Discuter:Dériveur

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Considérer le 505 comme le roi des dériveurs est un avis un peu dépassé désormais, face au 18 pieds australien et autres 49er...

On est d'accord... Il s'agit d'un point de vue 'historique'. Si quelqu'un veut écrire un article sur la voile légère du 21ème siécle, il a tous mes encouragements ! KMan 11 mai 2005 à 09:45 (CEST)

[modifier] Le cinquo "Roi des dériveurs"

La nouvelle phrase "Un jour considéré..." n'est pas correcte sur le plan du français, je l'ai par conséquent rectifiée. A ce propos voici un complément à la discussion sur le vrai roi des dériveurs :

Sur la question du titre de "Roi des dériveurs" décerné dès sa sortie au cinquo, il s'agit en effet d'un fait historique, le cinquo a été pendant plus de 45 ans le "roi incontesté" des dériveurs devant son grand frère le Flying Dutchman olympique, et ses autres frères plus petits, les 470, 420, Fireball, Snipe, Vaurien, etc. Les australiens ont dessiné des bateaux plus extrêmes dont le 49er olympique, qui sont tout à la fois plus rapides, et plus sportifs que le cinquo. Cependant aucun de ces bateaux, dont la diffusion est et demeure extrêmement confidentielle, notamment en France, n'a reçu le titre de "Roi des dériveurs". Le cinquocinq, lui, encore pratiqué dans 20 pays, et qui continue à regrouper de nombreux pratiquants sur les circuits de régate conserve son titre. Pour mémoire, il y avait 170 Cinquocinqs au départ du mondial 2006, ce chiffre est en progression chaque année. jb dupont - président cinquo class france (intervention de 194.119.125.25, qui a oublié de signer ;-) Alvaro 3 février 2006 à 16:28 (CET)

A mon avis le paragraphe mentionnant le cinquo comme "Roi des dériveurs" devrait être déplacé dans la rubrique sur le cinquo. Cela ne correspond à aucun titre ni hiérarchie actuels : il n'y a pas eu de cérémonie de couronnement. C'est un avis véhiculé essentiellement par les pratiquants de ce dériveur.Quinvo 21/02/06

A l'origine de l'article en 2004, il s'agissait d'illustrer par un exemple la définition du dériveur. Longtemps considéré comme "l'archétype" du dériveur en France mais aussi à l'étranger, le cinquo était par conséquent l'exemple naturel, n'en déplaise aux pratiquants de quelques séries plus récentes qui jalousent aujourd'hui le cinquo.

Le cinquo demeure aujourd'hui une référence et le citer renforce la compréhension de la définition du terme dériveur. A ce titre cette référence a sa place dans la définition.

Il est vrai qu'il n'y a pas eu de couronnement du cinquo comme on couronne un roi dans une cathédrale (même si de nombreuses têtes couronnées, ainsi que l'actuelle madame la ministre de la défense, ou encore le président de l'ISAF ou celui du CIO ont navigué sur ce bateau), mais tous les rois ne sont pas nécessairement ainsi couronnés, n'est-ce pas ? Or, comme en témoigne unanimement la presse nautique des années 50 à nos jours , ce titre lui a été attribué et le demeure unanimement - On peut pour s'en convaincre se reporter au numéro de la revue "Bateaux" 5O5 qui lui est consacré avec une rétrospective documentée et instructive qui décrit pourquoi ce bateau là a tant frappé les esprits et les imaginations dans le monde entier et qu'il a par la suite tant de fois été imité jusque dans les produits les plus récents disponibles sur le marché.

C'est par conséquent une contre-vérité d'indiquer que seuls les pratiquants de cinquo véhicule ce titre. Vous le concèderez. Il est par ailleurs tout à fait compréhensible que d'aucun juge que le cinquo n'est pas le "meilleur" des dériveurs - tout comme pour les goûts et les couleurs, le marché offre une belle panoplie pour satisfaire tout le monde. jb dupont

justement, j'adore le 505. Je trouve que c'est un super bateau, il suffit de l'essayer pour s'en rendre compte. Je reconnais toutes ses qualités. J'en achèterai un volontiers lorsque je serai à la retraite. J'y ajouterai un Finn, un catamaran de sport F18, un quillard de sport type Vent d'Ouest ou Tempest et peut être un Fireball, voila pour mes goûts en fonction de mon gabarit. Pour autant la rubrique Dériveur de Wikipédia est déséquilibrée en parlant autant d'un seul bateau, et en minimisant de fait tous les autres. Où alors il faudrait rajouter et développer que l'Optimist est 'une caisse à savon' qui est devenue la seule classe internationale ISAF pour les moins de 16 ans et aussi le bateau le plus pratiqué dans le monde, le Vaurien un bateau mythique qui a mis la France sur l'eau, l'Europe le Petit Prince des bateaux, le Fireball révolutionnaire dès sa sortie resté un bateau moderne, la Yole OK un bateau dynamique et vivant, facile à construire en amateur, le 470 l'essence même du dériveur ? Ces opinions sont tout aussi couramment rencontrées, et sans parler des Finn, Ponant, 420. J'avais tenté une recherche google sur l'expression "Roi des dériveurs". Son résultat me fait dire que c'est une opinion véhiculée par des pratiquants du 505.Quinvo 23/02/06

Voilà un adepte de la voile légère et sportive, c'est super - mais voici un conseil si je peux me le permettre, il est inutile d'attendre la retraite pour pratiquer le cinquo ou les excellents supports que vous citez - je pratique aussi pour ma part le Soling que vous ne citez pas et qui est un quillard de sport très fin et une bête de près. La référence à Google pour les questions d'histoire me fait sourire. Nous ne sommes manifestement pas de la même génération - même si je suis encore très loin d'atteindre l'âge de la retraite. Mon enfance a vu naître le cinquo - sur les bords de la Seine où le sharpie 9m2 était très pratiqué, le caneton, le snipe, le vaurien puis le mousse étaient les dériveurs légers en vogue... de ceux là, il ne reste que des souvenirs et quelques exemplaires qui naviguent de temps à autre et hormis le Vaurien qui a encore un championnat du monde (où seuls les espagnols participent majoritairement), toutes ces classes n'ont plus aucune activité. Ce n'est que 8 ans plus tard que sont sorties des séries phares qui demeurent aujourd'hui pratiquées (420 puis un peu plus tard le 470 et le Fireball)... A ce propos, le concepteur du 420 qui pratiquait le cinquo, l'avait imaginé pour former les jeunes équipages avant de passer au cinquo - j'ai d'ailleurs consulté son architecte, peu avant sa dispariration, pour avoir son avis sur les évolutions de la jauge du cinquo avant l'adoption du grand spi, que ce passionné de voile légère avait accueillie avec enthousiasme. Par conséquent Google et ses quelques années d'existence n'est pas une référence valide sur ce point - je vous renvoie à nouveau au numéro de la revue "Bateaux" 5O5 qui fait, comme je l'ai indiqué plus haut, une rétrospective qui est plus documentée que ne l'est Google qui ne référence pour l'instant que les fonds documentaires éléctroniques (pages webs majoritairement) qui pour la plupart n'existent que depuis la fin des année 90. Par conséquent votre opinion peut-être biaisée si elle ne se fonde que sur des recherches de ce type. Et après tout à quoi servirait bien Wikipedia, s'il ne s'agissait que de faire un condensé de ce que l'internaute peut trouver sur Google ?

Mais vous soulevez cependant un point différent et valide - A l'origine de la définition du dériveur créée en novembre 2004, la référence au cinquo était là pour fournir un exemple de dériveur, en citant l'un des plus renommé - au fil des modifications de la définition, avec l'ajout du dériveur lesté par exemple, cette référence s'est trouvée "marginalisée". Les pratiquants d'autres séries ont ensuite souhaité que des références à d'autres classes soient ajoutées pour enrichir la définition - ce qui est bien car le lecteur peut ainsi facilement appréhender le concept et le raccrocher à des choses qu'il connait par ailleurs. J'ai fait une modification au texte pour lui redonner son sens initial - prenant ainsi compte votre remarque sans toutefois appauvrir la définition. Pour l'exemple, vous conviendrez qu'il faut citer des références qui ont une notoriété - si l'on citait le 4000, ou le Boss, ou le 490, ou encore le 18 pieds, presque personne ne comprendrait de quoi on parle et la vertu de l'exemple serait inexistante. Le cinquo partage avec quelques autres séries, d'être une référence universelle et mondialement reconnue, bien au delà du monde de la voile et des pratiquants - c'est pourquoi c'est un bon choix. Nous avons eu un débat entre les séries dériveurs et quillards de sport pratiquées en France pour former le stand des séries du salon nautique chaque année et chaque série a désormais compris que nous formons une "filière" où chaque support apporte sa pierre - elle bénéficie en retour de la dynamique dériveur qui est créée. Chez les responsables, la "concurrence" est remplacée par la collaboration dont toutes les séries tirent partie... et comme je l'ai écrit plus haut - il en faut pour tous les goûts - des supports pour les jeunes, pour les filles, pour les grands, pour les gringalets, pour les débutants pour les champions, pour les plus agés, etc...

[modifier] Dériveur habitable

Cet article ne concerne que les dériveurs de sport. Que faire des dériveur habitable ou dériveur de croisière ? Alvaro 3 février 2006 à 16:28 (CET)

Je pense qu'il y a de la matière pour faire un article sur les Dériveur habitable. Si tu veus, tu peus commencer. En attendant, ca peut rester dans cet article. Bon vent. CaptainHaddock BlaBla 3 février 2006 à 17:31 (CET)
Faudrait ptêt que cet article s'intéresse au côté architectural du dériveur (stabilité de poids, de forme...) , lesté ou pas... et renvoie vers dériveur de sport (ou quelque chose comme ça) et dériveur de croisière (ou quelque chose comme ça) ? Hmmm... me semble qu'il y avait une version habitable de la caravelle (dériveur lesté). Faut que ça mûrisse, tout ça ;D Alvaro 3 février 2006 à 18:39 (CET)
Ah si, une piste. Le lest dû à l'équipage. Si rappel -> sportif. Si pas rappel -> habitable. Non plus. Euh... faut vraiment que ça mûrisse

Pour la signature (ajout du 20/02/06) : Jean-Baptiste DUPONT, président Cinquo Class France et Vice président International

Pour info, la caravelle habitable (enfin là, il ne faut rien exagérer...) s'appelle la caragogne - il s'agit d'une caravelle munie d'un roof (minuscule) devant le mât. On peut ainsi stocker du matériel au sec dans ce roof.

Sur la question de la classification disons que l'on peut proposer deux familles et un mixte des deux et une troisième famille différente comme suit : Les dériveurs et les quillards. les bateaux mixtes souvent appelés dériveurs lestés (exemple le Corsaire doté d'une petite quille lestée et d'une dérive). Les bateaux munis de foils

Parmi les dériveurs (et les quillards) on peut trouver des dériveurs légers et des dériveurs à dérive lestée (mais sans quille) Dans cette famille de dériveur on trouvera les classifications suivantes : Les planches à voiles (à dérive) les bateaux de sport les day boat les habitables

ensuite chaque classification peut se décomposer en solitaire, doubles, à équipages etc...

Pour finir, on se trouve devant non pas une classification simple mais devant une matrice un peu complexe à plusieurs dimensions pour ranger tous les bateaux dans une catégorie en fonction de ses caractéristiques. Les définitions pourraient alors suivre les dimensions de la matrice en partant des critéres majeurs vers les critères qui le sont moins, et ainsi on couvrirait tout le spectre pour contenter tout le monde.