Discuter:Michel Chartrand

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

[modifier] Mise à jour.

J'ai pris sur moi même d'ajouter à cet article pour le rendre au moins aussi étoffé que l'article Anglais sur le même sujet. Alors j'essaie de garder l'article premier mais j'y ajoute certains éléments qui sont disponible sur l'article de Wikipédia anglais. Vos commentaires sont les bienvenus.



--Capbat 6 mai 2007 à 17:07 (CEST)

Capbat (d · c · b) Je trouve que l'article sent beaucoup la traduction de l'anglais. Les tournures sont anglaises, et l'obsession des anglos pour le FLQ (le tiers de l'article, pas grand chose sur sa contribution au mouvement syndical). Malheureusement, j'en ai beaucoup sur ma liste avant Chartrand... — Bouchecl bla? 28 juillet 2007 à 05:28 (CEST)

[modifier] Neutralité

Voici un passage particulièrement non neutre qu'il faut sourcer soigneusement et neutraliser.

En 1968, Chartrand est élu à la présidence de la Confédération des syndicats nationaux, un poste qu'il conserve jusqu'en 1978. Vers la fin des années 1960, ses vues deviennent de plus en plus radicales. En tant que membre du mouvement souverainiste du Québec, il soutient fermement le Front de Libération du Québec (FLQ), en déclarant : « Nous allons gagner parce qu'il y a plus de gars prêts à tirer sur les membres du parlement, qu'il n'y a de policiers »[réf. nécessaire].
En 1970, la Crise d'octobre éclate, et Chartrand est arrêté en vertu de la Loi des mesures de guerre. Il est libéré quatre mois plus tard. Un journaliste lui demande alors s'il a de la sympathie pour la famille du diplomate britannique James Richard Cross enlevé par le FLQ. Il répond qu'il n'a pas plus de sympathie pour elle que pour les milliers d'épouses de travailleurs québécois sans emploi. Même après le meurtre du ministre Pierre Laporte, il garde ses profondes convictions. Le 15 octobre 1975, cinq ans après la crise d'octobre, des membres du FLQ et du Front de rassemblement d'action populaire[réf. nécessaire] se réunissent au centre Paul Sauvé à Montréal, où Michel Chartrand est invité à les rencontrer.

Voici ce qui cloche:

  • WP:SOURCES. Aucune source n'est citée. Problème de l'article en anglais.
  • « En tant que membre du mouvement souverainiste du Québec, il soutient fermement le Front de Libération du Québec (FLQ) », donc on doit comprendre que le mouvement souverainiste du Québec, dans son ensemble, appuyait fermement les actions du FLQ. Ce n'est pas vrai.
  • L'anecdote sur la sympathie à JR Cross. On laisse entendre qu'à sa sortie de prison, il a été interrogé par des journalistes qui lui posent une question sur la famille de « Cross, enlevé par le FLQ ». Au minimum, et selon toute logique, l'entrevue (on ne le sais pas, on a pas la source) a eu lieu après la libération de Cross, en décembre 1970 — il a été mis en prison en octobre + 4 mois = février 1971.
  • Le meeting du 15 février 1970: veut-on parler du FRAP, le parti qui s'est présenté contre Jean Drapeau et qui a été dissous ensuite pour faire place au Rassemblement des citoyens de Montréal?
  • J'avais déjà enlevé le pire bout, celui où on disait que « Chartrand est détenu préventivement, car soupçonné de participer activement aux actions du FLQ ». Y'en a qui n'ont pas eu connaissance des conclusions des Commissions MacDonald et Keable!

Dans les quatre cas, les rédacteurs originaux du texte ont imposé une mythologie trudeauiste, qui n'est pas avérée dans les faits.

Beaucoup de travail en perspective. Ajouté à ma liste de suivi! — Bouchecl bla? 28 juillet 2007 à 07:33 (CEST)

Chartrand n'a jamais été "président de la CSN" comme il est écrit dans l'article.