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Définition : ORBS

Encours de creation avec Images

Pour ma part je la définie comme suit : A.P.N.A

( Artéfact Photographique Numérique ou Argentique )


Définition : Artefact

¨ Phénomène d’origine artificielle ou accidentelle rencontré au cours d’une expérience ou d’une observation concernant des faits naturels


Qui n’a pas fait des photos qui dévoilent des artefacts sur les prises de vue. Cela peut être causé par plusieurs évènements. Il peut s’agir soit d’un défaut du à l’optique, poussière en sustentation devant l’objectif, ou prise de vue sous la pluie. Mais voilà, il y a des fois où tous ses évènements ne correspondent pas avec la réalité et là on se trouve devant une énigme.

Le but de ce dossier est non pas de prouver de façon catégorique que le phénomène ORBS (APNA) existe bien mais de trouver une approche à ce phénomène qui peut être aboutira à une solution proche de la réalité.


Nous allons tout d’abord faire un cours très bref sur la photographie et sur l’optique puis nous essaieront de détailler le phénomène et nous ferons des comparaisons puis un classement qui sera très intéressant pour arriver à une solution que chacun pourra interpréter. Le but net n’est pas d’imposer ma théorie mais de trouver ensemble quelque chose qui éclaircira ce mystère par votre approche et aussi vos propres convictions.

Le flash est une source de lumière artificielle, qui aux origines de la photographie était produite par la combustion de magnésium dans une atmosphère d'oxygène : c'était le flash magnésique, ou flash-bulbs. Le flash électronique équipe désormais la plupart des appareils photo. L'éclair est produit par la formation d'un arc électrique, provoquée par la décharge d'un condensateur dans une ampoule remplie de xénon. Cet éclair est très bref, entre 1/1000 et 1/30000 de seconde, et il produit une lumière équivalente à la lumière du jour (entre 5000 et 6000 K), quoiqu’un peu plus bleutée.

LES YEUX ROUGES :

Les fameuses tâches rouges qui font passer les personnages pour des lapins russes ne sont que "la lueur pupillaire" des yeux. En éclairant le fond de l'œil, le flash dévoile la coloration rouge de la rétine, zone fortement irriguée par de très nombreux vaisseaux sanguins. Donc plus la pupille est dilatée, plus le phénomène des yeux rouges se manifeste. C'est précisément dans l'obscurité où le flash est indispensable que la pupille est la plus dilatée. Si l'angle alpha est faible, inférieur à 2,5 ° le phénomène se produit. Si l'angle dépasse 2,5 °, le flash éclaire une zone du fond de l'œil qui n'est pas vue par l'objectif. Le phénomène n'a donc pas lieu. Pour éviter à coup sûr de faire des photos d'albinos, placer le flash à 15 cm au moins de l'objectif. Les dispositifs "anti-yeux rouges" des appareils compacts et des flashs intégrés des reflex utilisent un artifice (un de plus). Ils contraignent le sujet à fermer les pupilles en envoyant un ou plusieurs pré-éclairs. L'efficacité n'est pas totale et les pré-éclairs consomment une énergie dont on ne dispose plus pour l'éclair principal.


STROBOSCOPE :

Les flashs évolués comportent un dispositif permettant d'émettre non pas un éclair, mais plusieurs dont on peut régler : - la puissance: 1/8 1/16 /1/32 - le nombre d'éclairs : de 2 à 10 - la fréquence ou nombre d'éclairs par seconde : de 2 à 20 Pour profiter de cette possibilité, il faut bien sûr adopter un temps de pose de 1 seconde, l'appareil étant sur pied. Vous pouvez grâce à cela décomposer le mouvement d'un sujet tel que : - une danseuse - un animal bondissant de son gîte - une machine en mouvement… La pose étant d'une seconde et la puissance de l'éclair réduite, il faudra travailler dans la pénombre, sur fond noir ou mieux dans l'obscurité pour qu'aucune lumière ne vienne altérer la succession des images stroboscopiques

L’UTILISATION D’UN STROBOSCOPE :

Après plusieurs essais nous nous sommes aperçus que cette méthode pouvait être de très grande utilité pour la capture d’ORBS ( APNA ), en couplant un ordinateur à une webcam ou caméra numérique et en synchronisant la vitesse du FLASH par rapport à la vitesse 25 images/s. Nous allons sûrement et d’après les essais effectués, prouver le déplacement et aussi la vitesse du phénomène qui sera calculée par rapport à la focale de l’objectif de la caméra Watec (WAT-120N) que nous espérons acquérir prochainement (http://www.axos.eu/lang-fr/index.php )

LA PHOTOGRAPHIE ARGENTIQUE :

La photographie argentique est une technique photographique permettant l'obtention d'une photographie via l'exposition d'un film (ou pellicule) sensible à la lumière puis le développement et le tirage (agrandissement sur papier) de ce dernier. L'image inscrite sur le film étant une reproduction analogue à ce qui a été photographié, on parle aussi de photographie analogique (à l'opposé de la photographie numérique, où l'image est codée sous forme binaire, c'est-à-dire sous forme abstraite).


TECHNOLOGIE :

La pellicule est constituée d'un film support en plastique, recouvert d'une émulsion : c'est une couche de gélatine sur laquelle sont couchés en suspension des cristaux d'halogénure d'argent ; pour les émulsions modernes il s'agit de bromure d'argent (AgBr).


Chaque cristal est formé de plus d'un milliard d'ions d'argent (Ag+) et d'ions brome (Br-) organisés en un réseau cubique.


Lors de l'exposition à la lumière, une image latente se forme :


  • une pluie de photons, provenant de la partie éclairée du sujet s'écrase sur la pellicule ;
  • pour chaque photon absorbé, se forme une paire électron-trou d'électron : un électron se libère du réseau et va être capté par un ion Ag+.
  • Cet ion Ag+ est réduit, c'est-à-dire qu'il se transforme en un atome d'argent qui est exclu du réseau cristallin.


Pour chaque cristal, selon l'intensité lumineuse de la partie du sujet qu'il décrit, de zéro à une dizaine d'atomes se forment. Ces atomes ont tendance à s'agglutiner pour former un « agrégat » ou « cluster ».


Pour les émulsions actuelles, seuls les cristaux contenant au moins trois atomes d'argent pourront être réduits lors du développement photographique, en particules noires visibles par l'œil humain (les grains d'argent : voir Granularité). Le développement est un phénomène d'accélération de la réduction des ions Ag+ en atomes d'argent : les cristaux contenant un agrégat ayant un potentiel électrique supérieur à celui du révélateur, c'est-à-dire un agrégat de trois atomes ou plus, vont attirer les électrons du révélateur vers les ions du cristal, qui vont finir par tous être réduits. En revanche, les autres cristaux n'atteignant pas la masse critique de 3 atomes en agrégat rendent des électrons au révélateur et se transforment en ions invisibles. Ces ions seront ensuite dispersés lors d'une phase de lavage et de fixage. C'est la gélatine qui isole les cristaux les uns des autres et leur permet de réagir individuellement.


A cause d'un phénomène de recombinaison rapide de la paire électron trou sans effet chimique, et de l'oxydation par le trou de certains atomes d'argent provisoirement formés, le rendement de la réaction de formation initiale des atomes d'argent est de 0,20 atome par photon. Il faut donc 15 photons pour produire les 3 atomes d'argent nécessaires à la formation des grains lors du développement. D'un point de vue macro, on peut donc constater que 80% de la lumière qui arrive sur la pellicule est non assimilée.


Une publication de décembre 1999, dans la revue Nature par Jacqueline BELLONI, Mona TREGUER, Hynd REMITA et René de KEYSER montre qu'on peut décupler le rendement de cette réaction en incorporant dans l'émulsion du formiate d'argent (HCO2- + Ag+), qui agit comme un « piège à trou », c'est-à-dire un inhibiteur des phénomènes compétitifs qui limitent habituellement le rendement de la réaction. La société de chimie Agfa est détentrice de brevets déposés à la suite de cette découverte, mais aucune application commerciale de cette dernière n'est apparue sur le marché.




LA PHOTOGRAPHIE NUMERIQUE :

Un système numérique est un système qui utilise les nombres, bien souvent le système binaire, afin d’acquérir, de traiter, de transmettre, de stocker ou d’afficher des informations (ou données), plutôt qu’un spectre continu de valeurs (un système analogique) ou de symboles non numériques tels que des lettres ou des icônes.


La différenciation entre « numérique » et « analogique » (ou « symbolique ») peut entendre le moyen de saisie des données, le stockage et transfert des données, le fonctionnement interne de l’appareil, ou le type d’affichage.




LES BRUITS ET LE NUMERIQUE :

Lorsque des données sont transmises, un certain niveau de bruit entre dans le signal. Ceci peut résulter d’une myriade de causes :

Les données transmises par la radio (ondes électromagnétiques) peuvent être mal reçues, ou souffrir d’interférences résultant d’autres sources de radio, ou bien des bruits de fond issus du reste de l’univers se mélangent au signal d'origine.

Les pulsations électriques envoyées au travers de fils sont atténuées par la résistance des fils et dispersées par sa capacitance ; ces fils sont soumis à des champs électromagnétiques qui induisent des courants parasites.

Les variations de température, d'hygrométrie, etc., peuvent augmenter ou diminuer ces effets.


Un signal analogique arrive fatalement déformé, parfois complètement distordu, à son destinataire.

Bien que les transmissions numériques subissent également des dégradations, les modifications resteront suffisamment minimes pour être négligeables ; en effet toutes les variations seront éliminées à la réception, une valeur du signal sera interprétée comme la valeur la plus proche possible.



APRES CES DEFINITIONS, NOUS ALLONS VOIR LA METHODE POUR PHOTOGRAPHIER CE PHENOMENE :

Le Flash : il va être utilisé pour obtenir des vitesses de prises de vue et non pas pour obtenir un éclairage d’appoint. Pour vous expliquer cela nous allons faire une expérience.


Comment photographier un projectile lancé à très grande vitesse en direction d’un obstacle ? (plaque de verre). Ici on utilise la vitesse d’obturation, la plus élevée, de l’appareil numérique ou argentique. Nous photographierons uniquement la scène mais sans détail et projection de particule.


Maintenant, utilisons le Flash couplé à l’appareil photographique. Mais je vais rajouter un petit système un détecteur audio d’impact et je vais éteindre toutes les lumières. Je tiens à rappeler que tout le matériel est en position de prises de vue et le tout dans une pièce parfaitement obscure.

Je vais mettre mon appareil en mode pose et pleine ouverture (diaphragme ouvert en grand).


Je lance le projectile en direction de la cible, que va-t-il se passer ? Le projectile percute la vitre ce qui entraîne une onde de choc qui elle-même va être captée par le détecteur audio, celui-ci déclenche le flash la prise de vue est obtenue à une vitesse proche de celle de la vitesse de la lumière 1/20 000 ou 1/30 000 seconde.

Maintenant, revenons sur notre phénomène. Si nous utilisons le système anti-yeux rouges, nous ne photographierons rien du tout. Pourquoi ?

Avant la prise de vue, un signal lumineux apparaît et déclenche, en décalé, le flash, ce qui permet à la rétine de se fermer et d’empêcher ainsi l’éclairement du fond de l’œil. Mais voilà, la vitesse n’est pas obtenue donc aucune photo de phénomène.


Maintenant, nous allons utiliser le flash en mode direct. La vitesse est alors presque avoisinante de celle de la lumière pour des scènes prises dans l’obscurité et, pour celles prises de jour, nous fixerons l’instant présent et obtiendrons aussi des vitesses énormes (à essayer sur une cascade ou fontaine. Vous fixerez les gouttes d’eau. Je le conseille pour vos prises de vue extérieures).


Par déduction, les ORBS ou ( APNA ) sont présents dans notre environnement : pourquoi sont-ils invisibles ? Je crois qu’ils n’utilisent pas le même «  Temps ou dimension ». Imaginons que nous soyons en parfaite synchronisation dans leur espace-temps, alors nous ferions partie intégrante de leur espace.


La découverte que nous avons faite est de comparer tous les phénomènes, de les classer, et de les analyser par des moyens que seule l’informatique peut résoudre.

Il existe plusieurs formes d' ORBS (traduit de l’anglais : mot neutre è ORBS = GLOBES). 1 - les sphères (translucides - opaques - lumineuses). 2 - les formes en 3D que nous photographions à la Sainte-Baume ( Département du VAR). 3 - les formes voilées, comme nuages.

Nous nous sommes aussi aperçus, que les ORBS ne vont que dans un sens, de bas en haut (voir traînées d' ORBS).

Je suis astronome amateur et spécialisé dans le traitement d'image CCD. J’ai utilisé des programmes de traitement d’images astronomiques comme IRIS et autres. Je me suis aperçu de la même mesure de taille dans l'enveloppe des sphères (circonférences) même mesure d'angle par rapport à la focale de l'objectif.

Pour l'instant, je dispose de 5 hypothèses :


1- extraterrestre (qui vient d’une autre planète non pas petit homme vert ou autres) 2- ce que l'on appelle petit peuple de la nature ( fées, korrigans, et autres...) 3- vu la vitesse du flash de 1/10 000 a 1/30 000 seconde ( dimension autre que la nôtre par rapport au temps) 4- vie après la mort ( âme errante , entité , phénomène spirite ) voir similitude avec les photos sur les personnes : les ORBS photographiés se trouvent à l'aplomb de la fontanelle.


Ceci n’engage que moi :

(En ce qui concerne le quatrième cas, voir les vitraux d'églises ou les divinités égyptiennes, qui ont, sur leur tête, une sphère).


5 - autre chose que nous arriverons peut être, à expliquer dans un futur avenir, et par d’autres moyens que notre science actuelle.

Nous sommes sur un sujet qui, je l'espère, devrait faire du bruit dans le domaine de la science.


Je rappelle qu'au début de la photo argentique les spirites ont fait des tests pour essayer de photographier les âmes (les deux choses sont peut être liées).

La recherche est ouverte, c’est pour cela que nous faisons appel à tous.


Si vous aussi, vous faites des recherches sur ce genre de phénomène, pouvez-vous m'en faire part ?

Je vous joins aussi les détails de l’association qui a pour but de créer des antennes en France et en Europe sur tous les phénomènes scientifiques inexpliqués. Par le biais de cette association vous pouvez créer votre propre cellule de recherche

Jean noël DEGAIN Président du G.E.E.S.A

Conclusion :


Les ORBS sont identiques et ont les mêmes proportions. Ils disposent d’une enveloppe identique et ont ainsi la même épaisseur, d’où une forme géométrique en 3 dimensions (Sphérique).


Je tiens à rappeler que pour ces tests, nous avons pris des images de comparaison (Artefact, goutte de pluie, poussières, et particules en mouvement).

Nous n’avons trouvé aucun rapport ni comparaison avec les photos d’ORBS.



Voici résumé le résultat de plusieurs mois de travail


Mais l’enquête continue……


http://g.e.e.s.a.france.free.fr/


L’équipe du G.E.E.S.A


g.e.e.s.a.france@gmail.com