Grammaire du vietnamien

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ATTENTION PLUSIEURS EXEMPLES EN VIETNAMIEN SONT INCORRECTS !


La grammaire du vietnamien amène souvent le locuteur non natif à la considérer soit comme inexistante soit comme incroyablement complexe. En effet, la description de celle-ci la plus couramment usitée est calquée sur la description des langues occidentales et ne permet pas d'en saisir le fonctionnement.

Heureusement, il existe actuellement un mode de description logique qui correspond plus exactement au mode de fonctionnement réel de la langue : c'est le modèle objet en informatique.

En effet, la langue se structure en

  • classes
  • méthodes
  • mots « outils » (en français « classique »: les conjonctions de coordination et les marqueurs temporels et d'impératif)
  • et numéraux (ou marqueurs de compte)

Sommaire

[modifier] Les classes en vietnamien

Les classes remplissent les fonctions des articles, pronoms et noms.

Les classes désignent un ensemble logique de propriétés, ainsi xe désigne un « véhicule à roues ».

Ces propriétés sont héritables par les classes « enfants » et, par exemple, les véhicules à roues peuvent être :

  • les vélos = xe đạp
  • les automobiles = xe ô-tô
  • les bus = xe buýt

Puis une classe particulière peut comporter des méthodes : chiếc xe đạp mầu xanh = le vélo bleu/vert

Et être instanciée : chiếc xe đạp mầu xanh của Nga = le vélo vert de Nga (Nga étant un prénom)

Le fonctionnement des classes s'apparente au fonctionnement des objets en programmation.

[modifier] Les classes comme articles et noms

Exemple d'utilisation de classes dans les fonctions d'article et de nom :

  • chiếc : ce qui est possédable en nombre
  • xe : véhicule à roues
  • buýt : bus
  • một : un, une, 1

D'où :

  • chiếc xe : le véhicule à roues, chiếc remplissant le rôle de l'article, xe ayant le rôle du nom
  • xe buýt : le bus, xe remplissant le rôle de l'article, buýt ayant le rôle du nom
  • một chiếc xe : un véhicule à roues, một chiếc remplissant le rôle de l'article, xe ayant le rôle du nom
  • một xe buýt : un bus, một xe remplissant le rôle de l'article, buýt ayant le rôle du nom

On voit donc que le même mot xe est amené à remplir deux fonctions grammaticales différentes. C'est la notion de classe.

les classes s'emboîtent les unes dans les autres à partir de deux classes de base qui sont :

  • cái : objets n'ayant pas leur propre mouvement par eux-mêmes ; (généralement objets ou êtres au mouvement imperceptible)
  • con : objets ou êtres ayant leur propre mouvement par eux-mêmes ; (généralement êtres vivants auxquels on ajoute les bateaux, qui dans leur élément habituel semblent avoir leur propre mouvement, et les couteaux, pour des motifs culturels)

Prenons l'exemple de con :

con : objets ou êtres ayant leur propre mouvement par eux-mêmes ; (généralement êtres vivants auxquels on ajoute les bateaux, qui dans leur élément habituel semblent avoir leur propre mouvement, et les couteaux, pour des motifs culturels).

Il peut donc s'appliquer aux chiens (chó), aux chats (mèo), aux oiseaux (chim), aux humanoïdes (người), etc.

Les humanoïdes se divisent couramment sur terre entre les singes et les êtres humains :

  • con người ức ưa, le singe, l'usage voulant que l'on réduise à người ức ưa,
  • con người dàn, l'être humain, l'usage voulant que l'on réduise à người dàn,

Ensuite, par exemple, les êtres vivants étant sexués et ayant des petits, la classe d'une espèce donnée, comporte 3 sous-classes :

  • les petits
  • les femelles
  • les mâles

Le procédé est symétrique pour la classe cái et les classes qui héritent d'elle :

  • cái bàn, la table (la surface plane)
  • bàn giấy, la surface plane de papier
  • giấy chim, l'oiseau en papier

Le concept important est que, dans cet exemple, chim hérite des propriétés de giấy, qui a hérité des propriétés de bàn, qui a hérité des propriétés de cái.

À aucun moment le concept d'oiseau chim ne contient en lui-même la notion de vivant, c'est le fait de le classifier avec un mot héritant « d'une façon évidente » de cái qui permet de déterminer qu'on parle d'un objet.

Dans notre exemple, les mots bàn et giấy occupent successivement les fonctions d'articles définis et de noms, ce qui démontre l'aspect inopérant de ces concepts pour la langue vietnamienne.

C'est donc bien le concept de classe (également appelé classificateur) qui s'applique.

[modifier] Les classes en tant que pronoms

Les pronoms n'existent pas en vietnamien. Ils sont également remplacés par les classes.

Exemple sur les pronoms personnels :

  • ông, le grand-père,
  • , la grand-mère,
  • bác, l'oncle paternel aîné,
  • , la tante paternelle aînée,
  • anh, le frère aîné,
  • chị, la sœur aînée,
  • em, la petite sœur, le petit frère,

Supposons que je sois une femme m'adressant à un homme plus âgé que moi (mais de peu) pour lui dire que je rentre chez moi et je lui demande s'il a déjà mangé:

  • Em đi về : je rentre chez moi
  • Anh đã ăn chưa? : as-tu déjà mangé?

Lui m'informe qu'il sort et me demande de me dépêcher :

  • Anh đi ra: je sors
  • Em đi mau lên đi: tu te dépêches (avec un ton impératif en français)

On voit clairement que la classe em pour une personne plus jeune est utilisée par moi comme l'équivalent de Je et par l'homme plus âgé comme l'équivalent de tu.

De même, j'utilise la classe anh (se rapportant à un homme plus âgé) comme l'équivalent de tu, et il utilise le même mot comme l'équivalent de je.

Ainsi les classes font fonction de pronoms personnels mais n'en sont pas.

Tôi ou ce qui semble un cas particulier

Tôi est souvent utilisé comme équivalent de je dans les contexte froids et formels, mais tellement rarement utilisé comme équivalent de tu, ou il, qu'il peut passer pour un quasi pronom personnel, c'est une erreur de considérer cela car la classe tôi se rapporte à la domesticité. S'il est fort poli de se classer soi-même dans les serviteurs par rapport à l'interlocuteur, classer l'interlocuteur dans une telle catégorie n'est pas perçu comme très poli. C'est la raison pour laquelle cette classe n'est jamais utilisée pour désigner une autre personne que soi-même.

[modifier] Usage des classes

On a vu que les classes peuvent être utilisées comme « sujet », comme article et comme nom.

[modifier] Utilisation de la classe comme article ou la spécification

La classe spécificatrice (ou le spécificateur) est toujours placée avant la classe spécifiée, comme dans l'exemple giấy chim. On peut rajouter autant de spécificateurs que nécessaire au sens. Ainsi dans l'exemple giấy chim il est évident que giấy se rapporte à l'origine aux classes bàn et cái, elles ne sont donc pas portées dans la construction.

La spécification sert donc à rattacher la classe spécifiée à un ensemble de propriétés plus larges.

Elle est obligatoire en cas d'usage de numéraux portant sur la classe spécifiée.

[modifier] Utilisation de la classe comme « sujet »

Une classe peut être utilisée comme « sujet », c'est-à-dire comme possédant des méthodes (qui peuvent correspondre aussi bien à des adjectifs qu'à des verbes ou des adverbes en français). Une classe possédant des méthodes peut être spécifiée ou non.

Les cas de spécification explicite :

  • suite à l'usage de numéraux,
  • indication de généralité, exemple người cô dans le sens la tante en tant que catégorie de personnes, néanmoins, dans ce dernier cas, le locuteur natif tendra à mettre un numéral indéfini plutôt que le seul spécificateur.

Les cas de non spécification explicite sont tous les autres cas.

[modifier] Les méthodes

[modifier] Généralités

Les méthodes recouvrent les fonctions des adjectifs, verbes et adverbes.

Leur fonctionnement s'apparente aux méthodes en informatique.

Le positionnement se fait selon les règles gốc việt ou hán việt (voir chapitre sur la construction de la phrase).

Le fonctionnement de ce qui est fonctionnellement un adjectif ou un verbe est exactement le même.

Il n'y a ni accords ni déclinaisons.

[modifier] L'usage comme adverbe

Lorsque l'usage porte sur une autre méthode, par exemple, l'équivalence de l'adverbe grandement dans je m'amuse grandement donne tôi cao chợi:

  • tôi: classificateur possédant les méthodes,
  • cao: méthode se rapportant à ce qui est haut,
  • chợi: méthode se rapportant au jeu et à l'amusement.

cao porte donc sur chợi en se plaçant entre la classe qui possède les méthodes (tôi) et la méthode « agissante » (chợi).

[modifier] Les mots-outils

[modifier] Définition

Les mots-outils sont des mots qui servent à agir sur :

  • les classes,
  • les méthodes,
  • la construction de phrases complexes.

Comme tous mots vietnamiens, ils ne sont portés dans la phrase qu'en cas de nécessité absolue.

[modifier] Mots-outils portant sur des méthodes

[modifier] Confirmation et infirmation

[modifier] L'absence des mots oui et non

Contrairement à ce qu'on peut trouver dans les guides de voyages, les mots oui et non n'ont pas d'équivalent exact en vietnamien.

En effet :

  • Le mot dạ est une interjection marquant le respect de l'interlocuteur et une interjection de respect ne veut pas nécessairement exprimer l'accord.
  • Le mot không est un mot-outil s'appliquant aux méthodes et ne saurait être utilisé sans être suivi de la méthode à laquelle il s'applique.

Les concepts de confirmation ou d'infirmation se retrouvent donc uniquement par la présence ou l'absence des mots-outils s'appliquant à la méthode concernée.

[modifier] Infirmation

Les mots-outils d'infirmation se positionnent avant la ou les méthodes qu'ils infirment.

Exemple :

Je ne m'amuse pas grandement donne tôi không cao chợi:

  • tôi : classificateur possédant les méthodes,
  • không :
  • cao : méthode se rapportant à ce qui est haut,
  • choi : méthode se rapportant au jeu et à l'amusement.

không infirme donc le groupe de méthodes cao chợi.

Les mots outils d'infirmation :

  • không
  • chưa

[modifier] Confirmation

vâng

dạ

[modifier] Forme intérogative

[modifier] Aproximations

[modifier] Temps

Ces mots-outils s'appliquent aux méthodes. le temps passé est indiqué en ajoutant la particule đã devant le verbe le temps présent progressif par la particule đang le futur indiqué par la particule sẽ . « đã » et « đang » ou« đang » et « sẽ » peuvent être employés ensemble.

[modifier] Passif et factitif

[modifier] Coordinations

Ces mots-outils s'appliquent à coordonner des ensembles « classe et méthodes possédées par la classe ».

[modifier] Exclamations

Ces mots-outils s'appliquent à une phrase entière.

[modifier] Interjections

Ces mots-outils peuvent s'employer seuls ou ponctuer le discours.

[modifier] Mots vides

C'est la catégorie de mots-outils qui est la plus difficile à saisir pour le locuteur non-natif. Les usages des mots vides sont :

  • l'équilibre rythmique de la phrase,
  • l'équilibre de la versification (l'usage de la versification étant assez courant dans la conversation ordinaire),
  • l'introduction de nuances émotionnelles ou de perception (mise en valeur ou péjoration, par exemple).

Ce sont des mots vides de sens qui n'ont pas d'existence par eux-mêmes et sont construits et positionnés en fonction du contexte sonore de la phrase.

Ils peuvent s'appliquer aussi bien à des classes qu'à des méthodes.

[modifier] Les numéraux

[modifier] Les marques du pluriel

[modifier] Les quantités précises

[modifier] la numérotation

[modifier] Les mesures

[modifier] Les approximations

[modifier] La totalité

[modifier] Les quantités imprécises

[modifier] Les quantités distributives

[modifier] Les mots composés

[modifier] Existence des mots composés

[modifier] Inutilité théorique

[modifier] Importation de mots étrangers

exemples d'apports de mots français - gare : ga - beurre : bơ - cirque : xiếc - café : cà phê - ciment : xi măng - artichaut : actisô - crème : kem - bière : bia - chocolat : sôcôla - poupée : búp bê - sou : xu

[modifier] Apports de la littérature

[modifier] Le passage dans le vocabulaire des compositions de mots les plus célèbres et appréciées

[modifier] Construction des mots composés

[modifier] Composés purs

[modifier] Composés réplicatifs

le procédé consiste à redoubler un radical totalement ou partiellement (en associant un mot commençant par la même lettre

exemples: -vui (joyeux) => vui vẻ (joie, bonheur) -đẹp (beau) => đẹp đẽ (la beauté) -nhỏ (petit) => nhỏ nhắn (petit et joli)

[modifier] Composés avec un seul élément sémantique

[modifier] Composés par juxtaposition

la juxtaposition consiste à associer 2 mots de même sens, ou de sens contraire, pour en former un nouveau, dont la signification sera plus étendue

exemples -bàn (table) ghế (chaise) => bán ghế (le mobilier) -ăn (manger) uống (boire) => ăn uống (se nourrir)

[modifier] La problématique espace, tiret ou agglutination

[modifier] Présentation du problème

La langue vietnamienne est globalement monosyllabique, mais certains concepts peuvent demander plusieurs mots, notamment s'il s'agit :

  • de concept composé : kết quả, résultat (la tresse de fruits),
  • d'un mot étranger : bê tông, béton.

À l'origine, ces concepts polysyllabiques étaient mis en valeur par des tirets entre chaque mot qui matérialisaient la pause plus courte (voire inexistante) les séparant dans le rythme d'élocution.

Suite à la réforme du vietnamien entreprise par Hồ Chí Minh, les tirets furent retirés car indiquant des mots savants (ou compliqués), voire étrangers ou chinois.

Néanmoins la réduction de la pause entre chaque mot subsiste dans la langue parlée et tend à être remplacée à l'écrit par l'agglutination en concepts sémantiques, ainsi les journaux un peu « populaires » voulant parler du « vélo vert de Nga » en écriront « XeĐặpXanhNga », sans espaces et avec majuscules, car ils se baseront sur la rapidité d'élocution et l'absence d'effet des majuscules sur la prononciation des mots qui caractérise le vietnamien. Les émigrés conservant quant à eux l'usage des tirets.

[modifier] Pourquoi matérialiser dans l'écrit la pause plus courte entre deux mots?

  • parce que le raccourcissement de la pause existe à l'oral,
  • parce que le raccourcissement de la pause peut avoir une raison sémantique.

Exemple : người việt nam

Nota bene : En vietnamien, les majuscules et les ponctuations (sauf le point et la virgule) ont peu de sens, car il a longtemps été écrit avec des sinogrammes qui ignorent ces concepts, donc il y a d'autres façons d'exprimer les nuances introduites par ces graphies.

  1. Avec tirets :
    • người việt-nam, le Vietnamien (au sens une personne),
    • người-việt nam, le membre de l'ethnie việt habitant au Sud.
  2. Avec agglutination :
    • người ViệtNam, le Vietnamien (au sens une personne),
    • NgườiViệt nam, le membre de l'ethnie việt habitant au Sud.
  3. Sans tirets ni agglutination :
    • người việt nam, le Vietnamien (au sens une personne),
    • người việt ở nam, le membre de l'ethnie việt habitant au Sud, on précise un mot habituellement élidé (: habiter, se trouver à)
    • người kính nam, le membre de l'ethnie việt habitant au Sud, on a dû inventer un nouveau mot pour éclaircir le sens.

[modifier] Conclusion

C'est donc un point sur lequel la langue vietnamienne hésite actuellement, espace, tiret ou agglutination des mots.

[modifier] Construction de la phrase

[modifier] La gestion du contexte

Toutes les langues humaines laissent une certaine place au contexte. Une particularité du vietnamien est que le contexte est géré de façon analogue aux variables informatiques :

  • si l'on renseigne une variables, alors celle-ci reste vraie jusque sa valeur soit explicitement changée,
  • les variables sont persistantes tout au long de l'échange et donc transmises à toutes les phrases,
  • un peu à la manière du sucre syntaxique un groupe de personnes donné peut avoir en commun un « préchargement de données et traitements ».

Conséquences :

  • toute mention se rapportant aux variables de temps, classificateur, etc. sera persistante et ne demande pas à être répétée ;
  • la simplification de la syntaxe sera persistante jusqu'à mention contraire.

Plus concrètement :

  • si à un moment donné je précise que ce que je dis se rapporte à la veille (emploi d'un temps passé, ou mention de date ou de période), il sera ensuite inutile de faire mention du temps appliqué au discours dans toute sa suite, car il restera persistant et se rapportant à la veille jusqu'à mention contraire ;
  • si je précise que je parle de la femme nommée Thu une fois, il sera ensuite inutile d'utiliser une mention à son nom ou à sa nature féminine jusqu'à mention explicite que l'on parle d'une autre personne ou d'autre chose.

Ainsi, tout mot susceptible de faire doublon avec une variable de contexte déjà définie est supprimé, sauf si c'est pour changer la dite variable de contexte du discours. De même les simplifications syntaxiques sont appliquées et peuvent être elles-mêmes simplifiées ou recomplexifiées tout au long du discours. Ces dernières sont également persistantes d'une fois sur l'autre.

[modifier] Syntaxe vietnamienne (cú pháp Việt)

Syntaxe propre à la langue vietnamienne, la plus couramment utilisée, par opposition aux formes dite "sino-vietnamiennes" (Hán Việt), qui suivent la syntaxte chinoise (cú pháp Hán) et qui sont surtout utilisées dans des formules figées, des noms propres, des proverbes, etc.

La syntaxte vietnamienne suit un ordre déterminé > déterminant :

  • tiếng Việt (langue + Viet = langue vietnamienne)



[modifier] Syntaxe hán việt

Les méthodes sont portées avant la classe qui les possède.

Cette syntaxe est importée du chinois.

[modifier] Critères de choix d'une syntaxe

La syntaxe hán việt se rapporte uniquement aux classes et méthodes d'origine chinoise qui ne sont pas encore perçues comme faisant pleinement partie du vocabulaire vietnamien.

L'usage trop fréquent de la syntaxe hán việt peut être perçu comme affecté et pédant, cependant que l'usage trop systématique de la syntaxe gọc việt peut être perçue comme la marque d'un manque de formation scolaire.

[modifier] Bibliographie

  • Trương Văn Chình, Structure de la langue vietnamienne, Imprimerie nationale, Libraire orientaliste Paul Geuthner, Paris, 1970 — C'est le seul livre en langue occidentale présentant la grammaire vietnamienne à partir de concepts opérationnels et non à partir des concepts en vigueur pour décrire les structures de langues occidentales. Il est par contre difficile d'utilisation, lorsqu'on ne connaît pas la langue vietnamienne, ancien (1970) et ne reprend pas les derniers développements de l'étude de la langue (notamment développement des concepts de classe et de méthode)
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