Discuter:Automutilation

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'automutilation est beaucoup plus qu'un simple trouble de comportement. Vous dites que c'est un trouble qui affecte ceux et celles qui ont tendance a s'infliger des blessures. Et bien c'est lorsque vous êtes victime de ce trouble que vous commencer a vous infliger des blessures ,mineur ou majeur et non avant. C'est en quelque sorte un trouble mais c'est plus précisément un moyen d'apaiser ses souffrance, c'est comme la drogue ou l'alcool.

Cela n'affecte pas que les personnes qui sont déjà atteintes, d'ailleurs, avant d'être atteint, il faut ne pas être atteint, c'est une vérité vraie... et quand on n'est pas encore atteint, il faut que la personne "future aotomutilée" soit dans la "dépression" déjà depuis un long moment, ce n'est pas directement que l'on va s'attaquer à soi-même, c'est après avoir tenté mille choses que l'on ne trouve pas efficaces pour se sortir de sa "tristesse", "dépression"... tous les terme de ce champ lexical... Et peut-être, espérent les personnes qui s'automutilent, trouverons nous un moyen de sortir de ce malaise... mais ça ne fait que d'en créer un nouveau, je sais de quoi je parle... et avant de m'automutiler, je n'avais pas du tout tendance à m'infliger des blessures, je n'aimais pas du tout ça... je n'aime toujours pas d'ailleurs. C'est pour celà que je me permets de corriger le premier article en disant que ça peut même affecter les personnes qui n'ont pas cette tendance à s'infliger elles-mêmes des blessures, ça peut même être tout le contraire de celà.. des personnes n'ayant jamais utiliser la douleur pour se sortir d'un malaise trop dur à affronter, "peuvent" essayer celà en pensant que c'est une solution comme une autre pour s'en sortir... Evidemment, c'est très difficile de sortir de ces situations de "dépendance". Pour cela, il est nécessaire de posséder des aides du type; avoir des amis et une famille qui vous soutiennent, si on ne possède pas cela, le chemin peut s'avérer long et difficile... enfin mm si l'on possède cela c'est quand mm très dur de s'en sortir, mais dès que l'on a quelqu'un à qui parler c'est déjà énorme... ça soulage. Les médicaments sont dans mon cas une aide précieuse, et si je ne les avais pas, je suis quasi certaine que je craquerais plus souvent. Les médicaments sont surtout là pourr me modérer dans mes actions, parcent qu'ils ne les suppriment pas. Je peux éviter de me faire du mal dans certains cas et il m'arrive encore de m'en faire mais beaucoup moins que quand je n'avais pas encore les médicaments.

Réponse

Oui, vos observations sont pertinentes et utiles.

[modifier] automutilation et fausses idees.

Je regrette que cet article soit toujours aussi incomplet. Et surtout, je suis en complet desaccord avec certaines des modifications qui y sont apportés. Le terme "lesion auto-infligé" ne désigne pas l'automutilation. Appelons un chat un chat ! "Automutilation" est bien le terme officiel utilisé en psychiatrie et psychologie et dans divers manuels (DSM4 !). Les lesions auto-infligées ne sont pas un terme courament utilisé, seul le CIM10 l'utilise mais au sujet principalement du suicide. La scarification non plus n'est pas un terme adequat, meme s'il est tres repandu dans la société. La scarification implique de se faire des marques volontairement dans un but esthétique, rituel, social... Un ado qui se grave un symbole sur la peau pour faire "in", c'est de la scarification. S'il se blesse en secret parce qu'il recherche la douleur ou la blessure, c'est de l'automutilation (exemple volontairement simpliste). J'aimerais savoir d'où viens cette information que l'on retrouve dans les deux articles (automutilation et scarification) sur les lésions auto-infligées ??? Je pense qu'un article serieux ne devrait pas non plus donner pas de jugement (ie : dénomination officielle discutable).

Il conviendrait également de mieux distinguer les 3 types d'automutilation : la mutilation volontaire, l'automutilation "courante", et l'automutilation grave et pourtant fréquente des autistes et de certains psychotiques (non encore évoqué dans l'article). Ainsi, les chiffres sur la répartition selon les sexes ne concernent que la deuxieme catégorie.

En l'etat, je ne vois pas avec des avis aussi opposés et sans avoir de sources fiables comment faire évoluer l'article.