Discuter:Franc-maçonnerie au Québec

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Sommaire

[modifier] Liste de célébrités problématique

Je vais procéder à un certain nombre de suppressions dans cette "liste de célébrités québécoises franc-maçonnes" qui n'ose pas vraiment dire son nom. Mes suppressions concerneront, conformément aux règles et usages de wikipédia:

  • Les liens rouges (si une "célébrité" est célèbre, elle a droit à une page dédiée dans Wikipédié, et il faut commencer par créer cette page).
  • Les entrées concernant des personnes vivantes et ne mentionnant aucune source vérifiable permettant de vérifier l'information.

Cordialement
--Christophe Dioux 20 juin 2007 à 11:26 (CEST)

Plusieurs noms proviennent en réalité des articles écrits dans le Le Devoir par le chef occulte J.Z. Léon Patenaude. Il sera possible de les rajouter lorsqu'une bibliographie correcte est établie. ADM

[modifier] Problème de neutralité

L'historique de cette page montre clairement qu'elle a été rédigée à des fins de propagande antimaçonnique et qu'un très important travail de neutralisation reste à fournir. Je note par exemple cette phrase emblématique de la pensée de son auteur:
« Monseigneur Ignace Bourget est reconnu pour sa lutte contre les franc-maçons, plusieurs loges ayant dû être fermées grâce à lui. »
Mort de rire
Je ne la modifierai pas moi-même, tant je trouve amusant et instructif cet aveu de partialité! Sourire
Je m'interroge également au passage sur le fait que la présente page de discussion ait été précédemment supprimée au lieu d'être simplement archivée, comme on le fait habituellement. Mais puisqu'un administrateur (lequel?) a agit ainsi, je veux croire qu'il avait une bonne raison, conforme aux principes wikipédiens, de le faire.
Bien sincèrement.
--Christophe Dioux 20 juin 2007 à 12:20 (CEST)


[modifier] Franc-maçonnerie au Canada

Bonjour,

Il serait préférable, à mon avis, d'enrichir en premier lieu l'article Franc-maçonnerie_au_Canada en y intégrant les différentes provinces. Parce que dans la majorité des cas la référence historique est canadienne. Par exemple a Montréal, la loge Mont Moriah no. 24 est toujours rattachée a la Grande Loge de Prince-Hall en Ontario.

Déclic.

24 juin 2007 à 19:53 (CEST)

[modifier] Historique des loges francophones au Québec

Historique des sociétés secrètes au Québec

(incluant les commentaires de Nenki) 1759 Le général Franc-maçon Montcalm cède la Nouvelle-France au général franc-maçon Wolfe (1) lors de la bataille stratégique la plus brève de l'Histoire (15 minutes).Auparavant, Montcalm avait expédié des officiers de valeur, les chevalier de Lévis (lui-aussi franc-maçon) et de Bougainville, loin de Québec. De même, il tassa le gouverneur de Vaudreuil. Les défenses des falaises furent dégarnies pour renforcer celles de Charlesbourg sur ordre de Montcalm. Les Tuniques Rouges pouvaient escalader à leur gré la falaise. Une fois sur la plaine, Montcalm aurait pu s'abstenir d'une sortie et attendre les renforts en défendant les remparts. C'est ce que firent les Anglais suite à la débâcle de Sainte-Foy l'année suivante. Aussitôt après la défaite, des loges militaires anglaises commencent à initier parmis les vaincus, vieille tactique coloniale qui se répète partout ailleur dans l'empire britannique... 1764, Dès le premier numéro du premier journal The Quebec Gazette/La Gazette de Québec, une annonce attire l'attention. Le 21 juin 1764, on invite les lecteurs à participer à la fête maçonnique de la Saint-Jean d'été. Pour 5 shillings, on peut se procurer des tickets chez le Frère Prentice. C'est ainsi que la Merchant's Lodge «recrute» alors des membres. On sait l'importance que prend la franc-maçonnerie au Québec dès les lendemains de Conquête et le rôle qu'y joueront bientôt les Canadiens. (2) 1771, le supérieur des Sulpiciens et seigneur de Montréal, Étienne Montgolfier, révèle la présence à Montréal d'un important groupe de francs-maçons francophones : Nous avons un grand nombre de Francs-maçons dans cette ville. Il y en avait quelques-uns, mais en petit nombre et cachés, sous le gouvernement français. Plusieurs de nos négociants ayant passé en France au temps de la révolution [c'est-à-dire au lendemain de la Conquête] pour y arranger leurs affaires, s'y s'ont laissé séduire. La liberté du gouvernement présent leur laisse celle de se manifester; et plusieurs ne craignent pas de le faire. (3) 1763-1791, Deux loges de francs-maçons francophones se distingent: la loge St Peter's No 4, composée d'anglophones et de membres de la noblesse francophone. Cette loge sera par sa composition plutôt conservatrice au plan politique. La seconde loge est celle des frères du Canada dont les membres proviennent de la bourgeoisie. Les frères du Canada souscrivent aux buts que poursuivent, à l'époque, les esprits démocrates mais sans avoir jamais remis en cause le lien colonial. Ils annoncent le mouvement des patriotes puis celui des réformistes des débuts de l'Union. Comme quoi les origines du gouvernement responsable sont lointaines. Ainsi ont-ils soutenu ce que le siècle a apporté d'essentiel sur le plan politique. (4) 1812: Conséquence du nombre grandissant de francophones dans la franc-maçonnerie, le médecin et député Claude Dénéchau est nommé Grand Maître provincial. Or les anglais fulminent et les Molson, Mcgill et autres riches anglais se retranchent dans la loge St-Paul (loge qui existe toujours et qui demeure directement dépendante de la grande loge d'angleterre encore en 2008). Minoritaires au Bas-Canada, les anglais craignent la perte de pouvoir, et ce bien que Dénéchau fut leur allié et un adversaire du parti patriote. Les membres de la loge St-Paul contrôlaient aussi le conseil législatif, une assemblée non-élue qui avait à l'époque le dernier mot en matière de lois. Parallèlement, la société Saint-Jean Baptiste voit le jour. Cette société était à l'origine maçonnique, politique et révolutionaire.(5) Louis-Joseph Papineau aurait été initié en France (6). Outre sa signature maçonnique, il entretenait aussi une corespondance avec le GODF(7) (selon le musée du Grand Orient). Ludger Duvernay était lui-aussi un FM et les Patriotes de 1837-39 étaient membres de la société secrète des Frères Chasseurs (8). Après la répression de 1837/39 ( et non rébéllion car ce sont les anglais qui ont tiré les premiers), l'église décide d'investir la SSJB pour en évacuer tout l'aspect maçonnique et révolutionaire. On en profite aussi pour faire de la St-Jean un fête religieuse, ce qu'elle n'avait jamais été avant. Le clergé voit ainsi son pouvoir augmenter drastiquement. Un mouvement ultra-conservateur, les ultra-montains voit le jour. Ce mouvement fait la chasse aux francs-maçons mais uniquement francophones ce qui a pour conséquence de laisser le champs libre aux anglophones dans la grande loge et de diviser les québécois entre ultra-montains et libéraux...

Après cet épisode, Londres envoit au Québec John George Lambton (lord Durham) qui était alors le Grand Maître de la Grande Loge d'Angleterre (9). Il propose la collaboration aux anciens rebelles en échange de postes importants pour ces derniers. Un pacte est ainsi conclu: on donne au Québec une forme de gouvernement responsable dans le cadre d'une nouvelle confédération canadienne (10). Le mot-clef ici est "CADRE". Ce nouveau palier de gouvernement pan-canadien prend en quelques sorte le relais du défunt conseil législatif en tant qu'intrument de contrôle mais d'une manière plus subtile... Entre temps, En 1844 fut fondé à Montréal l'institut canadien, dont un des président, Rodolphe Laflamme, avait été initié à la loge Jacques-Cartier de Montréal. Cet institut canadien donnera ensuite naissance à une importante loge francophone, soit la loge "Coeurs-Unis" #45 en 1870. Les premières assemblées de "Coeurs-Unis" eurent même lieux dans les locaux de l'institut canadien. L'allumage des feux de cette loge avoisine la date de création de la confédération canadienne. Le but de cette loge était il de fournir des politiciens francophones fidèles à la couronne britannique? Quoi qu'il en soit, nous savons maintenant que le premier ministre du Québec en 1873, Gédéon OUIMET (11), était aussi vénérable maître des "Coeurs-Unis". Fait assez remarquable compte tenu qu'il était un conservateur et un ultra-montain et donc un allié de Mgr Bourget, ennemi farouche de la franc-maçonnerie... Cette loge "Coeurs-Unis" (qui existe toujours) donnera ensuite naissance en 1896 à la Loge Émancipation, rattachée au GODF. Cette loge comptait parmis ses membres plusieurs personnalités importantes, dont le directeur du quotidien la Patrie et ancien maire de Montréal, Honoré Beaugrand, Godfroy Langlois député libéral et fondateur du journal le Pays ainsi que Gustave Francq, figure marquante du syndicalisme, precurseur de la FTQ et membre notable du parti libéral. Nommé haut fonctionnaire de l'État québécois par les gouvernements libéraux de Taschereau et de Godbout entre 1923 et 1944 , Francq s'opposera à Duplessis de 1937 à 1939 (12). Suite aux pressions religieuses de l'époque, l'Émancipation cessa ses activités vers 1910 pour ensuite changer son nom pour "Force et Courage". Cette loge, mieux organisée et plus discrète sera active jusqu'au début de la seconde guerre mondiale où elle sera alors mise en sommeil suite à L'Occupation de la France. Entretemps, selon les recherches de J-Z Léon Patenaude, une loge Papineau #34 aurait aussi été active et l'un de ses officiers était le docteur Gaston Maillet, ancien membre des loges émancipation et force et courage (7). La petite fille du Dr. Maillet, la romancière Andrée Maillet a quant à elle été membre en 1943 de la loge des frères chasseurs avec Pierre Elliot Trudeau...Cette loge des frères chasseurs fut aussi à l'origine de la création de la Ligue pour la Défense du Canada, du Bloc Populaire et de son journal (13). En 1926, l'ordre de Jacques Cartier voit le jour. Mieux connue sous le nom de "Patente", elle aurait été fondée par un franc-maçon (14) selon le chef maçonnique J-Z Léon Patenaude qui était lui-même un des membres les plus en vu de cet ordre (15). Le but de cette société secrète était de défendre les intérets des francophones catholiques notamment dans la fonction publique fédérale qui était alors dominée par des orangistes anti-francophones. L'église réalise l'erreur de l'ulta-montisme et encouragera fortement l'OJC. Cependant, les francs-maçons réguliers francophones tels que Jean-Charles Harvey se sont ouvertement opposé à L'OJC...

Les membres de la Patente venaient de tous les milieux et de toutes les classes de la société canadienne-française, plusieurs appartenaient à des partis politiques comme l'Union nationale, le Bloc populaire, le Crédit social ou à l'Action libérale nationale. L'Ordre était d'une neutralité politique absolue, et apolitique sur le choix de ses membres d'appartenir ou non à une formation politique. C'est ainsi que l'on retrouvera dans les années 40, plusieurs hommes politiques du Parti libéral (députés, sénateurs). L'adoption du fleurdelisé comme drapeau officiel du Québec en 1948 fut aussi l'oeuvre de la Patente.(16) Plusieurs personnages important ont été membres de la patente: Jean Drapeau, maire de Montréal (et plus tard médaillé du GODF), André Laurendeau (qui mena la lutte contre Duplessis au journal Le Devoir en autres), ainsi que Bernard Landry et Jacques Parizeau, tous deux futur PM du Québec...(17)

1960 élection des libéraux de Jean lesage. Début de la "révolution tranquille" qui réalisera plusieurs des demandes de la loge Émancipation de 1896, notamment au niveau de l'enseignement. (18) 1961, rencontre secrète du groupe Bilderberg à St Castin. En 1963 J-Z Léon Patenaude se fait initier à la loge "L'Étoile Polaire" du GODF et fonde la même année la Ligue des droits de l’Homme (maintenant la Ligue des droits et libertés), un paravent maçonnique avec comme membres: Bernard Landry, Pierre-Elliot Trudeau ainsi que le journaliste, romancier et FM notoire Jean-Charles Harvey (1), (19). La même année verra aussi le jour un autre groupe important qui servira de facade à la franc-maçonnerie: le Mouvement Laïque de langue Française (MLF). Parmis les fondateurs, notons: Jacques Godbout, écrivain et cinéaste et le Dr Jacques R. Mackay, psychiatre. Le MLF est une filliale de la Ligue Française de l'enseignement, un organe du GODF (20)... Toujours en 1963, le dirigeant de la grande loge du Québec se déclare "très satisfait du climat de détente que le cardinal Léger (membre de L'OJC) et Jean XXIII ont établi à l'égard de la franc-maçonnerie" , dans une entrevue accordée au journal La Presse, le 16 novembre 1963.

Pourquoi toute cette activité maçonnique précisément à cette date? L'OCDE produit un rapport cette année là qui sert de base aux "réformes scolaires" qui auront lieu par la suite dans tous les pays industrialisés. Ici, au Québec, cette réforme coïncide avec la création du ministère de l'éducation (21). Il s'agit d'une énorme victoire pour la franc-maçonnerie qui enlève ainsi le contrôle de l'enseignement à l'Église catholique... 1965, L'ordre de Jacques-Cartier cesse officiellement ses activités. On prétextera une dispute entre les éléments fédéralistes et indépendantistes pour justifier le sabordement de l'OJC mais la vraie raison est probablement l'infiltration par le Grand Orient De France comme on l'a vu plus haut avec Patenaude. Le cas Patenaude n'est pas anodin puisqu'il était un chef maçonnique et un fondateur de loge, il n'était donc certainement pas le seul infiltrateur. De toute façon, les maçons avaient obtenus ce qu'ils voulaient avec la création du ministère de l'éducation et le reste n'était plus qu'une question de temps. Aussi il importait d'éliminer la Patente car une telle organisation catholique aurait pu causer des ennuis éventuellement à l'agenda maçonnique du GODF. La même année, Jean Lesage PM du Québec, est invité à une réunion secrète du groupe Bilderberg (22).(Rajout de Nenki: En 1966 à Weisbaden en Allemagne Ouest, Claude Ryan, (la main de Dieu, Opus Dei, Jacques Parizeau, Maurice Lamontagne, Maurice Sauvé, Jean Lesage sont invités à la réunion secrète en ces temps reculés des Bilderberg. Il ne faut pas oublier également la participation de Paul Martin sr. en 1957-'66."67, '68). Marc Lalonde en est un autre membre des Illuminati canadien-français. Stéphane Dion qui crie Eau Secour et au manque de transparence de Harper a participé à la réunion des Bilderberg en 1988 et fut le président du Conseil Privé de la Reine Élizardbeth 2. On se croirait à l'école des sorciers d'Harry Potter. Excepté que ceci n'est pas un roman fictif.) 1968, rencontre secrète du groupe Bilderberg au Mont Tremblant. 1971, le PM du Québec Robert Bourassa se rend secrètement à une rencontre du groupe Bilderberg au Vermont. Plus tard ,dans les années 70, plusieurs loges francophones voient le jour, dont la grande loge maçonnique mixte du Québec fondée par Francis Marais, un ancien vénérable maître de la loge "Coeurs-Unis" #45. Son intention était de bâtir une franc-maçonnerie mixte et francophone qui ne serait pas dirigée depuis Londres (23). Voici donc une confirmation du rôle véritable des loges de la Grande Loge du Québec...1983, rencontre secrète du groupe Bilderberg à Montebello, Québec. Pierre-Elliot Trudeau, PM du Canada en est l'hôte(24). (Rajout de Nenki: Le château des Francs Maçons célèbres pour avoir changé le cours des nations. "Au cours des quarante ans qui ont suivi son inauguration en 1930, le Fairmont Le Château Montebello a servi de domaine privé au Seigniory Club qui comptait parmi ses membres prestigieux l'ancien Premier ministre Lester B. Pearson et des dignitaires étrangers comme le Prince Rainier et la Princesse Grace de Monaco. De nombreuses rencontres historiques y ont été organisées, dont le Sommet économique de 1981 auquel ont participé des personnages politiques comme Ronald Reagan, François Mitterand, Pierre Trudeau et Margaret Thatcher.")

Entretemps, le grand Orient de France fonde aussi à Montréal une loge Montcalm. Plus tard cette loge organisera en 1985 une remise de médailles maçonnique dont les récipiendaires seront le premier ministre René Lévesque, le maire de Montréal Jean Drapeau et le sénateur Jacques Hébert(19). Cependant un schisme avec le GODF aura lieu en 1992 ce qui mènera à la création du Grand Orient du Canada et d'une nouvelle loge "Émancipation" en mémoire à la loge du même nom mentionnée plus haut (25).

Cette loge est maintenant mixte et se réuni au centre maçonnique de Montréal (3722 Notre-Dame ouest). Petite parenthèse: le chef de cette obédience, Hubert Jean Valcke, a aussi été un des dirigeant du Mouvement Laïque Québécois avec J-Z Léon Patenaude durant les années 1970 (26). Le MLQ est un autre paravent maçonnique notoire du GODF au Québec et il est le succésseur du MLF, mentionné plus haut. Plusieurs autres loges mixtes se rencontrent au 3722 Notre-Dame ouest dont la loge "Liberté" de l'obédience du "Droit Humain". Un membre notable de cette loge est Gloria Escomel, journaliste et écrivaine qui a collaborée à des publications féministes radicales telle "la vie en rose" et "la gazette des femmes" (27). De plus, la Grande Loge Féminine de France est aussi représentée ici par la loge "Mokidjiwan" ainsi que la Grande Loge de France avec sa loge Port Royal d'Acadie

  1. 1131.

Il existe une coordination certaine des activités de ces loges dites "libérales", comme le prouve une lettre commune publiée par le Journal de Montréal le 28 juillet 1992, lettre signée par ces 4 dernières obédiences. J-Z Léon Patenaude commentera d'ailleur le rôle important de ces loges mixtes et libérales, responsables selon lui du caractère de "la société distincte du Québec", dans un article du Devoir datant du 17 juin 1987. Finalement, En septembre 1999, le GODF a fondé - de nouveau- une loge à Montréal nommée "Force et Courage".

NOTES.

(1) Generals Wolfe and Montcalm, The Montreal Gazette Saturday, July

5th, 2003 Le Grand Maître du Grand Orient de France: La franc-maçonnerie n'est ennemie de l'Église que parla volonté du

Vatican La Presse - 1985-05-12. extrait de l'article: "M. J.-Z.-Léon Patenaude, qui a coordonné le programme de la visite du grand maître du Grand Orient de France au Québec et qui assiste à l'entrevue, mentionne de son côté d'autres noms: Montcalm, Lévis, Wolfe, Louis-Joseph Papineau, Arthur Buies, Honoré Beaugrand, Jean-Charles Harvey." (2)Roger Le Moine, « La franc-maçonnerie sous le régime français. État de la question », Les Cahiers des Dix, n° 44, 1989, p. 115-134 et «Francs-maçons francophones de la "Province of Quebec (1763-1791)"», Les Cahiers des Dix, n° 48, 1993, p. 87-117 (3) La franc-maçonnerie sous le régime français État de la question. ROGER LE MOINE. Cahiers des dix, 1989. (4) Francs-maçons francophones du temps de la «Province of Quebec» (1763-1791), ROGER LE MOINE, Cahiers des dix 1993 (5) entrevue radiophonique avec l'historien Jean-Claude Germain http://www1.radio-canada.ca/radio/emissions/document.asp?docnumero=10439&numero=26 (6) Jacques G. Ruelland (2002), La Pierre angulaire. Histoire de la franc-maçonnerie régulière au Québec, Montréal, Éditions Point de fuite. (7) Selon les recherches du Prof Luc Baronian http://web.archive.org/web/20050404095339/http://www.stanford.edu/~baronian/vqaf/1791.html (8) selon l'article de J-Z Léon Patenaude reproduit ici http://complotquebec.blogspot.com/2006/04/lorigine-maonnique-de-la-saint-jean.html (9)http://www.durhamfreemasons.org/History.html (10) KELLY, Stéphane, La petite loterie. Boréal, 1997 (11) Liste des passés-maître de la loge coeurs-unis http://www.coeurs-unis45.org/passes-maitres.html (12) Patrice Dutil, L’Avocat du diable. Godfroy Langlois et le libéralisme progressiste dans le Québec de Wilfrid Laurier, Montréal,Robert Davies, 1994 (13) Fonds François J. Lessard, centre Lionel-Groulx et Messages au "frère" Trudeau, Éditions de ma Grand-Mère, 1979 (14)Les francophones dans la Franc-Maçonnerie, LE DEVOIR 17/6/87 (15) http://site.rdaq.qc.ca/CRLG/images/p30.htm (16) Le Devoir Samedi, 25 mars 1989, "La Patente" et la justice sociale, J.-Z.-LÉON PATENAUDE (17)http://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_de_Jacques-Cartier (18) Humanisme, revue du Grand-Orient de France, décembre 1975, extrait: "L'Emancipation souhaitait améliorer l'instruction publique chez les Canadiens français. Les Maçons réclamaient entre autres la création d'un ministère de l'Education, l'enseignement gratuit et obligatoire et des salaires convenables pour les instituteurs." (19) J-Z Léon Patenaude et l’histoire. La Sarre, Édition privée, 1993 (20) "L'Action Laïque", journal officiel de la "Ligue Française de l'Enseignement", du 7 mars 1963. http://complotquebec.blogspot.com/2006/04/le-rle-secret-du-mlq.html (21) selon l'auteur Raynald Rouleau: " En 1963, sous la direction d'Alexander King (plus tard co-fondateur du Club de Rome, dont Maurice Strong sera membre) l'Organisation de Coopération et Développement Économique (OCDE) ont produit un rapport qui a servi de base pour une «réforme scolaire» dans tous les pays industrialisés visant, par exemple, à remplacer l'enseignement de la géométrie par les maths modernes, et l'étude du Grec et du Latin par l'étude des existentialistes français. Ici, au Québec, cette réforme a coïncidé avec la création du Ministère de l'Éducation, (une bataille entre l'église catholique et la franc-maçonnerie.) Voir La Presse du 11 nov. 1963 -- une série en 5 parties défendant La Grande Loge de Québec." (22) Pierre Virion, bientôt un gouvernement mondial, éditions Saint Michel, 1967. (23) Francis Marais, La Franc-maçonnerie dévoilée, De Mortagne (1997) (24)http://bilderberggroup.tripod.com/id17.html (25) http://www.godc.ca/Historique_Fr.htm (26) Selon les renseignements fournis par le registre des entreprises du Québec voir http://complotquebec.blogspot.com/2006/10/preuve-irrfutable-que-le-mouvement.html (27) http://fr.wikipedia.org/wiki/Gloria_Escomel