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Sa Majesté la Reine Élisabeth II (Elizabeth Alexandra Mary, née 21 avril 1926) est la reine et le chef d'État du Royaume-Uni de la Grande-Bretagne et l'Irlande du Nord et de 15 autres pays du Commonwealth. Elle est elle est le Seigneur d'Homme. Elle a régné depuis 6 février 1952. Environ 125 millions de personnes vivent dans les pays dont elle est le chef d'Etat. Avant sa succession, elle a tenu les titres d'une princesse britannique et par le mariage, la Duchesse d'Édimbourg.

[modifier] Statut constitutionnel

Dans le Royaume-Uni, la Reine Elizabeth tient son trône en vertu de l'[acte de Règlement 1701], étant l'aîné [Protestantism|Protestant] le descendant d'Electress Sophia d'Hanovre non marié à un catholique. Bien que la succession au trône du Royaume-Uni soit dans les circonstances normales héréditaires, le Parlement du Royaume-Uni a eu le droit de déterminer qui peut hériter le trône depuis au moins le la Révolution Glorieuse de 1688.

Aussi bien qu'étant la Reine du Royaume-Uni, Elizabeth est le chef d'Etat de quinze autres pays du le Commonwealth de Nations, connu comme le les Royaumes de Commonwealth. Ces pays sont l'Antigua et Barbuda, l'Australie, Bahamas, la Barbade, le Bélize, le Canada, Grenade, la Jamaïque, la Nouvelle-Zélande, Papouasie-Nouvelle-Guinée, la Saint-Christophe-et-Niévès, la Sainte-Lucie, la Saint-Vincent-et-les Grenadines, îles Salomon et Tuvalu. Bien que ces pays soient des Etats complètement indépendants, elle tient la position de chef d'Etat en vertu d'être désigné à ce titre dans leurs Constitutions ou lois. À l'origine, ces nations étaient tous Dominions de la Couronne britannique ou des colonies du Royaume-Uni. Le passage du le Statut du Westminster 1931 a séparé la Couronne britannique de ceux des Dominions.

Ces anciennes colonies qui ont voulu retenir la Reine comme leur chef d'Etat ont, à la date de leur indépendance, a ainsi supposé un statut semblable aux Dominions originaux par rapport à la Couronne. Le Statut de Westminster suggère que toutes ces nations devraient maintenir les mêmes règles communes de succession. Cette ligne directrice, pourtant, apparaît seulement dans le préambule; par conséquent, il ne se lie pas juridiquement . Chaque royaume peut théoriquement vouloir adopter n'importe quel les règles de succession qu'il plaît, mais jusqu'à présent, aucun royaume ont voulu faire ainsi.

[modifier] Première vie

La reine Elizabeth est née dans 21 Rue Bruton dans Mayfair, Londres, le Londres à la maison de ses grand-pères maternels, le 14th Comte de Strathmore et Kinghorne et sa femme Cecilia. Elle a été appelée après sa mère, celui-là Lady Elizabeth Bowes-Lyon, pendant que ses deux deuxièmes prénoms sont ceux de son arrière-grand-mère paternelle (Alexandra du Denmark) et sa grand-mère (Mary de Teck) respectivement. Son père, le Duke d'York (connu à sa famille comme Bertie), était le deuxième fils Roi George V et n'était pas alors l'héritier au trône.

La jeune Princesse Elizabeth a été instruite à la maison dans la supervision de sa mère, la Duchesse d'York. Elle a étudié l'histoire avec C. H. K. Marten, le Principal d'Eton et les langues vivantes aussi apprises. Elle parle le français excellent, comme elle a montré dans plusieurs occasions, le plus récemment pendant elle 2004 la visite publique à la France pour commémorer le centenaire du l'Entente Cordiale. Elle a été ordonnée dans la religion par le l'Archevêque de Cantorbéry et était toujours un membre convaincu du l'Église d'Angleterre.

Quand son père est devenu le Roi dans 1936 sur la renonciation de son oncle Edward VIII, elle est devenue l'héritier par présomption et était désormais connue comme HRH la Princesse Elizabeth. Elle avait 13 ans où la Seconde Guerre mondiale a éclaté. Elle et sa soeur plus jeune la Princesse Margaret ont été évacués au Château Windsor, Berkshire. Il y avait une suggestion que les princesses être envoyé au Canada, mais leur mère la Reine a refusé de le considérer, en disant, "ne pouvaient pas peut-être aller les enfants sans moi, je ne partirais pas sans le Roi et le Roi ne partira dans aucunes circonstances." Dans 1940 la Princesse Elizabeth a fait sa première émission, en adressant d'autres enfants qui avaient été évacués.

Dans 1945 la Princesse Elizabeth a convaincu son père que l'on devrait lui permettre de contribuer directement à l'effort de guerre. Elle a adhéré le Service Territorial Auxiliaire (l'ATS) où elle était connue comme No. 230873 de Deuxième Subaltern Elizabeth Windsor et a été entraînée comme un chauffeur. Cet entraînement était la première fois que l'on lui avait enseigné avec d'autres étudiants. On le dit qu'elle l'a beaucoup aimé et que cette expérience l'a menée envoyer ses propres enfants à l'école plutôt que les ont instruit à la maison.

Elizabeth a fait sa première visite officielle à l'étranger dans 1947, quand elle a accompagné ses parents à l'Afrique du Sud. Sur son 21e anniversaire elle a fait une émission au le Commonwealth et Empire Britannique, en promettant de consacrer sa vie au service des gens du Commonwealth et de l'Empire.

Elizabeth s'est mariée avec le Prince Philip, Prince de la Grèce et du Danemark sur 20 novembre, 1947. Le prince Philip est le troisième cousin de Reine Elizabeth; ils partagent la Reine Victoria comme une trisaïeule. (Le prince Phillip avait renoncé à sa revendication au Grèce le trône et a été appellé simplement le Lieutenant Philip Mountbatten avant être créé le Duc d'Édimbourg avant leur mariage). Ce mariage, bien que non arrangé à ce titre, était éminemment convenable pour un héritier femelle au trône, comme Philip avait été entraîné pour les devoirs royaux, mais n'avait aucune connexion étrangère embarrassante. Un vrai match d'amour, il a survécu à beaucoup d'essais, en incluant les infidélités connues selon les rumeurs de Philip.

Après leur mariage Philip et Elizabeth ont enlevé la résidence à Clarence House, Londres. Ils avaient quatre enfants (voir ci-dessous). Bien que le la Maison Royale soit appelée Windsor, il a été décrété via un 1960 l'Ordre-dans-conseil que les descendants de Reine Elizabeth II et de Prince Philip devraient avoir le "nom de famille personnel" Mountbatten-Windsor.

La santé de roi George a décliné pendant 1951 et Elizabeth remplaçait souvent pour lui aux événements publics. Elle a visité la Grèce, l'Italie et la Malte (où Philip a été alors posté) pendant l'année. En octobre elle a visité le Canada et a visité Washington D.C. En janvier 1952 Elizabeth et Philip se mettent en route pour un tour de l'Australie et la Nouvelle-Zélande. Ils étaient arrivés le Kenya quand le mot est arrivé de la mort de son père, sur 6 février, 1952. Au moment exact de succession, elle était dans un hôtel supérieur d'arbre : une circonstance unique pour un tel événement. Le treehouse où elle est montée une princesse et est descendue une reine est maintenant une retraite touristique très populaire au Kenya. Le couronnement d'Elizabeth est survenu dans l'Abbaye de Westminster sur 2 juin, 1953.

[modifier] La vie comme la Reine

Après le Couronnement Elizabeth et Philip ont bougé au Palais de Buckingham dans Londres central. Comme beaucoup de ses prédécesseurs, pourtant, elle déteste le Palais comme une résidence et considère le Château de Windsor, à l'ouest de Londres, être sa maison. Elle passe aussi le temps au Château de Balmoral dans l'Écosse.

La reine Elizabeth est le chef d'Etat le plus largement voyagé dans l'histoire. Dans 1953 - 54 elle et Philip ont fait un tour mondial-rond de six mois, en devenant le premier monarque régnant à faire le tour du globe et aussi le premier pour visiter l'Australie, la Nouvelle-Zélande et la Fiji. En octobre 1957 elle a fait une visite publique au les États-Unis et dans 1959 elle a fait un tour du Canada. Dans 1961 elle a fait du tourisme l'Inde et le Pakistan pour la première fois. Elle a fait des visites publiques à la plupart des pays européens et à beaucoup à l'extérieur de l'Europe. Elle assiste régulièrement aux Têtes de Commonwealth de réunions Gouvernementales.

Elizabeth est un conservateur dans les questions de religion, normes morales et questions de famille. Elle a un fort sens de devoir religieux et prend sérieusement son Serment de Couronnement. C'est une raison pourquoi il est estimé extrêmement probablement qu'elle ira faire jamais abdiquer. Comme sa mère, elle n'a jamais pardonné à Edward VIII puisque comme elle l'a vu, en abandonnant son devoir et en forçant son père pour devenir le Roi, qu'elle a cru a raccourci sa vie à beaucoup d'années. Elle a utilisé l'autorité de sa position pour prévenir sa soeur, Princesse Margaret, en se mariant avec un homme divorcé, Peter Townsend. Pendant les années elle a refusé d'admettre le rapport de son fils Charles, prince de Galles, avec Camilla Parker-Bowles.

Les vues politiques d'Elizabeth doivent être moins bien définies (elle n'a jamais dit ou a fait rien en public pour révéler qu'ils pourraient être). Elle préserve des relations cordiales avec les politiciens de tous les partis. On y croit que ses Premiers ministres préférés ont été Winston Churchill, Harold Macmillan et Harold Wilson. Son la moindre partie de préféré était sans doute Margaret Thatcher, que l'on la dit "à cordialement l'aversion". Elle a de très bonnes relations avec son Premier ministre courant, Tony Blair, qui est le premier Premier ministre né après sa nouvelle acquisition au trône.

La seule édition publique sur laquelle la Reine rend ses vues connues est ceux affectant l'unité du Royaume-Uni. Elle a parlé en faveur de l'union continuée d'Angleterre et de l'Écosse, en mettant en colère certains nationalistes écossais. Sa déclaration de louange pour le l'Irlande du Nord vendredi saint l'Accord a levé quelques plaintes parmi certains Unionists dans le Parti de Syndiqué Démocratique qui s'est opposé à l'Accord.

Malgré une série de controverses du reste de la famille royale, particulièrement les difficultés conjugales de ses enfants partout dans le les années 1980 et les années 1990, la Reine Elizabeth reste une figure remarquablement non controversée et est généralement bien respectée par les gens britanniques. Pourtant, son personnage public reste formel, bien que plus détendu que cela une fois soient. Son refus de déployer l'émotion prévient en public la croissance de sentiments plus profonds pour elle parmi le public.

La reine Elizabeth n'est jamais devenue impopulaire, certainement pas aussi impopulaire que la Reine Victoria était pendant un long terme de son règne. Pourtant, dans 1997 elle et d'autres membres de la Famille Royale ont été perçus comme froids et impitoyable quand on a vu qu'ils ne pas aient participé à l'écoulement public de chagrin à la mort de Diana, la Princesse du Pays de Galles. Cette critique pointue apportée de normalement la presse de tabloïde de royaliste.

On y croit largement qu'Elizabeth a tenu des sentiments négatifs vers Diana et a cru qu'elle avait fait le dommage immense à la monarchie. Pourtant, la vue de la Famille Royale entière s'inclinant au cercueil de Diana comme il a passé le Palais Buckingham, ensemble avec une télévision vivante rare transmise par la Reine, a adressé le chagrin public. On croit que le changement de la Reine d'attitude est provenu du fort avis de la Reine Mère et de Tony Blair.

La Reine reste un chef d'Etat hautement respecté. Dans 2002 elle l'a célébrée le Jubilé D'or, en marquant la 50ème année de sa nouvelle acquisition au trône. L'année a vu un tour étendu du Royaume-Uni, les visites publiques à plusieurs les Royaumes de Commonwealth et les nombreuses parades et les concerts officiels. En juin des milliers de cueilli à l'extérieur le Palais de Buckingham pour le "Parti au Palais", un concert massif présentant des musiciens réputés différents d'un bout à l'autre le les Îles britanniques. Un service national de thanksgiving a été tenu le jour suivant à la Cathédrale de St. Paul, auquel la Reine et le Prince Philip ont voyagé dans le vieux de siècles Entraîneur d'État D'or. C'a été suivi par les carnavals massifs et les défilés, finissant avec un défilé aérien par Concorde et les Flèches Rouges. La Famille Royale a surveillé tout cela du balcon de Palais Buckingham, avant une foule d'un million de personnes.

Malheureusement l'année de Jubilé a coïncidé avec les morts, au cours de quelques mois, de la mère de la Reine et de la soeur. Les relations d'Elizabeth avec ses enfants, pendant que toujours un peu lointain, sont devenues beaucoup plus chaudes depuis ces morts. Elle est particulièrement près de sa belle-fille le Sophie, la Comtesse de Wessex. La Reine et le Prince du Pays de Galles voient toujours peu l'un de l'autre, pourtant. Elle est connue désapprouver le rapport de longue date de Charles avec Camilla Parker-Bowles, mais a fait des gestes de reconnaissance du rapport au cours des dernières années. D'autre part, elle est très près de ses petit-enfants, manifestement Prince Guillaume et Zara Phillips.

Dans 2003 la Reine, qui est souvent décrite comme robustement en bonne santé, a subi trois opérations. En janvier elle avait déchiré le cartilage enlevé de son genou droit à la suite d'une chute sur Noël. En décembre 2003 elle a subi une opération semblable à son genou gauche, en enlevant en même temps plusieurs lésions de son visage. Cela a provoqué des rumeurs qu'elle pourrait avoir le cancer de peau, vite scotched par le Palais. Pourtant, cette chirurgie a apporté des inquiétudes qu'elle est maintenant surmenée.

Comme la Reine s'approche de son 80ème anniversaire, elle a précisé qu'elle n'a aucune intention d'abdiquer. Ceux-là qui la connaissent le meilleur ont déclaré qu'elle a l'intention de régner comme la Reine jusqu'au jour elle meurt. Elle a, pourtant, commencé à rendre quelques devoirs publics à ses enfants. Elle réduit aussi la quantité de voyage international qu'elle entreprend normalement (elle entreprenait ordinairement deux visites publiques chaque année, elle premier en 2004 étant son état vist en France et sa seconde sera celui en Allemagne en novembre et jusqu'à deux Commonwealth visite une année). Comme sa mère, elle a l'intention de continuer à travailler jusqu'à ce qu'elle ne soit physiquement incapable.

L'image publique d'Elizabeth s'est manifestement adoucie au cours des dernières années, particulièrement depuis la mort de la Reine mère. Bien qu'elle reste réservée en public, elle a été vue en riant et en souriant beaucoup plus que dans les années passées et au choc d'entre beaucoup on a vu qu'elle perde les poils les déchirures pendant les occasions émotionnelles comme le service commémoratif à l'Abbaye de Westminster pour ceux ont tué dans le 11 septembre les attaques terroristes.

[modifier] Rôle politique

Dans la théorie, la Reine est une partie essentielle du processus législatif du Royaume-Uni. La Reine-dans-parlement (la Reine, agissant avec l'avis et le consentement de Parlement) constitue la législature britannique, le Parlement comprenant la Chambre des Lords et la Chambre des Communes. En pratique, pourtant, le rôle de la Reine dans le processus législatif est entièrement cérémoniel. La Reine peut juridiquement accorder ou différer l'Acceptation Royale aux becs, mais aucun monarque britannique a refusé son acceptation à un bec depuis 1708. La Reine donne aussi un discours à l'album annuel l'Ouverture d'État de Parlement, en exposant l'ordre du jour législatif pour l'année, mais le discours est écrite pour elle par les ministres.

La Reine a aussi un rôle cérémoniel dans le gouvernement exécutif. Le gouvernement britannique est connu comme "le Gouvernement de Sa Majesté," et la Reine nomme les ministres qui y servent. En pratique, de nouveau, la composition du Gouvernement est déterminée pas par la Reine, mais par le le Premier ministre, qui "conseille" à la Reine. Le Gouvernement est responsable dans le premier cas pas à la Reine, mais à la Chambre des communes. Le rôle de la Reine dans le système judiciaire est de nouveau cérémoniel : l'acte de cours dans son nom et accusations est apporté sur son nom.

La Reine ne peut pas être amenée devant la justice dans les cours dans sa capacité comme le chef d'Etat, elle ne peut être poursuivie en justice non plus personnellement pour n'importe quel acte officiel réalisé par elle ou dans son nom (bien que la Couronne puisse être poursuivie en justice comme une entité juridique). La Reine est, pourtant, un la personne physique sous britannique le droit coutumier, le sujet à la loi comme autre personne. La question de si le monarque pourrait être essayé pour un offense commis dans leur capacité personnelle n'a jamais été évaluée. Pendant la Révolution anglaise du 17ème siècle, le Parlement a essayé Charles I d'Angleterre pour la trahison, mais après la Restauration de Charles II d'Angleterre on a jugé que ces procédures ont été illicites.

Les Premiers ministres prennent leurs réunions hebdomadaires avec la Reine très sérieusement. On a dit qu'il les a pris au sérieux plus que les Questions de Premier ministre dans la Maison de Communes, parce qu'elle serait mieux été au courant et plus constructif que n'importe quoi qu'il ferait face à la boîte de dépêche. Elizabeth a aussi des réunions régulières avec ses ministres individuels. Même les ministres connus avoir les vues républicaines parlent hautement d'elle et évaluent ces réunions.

La Reine se rencontre aussi le Premier Ministre écossais. Le palais royal dans Édimbourg, le Palais de Holyroodhouse, une fois à la maison aux rois écossais et aux reines comme Mary, la Reine d'Écossais, est maintenant régulièrement utilisé de nouveau, avec au moins un membre de la Famille Royale (souvent le Prince du Pays de Galles ou la Princesse Royale) dans la résidence. Elle reçoit aussi des rapports du nouveau l'Assemblage gallois.

Bien qu'attaché selon la convention de ne pas intervenir directement dans la politique, sa longueur de service, le fait qu'elle a été une confidente de chaque Premier ministre depuis Churchill et sa connaissance de chefs mondiaux, signifie que quand elle exprime vraiment une opinion, pourtant prudemment, ses mots sont pris au sérieux. Dans ses mémoires, Margaret Thatcher a offert cette description de ses réunions hebdomadaires avec la Reine:

Quelqu'un qui imagine qu'ils sont une pure formalité ou confiné aux détails sociaux se trompe tout à fait; ils sont calmement objectifs et Sa Majesté exerce une prise formidable d'éditions courantes et de largeur d'expérience.

La Reine a développé des amitiés avec beaucoup de chefs étrangers, en incluant Nelson Mandela, Mary Robinson et Bill Clinton. Occasionnellement de tels contacts se sont avérés extrêmement favorables pour la Grande-Bretagne. Par exemple, John Major comme le Premier ministre avait une fois la difficulté travaillant avec un chef de Commonwealth particulier. La Reine a informé Important que lui et le chef ont partagé un intérêt sportif réciproque. Important a alors utilisé ces renseignements pour établir un rapport personnel, qui a finalement profité aux deux pays. De la même façon elle a pris l'initiative quand le Président irlandais Mary Robinson a commencé à visiter la Grande-Bretagne, en suggérant qu'elle invite Robinson à la visiter au Palais. Le Gouvernement irlandais a avec enthousiasme soutenu l'idée. Le résultat était la visite première par le Président irlandais pour rencontrer le monarque britannique.

[modifier] Ascendance

La reine Elizabeth est descendue des monarques anglais étendant en arrière du Maison de Wessex au 7ème siècle. Elle est aussi descendue de la maison royale écossaise, la Maison de Stuart, qui peut être localisé en arrière au 9ème siècle. À travers son arrière-grand-mère Alexandra du Danemark elle est descendue de la maison royale danoise, un des plus vieux en Europe. Comme une grande arrière-petite-fille de la Reine Victoria, la Reine Elizabeth est rattachée aux têtes de la plupart des autres maisons royales européennes. Elle est le cousin d'Albert II de la Belgique, Harald V de la Norvège, Juan Carlos I de l'Espagne et Carl XVI Gustaf de la Suède, aussi bien qu'anciens rois Constantine II de la Grèce et Michael de la Roumanie. Elle est plus lointainement rattachée au la Maison d'Orange et à anciennes maisons royales de Hohenzollern et Romanov.

[modifier] Titres

Dans le Royaume-Uni, son titre officiel est '"Elizabeth le Deuxième, par la Grâce de Dieu, du Royaume-Uni de la Grande-Bretagne et de l'Irlande du Nord et d'Elle d'autres Royaumes et Reine de Territoires, la Tête du Commonwealth, le Détenteur de la Foi'". En commun on renvoie à la Reine de pratique Elizabeth II simplement comme "la Reine" ou "Sa Majesté".

À sa succession, le titre "Elizabeth II" a provoqué une controverse dans l'Écosse, où il n'y a jamais eu "Elizabeth I" (bien qu'il n'y ait eu aucune controverse semblable aux temps de Guillaume IV et Edward VII, dont le fait de numéroter était de la même façon inconvenant). Dans un acte rare de sabotage en Écosse, nouvelle le Courrier Royal les boîtes postale portant les initiales E.R.II ont été exagérés. Par conséquent, les boîtes postale en Écosse portent maintenant seulement une couronne et aucune initiale royale. Un cas juridique, MacCormick v. L'Avocat de Seigneur a été pris pour contester le droit de la Reine de se créer "Elizabeth II" dans l'Écosse, en soutenant que faire ainsi serait une infraction de l'acte d'Union 1707. Le cas a été perdu en raison du fait que les poursuivants n'avaient aucun titre pour poursuivre la Couronne en justice et aussi que le fait de numéroter de monarques c'était la partie du la prérogative royale et non gouverné par l'acte d'Union.

Les monarques britanniques futurs doivent être numérotés selon ce de leurs prédécesseurs anglais ou selon écossais, n'importe quel le nombre est plus haut. En appliquant cette politique rétroactivement aux monarques depuis le l'acte d'Union (1707) produit le même le fait de numéroter.

Après une décision par le Commonwealth les Premiers ministres à la conférence de Commonwealth de 1953, la Reine Elizabeth utilise de différents styles et des titres dans chacun de ses royaumes. Dans chaque état elle agit comme le monarque de cet état sans tenir compte d'elle d'autres rôles.

Correctement créé comme "Sa Majesté la Reine" (et quand la distinction est nécessaire "Sa Majesté britannique"), ses styles précédents étaient:

Sa Hauteur Royale la Princesse Elizabeth d'York (1926-1936)
Sa Hauteur Royale la Princesse Elizabeth (1936-1947)
Sa Hauteur Royale la Princesse Elizabeth, la Duchesse d'Édimbourg (1947-1952)

Quoique appelée couramment Élisabeth II d'Angleterre ou reine d'Angleterre, son vrai titre principal est « reine du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, de ses autres Royaumes et Territoires, Chef du Commonwealth, Défenseur de la foi ». Il n'y a pas eu de roi d'Angleterre depuis 1701 ; voir Angleterre pour une explication plus détaillée.

Élisabeth II a un titre différent pour chacun des États dont elle est la souveraine.

Le Royaume-Uni : Élisabeth II, par la grâce de Dieu, du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et de ses autres royaumes et territoires, Chef du Commonwealth, Défenseur de la Foi.

Le Canada reprend ce titre en y ajoutant mention du nom du royaume : Élisabeth II, par la grâce de Dieu, Reine du Royaume-Uni, du Canada et de ses autres royaumes et territoires, Chef du Commonwealth, Défenseur de la Foi

La Nouvelle-Zélande reprend le titre britannique, en remplaçant la mention du Royaume-Uni par le seul nom du royaume : Élisabeth II, par la grâce de Dieu, Reine de Nouvelle-Zélande et de ses autres royaumes et territoires, Chef du Commonwealth, Défenseur de la Foi

L'Australie et les onze autres États reprennent le même modèle que le précédent, mais sans l'allusion à la « défense de la foi », ainsi pour l'Australie : Élisabeth II, par la grâce de Dieu, Reine de l'Australie et de ses autres royaumes et territoires, Chef du Commonwealth

La Papouasie-Nouvelle-Guinée est le seul des royaumes à omettre également la mention de « la grâce de Dieu » : Élisabeth II, Reine de Papouasie-Nouvelle-Guinée et de ses autres royaumes et territoires, Chef du Commonwealth

[modifier] Blason

La Reine supporte tous les trois, I et IV Angleterre, II Écosse, III Irlande (maintenant l'Irlande du Nord), qui sert le Blason Royal du Royaume-Uni. Ce blason a été inchangé depuis la Reine Victoria.