Discuter:Alphabet phonétique international

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Des exemples ou meme la table des correspondance serait les bien venu

Wikinner

C'est prévu, mais là je manque de temps. Vincent 27 sep 2003 à 18:56 (CEST)

+1 J'aurais aimé pouvoir peu à peu maîtrisé les signes mais c'est dur pour un novice sans mots accompagnant les signes. YODAfroman 13 janvier 2007 à 22:40 (CET)

Sommaire

[modifier] Tonèmes - Tons de hauteur variable.

J'utilise MS Word 2003 sous Windows XP SP2 édition familiale.

Quand je sélectionne la police de caractères Doulos SIL et que je tape à la suite les pictogrammes correspondant aux différentes hauteurs prises par un ton, Word affiche correctement le pictogramme pour le ton de hauteur variable. Avec Code2000, ça ne marche que pour trois tons particuliers.

Ce comportement est-il standardisé, c'est-à-dire décrit par Unicode ou une autre norme?

[modifier] Neutralisation

Plutôt que d'affirmer que telle ou telle interprétation des voyelles du français « est appelée à disparaître », ce qui manque foncièrement de prise de recul (Wikipédia n'est pas une voyante) et de neutralité de point de vue, il serait préférable d'expliquer que la voyelle /õ/, traditionnellement transcrite par [xxx], est aussi interprétée [yyy] par tel ou tel auteur en citant les sources.

[modifier] Travaux en cours.

Je suis content des modifications de l’article réalisées par Vincent. J’essaierai dorénavant de m’exprimer ainsi, même si c’est parfois difficile.

Juste une question: pourquoi «Postérieures non arrondies» au pluriel alors qu’il n’y a qu’une voyelle de cette catégorie?? Flofl 18 nov 2004 à 23:43 (CET)

Erreur de ma part, sûrement. Vincent 19 nov 2004 à 06:49 (CET)

[modifier] Semi-voyelle

An' tit' question : j'ai un vague souvenir des mes cours de 4e (fouillah !) d'histoires de demi-voyelles comme le « u » de huit. J'ai rêvé ou ça existe vraiment ? Cdang | m'écrire 24 nov 2004 à 14:38 (CET)

Tu n'as pas rêvé ; on trouve en effet de nombreux synonymes pour désigner des sons comme ceux notés par u dans huit, y dans yaourt ou ou dans ouate : semi-voyelles, semi-consonnes, spirantes, approximantes, etc. Vincent 24 nov 2004 à 16:02 (CET)
Je me disais bien que je n'avais pas fait que dormir en cours de francais ^_^. Merci pour l'info. Cdang | m'écrire 25 nov 2004 à 07:41 (CET)
le caractère phonétique API pour ce son est /ɥ/. --Moyogo 21 déc 2004 à 03:03 (CET)

[modifier] Description de l'alphabet

La section Alphabet phonétique international#Description_de_l'alphabet a grand besoin d'amélioration. On pourrait avoir un tableau complet des caractères, modificateurs et diacritiques officiels de l'API. Quelque chose comme les tables dans en:IPA in Unicode (en), ou encore comme celles dans de:Internationales_Phonetisches_Alphabet#Lautzeichen (de).

Suivrait une description plus détaillée de chaque charactère et diacritique. --Moyogo 21 déc 2004 à 06:21 (CET)

Oui, c'est une excellente idée qui permettrait de corriger le tableau des consonnes auquel je n'arrive pas à accéder -- Eric DANÉ - 2005-05-02 :

[modifier] Consonnes pulmonaires

Bilabial Labiodental Dental Alveolar Postalveolar Retroflex Palatal Velar Uvular Pharyngeal Glottal
Plosive p b t d ƫ ɗ c ɟ k g q ɢ ʔ
Nasal m ɱ n ɳ ɲ ŋ ɴ
Trill ʙ r ʀ
Tap or Flap ɾ ɼ
Fricative ɸ β f v θ ð s z ʃ ʒ ʂ ʐ ç ʝ x ɣ χ ʁ ħ ˁ h ɦ
Lateral fricative ɬ ʫ
Approximant ɺ ɹ ɻ j ɰ
Lateral approximant l ɭ ʎ ʟ

[modifier] Syntaxe wiki

Créé à partir de en:, à toutes fins utiles :

{{API|ŋ}} ŋ
{{API|ɑ}} ɑ
{{API|ɔ}} ɔ
{{API|ə}} ə
{{API|ɥ}} ɥ
{{API|ɲ}} ɲ
{{API|ɺ}} ɺ
{{API|ɾ}} ɾ
{{API|ʀ}} ʀ
{{API|ʁ}} ʁ
{{API|ʃ}} ʃ
{{API|ʒ}} ʒ
{{API|χ}} χ

Combinaisons :

{{API|/ʃɑto/}} → /ʃɑto/ (château)

Alternatives :

<math>\rm a</math> a
<math>\rm \tilde{a}</math> \rm \tilde{a}
<math>\rm \tilde{\varepsilon}</math> \rm \tilde{\varepsilon}

Cdang | m'écrire 7 fev 2005 à 15:34 (CET)

[modifier] Allongement en français

[modifier] 1re partie

Vu que l’allongement n’est noté qu’entre [], j’ai décidé de modifier ce paragraphe. Mais aussi à cause de z̥ qui est peut-être un peu trop précis pour figurer entre //. D’autre part, je n’indique [-z̥s-] que comme une variante possible en plus de l’assimilation totale avec [-ss-]. Duchet dans La phonologie n’indique en effet que des assimilations de sonorité totales en français entre deux syllabes. En même temps il semblerait qu’il ne fasse pas la distinction entre désonorisation partielle et passage au phone non sonore correspondant… Du coup peut-etre que pour vous z̥ était un moyen de maintenir z entre // tout en indiquant qu’il passe à s entre []??? Bref, remodifiez ce paragraphe selon le bon usage en vigueur si cela vous semble nécessaire, mais je pense qu’il faut utiliser des [] à cause de la première raison que j’ai donnée. C’est logique· 11 fev 2005 à 12:39 (CET)

Faudrait-il donné une explication pour la différence entre // et []? --Moyogo 11 fev 2005 à 16:57 (CET)
C’est une bonne idée en effet. C’est logique· 11 fev 2005 à 17:29 (CET)

Sur l'allongement
Je me suis longtemps posé la question et la sait complexe : l'allongement peut être considéré pertinent dans certains usages français, notamment la langue considérée standard. Par exemple, /mɛːtʁ̥/ ~ /mɛtʁ̥/. L'utilisation de l'accent circonflexe en français sert, entre autres, à indiquer la chose. C'est cependant une opposition que je ne pratique pas et qui ne me semble plus très courante. Henriette Walter en indique d'autres qui auraient été plus courantes il y a une trentaine d'années, comme /lapɛ̃/ (sg. )~ /lapɛ̃ː/ (pl.) (je ne trouve plus dans quel ouvrage ; je fouille et indiquerai les références dès que possible).

Je pense qu'il n'est pas exagéré de considérer que cet allongement est maintenant trop rare pour être considéré pertinent (auquel cas, autant l'exclure, comme vous le préconisez, de la transcription phonologique). Qu'en dit votre Canepari à ce propos (je parle de l'ouvrage) ?

Sur le dévoisement de /z/ devant /s/
Ç'aurait été devant une autre consonne sourde, je pense que [z̥] aurait été préférable, la consonne restant douce. Mais devant /s/, je pense que vous avez raison et que [z̥] ne se justifie pas.

Sur [ʁ̞]
Je ne vois pas trop ce que vous entendez par là : que /r/ devient une spirante ? C'est surtout vrai en fin de mot (Léon, Delattre, Fougeron et Smith pour des études à ce sujet). Sinon, cela dépend des locuteurs (chez moi, il reste très clairement fricatif dans votre énoncé). En revanche, et surtout, c'est au moins [ʁ̥] après un /t/ qui s'impose Vincent 11 fev 2005 à 18:53 (CET)

Il paraît qu'on avait aussi l’allongement il y a fort longtemps pour indiquer le féminin: /lami ~ lami:/ l’ami(e)…
Il n'y a pas fort longtemps : aux XVIe et XVIIe s., c'est parfaitement enregistré (plusieurs transcriptions phonétiques d'époque et de nombreuses méthodes de notation phonétique pour la lecture des vers) ; au XVIIIe, voir chez Gile Vaudelin ; Henriette Walter, dans Le français dans tous les sens, indique que la quantité vocalique est encore pertinente dans certaines variantes françaises de Franche-Comté, de Bourgogne, de Champagne, Belgique et Suisse. Dans son Enquête phonologique du français, elle relève pas mal de locuteurs chez qui des pluriels et des singuliers ainsi que des masculins et des féminins qui seraient sinon homophones sont en fait distingués par la quantité. Cela date de la chute des consonnes et du e caduc finals (par allongement compensatoire) à partir du XIVe s.
Chez Canepari, pour le français, on a toujours l’accent primaire entre // (!), mais pas les durées; entre [] on a en plus les accents secondaires (!) et les durées.
Vous avez tout à fait raison, c’est une erreur de ma part. Dans cette position il passe même souvent à un vibrant désonorisé. Confirmeriez-vous qu’en position finale on passe carrément au phone non sonore, par exemple dans soufre /sufr/ [sufχ]?? C’est logique· 11 fev 2005 à 22:03 (CET)
Je pense que de [ʁ̥] à [χ] dans cette position, la différence est minime. Il faudrait des analyses acoustiques précises pour prouver que l'on a l'un mais pas l'autre, ce dont je ne dispose pas. Vincent 12 fev 2005 à 00:10 (CET)
En écoutant des enregistrements plusieurs fois en faisant bon usage du bouton de pause, on peut entendre la différence. Dans [sufχ] les cordes vocales ne vibrent plus depuis le /f/ tandis que dans [tʁ̥o] la première partie du /r/ n’est pas plus sonore que le /t/ tandis que sa deuxième partie l’est comme le /o/ qui suit. Mais j’ignore s’il s’agit bien là de votre définition d’un phone tel que [ʁ̥]… De toute manière, je ne voulais pas tellement savoir si vous en aviez la preuve mais plutôt si cela vous semblait concevable. Autre chose: est-ce que douce veut simplement dire sonore ou y a-t-il une nuance? C’est logique· 12 fev 2005 à 01:39 (CET)

[modifier] 2e partie

[Je pars dans quelques minutes en week-end, pardonnez la brièveté de la réponse]
Il y a une différence entre douce et forte (lenis et fortis dans certains ouvrages) : une douce est émise avec moins d'énergie / tension musculaire et de souffle, à l'inverse d'une forte. Normalement, toutes les sonores sont douces, les sourdes fortes (il s'agit simplement de lutter, pour les fortes, contre la moins grande audibilité due à l'absence ce vibrations glottales). Mais une sonore dévoisée reste douce, une sourde voisée une forte, d'où la présence de symboles spécifiques en API (un /z/ dévoisé n'est donc pas confondu avec un /s/). Ainsi, dans grande table', le /d/ dévoisé n'est pas identique au /t/ de petite table, etc. C'est parfaitement visible avec l'analyse acoustique ou, simplement, quand on chuchotte. Vincent 12 fev 2005 à 08:51 (CET)
Merci, ça me revient maintenant. Chez Canepari, à part dans l’échelle de syllabicité, on ne fait pas mention de cette différence de tension. Lene indique le mode phonatoire (qui peut être sonore ou non) dans lequel les aryténoïdes sont écartés. [ ̥] indique un mode de phonation mixte. Pour lui, on a par exemple dans five en anglais un [v̥] dont la première partie est sonore et la deuxième non sonore; dans Bad ou das Bad en allemand on a l’inverse pour le [b̥]; dans fate en napolitain, on a un /t/ = [d̥] dont la partie centrale est non sonore et les parties périphériques sont toutes deux sonores (dans l’accent moins marqué on a [ṭ], ce qui indique en canIPA un /t/ non sonore lene, c’est-à-dire avec aryténoïdes écartés). C’est logique· 18 fev 2005 à 02:29 (CET)

C'est étrange que Canepari ne traite pas de ce sujet sous ces termes car l'Initiation à la phonétique de Bouquiaux et al. y consacre une bonne section, ainsi que la Phonétique de Malmberg (seuls ouvrages de linguistique que j'avais apportés avec moi ces derniers jours), d'autant plus que cela explique bien des détails sur la réalisation des consonnes germaniques (et donc pourquoi les Français croient entendre les Alsaciens dire prioche au lieu de brioche) et, surtout, c'est un trait pertinent célèbre dans les langues berbères. Pourtant, les exemples que vous citez illustrent bien les faits ([b̥] allemand, par exemple) : les études physiques portant sur la tension des muscles « phonatoires » sont, avec les moyens techniques actuels, capables d'une grande précision. Comment Canepari, par exemple, explique-t-il la différence entre [i] et [ɪ] ? Vincent 18 fev 2005 à 03:12 (CET) P.-S. J'ai trouvé pas mal de nouvelles données sur l'accent tonique et l'allongement en français pendant mes dernières relectures. Je n'ai cependant pas le courage de les taper pour l'instant. Vincent 18 fev 2005 à 03:17 (CET)

Il n’explique pas: ce sont deux timbres différents, [ɪ] est à mi-chemin entre [i] et [e]. Ou que voulez-vous dire??
Je vous comprends! Savez-vous que c’est encore pire sur en:: j’avais oublié (¿refoulé?) qu’on doit taper à la main le code de tout caractère non ASCII! C’est logique· 18 fev 2005 à 03:52 (CET)
Pour les auteurs dont je parle (mais d'autres encore comme Ladefoged ou Martinet), les différences entre [ɪ] et [i] tiennent surtout à la tension musculaire impliquée. La première est dite lâche, d'où l'effet secondaire de changement de timbre par agrandissement de l'aperture (en raison du relâchement des muscles de la mâchoire, ce qui implique une plus grande ouverture) et de légère centralisation (d'où, encore, la place des symboles [ɪ, ʊ, ʏ] dans le tableau des voyelles de l'API : plus proches du centre). La seconde est plus ou moins tendue. La comparaison entre les mouvements musculaires d'un anglophone et ceux d'un francophone est très parlante : le français est une langue tendue, d'où l'absence de diphtongues pures, alors que, la tension variant le plus souvent avec la durée (économie articulatoire), les voyelles longues anglaises, lors de la bascule vocalique, ont pu diphtonguer : [uː] avant XVe → [oʊ] (en faisant fi des processus de dissimilation). La majorité des diphtongues anglaises, allemandes ou néerlandaises, du reste, ont un deuxième élément lâche. C'est aussi le cas en mandarin : 好 hǎo analysé /hao/ mais réalisé [xaʊ].
Bouquiaux et al. parlent même de langues dans lequelles la tension n'est pas seulement limitée au phonème mais s'étend à la syllabe : en mon, par exemple. Tiens, une phrase pour vous faire plaisir : « La transcription de la tension syllabique n'a pas été prévue [par l'API] ». Je note qu'à l'époque où les auteurs ont écrit leur livre, du reste, l'API proposait un diacritique notant la tension (mais pas son absence), en l'occurrence une cédille, laquelle est maintenant absente. Exemple mon : [n̥oa] « présages » ~ [ņ̊o̧a̧] « crête de coq » (notation non API pour les tendues). On écrirait, en API strict (improprement et sans pouvoir tout noter) : [n̥ʊæ̈] ~ [n̥oa]. Les auteurs précisent que ce mécanisme d'opposition est hérité d'une évolution phonétique opposant au départ des sourdes fortes à des sonores douces, l'opposition s'étant alors limitée à la tension musculaire. Vincent 18 fev 2005 à 04:42 (CET)

[modifier] 3e partie

Vous ne dormez jamais, vous non plus?
Il y a là une différence structurelle fondamentale par rapport à Canepari. Il est possible de réaliser n’importe quelle voyelle plus ou moins lâche ou tendue.
C'est ce que disent aussi Bouquiaux (etc.) mais ils ajoutent qu'on peut faire de cette caractéristique suprasegmentale un trait pertinent.
Je vois mal ce que vous appelez «diphtongue pure»: la nécessité qu’elles comportent un élément central ou «lâche» n’a jamais fait partie de la définition (??).
C'était un raccourci un peu trop rapide pour « diphtongue issue historiquement d'une modification du timbre d'une même voyelle », par opposition à « diphtongue par coalescence ».
Vous parlez de relâchement-aperture, mais comment explique-t-on alors les diphtongues de fermeture?
Non, je parle de « tension variant le plus souvent avec la durée » : parfois, la tension s'accroît. Parfois, c'est en raison d'une dissimilation secondaire, toutefois.
On en revient toujours au mêmes langues majeures qui ont vu naître l’API, mais il n’a jamais vraiment atteint ses ambitions internationales. Vous reconnaissez vous-même «La majorité des diphtongues», dans ces langues, et sans parler des autres langues.
Parce que je cite de mémoire des langues que je connais. J'aurais pu chercher des diphtongues africaines, si vous préférez, ou vietnamiennes. C'est là un pur effet de ma paresse. Le Sounds of the World's Languages de Ladefoged s'appuie énormément sur des langues « rares ». L'eurocentrisme dont vous parlez n'a plus réellement cours et quant c'est le cas, c'est très regrettable.
On ne peut pas partir du principe que toutes les langues n’auront besoin que de ces timbres génériques-là et qu’ils seront toujours légèrement centralisés «comme dans le trapèze officiel».
Je suis bien d'accord : c'est pour cela que les voyelles de l'API sont déclarées « voyelles cardinales », du reste. Voyez par exemples comment l'API défini le /u/ japonais (en:Image:Japanese-vowels.png.).
On veut artificiellement faire coller la réalité à ce que publie l’API. Comme ces gens qui prétendent que /s z/ sont alvéolaires en fr. «paske c’est écrit dans la charte» alors que dans la majeure partie des langues ils sont dentaux (mais pas en castillan et grec moderne, par ex.).
Je n'ai jamais lu, dans aucun ouvrage de l'API, que ces phonèmes sont alvéolaires. Du reste, l'API précise que l'on peut se passer du diacritique dental [o̪] une fois que l'on a précisé que les coronales sont dentales (sauf /l/ dans de nombreux cas). Au fait, honnêtement, avez-vous le Handbook of the IPA ?
Il me semble que vous lui prêtez injustement de nombreuses imprécisions que ses analyses n'ont pas. De même dans les ouvrages de Ladefoged qui, palatogrammes et tracés d'après clichés aux rayons X à l'appui, prouve que dans les langues indiennes indo-aryennes il n'existe pas de rétroflexes réelles et qui, au final, se retrouve à réinventer l'API pour préciser plus en détails encore l'articulation de nombreux sons confondus sous un même symbole général dans l'API (mais qu'on peut distinguer, ce qui est rarement pratique, par des diacritique). En fait, je pense que vous considérez, trop rapidement à mon goût, que les incohérences de l'API, que je reconnais sans problèmes, se retrouvent chez ceux qui l'emploient. Par exemple, Ladefoged, pour les fricatives coronales, utilise [s̪, s, s̻, ṣ, s̠, ʃ, ʃ̻, ɕ, ŝ, ʂ]. Tout phonéticien sérieux passe par là.
Au passage, ¿connaitriez-vous l’adjectif français pour faire allusion au «sillon» présent dans /s z/? qui les différencie plus de /θ ð/ que l’«interdentalité» (en it. solcato).
J'utilise sulcal(e). Il n'est cependant pas très attesté en français (qui reste trop à la traîne pour le vocabulaire) mais souvent en anglais. Ladefoged utilise d'autres distinctions telles que l'arrondissement du dos de la langue (domed tongue) pour les phonèmes du toda.
À propos de diphtongues, pour vous, «/i:/» anglais est vraiment une seule voyelle longue (= le même timbre qui dure) ou seriez-vous d’accord pour dire que c’est en fait une diphtongue de fermeture [ɪi]?? C’est logique· 18 fev 2005 à 05:31 (CET)
Je dirais plus [ij] que [ɪi] parce que je ne trouve pas le premier élément lâche à ce point. En fait, la notation [ij], bien qu'exagérée, me convient car, si l'on suit les travaux de Straka sur la distinction entre les « semi-voyelles » et les voyelles associées (c'est la seule analyse qui me semble pertinente, du reste), c'est bien une question de tension musculaire qui entre en jeu, laquelle différencie (entre autres) [i] de [j]. Vincent 18 fev 2005 à 12:36 (CET)

[modifier] 4e partie

Je n'ai jamais lu, dans aucun ouvrage de l'API, que ces phonèmes sont alvéolaires.

Je ne parle pas d’auteurs de l’API, mais de la charte de l’API lui-même, qui est tout de même un élément central de leurs publications officielles et qui positionne clairement /s z/ dans la colonne alvéolaires alors que ça n’est même pas l’articulation la plus répandue de ces phonèmes. J’essaierai de trouver des exemples d’ouvrages qui définissent hativement ces sons comme alvéolaires dans des langues où ils sont dentaux ou qui laissent planer le doute, ce qui revient au même: vous parliez de préciser un fois pour toutes s’il est dental, mais encore faut-il le faire: par exemple, sans aller chercher très loin, dans Duchet on trouve en p. 3 le tableau des symboles utilisés avec la mention «Une présentation complète des symboles phonétiques internationaux est donnée p. 48-49.» en dessous on lit «[s] fr. su; [z] fr. azur, masure». Et page 48-49, quelle définition de «[s z]» trouve-t-on? La reproduction fidèle et non explicitée de la Charte qui donne /s z/ comme «Pulmonaires; Fricatives serrées; alvéolaires». Je n’ai pas le courage de relire l’ouvrage du début à la fin pour vérifier si l’auteur ne préciserait pas, quelque part, qu’en fait en français ils sont dentaux… De toute manière, les pages 3, 48 et 49 sont présentées comme pouvant se suffire à elles-mêmes et le lecteur moyen ne doit pas avoir à lire le bouquin entier pour vérifier si l’auteur n’aurait pas, par hasard, pris un raccourci fâcheux. Ce lecteur moyen est, de fait, roulé dans la farine.
Oui mais... C'est un ouvrage de phonologie très proche du structuralisme de l'École de Prague avec de larges bouchées « néo-fonctionalistes » à la Martinet : la réalisation effective des phonèmes n'intéresse pas cette approche ; ce qu'elle vise, c'est une description formelle et théorique d'un système d'oppositions avec le meilleur rendement « notationnel » possible. C'est presque de l'art, en somme car il y a une réelle visée esthétique. À cet égard, Malmberg, dans La phonétique (« Que sais-je ? ») s'emporte même contre la séparation jugée absurde entre phonétique et phonologie, qu'il attribue à l'école de Prague. Sur la question de la meilleure méthode de notation phonétique, il y a une section intéressante dans le Bouquiaux. De toute façon, il ne faut pas oublier non plus qu'on doit à la fois au structuralisme et au fonctionalisme le tableau actuel, qui mêle considérations physiologiques (les bilabiales), impressives (les chuintantes), acoustiques (les sifflantes ~ les chuintantes) et fonctionnelles (l'existence de rhotiques et les liens graphiques établis entre les différents /r/ ; surtout la création de points d'articulations regroupant de multiples autres points parfois très différents). Bref, même le découpage pseudo-articulatoire actuel est bâtard.
C’est bien ainsi que Canepari définit le /u/ japonais (il ne le donne que non arrondi), mais il dispose d’un symbole spécifique pour ce timbre (plutôt que d’utiliser 3 diacritiques aussi lourds à composer que peu lisibles).

Au fait, honnêtement, avez-vous le Handbook of the IPA ?

Je l’ai sous forme de photocopies à Bordeaux, il faudra que je le relise vraiment. J’essaierai de le compulser en bibliothèque à Paris.
Vous verrez, c'est très inégal mais certains articles sont très bons et l'intro est très utile pour la théorie de la notation API.
Merci pour sulcal. J’avais trouvé sulcature et sulciforme dans le Robert mais je n’étais pas sûr de pouvoir dire quelque chose comme sulcal. C’est vrai qu’en français on le trouve peu ou pas (on se contente de la différence sifflante/chuintante, qui ne décrit rien d’autre qu’une impression auditive) alors que dans les traités italiens on le trouve à toute époque. C’est logique· 18 fev 2005 à 16:01 (CET)
Vincent 18 fev 2005 à 20:49 (CET)

[modifier] accentuation

(rajout) Dans la langue française

Dans la représentation phonologique entre //, il n'est pas nécessaire d'indiquer l'accentuation car celle-ci n'est rajouté que quand un mot est prononcé.

Pas forcément. Dans une analyse phonologique d'un énoncé dans une langue à accent libre, il est nécessaire de l'indiquer dès qu'il permet de distinguer des paires minimales.
Excusez-moi j'aurais du préciser que je pensais à l'exmple constitution en français. Quelle paire minimale sont distinguer par l'accentuation en français?

Celle-ci est juste nécessaire dans la représentation phonétique entre []. En français, la règle générale est de la placé sur la dernière syllabe de chaque groupe syntagmatique. ref: http://post.queensu.ca/~lessardg/Cours/215/chap3.html#3.9

Ce sujet a déjà longuement été débattu. Vincent 1 avr 2005 à 06:41 (CEST)
Je n'en doute pas. Je ne fais que questioner le consensus atteint. ---Moyogo 1 avr 2005 à 07:29 (CEST)

[modifier] Au niveau de

Désolé de vous contredire, Vincent, mais il y a bien ici différents niveaux: le niveau phonologique et le niveau phonétique (au moins…).

Votre «phonologiquement» va très bien mais je pense que pour beaucoup de néophytes, ce terme n’évoque pratiquement pas les phonèmes (au contraire du terme phonémique bien meilleur, ne vous déplaise). Je voulais simplement attirer l’attention sur le fait qu’étant donné que l’on parle des phonèmes du français, on ne pouvait laisser coexister le /r/ et le /ʀ/ puisque quelle que soit leur réalisation phonétique respective, ils ne constituent qu’un seul phonème en français.

[modifier] У mongol

J'ai essayé l'année dernière avec une de mes profs mongols de mongol de commencer à écrire le mongol avec l'A.P.I., ce qui n'est fait dans aucun dictionnaire connu de moi. Comme nous n'avions étudié la phonétique ni l'un ni l'autre, nous nous sommes contentés d'un cours trouvé sur internet, et d'un C.D. conseillé par l'A.P.I.. et nous sommes heurtés à bien des difficultés... jusqu'à ce que ma prof ne déménage en Corée...
Notamment, j'aimerais bien savoir comment on écrit le son У du mongol (comme dans Улаанбаатаар: Ulaabaatar), qui me parait le son arrondi le plus postérieur et fermé qu'un être humain normalement constitué puisse prononcer dans la conversation courante. C'est un son bien plus postérieur que le "ou" français.

C'est donc assez proche de la voyelle cardinale u et tu peux le transcrire [u] sans hésiter. C'est plutôt le ou français qu'il faudrait qui ne correspond pas exactement à cette voyelle : dans une transcription méticuleuse, on l'écrirait probablement [u̟̞].
Régis Lachaume 2 août 2005 à 23:10 (CEST)
J'ai créé un article sur la prononciation du mongol. Pas grand chose, mais ça peut toujours servir.
Le «У» serait plutôt un [ʊ], comme en anglais, en allemand, ou dans la prononciation québécoise d'un [u] fermé (toute : [tʊt]).--Staatenloser 29 octobre 2005 à 16:51 (CEST)

[modifier] Diacritiques

Une bonne âme nous traduirait-elle en français le tableau des signes diacritiques ? J'aimerais notamment comprendre bien ce que signifie "advanced", "retracted", et entendre un exemple d'"advanced tongue root" et de "retracted tongue root", notamment sur [u], pour écouter si ça ressemble au У mongol. --130.120.105.237 24 jun 2005 à 19:56 (CEST)

[modifier] Tableau

Je propose un nouveau modèle (plus général) pour les consonnes :

  Consonnes (Image) Voir aussi : API, Voyelles  
Modes
d’articulation
Points d’articulation  
Labial (multiple) Coronal (multiple) Dorsal Laryngal (aucun)  
 Pulmoniques   Bilabial  Lab-dent. Lab.-pal. Lab.-vél.  Dental    Alvéol.  Post-alv. Rétro. Alv.-pal. Post-alv.-vél. Palatal  Vélaire  Uvulaire Pharyn.  Épiglott.    Glottal    
Nasales   m   ɱ     ŋ͡m     n     ɳ       ɲ   ŋ   ɴ    
Occl. prénasalisées m͡p m͡b     ᵑk͡p ᵑɡ͡b n͡t̪ n͡d̪ n͡t n͡d   ɳ͡ʈ ɳ͡ɖ     ɲ͡c ɲ͡ɟ ŋ͡k ŋ͡ɡ ɴ͡q ɴ͡ɢ    
Occlusives p b   k͡p ɡ͡b t d   ʈ ɖ     c ɟ k ɡ q ɢ   ʡ   ʔ    
Affriquées p͡ɸ b͡β p͡f b͡v     t͡θ d͡ð t͡s d͡z t͡ʃ d͡ʒ t͡ʂ d͡ʐ t͡ɕ d͡ʑ   c͡ç ɟ͡ʝ k͡x ɡ͡ɣ q͡χ ɢ͡ʁ   ʡ͡ʜ   ʔ͡h    
Fric. prénasalisées m͡ɸ m͡β ɱ͡f ɱ͡v     n͡θ n͡ð n͡s n͡z n͡ʃ n͡ʒ         ŋ͡k ŋ͡ɡ        
Fricatives ɸ β f v     θ ð s z ʃ ʒ ʂ ʐ ɕ ʑ ɧ   ç ʝ x ɣ χ ʁ ħ ʕ ʜ ʢ h ɦ  
Spirantes   β̞   ʋ   ɥ ʍ w   ð̞   ɹ       ɻ     j   ɰ              
Roulées   ʙ         r     *           ʀ     *    
Battues   *         ɾ̪   ɾ     ɽ               *    
Fricatives latér.     ɬ ɮ   *       *   *            
Spirantes latér.     l     ɭ       ʎ   ʟ      
Battues latér.       ɺ     *       *   *      
Non pulmoniques  
Occl. injectives ƥ ɓ         ƭ ɗ     *     ƈ ʄ ƙ ɠ ʠ ʛ    
Occl. éjectives         t̪ʼ       ʈʼ                
Fric. éjectives ɸʼ         θʼ     ʃʼ   ʂʼ   ɕʼ     çʼ     χʼ      
Clics centraux ʘ         ǀ   ǃ       ǂ            
Clics latéraux     ǁ                

Lorsque deux symboles apparaissent dans une case, celui de gauche représente une consonne sourde, celui de droite une consonne voisée.
Les cases séparées par des pointillés emploient normalement les mêmes symboles API de base, et ne diffèrent éventuellement que par les diacritiques appliqués pour déplacer leur articulation.
Les cases marquées d’un astérisque (*) indiquent des sons attestés non encore représentés officiellement dans l’API.
Les parties grisées indiquent une articulation jugée impossible. Les cases blanches vides indiquent des articulations théoriques possibles mais non encore attestés.
Les affriquées t͡s, d͡z, t͡ʃ, d͡ʒ, t͡ɕ, d͡ʑ sont notées à l'aide des ligatures ʦ, ʣ, ʧ, ʤ, ʨ, ʥ d’usage courant, ne faisant plus partie de l’API (il est recommandé de les remplacer par les deux articulations, liées avec une barre ou avec la fricative en exposant).
Les occlusives injectives sourdes en italique, parfois employées, ne font plus partie de l’API (il est recommandé de les remplacer par le symbole de la consonne voisée avec le diacritique de dévoisement).

Qu'en dites-vous

Régis Lachaume 31 juillet 2005 à 19:43 (CEST)

C'est bien plus général, mais difficil à lire. ---Moyogo 31 juillet 2005 à 21:11 (CEST)
Et maintenant (testé sous linux/firefox) ?
C'est pas mal, génial même. Mais pourquoi tant de vert? ;) ---Moyogo
À force de fumer certaines plantes... — Régis Lachaume 3 août 2005 à 11:52 (CEST)

[modifier] Transcription théorique des phonèmes français

Ça a vraiment sa place dans l'article IPA ? Je verrais plutôt ça dans phonologie du français...

Régis Lachaume 1 août 2005 à 21:18 (CEST)

Ouaip, ça n'a pas ça place ici. ---Moyogo

[modifier] Charactères phonétiques

A ce que je vois les charactères phonétiques dans les pages du Wikipédia français ne sont pas correctement affichés, au moins pas sur mon ordinateur (Internet Explorer / Windows XP Pro), qui je dirais est similaire au celui de beaucoup d'utilisateurs. Si je ne me trompe pas, le Modèle:APIb qui est utilisé en est coupable. La même chose se passait sur le Wikipédia roumain et il a suffit d'effacer une partie de la définition du modèle pour que tout marche bien de nouveau. Pour être précis, si l'on remplace la définition présente

<span class="API" style="font-family:{{Polices API}}; font-family /**/:inherit;">{{{1}}}</span>

avec celle-ci

<span class="API" style="font-family:{{Polices API}};">{{{1}}}</span>

on force les browsers à afficher les charactères Unicode correctement. La différence est [ɛ̃.d̪y.ˈʁe] contre [ɛ̃.d̪y.ˈʁe].

Je ne l'ai pas fait moi-même car je pense que ça regarde un grand nombre d'articles et peut se manifester différemment sur d'autres systemes, donc on a besoin de l'aide de quelqu'un qui s'y connaisse. --AdiJapan 28 octobre 2005 à 04:04 (CEST)

{{APIb}} fonctionnait auparavant, et même très bien. Il a arrêter de fonctionner d'un coup. Je n'ai aucune idée pourquoi.--Staatenloser 28 octobre 2005 à 06:03 (CEST)
J'ai fait le changement et ça fonctionne!--Staatenloser 28 octobre 2005 à 19:20 (CEST)

[modifier] API et APIb

Pourquoi y en a-t-il deux modèles pour la même chose? Je parle de Modèle:API et Modèle:APIb, dont seulement le second me semble fonctionner comme il faut. --AdiJapan 4 novembre 2005 à 10:29 (CET)

[modifier] Exemples en OGG ?

Bonjour. Afin de présenter cet article pour le label "qualité" avec le maximum de probabilité de succès, je propose que l'on mette des fichiers d'exemple en OGG. Désolé de ne pas le faire, ma voix est horrible guffman 6 novembre 2005 à 00:28 (CET)

[modifier] histoire: 1900

  Laryn-
gales
Gutturales Uvulaires Vélaires Palatales Linguales Labiales
C
O
N
S
O
N
N
E
S
Plosives ʔ  
 
G k ɡ c ɟ t d p b
Nasales  
 
    ŋ ɲ n m
Latérales  
 
    ɫ ʎ l  
Roulées  
 
Q ᴙ ʀ     r  
Fricatives h H ɦ ᴚ ʁ (ʍ w) x ɡ̸ (ɥ)  ç j ɹ, θ ð, ʃ ʒ, s z,
* *
f v       F ʋ
 ʍ w   ɥ
V
O
Y
E
L
L
E
S
Fermées
                      
Mi-fermées

Moyennes

Mi-ouvertes

Ouvertes
      u   ɯ    ü       ï    y   i

  ᴜ                  Y   I
    o      ö   ë   ø   e
                ə
      ɔ     ʌ ɔ̈    ä œ   ɛ
                ɐ      æ
          ɑ        a

  (u ü y)

(o ö ø)

(ɔ ɔ̈ œ)
* no Unicode character (?)

Ish ishwar 11 novembre 2005 à 09:11 (CET)

[modifier] [ˀ] ou [ʔ]

Bonjour, j'ai relevé une incohérence (?) dans l'emploi de ces signes - mais peut-être est-ce moi qui me trompe. Dans cet article, le mot : Rindfleischetikettierungsüberwachungsaufgabenübertragungsgesetz est transcrit ainsi : [ˌʁɪnt.flaɪʃ.ˀeti.kɛ.ˌtiː.ʁʊŋs.ˀyˑbɐ.ˌva.xʊŋs.ˌˀaʊf.ɡaː.bn̩.ˀyˑbɐ.ˌtʁ̥aː.gʊŋs.ɡə.ˈzɛts]. On voit que cette transcription utilise des coups de glotte en exposant [ˀ]. Pourtant, à la lecture de la page allemande sur le coup de glotte, je vois que nos amis d'outre-Rhin utilisent exclusivement [ʔ] dans leurs transcriptions.

De plus, dans l'article français consacré au coup de glotte, on trouve le passage suivant : "die Entehrung, « le déshonneur », est réalisé [diː ʔεnt'ʔeːʁʊŋ]". On voit donc qu'ici c'est le signe [ʔ] qui est utilisé.

Qu'en pensez-vous ?

Suizokukan 22 février 2007 à 18:27 (CET)

La version en exposant est d'usage fréquent (on le trouve dans un bon nombre de dicos) mais n'est pas un symbole de l'API. À remplacer donc. — Régis Lachaume 22 février 2007 à 20:20 (CET)
J'ai fait la modification.

Suizokukan 23 février 2007 à 07:52 (CET)

Vérification faite auprès du Handbook de l'IPA (que je possède), je confirme cette modification. On trouve en effet dans ce livre des exemples de transcription de l'allemand au moyen du [ʔ], non du [ˀ]. D'autre part, [ˀ] n'existe pas en effet dans les tableaux de ce livre ou dans ses descriptions.

Suizokukan 24 février 2007 à 21:17 (CET)

[modifier] Juste une question

bonjour je voudrais juste savoir si l'API est l'alphabet phonétique que l'on apprend en faculté d'anglais et le même que celui que l'on retrouve dans les dictionnaires bilingues français - anglais. En gros est ce celui que l'on rencontre souvent ou est ce un autre? Merci. Wallblast.

[modifier] Chador ou Tchador

La meilleure transcription en français de ce mot arabe (persan?) est "tchador" ou "chador". Voir l'article pour avoir la phonétique. Kelson 22 mars 2007 à 16:33 (CET)

[modifier] exemple

DONNER DES EXEMPLES Je pense qu'il serait bon d'indiquer des exemples de mots comportant ces sons dans différentes langues :


par exemple : le son [x] correspond exactement :

                                      -au ch de l'allemand nach
                                      -au j de l'espagnol jota
                                      -au gh du swahili ghana
                                      -au ĥ de l'esperanto
                                      -au kh de la transcription arabe 


et on pourrait eventuellemnt donner des exemple de mots / langue avec des sons approchants


Cela permetterait de se représenter plus facilement les sons (parce que au bout d'un moment les definition du type : (fricative palatale sonnore....on en perd son latin) , et cela rebuterait moins les néophites



En fin une idée en passant avoir la liste des son et des langue les utilisants pourrait etre interrressant (par ex seul le français et le polonais on des sons correspondant au ain de pain)


pourquoi faire une difference entre les sons : pain , brun , un chien c'est toujour le meme

Heu non le français standard distingue bien "un" et "ein", même si l'on remarque une tendance à la disparition de cette opposition dans certaines régions (l'accent marseillais par exemple). Xic667 (d) 13 janvier 2008 à 13:51 (CET)