Didier Couly

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Didier Couly est un dessinateur de comic-strips humoristiques français, apprécié pour son style totalement décalé, et principalement connu par sa participation au magazine de jeux vidéo Canard PC.

Sommaire

1 Parcours professionnel
2 Style
3 Personnages marquants
4 Liens externes

[modifier] Parcours professionnel

Diplômé d'une "prestigieuse école d'Arts Graphiques". (à préciser)

Maquettiste au journal Télé 7 jeux (dates à préciser)

"Participations" répétées à l'émission l'oeil du cyclone sur Canal+. (dates et natures des participations à préciser)

Bassiste du groupe Les Rabbins volants, dont le clip du morceau Coin! Coin! a été diffusé dans l'édition nocturne de l'émission Boulevard des clips sur M6, au cours de l'année 2001.

En janvier 1997, Yacine cède sa place de dessinateur officiel du magazine de jeux vidéo Joystick (n°78), et est remplacé par Didier Couly. C'est dans ce numéro que ses célèbres pingouins idiots font leur apparition.

En novembre 2003, après que la rédaction de Joystick a démissionné en bloc du magazine (à l'occasion de son rachat par le groupe Future), Didier Couly devient le dessinateur du nouveau magazine fondé par les dissidents: Canard PC. Il participe à l'élaboration de la maquette du magazine.

Depuis, il a fait du lapin rose la mascotte du magazine, après qu'un lecteur eut proposé l'idée à l'occasion d'un concours.

Du 12 au 22 avril 2006 il expose avec d'autres artistes à l'Espace d'animation des Blancs Manteaux (Mairie du 4e arrondissement de Paris) dans le cadre d'une exposition d'"Art urbain" (Aux arts citoyens).

[modifier] Style

Didier Couly se distingue par son style décalé, voire incompréhensible pour qui n'a pas fait l'effort de s'immerger dans son univers. Ses idées et ses personnages semblent naître anarchiquement au fil des Comic Strip, échangeant des dialogues incohérents, largement ponctués d'onomatopées.

Ce qui fait la force des dessins de Didier Couly, c'est leur sobriété et la concentration de la narration dans une ou deux images maximum, tout en laissant toute latitude au lecteur de recréer l'univers qui précède le comic-strip (d'après les dialogues qu'il y lit), puis d'en prolonger la scène par lui-même. Ses strips semblent être des tranches de vies d'univers loufoques.