Arènes joyeuses (film, 1935)

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Arènes joyeuses est un film français réalisé par Karl Anton et sorti en 1935.

Sommaire

[modifier] Synopsis

Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.

Monsieur Cabissol, maire de Martigues, souhaite présenter une corrida dans le cadre des prochaines festivités. Mais un réfractaire à ce spectacle, monsieur Escopette, enlève les taureaux et retarde les festivités. Une fois les bêtes retrouvées, en représailles, on veut contraindre Escopette de prendre la place du toréador indisponible. Heureusement, Rémy, un jeune Martégal astucieux et sympathique, trouvera une solution qui accordera tout le monde et, en récompense, le maire lui accordera la main de l'une de ses filles, l’élue de son cœur…

[modifier] Commentaire

L’argument minimaliste est propre aux opérettes et aux revues populaires de l’entre-deux-guerres, un prétexte pour que le jeune premier en vogue des opérettes marseillaises de l’époque, Alibert, pousse de nombreuses ritournelles à succès dont la célèbre Adieu, Venise provençale, passée à la postérité…

[modifier] Fiche technique

  • Titre : Arènes joyeuses
  • Réalisateur : Karl Anton
  • Scénario : René Pujol, Yves Mirande, Max Kolpé, d’après l’opérette éponyme d’Henri Allibert et Vincent Scotto (1934)
  • Dialoguiste : Yves Mirande
  • Musique : Vincent Scotto
  • Chansons : paroles d’Henri Allibert / René Sarvil et musique de Vincent Scotto
  • Cadreurs : Harry Stradling, Fred Langenfeld, Robert Lefebvre, Jacques Mercanton, Barrois, Roger Duculot, Michel Rocca
  • Ingénieur du son : Roger Loisel
  • Décorateur : Jean Laffitte

[modifier] Distribution

  • Félix Oudart : Calixte
  • Pauline Polaire : La bohémienne
  • Cécile Lemaire : Violette
  • Raphaël Medina : le toréador Chico de Granada
  • Marthe Mussine : La bonne
  • Jean Sinoël : Le garçon d'hôtel
  • Ginette Darcy
  • Milly Mathis

[modifier] Autour du film

[modifier] Liens externes