Malko Linge

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Malko Linge
Personnage de S.A.S
Origine Autriche
Genre Mâle
Cheveux Blonds
Yeux Dorés
Activité(s) Membre de la CIA
Caractéristique prince
Entourage Alexandra Vogel (fiancée), Chris Jones et Milton Brabeck (gardes du corps), Elko Krisantem (domestique)
Créé par Gérard de Villiers
Roman(s) S.A.S

Son Altesse Sérénissime (SAS) le prince Malko Linge est le héros de la série de romans d'espionnage S.A.S de Gérard de Villiers. Afin de financer les réparations de son château de Liezen, en Autriche, il travaille pour la CIA qui l'envoie accomplir des missions dans le monde entier. Il porte des complets d'alpaga et est armé d'un pistolet extra-plat. Il possède une excellente mémoire, ce qui lui permet de maîtriser plusieurs langues. Lors de ses missions, il a de nombreuses relations sexuelles avec les femmes qu'il rencontre.

Son prénom viendrait de « Malka », prénom d'une « gonzesse somptueuse » avec qui Gérard de Villiers a eu une relation sexuelle [1].

Malko Linge est lors de ses aventures souvent accompagné de deux gardes du corps de la CIA, Chris Jones et Milton Brabeck. Son éternelle fiancée est Alexandra Vogel.

Sommaire

[modifier] Inspiration du personnage

Gérard de Villiers a déclaré que les personnage de Malko Linge et de sa fiancé la comtesse Alexandra Vogel lui avaient été inspirés par un couple de ses amis un baron allemand marié en premières noces à une comtesse italienne[réf. nécessaire]. Une partie des terres de ce baron se trouvaient avant 1989 derrière le rideau de fer et avaient été confisquées par le régime communiste.

[modifier] Caractéristiques de Malko Linge

[modifier] Aspect physique

Malko mesure 1m80. Il a les cheveux blonds et les yeux dorés.

[modifier] Aspect moral

Malko est un libertin capable de se comporter envers les femmes comme un soudard mais qui abhorre la violence. Il est dépassé par les actes de violence commis, qu'ils soient le fait de ses ennemis ou de ses alliés de la CIA. Il est écœuré par les manœuvres de la CIA qui aboutissent à des massacres aussi sanglants qu'inutiles.

C'est aussi un séducteur-né qui fait chavirer toutes les femmes qu'il rencontre, notamment grâce à ses yeux « d'or liquide ». Il fait preuve de loyauté envers les gens qui acceptent de l'aider même si souvent il n'arrive à sauver personne.

Il a une idée très forte de son rang social d'aristocrate pure souche de l'Europe et tient à mener la vie de son rang.

[modifier] Langues parlées

Un des atouts du prince Malko pour accomplir ses missions est le nombre élevé de langues qu'il parle. Cependant ce nombre a profondément varié et baissé depuis les premiers SAS. Au début SAS parlait 20 langues mais, en 2006, il en parle seulement entre 5 et 10, dont l'allemand bien sûr, mais aussi l'anglais, le russe et moyennement l'espagnol.

[modifier] Rang social

Malko Linge est un authentique prince autrichien pouvant revendiquer des ancêtres remontant au moyen-âge. Il est altesse sérénissime, membre de l'ordre des chevaliers de Malte, membre de l'ordre de l'aigle noir, grand voïvode de la voïvodine de Serbie. Il peut revendiquer au minimum 16 quartiers de noblesse sur 400 ans (ce qui lui a donné accès à l'ordre des chevaliers de Malte).

[modifier] Motivations de Linge

Malko Linge "travaille" pour la CIA d'abord pour gagner de quoi entretenir son château et ensuite pour mener la vie d'un homme de son rang (nombreuses réceptions données à ses amis), même s'il n'est jamais fait mention des dédommagements qu'il touche de la part de la CIA. Plus tard, c'est aussi le goût du risque qui explique ses décisions de partir en mission.

[modifier] Longévité de Malko

Comme beaucoup de héros de fiction, Malko Linge n'est pas affecté par le temps qui passe: après 41 ans de services auprès de la CIA, il reste toujours aussi fringant et jeune. On peut tout de même considérer que Malko est un homme d'age mûr puisque dès sa première aventure ( SAS à Istanbul ), il dit lui même qu'il est surnommé "le vieux" dans le métier...

[modifier] Références

  1. émission sur Canal Jimmy en mai 2001, citée par Florence Aubenas, Libération du 28 mai 2001

[modifier] Voir aussi

Autres langues