Discuter:Cinéma québécois

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Sommaire

[modifier] article peu objectif

Je viens d'ajouter dans l'intro: "culture populaire orale OU ÉCRITE". Dois-je rappeler que notre culture écrite est vaste depuis toujours et que même avant la conquête nous étions libre d'écrire sans être en compétition directe avec la France (impérialisme partiel peut-être mais pas total). Au Québec de l'époque ce sont les livres écrits au même endroit qui étaient les plus accessibles et moins chers. Et dois-je rappeler que notre culture écrite a été partiellement brûlée en 1829? Les orangistes anglais avaient mis le feu au parlement de Montréal, ce qui a détruit plus de 10 000 livres canadiens français. Mais pas n'importe lesquels, ceux qui avait suffisamment d'importance pour être placés en sécurité au parlement...

Je suppose que cet article est écrit de façon à tronquer l'histoire, et faire croire que notre culture ne peut plus être que québécoise, qu'elle est maintenant américaine et canadienne automatiquement, peu importe l'auteur. Comme s'il fallait admettre quelque chose et que la direction actuelle de notre cinéma était mauvaise. Subjectif.

Désolé de vous contredire, mais 1) il n'y avait pas de presse écrite en Nouvelle-France. On pouvait écrire au Canada de Champlain, mais il fallait traverser l'Atlantique pour faire imprimer et diffuser les manuscrits. Cela n'empêchait pas le recopiage à la main... La première presse est arrivée avec le régime anglais. Mais ce ne sont pas nos conquérants qui ont fait des efforts pour promouvoir cette invention auprès du peuple. Le régime colonial anglais a mis nos premiers imprimeurs, éditeurs et journalistes en prison car ils étaient patriotes, car ils voulaient instruire le peuple sur ses droits et son intérêt national. 2) C'est en 1849 que le Parlement du Canada a brûlé à Montréal. La liste de tous les documents perdus est connu. On peut la trouver dans le catalogue Iris de la BAnQ. Heureusement, les librairies contiennent rarement tous les exemplaires d'un livre, alors les pertes n'ont pas été totales, mais quand même très importantes pour l'histoire. Le feu n'a évidemment pas fait de discrimination entre les livres en français et ceux en anglais. -- Mathieugp (d) 3 février 2008 à 16:01 (CET)

[modifier] Chiffres contradictoires

Lorsque l'on tape MA VIE EN CINEMASCOPE sur la Banque de données Léo-Ernest-Ouimet on obtient un total de 477 695... Il faudrait contre-vérifier les chiffres prtésents. Certains sont bon. D'autres pas.


66.130.205.229 24 novembre 2006 à 16:34 (CET)


[modifier] Désaccord de neutralité

Tout l'article me semble très peu neutre: le cinéma d'auteur ou "artisanal d'antan" y est glorifié et les succès commerciaux récents et la mise en marchée du cinéma québécois très sévèrement jugée. Sans être un grand expert en cinéma québécois (bien que je m'y intéresse pas mal), je crois que le point de vue inverse qui veut que le succès des dernières années, commercial et critique, au Québec et à l'international, devrait être beaucoup mieux représenté dans l'article. Voir: Wikipédia:Controverse de neutralité, Wikipédia:Neutralité de point de vue et Wikipédia:NPDV:Guide pratique. (Signature oubliée: Boréal 18 novembre 2005 à 21:18 (CET))


Un savoir encyclopédique ne veut pas dire un savoir qui va dans le sens de la doxa et du sens commun, des croyances et des désirs populaires.

Le savoir encyclopédique utilise les meillures connaissances d’une époque donnée, et il tente de faire que le niveau général de connaissance sur un sujet dépasse les a priori et les superstitions.

Je pense en cela à l’objectif des encyclopédistes des Lumières, Diderot, Voltaire et Montesquieu, dont le travail était bien loin de faire l’auto-promotion contente de la société française d’alors.

Dire du cinéma québécois de 55 à 1990 qu’il est « d’antan » (comme on le dit d’une recette de fèves au lard) et « artisanal » (comme on le dit de ce qui n’est pas maîtrisé) reflète un manque certain de connaissance sur le sujet de la part de Monsieur Savard.

Je lui demande de bien vouloir se renseigner un tant soi peu sur le sujet, de ne pas prendre pour un fait avéré ce qui est du niveau de la préférence personnelle, d’approcher la question dans une perspective d’histoire de l’art, d’histoire économique et d’histoire du cinéma, et de bien vouloir expliquer en quoi cet article peut-être vu comme non neutre.

Si la perspective d'analyse des articles sur le cinéma, aux dernières nouvelles un art, doit être fait dans une perspective de succès marketing plutôt que de réussite artistique reconnue (n'en déplaise à Monsieur Savard), je crois que l'on est rendu bien loin dans l'économisme et le populisme.

Caillus 18 novembre 2005

Bonjour, la neutralité de point de vue, telle qu'elle est voulue sur Wikipédia, veut que l'on ne doive présenter qu'un seul point de vue sur un sujet donné si plusieurs points de vue peuvent y être confrontés (je me répète; je vous invite coridalement à retourner lire les pages suivantes: Wikipédia:Controverse de neutralité, Wikipédia:Neutralité de point de vue et Wikipédia:NPDV:Guide pratique). Nous ne somme pas à refaire l'encyclopédie de Diderot. Je suis désolé si la façon j'ai présenté les choses utilisait des termes maladroits. Cependant, je persiste à dire que l'article actuellement semble ne montrer qu'une seule perspective, particulièrement sur les années récentes. Je doute, en particulier, que des passages comme: Depuis ce jour, le cinéma québécois tente de séduire son public grâce à des budgets plus grand et une copie toujours plus raffinée de la manière américaine. Il perd toute spécificité dans son obsession à joindre complaisamment son public. Si on réussit en 2005 à faire 20% du box office national (taux comparable à la France ou l'Australie), c'est en adaptant les recettes du matraquage médiatique et en évacuant totalement la question artistique. Par sa nature et sa façon de se vendre le cinéma québécois est en passe de devenir un autre cinéma américain financé par l'État sous le couvert de l'identité culturelle. puisse être jugé neutre. C'est particulièrement ce passage qui m'irrite.
Je ne puis dire que je sois un spécialiste de l'histoire du cinéma québécois. Cependant, les arguments d'autorité ne règlent rien au problème de l'article actuel. Je m'intéresse cependant en dilettante d'assez près au cinéma actuel.
Je précise que j'avais bien mis "artisanal d'antan" entre guillemets, et qu'il faut donc prendre avec un grain de sel ce terme. C'est simplement que le ton s'éloigne d'un article "classique" et fleure bon le "bon vieux temps", quand le cinéma n'était pas contrôlé par les vils capitalistes. En passant, un artisanat peut être parfaitement maîtrisé, ce n'est pas dans ce sens que je l'entendais.
Je doute que plusieurs créateurs de notre cinéma actuel seraient d'accord avec l'argument qu'ils "évacuent totalement l'aspect artistiques". Aucun aspect artistique, "Mémoires affectives" de Francis Leclerc? Ni l'oeuvre de Denis Villeneuve? Aucun mérite à celle de Robert Lepage? Totalement perdu, le talent de Denys Arcand? Rien d'intéressant dans "15 février 1839"? Aucune intérêt artistique dans "C.R.A.Z.Y."? Et je ne parle pas de la critique sociale de la jeune génération dans les opus de Ricardo Trogi (pas assez artistique, j'imagine) ou de l'approche de la prise de vue et du décors dans des films de genre à la "Sur le seuil", "Le marais" ou "Saint-Martyr-des-Damnés" qui ont des défauts certes, mais qui sont nos premiers pas dans des styles bien particuliers.
Bien sûr, s'il ne s'agissait que d' "auto-congratulation" québécoise... Mais on ne peut écarter du revers de la main les prix remporté à Sundance par "La Grande Séduction", à Cannes et aux oscars par "Les invasions barbares", au canada anglais pour plusieurs films, aux Berlinales pour "La face cachée de la lune"...
Qu'on le veuille ou non, le cinéma est à la fois un art ET un industrie. Le film artistique parfait que personne n'a vu ne vaut pas mieux que le navet qui fait courir les foules. Et bien qu'on ne puisse considérer "Les boys" comme un monument du 7e art, c'est quand même ce film et quelques autres du même acabit qui ont permis à une grande partie du public de s'intéresser au cinéma québécois et d'oser découvrir des oeuvres plus intimistes ou plus personnelles. Un cinéma national fort contient les deux côtés de la médaille: des oeuvres où l'approche artistique prime, et d'autres plus "grand public". (Plusieurs oeuvres récentes naviguent entre les deux extrêmes). Et je crois qu'on peut dire sans se tromper que des deux côtés de la médaille, le cinéma québécois actuel, pour un bassin de population beaucoup plus restreint, a considérablement mieux réussi que, disons au hasard, le cinéma canadien anglais. Il est possible que je n'ai pas le même recul que vous pour juger des oeuvres du siècle passé (je veux dire ainsi le 20e), mais le constat quant aux oeuvres actuelles ne me semble pas s'accorder avec le paysage cinématographique que je fréquente.
Je ne vous tiendrai pas rigueur du ton peu amène de votre remarque (j'imagine qu'il est causé par le côté un peu froid d'internet) et j'espère que nous pourrons convenir d'améliorations à apporter à cet article. Cordialement, Boréal 18 novembre 2005 à 23:27 (CET)

[modifier] Lien externe mort

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 30 janvier 2006 à 23:32 (CET)

[modifier] Section "Meilleur film québécois"...

...Selon quelle source? Et pourquoi cette source plutôt qu'une autre? Pourquoi aucun film paru après 1989? - Boréal (:-D) 28 novembre 2006 à 22:49 (CET)


Voir: Liste des meilleurs films québécois
Source: Les Rendez-vous du cinéma québécois 2003.
Référence présente aussi sur cette page : [1]
66.130.205.229 15 décembre 2006 à 19:47 (CET)