Discuter:Georges Brassens

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Sommaire

[modifier] Age de Jeanne

Citation de l'article :

Georges Brassens, né le 22 octobre 1921, à Sète (France) [...] En 1942, il publie son premier recueil de poésie et se lie d'amitié avec Jeanne Le Bonniec, "la Jeanne" (de 30 ans plus jeune que lui) et son mari Marcel Planche("Chanson pour l'auvergnat").

Mathématiquement c'est pas possible. En 42 il a 21 ans, donc si La Jeanne a 30 de moins que lui, elle a -9 ans :S Je pense que c'est l'inverse (brassens qui a 30 ans de moins) mais comme je n'ai pas d'info peut être quelqu'un pourra-t-il confirmer et faire la modif.

Gnu thomas 8 jun 2003 ・15:39 (CEST)

Jeanne Le Bonniec est née a lanvollon en 1891 pres de painpol.(je te laisse les maths), c'est une amie de la tante de Brassens. -- Looxix 8 jun 2003 ・17:14 (CEST)

[modifier] 2eme Guitare

Texte modifié : À la fin des années 1960, au duo de scène (Pierre Nicolas à la contrebasse et Georges Brassens à la guitare) s'ajoute pour l'enregistrement des disques un jeune guitariste, Joël Favreau.

Bien qu'accusant un certain âge, je n'ai jamais eu la chance de voir Georges Brassens sur scène. Je me souviens avoir vu le trio à la télé. Quelqu'un pourrait confirmer : Joël Favreau n'a jamais fait de scène avec Georges Brassens ? Didier 21 jun 2003 ・16:58 (CEST)

Je confirme que Joël Favreau était bien, avec Pierre Nicolas, sur scène avec Georges Brassens lors de son passage dans un théatre de Montparnasse vers le milieu des années 70. Toutefois, notons que Joël Favreau accompagnait aussi à l'occasion Maxime le Forestier, et avait même avec l'aide de celui-ci tenté une carrière solo (avec d'ailleurs d'excellentes chansons, mais une pochette d'album complètement ratée). Il se pourrait donc qu'il n'ait pas été présent à toutes les tournées de Brassens. François-Dominique 21 jul 2004 à 21:55 (CEST)
Avant Joël Favreau qui n'a rejoint Brassens que dans les années 1970, une 2ème guitare a été apportée dans les enregistrements par Victor Apicella, dans les rééditions des premières chansons en 33t 30cm, et plus tard par Barthélémy Rosso. blablad'M-le-mot-dit 3 novembre 2006 à 11:20 (CET)

[modifier] "domaine public" ???

Quelqu'un peut-il en dire plus sur cette histoire ? Je croyais, moi, qu'une oeuvre tombait dans le domaine public 70 ans après la mort de son auteur, en ajoutant les éventuelles années de guerre ??? François-Dominique 21 jul 2004 à 21:56 (CEST)

C'est valable pour les images, textes et autres, mais pas pour les œuvres phonographiques, qui tombent dans le domaine public 50 ans après leur divulgation. Dès aujourd'hui, les publicitaires peuvent utiliser librement (par exemple) le Gorille ou les Sabots d'Hélène. Nous pouvons aussi mettre à disposition ces titres (dans leur version 1952) sur le wiki sans tomber sous le coup de la loi française (mais sous celle de la loi américaine par contre). Pour les textes et tablatures, j'hésite archeos
Comment les choses se passent-elles dans ce cas-là ? Si un citoyen étatsunien résidant aux USA écoute ces chansons de Brassens en se branchant sur le fonds documentaire de la Wikipédia, c'est donc lui qui est passible de poursuites là-bas ?
En tout cas, en effet, des oeuvres phonographiques des années 20, 30 et 40 sont bien présentes en téléchargement libre sur le Net. C'est Byzance : http://www.petefaint.co.uk/jackhylton/music.htm François-Dominique 13 aoû 2004 à 14:38 (CEST)
Rétablissons une vérité indiscutable : le Code de la propriété intellectuelle (français) protège les œuvres de Brassens durant 70 ans, donc jusqu'en 2051. Ma'ame Michu | Discuter 13 aoû 2004 à 14:44 (CEST)
Et bien nous allons avoir le plaisir de discuter une vérité indiscutable : l'œuvre écrite de Brassens est protégée jusqu'en 2051 (partitions et textes), son œuvre phonographique 50 ans après leur divulgation. Et ce, en France (c'est-à-dire qu'on ne peut être poursuivi par un tribunal français, mais américain, oui) archeos

En guise de vérité indiscutable, cela sonne comme une lecture abrégée du CPI. En effet, le CPI protège les oeuvres des auteurs-compositeurs pour une durée de 70 ans après leur mort, et enregistrements des artistes-interprêtes pour une durée de 50 ans à partir de leur communication au public.

Dans le cas de Brassens, la protection de ses chansons est donc de 70 ans, quel qu'en soit le support (texte, partition, enregistrement vidéo ou audio), en vertu du droit de reproduction du titulaire des droit. En revanche, une reprise par Brassens d'une chanson populaire appartenant au domaine public lors de son nouvel enregistrement ne serait protégée, dans sa seule version Brassens, que pour 50 ans à la date de la fixation de sa communication au public. De fait, la mise à disposition des audiogrammes de Brassens sur la Wikipedia est en violation des prérogatives des ayant-droits de Brassens.

Sources : Art. L123-1 CPI ("L'auteur jouit, sa vie durant, du droit exclusif d'exploiter son oeuvre sous quelque forme que ce soit et d'en tirer un profit pécuniaire. Au décès de l'auteur, ce droit persiste au bénéfice de ses ayants droit pendant l'année civile en cours et les soixante-dix années qui suivent.") et art. L11-4 CPI ("La durée des droits patrimoniaux objet du présent titre est de cinquante années à compter du 1er janvier de l'année civile suivant celle :

  • de l'interprétation pour les artistes interprètes ;
  • de la première fixation d'une séquence de son pour les producteurs de phonogrammes et d'une séquence d'images sonorisée ou non pour les producteurs de vidéogrammes ;
  • de la première communication au public des programmes visés à l'article L. 216-1 pour les entreprises de communication audiovisuelle.

Toutefois, si une fixation de l'interprétation, un phonogramme ou un vidéogramme font l'objet d'une communication au public pendant la période définie aux trois premiers alinéas, les droits patrimoniaux de l'artiste-interprète ou du producteur du phonogramme ou du vidéogramme n'expirent que cinquante ans après le 1er janvier de l'année civile suivant cette communication au public.") Claudé 9 février 2006

Durs, ces juges américains! Mais au moment suprême?--Hrafn 5 février 2006 à 02:13 (CET)
Quid de la loi du 11 mars 1957 sur la propriété littaraire et artistique qui stipule (ou stipulait ? - de mémoire) : "Une fois que l'oeuvre a été rendue publique [NB : ce qui ne signifie pas : "mise dans le domaine public], l'auteur ne peut interdire les copies destinées à l'usage privé du copiste dans le cercle familial" ? Cela signifierait-il que celui qui laisse télécharger est en faute, mais que contre celui qui télécharge aucune action n'est intentable dès lors qu'il ne fait pas commerce de ce qu'il a téléchargé ? 81.64.199.228 9 février 2006 à 03:46 (CET)

les oeuvre tombe dans le domaine publique 50 ans après divulagation de l'oeuvre cela signifie qu'au bout de 50 ans on à le droit de se procurer librement et gratuitement les enregistrement des chanson et de ne pas en faire commenrce.

les oeuvre sont protégées par le droit d'auteur 70 ans après la mort de l'auteur donc pour reprendre une chanson avant 70 ans après la mort de l'auteur il faut l'accord des ayant droits après 70 ans, on fait ce qu'on veut. Sebk 10 avril 2007 à 23:00 (CEST)


Brassens a-t il des ayants droits? puisque non marie, pas d'enfants?

DB

L'ayant droit n'est pas nécessairement déterminé par un lien familial si j'en croit l'article ayant droit de wikipédia p-e 22 mai 2007 à 07:26 (CEST)

[modifier] lieu d'inhumation

J'ai corrigé le lieu d'inhumation de Brassens qui n'est pas le cimetière marin célèbré par Paul Valéry et où celui ci est enterré. Brassens est enterré au cimetière du PY aussi appelé "le ramassis", car c'est là que sont enterrés les "pauvres" . Il est dans le caveau de la famille BRASSENS-DRAGOSA . (mes sources : Brassens Le livre du souvenir de Martin Monestier et Pierre Barlatier)

--accrochoc 19 aoû 2004 à 19:16 (CEST)

Le Ramassis ne mérite plus sn surnom, loin de là. C'est même un cimetière très coquet à présent. Quand j'y suis passé, je me suis interrogé sur l'histoire de ce caveau. Qui s'y trouve et depuis quand? Qui l'avait commandé? Qui sont les Dragosa? --Hrafn 9 février 2006 à 10:29 (CET)

Ce caveau est celui des parents de Georges Brassens. Dragosa est le nom de jeune fille de sa mere (elvira dragosa).

Ce n'est pas le caveau des parents. D'ailleurs, les noms sont écrit dessus. Il y a Georges, sa compagne Joha, "Simone Casani née Comte " qui est vraisemblablement sa demi-soeur(Comte étant, vraisemblablement, le nom du premier mari d'Elvira Dragosa) et Yves Casani qui est, selon toute vraisemblance, le mari de Simone. --Madlozoz 8 septembre 2007 à 19:02 (CEST)

[modifier] Liens bizarres

Est-il bien raisonnable d'avoir transformé le nom des chansons de Brassens en liens ? Il va se passer en principe 48 ans (plus les éventuelles années de guerre futures) avant qu'elles ne soient dans le domaine public et d'ici là ça m'étonnerait que les conventions de représentation des liens n'aient pas été sacrément modifiées. 195.132.60.26 17 sep 2004 à 13:01 (CEST)

[modifier] Georges Brassens et le droit d'auteur (du Bistro)

J'aimerai qu'un juriste, un vrai, nous dise quel est le statut exact des interprétations à la flûte d'œuvres de Georges Brassens téléchargées sur Wikipédia par Utilisateur:Jmfayard. Selon lui, les mélodies ne feraient pas l'objet d'un copyright, ce que je conteste. Une œuvre est une œuvre : rien dans le Code de la propriété intellectuelle ne dit qu'il faille séparer juridiquement la musique des textes. Jusqu'à preuve du contraire, les mélodies sont elles aussi protégées jusqu'au 1er janvier 2052 (le 1er janvier de l'année civile qui suit le 70e anniversaire de la mort du dernier des auteurs).

Question annexe : dans quelle mesure peut-on considérer qu'une mélodie entre dans le cadre de la courte citation prévue par le CPI ? Ma'ame Michu | Discuter 16 oct 2004 à 14:17 (CEST)


Bonjour,

Aux états-unis : oui sous le "fair use" ou "usage loyal". En France: faut attendre 70 ans après la mort de l'auteur pour que ca tombe dans le domaine public ou attendre une évolution de la loi en matière de citation.

La SACEM, qui gère les droits de nombreux artistes en musique, poursuit l'usage des citations sans l'accord des auteurs/interpretes/compositeurs.

Lire aussi Internet: Faut-il admettre l'existence d'un droit de citation en matière musicale ? Ashar Voultoiz|@ 16 oct 2004 à 17:43 (CEST)

Non ! La doctrine du fair use propose un test en 4 étapes qui ne couvre absolument pas la reprise intégrale de mélodies de chansons protégées. Il s'agit dans ce cas-là d'une licence légale qui permet de reprendre toute chanson copyrightée sous le droit US pour une somme fixe. En revanche, dans le cadre français, le CPI prévoit un "droit de citation" à l'art. L122-5, 3°,"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire [...] 3° sous réserve que soient indiquées clairement le nom de l'auteur et la source : a) les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées."
Il existe bel et bien un droit de citation en matière musicale (enfin, existait en 2002, sous réserve de cassation). Dans un arrêt de la Cour d'Appel de Paris, 4è chambre, la Justice française a en effet reconnu que la citation du thème principal d'une oeuvre musicale (tel le Boléro de Ravel) 'excède ce qui est permis alors même qu'il ne dépasse pas quelques mesures, parce qu'il est repris et développé tout au long de loeuvre'" (in Droit de la Propriété Intellectuelle, Patrck Tafforeau, Gualino Editeur). Partant, et a contrario, est possible toute autre citation musicale. Il n'est donc pas nécessaire d'attendre l'expiration de la protection. --Claudé 9 février 2006 à 13:24 (CET)
Autant dire : prudence, si l'on songe que le contenu de Wikipédia est susceptible :
  • d'être distribué à proche échéance sous forme de DVD sur le territoire frnaçais,
  • d'être hébergé sur des serveurs localisés en France, là aussi très vite.
J'avais déjà envie de dire, tout à l'heure, que la SACEM pourrait nous « tomber très vite sur le paletot ». Merci pour la confirmation. Ma'ame Michu | Discuter 16 oct 2004 à 17:49 (CEST)
Exactement. C'est pour çà que je suis contre l'utilisation d'image sous fair use :) Ashar Voultoiz|@ 16 oct 2004 à 17:54 (CEST)
Ce serait sans doute « gérable » (façon de parler...) avec un système de « marqueur » pour pouvoir exclure certaines images en fonction de la destination. L'horreur, quoi. Ma'ame Michu | Discuter 16 oct 2004 à 18:39 (CEST)

L'occasion de relever une incohérence du droit français : là où les copies sonores sont dans le domaine public 50 ans après leur diffusion (donc actuellement les 2 premiers albums de Brassens sont mp3-isables et diffusables) l'utilisation des textes et des partitions de ces mêmes albums ne le sera que dans 50 ans. archeos

Il n'y a pas que la SACEM mais aussi l'ADAGP!83.157.147.117 16 oct 2004 à 22:43 (CEST)

[modifier] Jeanne

Quelqu'un vient de changer aujourd'hui Jeanne Le Bonnier, une auvergnate en Jeanne Le Bonniec, une bretonne. Sur internet, on trouve les deux. Si quelqu'un a une source fiable ... Tipiac 27 déc 2004 à 18:25 (CET)

C'est moi qui ait fait la modification. Cette info est lisible dans le bouquin Georges Brassens, la Marguerite et le Chrysanthème de Pierre Berruer (ISBN : 2-258-05799-X). Le même livre indique d'ailleurs que Marcel n'était pas non plus Auvergnat, mais natif de Seine et Marne. --Tamere 28 déc 2004 à 09:03 (CET)

Je confirme pour le nom. Je l'ai trouvé dans Brassens, le petitpère et dans Brassens libertaire. Pour son origine, je ne sais pas, mais avec le ec final, ça fait pas très auvergnat. Faudrait en revanche faudrait creuser l'origine de Marcel. saXon 28 déc 2004 à 09:44 (CET)

Le bouquin cité ci-dessus indique ... elle a épousé, en juin 1942, le neveu d'une voisine, Marcel Planche. Un homme tranquille, de sept ans son cadet, natif de Seine-et-Marne et peintre en carrosserie de son état... --Tamere 28 déc 2004 à 10:11 (CET)

[modifier] Mélodies simples ?

Dès le début de l'article, il est écrit "Fils de gens simples, comme ses mélodies..." Je ne pense pas que l'on puisse prétendre que les mélodies de Brassens sont simples. Trompettes de la renommée est un bon exemple. Si personne n'y voit d'inconvénient, je changerai le texte dans quelques jours. Alexandre 12 septembre 2005 à 09:43 (CEST)

J'approuve et ta réaction et ton intervention. Vincent alias Fourvin (Discuter) 12 septembre 2005 à 10:01 (CEST)

[modifier] Considérations bassement typographiques & droits d'auteur (suite)

Bonjour, 1.Comment harmoniser les guillemets - éventuellement typographiques - et les mises en italiques ?

(ou tout autre effet typo.).

Pour exemple, jetez un œil au Chapitre #Anecdotes.

Je suppose qu'il existe une règle quelque part dans l'encyclo... (désolé, à cette heure, j'ai plus la motiv. pour chercher).


A sujet de ces règles, savez-vous si nous avons repris une norme internationnale ?

(L'AFNOR en a sûrement pondu une, mais c'est pas gratuit). www.afnor.fr

Sinon, les dictionnaires, les ouvrages de réf., les biliothèques, au pire les journaux et magazines…

Pourquoi s'em……beter (ouf!) à inventer un truc que d'autres ont déjà sûrement testé ?


2.Au sujet des divers droits, s'il est évident nous tombera dessus s'il à lieu pour des raisons que je ne discuterai pas ici (je serai partial) ; L'on peut se renseigner - indirectement, dans un premier temps, se serai plus prudent - auprès des ayants droits.

Quand je dis indirectement, il faudrait connaître quelqu'un qui les connaisse afin d'estimer la réussite en vue d'une demande de diffusion officielle.


Avec l'accord des ayants droit, je pense que les autres plaignants potentiels seraient plus conciliants.

Ce qui ne veux pas dire qu'il faudra être discret tout de même et au besoin plaider l'exception culturelle car si la SACEM laisse couler, des entreprises plus commerciales (à tout hasard, les majors) seraient sûrement moins conciliantes.

Je connais même l'exemple désolant d'une représentation du "Petit Prince" de Saint-Ex. ayant été ajournée sur injonction de la famille de l'auteur car l'acteur (un enfant) était … noir.


Dans notre cas, je tenterais bien une prise de conseil auprès de Maxime le Forestier.

En attendant, je me rencarde auprès d'un pote ACIA (Auteur, Compo… Arrangeur) qui connaît bien la question et je vous rencarde. Peut-être la discussion devrait être puirsuivie sur une autre page ? (J'ai pas encore testé le Bistro).

Allez, bonne journée à toutes zé tous, MusAmicalement, MarcFerrand 28 octobre 2005 à 05:42 (CEST)


Le capitaine crie : "Je suis le maître à bord, sauve qui peut le vin et le pastis d'abord ! Chacun sa bonbonne, et courage…" (Supplique…)

[modifier] La mère de Georges Brassens

Il me semble que la mère de Brassens se nommait Elvira Dagrosa. Les auteurs eux-mêmes qui parfois se recopient donnent différentes orthographes au sein d'un même livre !

Heu dans les deux livres dont je me suis servis, il y avait Dragosa. Maintenant si tu as des sources totalement sûre, je te laisse changer. Balouk

Je sais pas comment s'écrit Elvira, mais sur la tomùbe, c'est écrit "famille BRASSENS-DRAGOSA". --Madlozoz 8 septembre 2007 à 18:53 (CEST)

[modifier] suite de la supplique

Dans "anecdote", il est dit que Maxime Le Forestier a écrit une suite à la supplique. J'ai essayé de trouver cette chanson dont je n'avais jamais entendu parlé mais mes recherches ont été vaines. Si quelqu'un en sait plus il serait très sympa de me contacter ! Balouk


la suite à la supplique s'appelle "la visite", elle est sur un disque Cd facilement disponible de MLF

"La Visite" est une chanson écrite par Brassens, elle est d'abord sorti chantée par Bertola puis dans une intégrale, en guise de bonus, chanté par Brassens, mais ce n'est en aucun cas une chanson de Maxime le Forestier et je ne comprend pas bien en quoi elle est une suite à la supplique. Balouk 27 mai 2007 à 12:55 (CEST)

Il existe bien une chanson de Maxime le Forestier nommée "la visite" qui décrit une visite au cimetière de Sète. Il ne cite pas le nom de Brassens, mais les références sont claires ("l'ombre de ta croix n'a pas bougé d'un poil"). Elle est crédité, sur son site officiel, à lui mème et Joël Favreau --Madlozoz 25 août 2007 à 03:39 (CEST)

[modifier] Brassens et l'église

"Le clergé français était partagé sur les oeuvres de Brassens : en matière de valeurs et de sensibilité (Chanson pour l'Auvergnat, La prière), le chanteur avait une excellente image, mais son côté profane, et parfois même, bien que sans méchanceté, blasphémateur gênait. Deux émules d'inspiration catholique se présentèrent sur les scènes, le Père Duval et le Père Cocagnac. Bon prince, Brassens mentionnera le premier sur sa chanson Trompettes de la renommée :

Le ciel en soit loué, je vis en bonne entente
Avec le Pèr' Duval, la calotte chantante
Lui, le cathéchumène, et moi l'émergumène
Il me laisse dire « merde ! », je lui laisse dire « amen ! » "

Je voudrais discuter sur la pertinence de ces quelques lignes.
Premièrement, je trouve qu'elles font mentir la citation. En effet, elles disent "bon prince, Brassens mentionnera le premier dans une de ses chansons", mais le "bon prince" me paraît un peu exageré, car la suite de la chanson n'est pas aussi sympa que le laisse entendre ces 4 lignes :
"En accord avec lui, dois-je écrir' dans la presse
Qu'un soir je l'ai surpris aux genoux d' ma maîtresse,
Chantant la mélopé' d'une voix qui susurre,
Tandis qu'ell' lui cherchait des poux dans la tonsure ?"
Je trouve donc que la citation est mal utilisée.
Deuxièment, ce paragraphe n'a absolument rien à faire dans la discographie, je comprends que l'auteur ait voulu mettre une information qui ne se trouvait pas encore sur la page, mais mettre ainsi des petits paragraphes esseulés dans des parties du textes qui n'on aucun rapport donne juste, à mon avis, un aspect brouillon et confus à la page et n'en aide pas la compréhension.
Je voudrais donc supprimer ces quelques lignes, merci de me dire si vous êtes d'accord ou pas. Balouk

Je supprimes les dites lignes, si quelqu'un a une objection qu'il se fasse entendre, on peut toujours retrouver la citation grâce à l'historique. 09/03/06 Balouk

[modifier] Citation

« Pour remédier à cela, un seul moyen. Se grouper dans la rue et démontrer à ces immondices de la Chambre des députés que le peuple ne consent plus à se laisser subjuguer sans résistance. Manifester. C'est tellement facile. Le peuple est le plus fort. Les forces armées et la police ne pourraient rien contre lui [?]. Être dominés par des hommes serait une chose insupportable. Pouvons-nous persister à nous laisser dominer par des impuretés, des matières excrémentielles ! »
Georges Brassens, Le libertaire.
Je supprime cette citation car le "cela" de "Pour remédier à cela" ne se rapporte à rien, la citation est donc incompréhensible.
Si quelqu'un a une objection qu'il se fasse entendre, on peut toujours retrouver la citation grâce à l'historique.
Je redirige l'autre citation vers la page Brassens de wikiquote. 08/03/06 Balouk


[modifier] Hagiographie

Cet article ressemble plus à une hafiographie qu'à un article encyclopédique. Je pense qu'il faut le reprendre. CdC 4 mai 2006 à 12:10 (CEST)

Pourrais-tu développer un peu ? Balouk 5 mai 2006 à 07:48 (CEST)

[modifier] Renée Claude

Elle conçut également, non moins touchant, un album double consacré cette fois à Léo Ferré : On a marché sur l'amour : Renée Claude chante Léo Ferré (1994).
Désolé, ceci n'a rien à faire avec l'article sur GB, même si c'est touchant. Je zappe et pourtant j'adore Léo, c'est extra ! ℍenry, encyclophile (Jaser !) 21 juin 2006 à 23:22 (CEST)

[modifier] Jean Bertola

Pourquoi n'est-il fait nulle part mention de Jean Bertola dans la vie de Brassens ? Pourtant l'article sur Bertola précise qu'il était "interprète de Georges Brassens dont il était un proche" en plus d'avoir enregistré ses dernières chansons... --Fabricebaro 17 juillet 2006 à 21:10 (CEST)

[modifier] Coliques néphrétiques

L'article ne mentionne pas ses ennuis de santé, c.a.d. ses coliques néphrétiques. Elles sont pourtant à la sources de 2 chansons : Le bulletin de santé, suite aux supputations des journalistes, et L'épave, à la suite d'un évanouissement dans la rue. blabla d'M-le-mot-dit 3 novembre 2006 à 11:29 (CET)

ben au boulot les mecs... saXon 3 novembre 2006 à 15:24 (CET)


[modifier] Brassens, la mort, les femmes

La mort (les 4 z'arts, supplique pour être enterré...), autant que les femmes (la femme adultère, la fessée...), sont deux thèmes, voire deux franches obsessions, très importants chez Brassens. Ne pourrait-on faire un chapitre spécial la dessus ? --ZN 2 juin 2007 à 14:19 (CEST)

C'est à dire que normalement, quand on devient chanteur, c'est pour assouvir plus facilement son obsession des femmes. Alors à part pour dire qu'il n'était pas homosexuel (ce que la chanson "se faire enculer" contredit d'ailleurs un peu), c'est pas une grande information. --Madlozoz 25 août 2007 à 03:45 (CEST)

[modifier] référence à donner

Je mets le § ci-dessous ici dans l'attente de référence. (Je n'ai rien touvé dans wiki en: dans les discographies des interprètes concernés)

  • 1998 : My Own Road, a tribute to G.Brassens des americains (Slaughter, Jefferson Starchhip, Young MC, Zen cowboys) revisitent les chansons de Brassens.

Cordialement En passant 13 juillet 2007 à 22:33 (CEST)

[modifier] Séjour chez Jeanne

Citations de l'article:

En mars 1943, Brassens est réquisitionné pour le STO [...] Un an exactement après son arrivée à Basdorf, il obtient une permission de dix jours. Il est clair pour lui comme pour ses nouveaux amis qu'il ne reviendra pas en Allemagne. À Paris, il doit trouver une planque, mais Brassens qui y a mené une vie extrêmement solitaire ne connaît presque personne (il ne fréquentait qu'un ami qui l'avait suivi de Sète et quelques filles avec qui il a vécu ses premières amours). Finalement Jeanne Planche vient à son aide et lui propose de l'héberger aussi longtemps qu'il le faudra.
[...]
Brassens se sent de plus en plus à l'étroit chez Marcel et Jeanne, à qui il avait offert leur logement de l'impasse Florimond en 1955, et ne veut plus les déranger (Jeanne a 67 ans) après 25 années de cohabitation. En 1958, il achète une propriété à Crespières dans les Yvelines, le moulin de la Bonde.

Je ne vois pas comment il peut avoir cohabité 25 ans avec Jeanne et son mari entre 1943 et 1955 (ou 58). Je n'ai malheureusement pas d'informations supplémentaires sur les dates donc je ne peux pas corriger moi-même, mais je pense qu'il y a une incohérence. --Gargamel 30 juillet 2007 à 14:40 (CEST)

[modifier] Refonte de la discographie

L'« intégrale » de ses œuvres
Albums parus de son vivant
(i.e. à partir de 1964 pour les 30 cm originaux, et à partir de 1965 pour les rééditions en 30 cm des premiers enregistrements)

L'intitulé et la suite de cette rubrique ont été supprimés.
Pourquoi mélanger les rééditions de 1965 avec les 30 cm originaux parus de 1964 à 1976 ? Cette solution bâtarde occulte l’historique de la discographie de Brassens et fait l’impasse sur ses 9 premiers disques 25 cm.
La correction apportée ouvre maintenant la discographie sur la chronologie et la composition des 14 enregistrements originaux.
Quant à ces rééditions de 1965, elles font partie d'une série de 12 disques qui est en fait, la première intégrale — sans guillemets — des enregistrements studio.
Les intitulés exacts de ces 12 albums ont d'ailleurs été utilisés pour des liens inter wiki. Ces 12 liens sont, bien entendu, conservés dans la rubrique concernée nommée : intégrale, et placée juste après la liste des enregistrements studio, avec une brève intro. Lézard (d) 2 janvier 2008 à 17:07 (CET)

[modifier] Suppression de la section Aujourd'hui

Lui qui avait comme modèle de réussite Paul Misraki, parce qu'il était chanté partout sans être connu du grand public, ne se doutait pas qu'un jour il accéderait à la renommée internationale. On lui a consacré aujourd'hui plus de cinquante thèses, on le chante partout : au Japon, en Russie, en Amérique (où il possède même un fan club !), en Italie, en Espagne, etc. Au total, il est traduit dans une vingtaine de langues.
De nombreux chanteurs ont interprété des traductions de ses textes, notamment Graeme Allwright en anglais, Sam Alpha en créole, Paco Ibáñez en espagnol, Fabrizio De André en italien, Nanni Svampa en milanais, Yossi Banai en hébreu ou encore Jacques Yvart en espéranto.
Plusieurs tentatives ont été faites en allemand On doit citer en premier lieu Franz Josef Degenhardt qui fut qualifié (exagérément) de « Brassens allemand » et qui enregistra un album dont les traductions contiennent principalement le message social sans la composante lyrique. Plus fidèle à l'ambition littéraire de Brassens sont les traductions de Ralf Tauchmann (voir lien ext.) (ce lien n'existe plus) et celles de Didier Caesar du Duo belgo-franco-allemand Stéphane & Didier.
Il existe actuellement une association internationale des amateurs de Georges Brassens. En Allemagne, une association appelée "Brassens in Basdorf" a été créée en 2004. Elle organise des festivals en septembre à Berlin et à Basdorf (20km au nord), où Brassens fut déporté au STO (Service du Travail Obligatoire) et où il composa ses premières chansons. Brassens a composé au total environ 250 chansons, dont il n'a enregistré que 200. Les cinquante restantes sont restées inachevées. Le bel album « hommage » de Renée Claude, grande dame de la chanson québécoise : J'ai rendez-vous avec vous (1993).

Cette section était redondante en regard de la liste des albums cités dans les sous-sections précédentes. À cette occasion, certains jugements disparaissent et les anecdotes sont reportées dans la section qui leur est destinées ou dans les Notes. Lézard (d) 23 janvier 2008 à 17:22 (CET)