Groupe d'Actions Non-Violentes Antinucléaires
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Le Groupe d'Actions Non-Violentes Antinucléaires (GANVA) rassemble des citoyens opposés au nucléaire en France dans des actions directes non-violentes.
[modifier] Présentation
Le GANVA apparait en 2007 dans le prolongement des mobilisations antinucléaires d'opposition[1] au projet de centrale nucléaire EPR à Flamanville et de son corrolaire, la nouvelle ligne THT[2] devant acheminer l'électricité produite par cette centrale. Collectif autogéré, il agit par des actions directes non-violentes : déploiement de bannières, blocages symboliques, occupations de locaux...
[modifier] Historique
- 29 mai 2007 : 4 activistes du GANVA occupent plusieurs jours le pylône THT n°92 à Fougère (Ile-et-Vilaine), pour revendiquer l'abrogation du décret autorisant EDF à construire le réacteur EPR à Flamanville.[3]
- 1er juin 2007 : Fin de l'occupation du pylône n°92 et occupation du pylône n°98 par deux autres activistes du GANVA pour la journée.
- 17 septembre 2007 : Une trentaines d'activistes du GANVA bloquent des accès au centre régional d'EDF à Rennes, y déploient des banderolles et occupent les lieux la nuit.[4],[5] L'action durera 36 heures au total.
[modifier] Références
- ↑ 30000 manifestants contre l'EPR à Cherbourg en avril 2006 et 60000 à travers la France en mars 2007
- ↑ Ouest-France du jeudi 4 août 2005 : Bientôt, une nouvelle ligne 400 000 volts
- ↑ Revue "Sortir du nucléaire" n° 35 La bataille de Fougères (p. 4)
- ↑ Communiqué de presse du Ganva - Actions à Rennes - 17 septembre 2007
- ↑ Communiqué du GANVA - Mardi 18 septembre 2007 - Suite de l’action à Rennes