Discuter:Harkis pendant la guerre d'Algérie

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sommaire

[modifier] L'engagement de la " FPA " en métropole

Associer les noms "PAPON"," Harkis" aux "FPA" puis évoquer la torture, est d'une malhonnêteté inouïe. Ça revient à dire que les Harkis étaient des nazis alors que d'après les différents articles qui leur sont consacrés dont les vôtres, il est reconnu qu'ils n'étaient que pour la plupart des paysans engagés dans des milices d'autodéfense. Paulette Péju et son mari étaient des communistes engagés du côté du FLN. Que ce dernier, arrivé au pouvoir torture, massacre son propre peuple depuis 45 ans ne les avait jamais fait douter. Non, les Harkis n'étaient pas Paris. Quant aux références que vous citez dont Olivier Le Cour Grandmaison, il faut aussi s'intéresser à l'opinion de ses confrères sur ses travaux jugés excessifs et trop marqués idéologiquement.

Il est facile de faire ce genre d'amalgame et de jeter le discrédit sur une communauté qu'on a jetée aux chiens.

Voici ma version plus réaliste et selon votre modèle de cette histoire, je vous joins aussi un lien :

En France métropolitaine, Maurice Papon est préfet de police depuis avril 1958. Il s'inspire de la “Brigade Nord Africaine” recrutée par “la bande de la carlingue” de Bonny et Lafont. Installée au 93 de la rue Lauriston, à Paris, au siège de la Gestapo, elle participa aux basses oeuvres dont étaient chargés leurs supérieurs. Sur ce modèle, une Force de Police Auxiliaire (FPA) est créée, composée d'Algériens recrutés par des militaires en Algérie. La FPA dépend directement du préfet. Elle est basée à la caserne du fort de Romainville. Présente dans les zones de forte implantation du FLN, elle montre à l'ensemble de la population algérienne de Paris que la toute puissance du FLN a des limites. Alors que la police judiciaire ne lance ses coups de filets qu'après un long travail d'enquête ayant permis de mettre à jour un réseau, la FPA exploite immédiatement les renseignements obtenus, procède à l'interpellation des suspects, à leur interrogatoire en vue de remonter jusqu'à la tête du réseau.

http://www.netlexfrance.com/weblogs/?p=100


Massi

Harkis.info

Je ne comprends pas ce que ce lien sur la période 40-44 vient faire dans notre histoire. Par ailleurs, dans le texte, il n'est pas dit que les "FPA" étaient des "harkis", mais que Paulette Péju avait écrit un livre Les harkis à Paris, ce qui est incontestable. Je vous rappelle la règle de wikipédia: Lorsqu'un sujet est controversé et qu'en histoire, par exemple, des historiens différents ont une lecture différente des mêmes évènements, alors, on rapporte ce qu'ont écrit les différents historiens en "sourçant", c'est-à-dire, en donnant les références des livres ou des articles de revue, les différents points de vue. Cordialement--EdC / Contact 5 février 2007 à 13:27 (CET)

Bien sûr mais je me suis expliqué ci-dessus. Quant au lien, il prouve qu'il est facile de démontrer qu'on a pas attendu les Harkis pour créer des auxilliaires de polices à Paris. Et en faisant référence à un journaliste communiste, je ne suis pas sûr qu'elle était bien placé pour dire la vérité de manière objective. Paulette Péju était journaliste à Libération, journal proche du Parti communiste selon Algéria Watch. Marcel Péju, son mari, était journaliste à Jeune Afrique. Il fût condamné pour diffamation envers les Harkis. Qu'en pensez-vous ?

Alors citer comme référence des communistes lorsqu'on parle de Harkis, c'est tout sauf innocent. Qant à écrire sur le FLN, ça ne m'intéresse pas : seul la défense de l'histoire des Harkis me motive. La page du FLN peut raconter ce qu'elle veut, je n'y interviendrai pas car j'accepte qu'ils aient un point de vue différent et que je connais leurs motivations.

Ensuite apporter des articles et des points de vue différents ne ferait que créer des débats sans fins.


Cordialement

Massi

Harkis.info

[modifier] Philosophes ou historiens ?

Il est surprenant qu'on fasse référence à des militants engagés quelque soient leurs idéologies en lieu et place d'Historiens.

Ensuite pour Mohamed Harbi, ancien dirigeant du FLN et Benjamin STORA Historien et troskiste, comment peut-on juger de l'impartialité de leurs écrits ?

Quant au FLN, personne de décrit réellement ses exactions et ses méthodes qui ont poussé des centaines de milliers d'Algériens à s'engager dans l"armée Française.Pour le reste de la population, elle avait choisi une attitude attentiste avant de se défouler sur les Harkis pour réclamer des cartes d'anciens combattants.

En Russie, le communisme devait instaurer un monde meilleur et plus juste. Mais pourquoi toutes ces révolutions se sont terminées dans le sang et sont devenues des dictatures ?

De nombreux historiens se sont penchés sur l'histoire du FLN. Tout est donc en place pour que des contributeurs sérieux fassent des articles sur l'histoire du FLN. --EdC / Contact 5 février 2007 à 13:30 (CET)

[modifier] Pourquoi avoir déplacé la partie "FPA" ???

A quoi ça rime de déplacer cet article ? Pour neutraliser notre discussion sur le sujet ? C'est ce qui s'appelle une fuite en avant...

Massi

J'ai déplacé la partie FPA dans un article séparé d'une part parce qu'il n'y a pas de relation évidente entre les harkis combattant en Algérie et les FPA opérant en métropole, ensuite parce qu'il devient ainsi plus aisé de relier le nouvel article à une catégorie plus vatse qui concernerait la guerre d'Algérie en France métropolitiane, et enfin parce que vous-même sembliez ne pas apprécier l'irruption de Papon dans un article sur les Harkis. Maintenant, je n'ai pas d'opinion définitive sur le sujet. Cette partition, comme toute partition est contestable. --EdC / Contact 7 février 2007 à 14:37 (CET)

Il n'empêche que vous avez laissé la référence à Paulette Péju dans son livre "les Harkis à Paris" qui fait l'amalgame à dessein. Elle aurait pu au moins écrire "des" harkis. Vous n'avez toujours pas répondu à ma question : " et en faisant référence à un journaliste communiste, je ne suis pas sûr qu'elle était bien placé pour dire la vérité de manière objective. Paulette Péju était journaliste à Libération, journal proche du Parti communiste selon Algéria Watch. Marcel Péju, son mari, était journaliste à Jeune Afrique. Il fût condamné pour diffamation envers les Harkis. Qu'en pensez-vous ? "

Dans l'article Force de police auxiliaire (Guerre d'Algérie), qui est une ébauche, il est effectivement écrit Les interrogatoires font usage de la toture comme l'a dénoncé dés 1961 Paulette Péju dans son livre " Les harkis à Paris". Il est exact que Paulette Péju a parlé de tortures dans le livre en question. Maintenant, il y a d'autres auteurs qui ont aussi écrit sur cette période. Si ce que Paulette Péju a écrit est contesté, il y a bien quelqu'un qui va finit par trouver une référence. Ce sera peut-être moi, peut-être vous, peut-être quelqu'un d'autre... Cordialement --EdC / Contact 7 février 2007 à 22:47 (CET)

Ok ! pour écrire l'histoire, on fait référence à des journalistes communistes, à des philosophes, voir des filousophes ou tout autre personne qui veut se faire mousser. Il fallait le dire.

Au revoir,

Massi

[modifier] Bachaga Boualem: SVP ne pas supprimer les références à un historien

Je n'apprécie pas vraiment que l'on remplace une référence à un historien pour la remplacer par une référence à un témoin. Il ne s'agit pourtant pas de grand-chose: La phrase concernant la harka du Bachaga Boualem qui " ...constitue un fief qui échappe en partie à l'autorité de l'armée française" référence à Hautreux, 2006, a été remplacée par "...une région où la paix est revenue et qui ne necessite pas la présence de forces militaires opérationnelles", référence à Bachaga Boualem, non daté, pas de page indiquée. Normalement, il ne nous appartient pas, à nous, encyclopédistes de travailler sur la matière brute, à savoir en l'occurence, les mémoires des acteurs de l'histoire. C'est le travail des historiens, et nous, encyclopédistes, nous puisons dans le travail des historiens. Hautreux, en l'occurrence, est censé avoir lu les mémoires du Bachaga, et les avoir croisé avec les archives du SHAT, où il trouve le témoignage de Massu etc... Si un autre historien a écrit quelque chose de substantiellement différent, on peut écrire, "mais d'après Machin, il s'est passé ceci, cela" avec la référence. Cher Jean-Jacques, j'avoue que je suis un peu agacé. J'insiste sur le fait que les termes "constitue un fief qui échappe en partie à l'autorité de l'armée française" est bien ceux que j'ai trouvé sous la plume d'Hautreux, dans la revue d'Histoire, payée 17,54 Euros de mes deniers spécialement pour faire cet article.--EdC / Contact 13 mai 2007 à 14:10 (CEST)

Bonjour, en effet j'ai été alerté il y a quelques jours par le "légers" parti pris des contributions de Viala jj. Mais n'étant pas vraiment un expert sur ces sujets (histoire colonial) j'essai, tant que je peux, de surveiller ses contributions mais je me trouve bloquer lorsque ce dernier insère très vaguement des "références" (en fait seulement des titres de livre) comme dans l'article Massacre de Sétif, ou même celui-ci, pour justifier des raisonnements qui sont parfois à la limite de la neutralité. comment peut-on vérifier. 86.69.230.60 13 mai 2007 à 16:13 (CEST)