Discuter:Benoit Fleury

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Sommaire

[modifier] AVERTISSEMENT concernant la notice initiale, publiée le 26 février 2008

La notice malveillante que l'on trouve à l'onglet "Article", que les administrateurs en charge de ces pages ont pris la grave responsabilité de refuser de retirer, pratique anonymement une dénonciation publique comme aux heures les plus sombres de notre histoire : elle est un scandale sur un espace de savoir comme Wikipedia.

Les propos tenus sur M. Benoît Fleury sont diffamatoires à trois égards :

1°- Les citations dénonciatrices sont tronquées et toutes issues, en outre, d'un entretien sensationnaliste et déformé, publié par "L'Echo des Savannes", journal satyrique, vaguement anarchisant, surtout connu pour ses canulars, et cela il y a neuf ans ! Prétendre condamner un homme à partir de telles sources n'est pas seulement grotesque, mais proprement surréaliste.

2°- Tout le propos veut accréditer l'idée que M. Fleury serait resté "le même" que ce qu'en disait ce journal grand-guignolesque. Faut-il rappeler qu'à l'âge de son engagement étudiant de droite, M. Fleury avait 20 ans (1997) ? Faut-il rappeler qu'il a abandonné tout engagement politique depuis ses 23 ans (2000) ? Les dates mêmes que cite la notice le montrent, mais tout le propos cherche haineusement à masquer l'évidence.

3° - La notice suggère que M. Fleury n'aurait pas droit, en raison de ce lointain engagement de jeunesse, à rejoindre la communauté universitaire. Est-ce une plaisanterie ? Faut-il rappeler que l'on ne peut rien reprocher à M. Fleury : ni rédaction de publications tombant sous le coup de la loi, ni voies de faits sur des personnes, à l'exception d'une condamnation pour des coups donnés à des militants ...d'extrême droite ! La moindre des pudeurs serait de laisser M. Fleury en paix, dans un pays, la France, où l'Université a recyclé tant de militants de la plus extrême gauche, et où l'on a pu voir quelqu'un comme Georges Boudarel achever tranquillement sa carrière universitaire, après avoir été responsable de la mort de 278 prisonniers français torturés par ses soins, au camp 113 de sinistre mémoire.

La vérité, quant à elle, peut se résumer pareillement en trois points :

1° - La persécution endurée par M. Fleury est insupportable. Car persécution il y a bien : M. Fleury l'avait déjà rencontrée lorsque, étant déjà sorti major du DEA particulièrement exigeant de Paris II, il avait obtenu bien légitimement une allocation de recherche, et que les mêmes groupes de pressions d'extrême gauche qui se manifestent aujourd'hui avaient dénié à l'Université le droit de la lui attribuer. La lâcheté des autorités universitaires avait permis que lesdits groupes de pression aient gain de cause : M. Fleury n'avait pas seulement perdu son poste d’enseignant-chercheur et son allocation, mais avait encore dû en rembourser intégralement les versements effectués ! Voilà comment est encouragé le talent d'un chercheur et son indépendance d’esprit aujourd'hui. Le moins que l'on puisse dire est que l'on cherche en vain les traces d'une complaisance du milieu universitaire à l’égard de M. Fleury, contrairement à ce que prétend l'article.

2° - M. Fleury est, par ces pénibles circonstances, l'un des rares universitaires à ne tout devoir qu'à lui-même : il a continué sa thèse tout seul, en gagnant courageusement sa vie en dehors de l'Université, ce jeune père de famille subvenant du reste au besoin d'une famille exceptionnellement nombreuse. Et il y est arrivé, après des années d'efforts : une thèse admirable, la reconnaissance si difficile du CNU (Conseil national des universités, qui délivre au compte-gouttes la précieuse « qualification »), puis l'obtention du concours de Maître de conférences. Tout cela conquis seul, de haute lutte. Sont-ils nombreux, ceux qui peuvent en dire autant ?

3°- Le talent exceptionnel de ce jeune historien du droit vient d'éclater à nouveau à la face de tous, et sans doute est-ce la revanche extraordinaire sur ces détracteurs que constitue son exploit, qui excite aujourd'hui toutes les aigreurs, il faut bien le dire, des jaloux et des médiocres. Benoît Fleury vient en effet d'obtenir le concours extrêmement difficile de l'Agrégation, non seulement dès son premier passage, mais encore à la première place, et cela à l’âge exceptionnellement précoce de 31 ans ! Et le tout, avec un jury qui, à l'exception d'un seul membre, se situait nettement à gauche (il est aisé de se renseigner) ! Dieu sait qu'il n'a pas dû être simple pour ce jury de lui attribuer la première place : s'ils l'ont fait, c'est que sa performance était décidément incontestable. Ce faisant, ils ont su quant à eux agir en universitaires, attribuant le primat à l'intelligence. Ce devrait être la moindre des choses.

H. de S.

Cette critique concerne la scandaleuse version initiale de l'article.--Hermenfroy de Steyer (d) 27 février 2008 à 22:56 (CET)

[modifier] Avis

Le courageux anonyme qui est l’auteur de cette fiche énonce des faits invérifiables, sous l’apparence d’une pseudo-neutralité (« selon tel ou tel, X. aurait dit cela …») de façon aussi grotesque qu’infamante.

Notre délateur, par l’odeur du lynchage alléché, cite sur cette encyclopédie, une interview donné à une soi-disante revue, L’Echo des savanes (on ne rit pas !) dont les rédacteurs ont exercé leur talent dans Pif gadget, Fluide Glacial, le Concombre Masqué et Gai-Luron (non, on ne rit toujours pas). Prendre ceci au sérieux sur une Encyclopédie, c’est prendre le lecteur pour un demeuré.

Ne parlons pas du mystérieux « collectif étudiant poitevin », ou encore du mensonge selon lequel « 20 minutes » aurait affirmé qu’il aurait conservé son engagement, alors qu’il s’agit en réalité d’une phrase au conditionnel, qui résume l’avis d’une militante de l’Unef prénommée « Tallia ». Voilà que les rédacteurs de Wikipédia se mettent à falsifier les sources qu’ils donnent !

Ne faisant pas les choses à moitié, notre délateur pousse le vice jusqu’à mentionner les opinions politiques (supposées) de son directeur de thèse, comme pour signifier que M.Fleury aurait bénéficié d’une quelconque cooptation idéologique.

En conclusion de cette farce, l’auteur de cette fiche grotesque a mis, bien en vue de tous, une pétition appelant à la radiation de B.Fleury. De qui se moque-t-on ?

Un article sur une encyclopédie se devant d’être un minimum sérieux et neutre (et non pas pseudo-neutre), je réécris cet article, et en réduis drastiquement sa taille pour ne laisser que les éléments factuels qui sont incontestables. Il est assez aberrant que M.Fleury, qui ne mérite que d’être laissé tranquille, « bénéficie » sur une Encyclopédie d’une fiche bien plus longue que, par exemple, sur le Royal Albert Hall !!

PJ — Le message qui précède, non signé?, a été déposé par 91.90.10.230 (d · c), le 27 février 2008 à 16:03.


Il serait plus constructif de baisser d'un ton afin de s'expliquer sur le fond des choses. Après sur vos commentaires je me permet de vous demander des précisions :
  • qu'est ce qui vous permet d'affirmer que l'interview de l'écho des savanes est un faux ?
  • le collectif étudiant est identifié veux tu que l'on mettre le nom des organisation dans les pages afin que ce soit plus clair ?
  • l'opinion politique de son directeur de thèse est précisée dans l'article de Libération, rien de plus que des mots rapportés
L'utilisation de mots comme farce ou délateur nous écarte du débat de fond, en conséquence je vous demande de ne plus les utiliser. Cordialement. — Jrmy [You talkin' to me?] 27 février 2008 à 17:15 (CET)
Je pense que le ton n'est pas assez neutre. --Apollon (d) 27 février 2008 à 17:29 (CET)

Si une encyclopédie commence à mettre comme source un article consacré à un universitaire à partir d'une bande dessinée animée par le créateur des « Dingodossiers » qui assume elle-même son absence de sérieux, je me demande ou sont les limites du ridicule.

En ce qui concerne les idées supposées de son directeur de thèse, réelles ou non, cette mention ne concerne que Jean-Marie Carbasse et lui seul. Vous n'avez qu'à créer une fiche sur lui.

Vous avez remis votre texte brutalement sans vous expliquer, sans même justifier votre mensonge sur l'article 20 minutes.

PJ — Le message qui précède, non signé?, a été déposé par 91.90.10.230 (d · c), le 27 février 2008 à 16:03.

Quitte à créer une section "controverse", je me suis permis d'ajouter l'article d'un magistrat qui dénonce le traitement infligé à quelqu'un qui a passé avec succès l'agrégation. --Gaël2206 (d) 27 février 2008 à 17:59 (CET)


Prenant acte avec satisfaction tant des salutaires réactions abritées par la présente discussion, que de la modification subséquente de la notice litigieuse dans le sens d'une plus grande probité, je complète l'information légitime des lecteurs en publiant ci-dessous le communiqué rendu public avant-hier soir par le Pr. Fleury. --Hermenfroy de Steyer (d) 27 février 2008 à 22:56 (CET)

[modifier] COMMUNIQUE DE PRESSE DE M. BENOIT FLEURY

"BENOIT FLEURY A RENIE SES ENGAGEMENTS DE PREMIERE JEUNESSE ET CONDAMNE SANS AMBIGUITE LES ACTES ET DISCOURS RACISTES, ANTISEMITES ET NEGATIONNISTES

Paris, le 26 février 2008

En réaction aux nombreux articles parus suite à l’obtention par Benoît Fleury de l’agrégation d’histoire du droit, celui-ci tient à préciser les éléments suivants :

1/ Son activité de militant nationaliste relève définitivement du passé et de sa première jeunesse. Depuis bientôt dix ans, il ne revendique plus aucune appartenance politique et il est inexact d’affirmer qu’il continuerait de fréquenter les milieux d’extrême droite. Aussi, les réactions des sites issus de leur mouvance et concernant son succès à l’agrégation n’engagent-elles qu’eux-mêmes, sans lui apporter, au contraire, la moindre satisfaction.

2/ Il a condamné et condamne sans ambiguïté, « les actes et discours racistes, antisémites et négationnistes », et a notamment signé une déclaration d’universitaires dans ce sens le 24 février 2008.

3/ Quand bien même son engagement de première jeunesse était condamnable, celui-ci ne l’a pas conduit, contrairement à ce qui est dit quelque fois, à être mis en cause dans l’incendie d’un local syndical de sa faculté. Il n’a pas été exclu de l’université à cette occasion. De même, les propos méprisables, fascistes et antisémites qui lui ont été attribués à tort dans un entretien paru en 1999 dans L’Echo des Savanes, ont donné lieu à un procès à l’issue duquel il a été relaxé, la preuve ayant été apportée qu’il n’avait pas tenu de tels propos. Sur ces deux points, Benoît Fleury se réserve bien entendu la possibilité d’agir en justice si des faits inexacts sont diffusés dans les media.

4/ En apprenant les réactions à son affectation à la faculté de Poitiers en qualité de professeur, Benoît Fleury a immédiatement, dès la semaine dernière, proposé aux instances dirigeantes de l’université de droit de Poitiers de venir s’expliquer sur les reproches qui lui sont adressés et répondre aux interrogations des étudiants. Il renouvelle cette proposition.

Enfin, Benoît Fleury entend attirer l’attention des opposants à son affectation sur deux points : d’une part, son rang à l’agrégation d’histoire du droit consacre un parcours scientifique par nature incompatible avec un quelconque biais idéologique. C’est cette rigueur scientifique qui doit présider à sa nomination, et non ses erreurs de jeunesse. D’autre part, le parcours personnel de Benoît Fleury doit constituer, pour les défenseurs des valeurs républicaines et humanistes, un signe d’espoir plutôt qu’un repoussoir : il est la preuve vivante que l’engagement dans le travail de recherche et d’enseignement libère des aveuglements et des préjugés. C’est bien là la mission de l’université aussi. " — Le message qui précède, non signé?, a été déposé par 86.194.197.53 (d · c), le 27 février 2008 à 22:27.

Serait-il possible d'établir le point 3 au sujet de la relaxe pour régler le probleme ? --Apollon (d) 27 février 2008 à 22:58 (CET)
Mais d'où sort ce communiqué ?? Je n'ai trouvé aucune référence sur internet... Et pourquoi est-il rédigé à la troisième personne ?--Mathieuselle 28 février 2008 à 04:02 (CET)

[modifier] LE collectif

Arrêtez un peu avec cette affaire surtout pour les personnes qui ne sont absolument pas concernées par celle-ci. Mais surtout arrêtez de dire n'importe quoi. Vous affirmez des choses sans preuve, ni référence (que ce que vous donne les médias ou les partis politiques, syndicats, etc.) et vous doutez du communiqué rapporté de M. le Professeur Fleury. Par ailleurs, l'article est erroné concernant le collectif et les signataires. Il y a plus de 66 signataires à cette déclaration. Si vous cherchez un peu plus (ce qui est le propre des enseignants-chercheurs de l'université française) sur le site du collectif vous aurez tous les noms des signataires. Il n'y en a pas que 12 ! A noter que M. le Professeur Fleury a également signé cette déclaration donc votre argument qui est censé jouer contre lui n'est pas vraiment efficace.

PAr ailleurs, un professeur "d'histoire du droit et des institutions" et pas uniquement d'histoire du droit. A noter qu'il ne s'agit pas uniquement de l'histoire du "droit français". LA dimension comparatiste (droit comparé) est plus que présente en histoire du droit d'autant que le droit comparé a de plus en plus d'importance de nos jours. — Le message qui précède, non signé?, a été déposé par VDLC (d · c), le 28 février 2008 à 18:49.

Ben alors prouve moi qu'il n'y a pas à en douter !! cite tes sources toi aussi !! --Mathieuselle 28 février 2008 à 19:35 (CET)

[modifier] Condamnations amnistiées

Si les condamnations sont amnistiées, dans ce cas la toute mention de ce condamnations doivent disparaitre (cf loi de 1881) — Le message qui précède, non signé?, a été déposé par Francoissorat (d · c), le 1 mars 2008 à 10:39.

C'est une mauvaise interprétation de la loi (la simple mention n'est pas condamnable, il faut une intention de nuire), cf. Aide:FAQ/juridique/Amnistie. Le participant qui indique la condamnation dans l'article s'expose toutefois à un risque juridique. --Gribeco 1 mars 2008 à 16:00 (CET)

[modifier] Erreurs

Benoît Fleury a été président du GUD à partir de 1997 et non de 1995, on ne lui connaît donc que 3 ans d'activités au sein de ce mouvement. En 1995 et 1996, il était encore étudiant à Montpellier où n'existait aucune syndicat de ce nom. Il a cependant participé aux élections du CROUS de mars 1996 en soutenant activement les candidats du Renouveau étudiant des différents campus montpellierain. Au niveau de sa date de naissance, il me semble qu'il est plutôt né en 1976 et non en 1977, la date reste à confirmer. --Skaravageur (d) 5 mars 2008 à 10:12 (CET)

Ces informations sont intéressantes mais le principe veut que l'on appuie ses dires avec une source (si possible de référence). D'où les tires tu ? — Jrmy [You talkin' to me?] 5 mars 2008 à 10:55 (CET)
Désolé je n'ai que ma parole à donner, je sais que c'est insuffisant. Par contre il serait facile d'avoir confirmation par le biais d'organisation comme l'UNEF ou le SCALP, très active sur Paris et Montpellier. Cependant il est facile de constater l'erreur au niveau de la date, ce monsieur ne pouvant physiquement pas être président du GUD en 1995 ni en 1996. --Skaravageur (d) 5 mars 2008 à 12:09 (CET)
À moins que par GUD, il faille entendre GUD national ; le RE étant assez proche du GUD, bien que plus frontiste que ce dernier... Cordialement, Necrid Master (d) 5 mars 2008 à 15:58 (CET)
Négatif, il n'avait aucune responsabilité au sein d'un quelconque mouvement jusqu'en 1997, et certainement pas au sein du RE. Tout cela est facilement vérifiable. --Skaravageur (d) 5 mars 2008 à 16:06 (CET)
Ok. Vais me renseigner alors. On a dû sûrement parler de lui dans les journaux de l'époque. Necrid Master (d) 5 mars 2008 à 16:09 (CET)

Bon si vous voulez faire une notice un peu plus exacte, je complète moi-même parce que sinon en s'en sortira pas. SKARAVAGEUR a raison. Il suffit de regarder les dates. 1994-1996 MTP, puis Paris II. Vous ne trouverez pas grand chose sur les liens entre RE et Union Droit ni sur ceux pouvant exister entre FN et Union droit, tout simplement parce qu'ils étaient quasi-inexistants. Gud et FN n'ont pas toujours fait bon ménage (cela dépend grandement des générations). Pour ma part, jamais encarté. D'autre part, on n'utilise pas le terme de "Président", mais responsable, dirirgeant et il y en a toujours eu plusieurs. Donc plus juste de dire : l'un des responsables. Responsabilité exacte : élu au conseil d'administration de l'université Paris II assas sous l'étiquette "Union Droit". Autre élément : position officille d'Union Droit en 1998 lors de la scission Mégret-Le Pen : "Ni oeil de verre ni talonnettes" : facilement vérifiable : c'était sur notre panneau à Paris II. Là encore certains des générations passées avaient fait des choix différents. Mais pour les militants d'Assas, la ligne était claire : les problèmes politiques ne concernent pas la jeunesse. Jusqu'à la scission Union Droit était soutenue par le RE (et non présentée par), puis ce soutien a disparu du fait de la ligne des militants d'Assas. Paris II ne m'a jamais offert de bourses pour le deuxième cycle. Mais j'ai obtenu toutes mes années avec mention (de AB à TB). C'est à l'issu du DEA que la question de l'allocation de recherches s'est posée (mention TB). Bon voilà je finirai plus tard. Mais il y a déjà des choses à corriger. BF

Autre élément : c'est agrégé des facultés de droit. Major au concours de droit romain et d'histoire du droit.

Le communiqué de presse est bien de moi. Je crois que comme source ma parole devrait suffire. — Le message qui précède, non signé?, a été déposé par 217.128.229.137 (d · c), le 5 mars 2008 à 17:32.

J'ai intégré les informations fournies ci-dessus, mais vu l'enjeu (page menacée de suppression, pb e neutralité), il vaudrait mieux les sourcer. Peut-être que l'interessé peut fournir quelques références des publications du GUD pour servir de source. Il serait également intéressant, pour le caractère encyclopédique de la notice, d'exposer un peu plus quelles ont été les orientations du GUD lorsqu'il participait à sa direction, et son rôle personnel dans ces orientations si c'est une information publique. Il me semble que la seule histoire du GUD publiée s'arrêta avant ces années?

J'ai laissé provisoirement la question des exclusions universitaires, puisq'elles étaient sourcées dans la presse - mais c'est un point à vérifier sérieusement. --Nicod (d) 5 mars 2008 à 22:03 (CET)

Ben vi suppression ou pb de neutralité ! les premières versions étaient on ne peut plus sacandaleuses et diffamatoires !! Là il y a encore plein d'erreurs. Par exemple, le GUD n'était pas plus hostile à Le Pen qu'à Mégret. Encore une fois une question de génération. Pour la première phrase, c'est mieux, mais il faut préciser major au concours 2008. Un mail pour discuter de manière plus approfondie ? Et pour 1976, c'est bien celà , pas besoin de références, sauf si vous tenez au numéro du registre d'état civil...

OK pour discuter de ça par mail pour ma part. Cordialement, Necrid Master (d) 5 mars 2008 à 22:59 (CET)
Généralement, pour contacter par mail, un utilisateur enregistré, vous pouvez aller sur son espace utilisateur en cliquant sur son nom, puis dans la colonne de gauche, "Envoyer un message à cet utilisateur". Pour ma part, je suis contactable également de cette manière. La phrase sur le FN est effectivement mal formulée. J'ai modifié la formulation, mais il serait inétressant de développer les repoches fait par le GUD au FN. Je n'ai pas encore ajouté la question de RE. --Nicod (d) 5 mars 2008 à 23:07 (CET)

[modifier] Trouvé sur France politique


3 décembre 2000 le GUD participe avec les jeunes mégrétistes à la création de l'Union de Défense des étudiants Nationalistes (UDEN, responsable : Philippe Vardon)

29 mars 2000 élections universitaires au CROUS. le GUD participe au cas par cas aux listes du Renouveau étudiant mégrétiste, qui adopte l'étiquette "Union des étudiants de Droite" (à Paris le GUD présente la liste "étudiants Nationalistes" : 2,02% face à la liste mégrétiste "étudiants de Droite" : 1,68%)

22 novembre 1999 meeting des 30 ans du GUD à l'Espace Moncassin (Paris) automne 1999 le GUD participe à la création de l'Union de Défense des Étudiants et Lycéens (UDEL) et se dote du bulletin Jusqu'à nouvel ordre, journal d'aujourd'hui pour l'homme de demain

9-10 octobre 1999 réunion des mégrétistes du Mouvement National de la Jeunesse (MNJ, président : Philippe Schleiter) à Lyon. adoption d'un nouveau logo pour le syndicat Renouveau étudiant (RE, présidente : Claire Jouët) : croix celtique (logo du GUD) derrière une feuille de chêne (logo du MNR de Bruno Mégret)

4 février 1999 création d'un nouveau Front de la Jeunesse avec les mégrétistes lors d'un meeting nationaliste unitaire

Les orateurs sont Arnaud Lutin, Michel Murat (Aurore), Robert Ottaviani (FNJ-MN), Xavier Schleiter (Renouveau étudiant), Benoît Fleury (GUD-Jeune Résistance), Guillaume Peltier (Jeunesse Action Chrétienté), Olivier Chalmel (Offensive pour une Europe enracinée), Jean Denègre (Réfléchir & Agir), Patrick Lusinchi (L'Art s'Affiche), Julien Beuzard (rock identitaire français), Éric Fornal (Terre et Peuple), Grégoire Tingaud (FNJ-MN), Christophe Dungelhoeff (FNJ-MN) et Philippe Schleiter (FNJ-MN)

juin 1998 le GUD participe à la création d'Unité Radicale, dont il devient la branche étudiante

Source : http://www.france-politique.fr/groupe-union-defense.htm — Le message qui précède, non signé?, a été déposé par 90.1.222.14 (d · c), le 7 mars 2008 à 13:02.

Oui ; et ? Necrid Master (d) 7 mars 2008 à 15:04 (CET)
Désolé mais je ne parviens pas à trouver vos mails avec un lien "contacter l'utilisateur". — Le message qui précède, non signé?, a été déposé par 90.61.80.97 (d · c), le 10 mars 2008 à 08:15.
Normal, il s'agit formulaire d'envoi. Vous le remplissez, vous envoyez et le mail arrive à la bonne adresse. --Nicod (d) 10 mars 2008 à 10:48 (CET)
Il faut un compte utilisateur et une adresse email valide pour accéder au formulaire. GL (d) 19 mars 2008 à 12:57 (CET)

On continue le délire longtemps ou vous me donnez un numéro de fax pour vous faire parvenir les menaces de mort que mes enfants et moi-même recevons ? — Le message qui précède, non signé?, a été déposé par 217.128.229.137 (d · c), le 10 mars 2008 à 13:54 (BF)?.

Bon pour ma part, je en vois pas en quoi avoir été élu au CA de Paris II ou major d'agrég est encyclopédique au regard des critères d'admissibilité. Ou alors il faudrait créer nombre de notices supplémentaires.
Ceci étant, la notice telle qu'elle est conservée est blindée d'âneries... aussi grosses les unes que les autres tant sur les origines, que les bourses, le titre même de ma thèse !!
Je me demande qu'elle véritablement l'intention qui se cache derrière ?
Tout y est inexact ou presque.
BF
Puisque tout est faux (ou presque), raison de plus pour entrer en contact avec les contributeurs scrupuleux – inutile de chercher une intention mauvaise – cherchant à démêler le vrai du faux, la mythologie du prosaïsme. En conséquence, je vous invite à m'envoyer un mail. D'ailleurs, rédigeant la notice consacrée au GUD, il me serait particulièrement utile de pouvoir m'appuyer sur les souvenirs d'un des membres, notamment entre la rentrée universitaire 1994-1995 et 2000. Cordialement, Necrid Master (d) 19 mars 2008 à 16:25 (CET)