Lili Drop
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Lili Drop[1] est un groupe de rock français fondé en 1979.
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[modifier] Biographie
Lili Drop est fondé par Olive qui, peu de temps auparavant, a accompagné la naissance de Téléphone.
Le groupe se compose de trois membres : Olive, auteur-compositeur-interprète, et deux filles, Violaine (la batteuse) et Körin (la bassiste, future Enzo Enzo).
Le premier titre Sur ma mob, sorti en 1979, est resté le plus connu du groupe. Hymne à la jeunesse et à la liberté, il est très diffusé en radio. Mais mal distribué chez les disquaires, le 45 tours ne se vendra pas à plus de 35 000 exemplaires.
Le groupe cesse d'exister après le Printemps de Bourges en 1983. Sans Violaine ni Körin, il se reforme le temps de deux concerts à Paris, en 1988[2], puis en 2005[3] quelques mois avant le décès d'Olive.
Soutenu par la profession, Richard Kolinka cherchera à faire rééditer les albums en CD.
Lili Drop reste une aventure trop tôt avortée, à cause de la mauvaise gestion commerciale de la maison de disque et des problèmes d'Olive avec la drogue[4].
[modifier] Articles connexes
Articles détaillés : Olive (chanteur), Téléphone (groupe) et Enzo Enzo.[modifier] Liens externes
- (fr) Les vidéos du dernier concert d'Olive (Lovliv) au Point Éphémère à Paris
- (fr) Un site consacré à Lili Drop
- (fr) Un site consacré à Olive & Lili Drop
[modifier] Notes et références
- ↑ « Lili Drop, cela signifie moi, Olive, plus une sonorité féminine, plus un côté vedette drôle, plus poudre en verlan. Quelque chose d'ambigu et peut-être dangereux. » — Olive, en 1980
- ↑ « La nuit du rock » à la salle de la Mutualité
- ↑ Au Point Éphémère, le 15 juin 2005 (Lovliv relaods Lili Drop) — Avec France Cartigny à la batterie, Vyriane Say à la basse et Christian Brun à la guitare
- ↑ « [...] Je me défonçais tout le temps, je sortais tous les soirs, j’avais pas de problèmes d’argent, alors je me suis retrouvé un peu seul, rock star mal aimée, jalousé, incompris, ce que j’ai cherché certainement, et là, ça a été la goutte qui fait déborder le vase, je suis arrivé deux heures en retard, on se donnait rendez-vous à Châtelet pour partir en voiture ensemble, j’étais pas à l’heure, je suis arrivé complètement défoncé [...] » — Olive, interviewé par Jean-François Jacq en 2005
