pourra toujours dire qu'il annonce la mort de cet académisme, et pressent l'avènement d'un art moderne qui l'effraie ! La plaisanterie sur Courbet est également prophétique, et montre que l'ami Jules a bien compris le bonhomme : 6 ans plus tard, en 1866, Courbet peindra L'Origine du monde.

Notons que Jules Verne, dans ce roman de 1860, prédit avec 30 ans d'avance l'existence à Paris d'une tour immense munie d'un phare à son sommet, prédit avec 40 ans d'avance les déplacements des Parisiens en métro (c'est un métro aérien, aux stations assez éloignées, comme le RER), et un système de télécommunications mondiales instantanées utilisé par les financiers.--Ginolerhino 5 juillet 2006 à 15:39 (CEST)

Effectivement, Jules Verne parle d'un phare qui éclaire les bateaux dans la plaine de Grenelle, ce qui rappelle la tour Eiffel.

Romanc19s 9 septembre 2006 à 21:02 (CEST)

[modifier] L'Île à Hélice

Le 9/8/2006, je cite le roman L'Île à Hélice en mettant une majuscule au mot hélice et une minuscule à île. Je fais cela parce que le livre que j'ai sous les yeux (imprimé en 1978) utilise cette casse. Je reconnais que je ne suis pas sûr de respecter le consensus sur les noms d'oeuvre dans Wikipedia (voir De l'usage des majuscules#Accentuation des majuscules et capitales).