Yves Leterme

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Yves Leterme
47e Premier ministre belge
Photo de campagne (2007)
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Actuellement en fonction
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Depuis le 20 mars 2008
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Prédécesseur Guy Verhofstadt

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Autres fonctions
Ministre-Président de Flandre
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20 juillet 2004 - 28 juin 2007
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Prédécesseur Bart Somers
Successeur Kris Peeters

Ministre fédéral du Budget, de la Mobilité et des Réformes institutionnelles
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21 décembre 2007 - 20 mars 2008
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Gouvernement(s) Verhofstadt III
Prédécesseur Freya Van den Bossche (Budget et Réformes institutionnelles)
Renaat Landuyt (Mobilité)
Successeur Jo Vandeurzen (Réformes institutionnelles)
Melchior Wathelet (Budget)
Etienne Schouppe (Mobilité)

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Biographie
Nom de naissance {{{nom naissance}}}
Naissance 6 octobre 1960
Wervik (Belgique)
Décès {{{décès}}}
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Nationalité belge
Parti politique CD&V
Conjoint Sofie Haesen
Enfants {{{enfants}}}
Diplômé de {{{université}}}
Profession {{{profession}}}
Résidence 16, rue de la Loi
Religion {{{religion}}}
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Premiers ministres belges

Yves Camille Désiré Leterme (Wervik, 6 octobre 1960) est un homme politique belge de langue néerlandaise, membre du CD&V. Marié et père de trois enfants, il est licencié en droit et en sciences politiques.

Yves Leterme est le 47e Premier ministre du Royaume de Belgique.

Sommaire

[modifier] Biographie

Yves Leterme, né de père wallon[1] francophone[2] et de mère flamande, est né dans un environnement bilingue, même s'il a admis quelques lacunes en français. Il a commencé sa carrière de 1987 à 1989 comme auditeur auprès de la Cour des comptes.

Chrétien-démocrate, il entame sa carrière politique dans sa province de Flandre-Occidentale, avant d'être élu au Parlement fédéral en 1999. Il siège alors dans l'opposition. Son parti y reste après les élections de 2003, et Yves Leterme en prend la direction. En 2004, après la victoire aux élections régionales, il devient ministre-président et ministre de l'Agriculture et de la Pêche de la Région flamande, menant une coalition qui regroupe aussi les socialistes, les libéraux et la Nieuw-Vlaamse alliantie, parti indépendantiste.

En 2003, président de parti et en 2004 ministre-président du Gouvernement flamand.

En juin 2007, il remporte les élections législatives fédérales avec plus de 796.521 voix. Le 21 decembre 2007 il devient Vice-Premier Ministre et Ministre du Budget, de la Mobilité, des Réformes institutionnelles et de la Mer du Nord. Le 20 mars 2008 le gouvernement Leterme I fait sa prestation de serment. Yves Leterme présente le 23 mars en tant que premier ministre le programme de gouvernement et obient confiance de la Chambre.

[1]Lire plus

[modifier] Les élections fédérales de 2007

Le discours d'Yves Leterme séduit nombre d'électeurs et son parti, le CD&V, allié au parti indépendantiste flamand N-VA, gagne haut la main les élections, enlevant 30 sièges sur 150 à la Chambre[3] et 9 (+5 cooptés/de communauté) sur 71 au Sénat. Yves Leterme, candidat au Sénat, a obtenu 796 521 voix de préférence[4].

Le 15 juillet 2007, le Roi Albert II a chargé Yves Leterme de former un gouvernement.

Le 23 août 2007, il demande au Roi d'être dessaisi de sa mission de formation du nouveau gouvernement belge, ce dernier accepte la démission[5].

Le 29 septembre 2007, après la mission d'Herman Van Rompuy comme explorateur et la remise de son rapport au Roi, Yves Leterme reprend la mission de formateur, secondé dans un premier temps par Herman Van Rompuy qui s'était chargé d'explorer les pistes de solution institutionnelle, noeud à l'origine de la première démission du formateur.

Le 1er décembre 2007, Yves Leterme présente sa démission au Roi de sa fonction de formateur suite au blocage des négociations. Le 21 décembre, il est nommé Vice-Premier ministre et ministre du Budget, de la Mobilité et des Réformes institutionnelles (il partage ce dernier dossier avec le francophone Didier Reynders) au sein du gouvernement Verhofstadt III, formé de manière transitoire en attendant qu'un accord de gouvernement soit trouvé entre les différents partis belges, et notamment entre francophones et néerlandophones.

Le 20 mars 2008, comme prévu, il devient le 47e Premier ministre belge et forme un gouvernement basé sur une coalition pentapartite — mais sans comprendre ses alliés indépendantistes de la NVA qui refusent de participer au gouvernement. Appelée coalition arménienne car reprenant les couleurs du drapeau arménien : l'orange (couleur de la famille chrétienne-humaniste du CD&V néerlandophone et du CDH francophone), le bleu (couleur de la famille libérale du VLD néerlandophone et du MR francophone) et le rouge (couleur de la famille socialiste ici uniquement représenté par le PS francophone). Cette composition vaut également à cette alliance le nom de « coalition lilas » (orange-bleu avec une nuance de rouge).

N'ayant jamais brillé par son charisme, il veut persuader les belges qu'il a véritablement « changé » reconnaissant que son « parcours n'a pas été sans erreurs ». Son séjour à l'hôpital fin janvier lors duquel il a frôlé la mort à cause d'une grave hémorragie intestinale l'aurait persuadé désormais de « faire de la politique d'une autre manière, avec plus d'équilibre, de sagesse et de calme ».

[modifier] Controverses

[modifier] Interview à Libération

Le 17 août 2006, lors d'une interview au quotidien français Libération, il a déclaré, à propos des francophones vivant dans les communes à facilités :

« Mais apparemment les francophones ne sont pas en état intellectuel d'apprendre le néerlandais, d'où la prolongation de ce statut d'exception[6]. »

Selon lui, les seules choses communes aux Belges sont « le Roi, l'équipe de foot, certaines bières[6]... ».

[modifier] Réactions

Le président du Parti Socialiste Elio Di Rupo a estimé que ces propos étaient insultants pour les francophones de la périphérie bruxelloise et devaient probablement découler soit d'une erreur de traduction, soit d'une mauvaise utilisation de la langue française[7]. De son côté, Isabelle Durant, la secrétaire fédérale du parti Ecolo estime qu'Yves Leterme « ne se distingue plus guère du Vlaams Belang[7] ». Joëlle Milquet (cdH) trouve les propos vexatoires et s'étonne de la désinvolture affichée vis-à-vis du gouvernement fédéral.

Les éditorialistes de la presse francophone ont également marqué leur désapprobation alors que ceux de la presse néerlandophone se sont, en général, montrés moins indignés, certains qualifiant l'interview d'ironique[8]. L'éditorialiste de la Gazet van Antwerpen écrit, par exemple : « Au-delà de l'ironie, les propos d'Yves Leterme contiennent beaucoup de bon sens[9]. »

Plusieurs hommes politiques bruxellois néerlandophones se sont insurgés contre ces déclarations, dont Pascal Smet (ministre du sp.a), Guy Vanhengel (ministre VLD) et également Georges De Smul et Lieve Lippens (du CD&V comme Yves Leterme)[9].

L'hebdomadaire culturel français Les Inrockuptibles a élu la déclaration d'Yves Leterme à propos des francophones de la périphérie bruxelloise « la phrase la plus drôle/couillonne/brillante » de la semaine du 17 août 2006[10].

Le 20 août 2006, durant la cinquième édition de la Garde de l'Yser à Steenstrate (manifestation organisée par des nationalistes flamands), Johan Vanslambrouck, président de l'ASBL Ijzerwake a loué les déclarations d'Yves Leterme[11].

Le 21 août 2006, deux citoyens francophones membres du cdH (Jean-François Thayer, candidat aux élections communales de 2006 sur la liste Cap-Woluwe, et Yvan Verougstraete, ancien conseiller communal) ont déposé une plainte sur base de la loi contre le racisme et la xénophobie dite « loi Moureaux » à son encontre auprès de la police de Woluwe-Saint-Lambert[12]. Cette plainte est surtout symbolique puisque Yves Leterme bénéficie d'une immunité en tant que ministre-président de la Région flamande.

Le 26 août 2006, Olivier Maingain, le président du FDF dépose une autre plainte contre Yves Leterme auprès du Parquet général. Olivier Maingain pense que quatre chefs d'inculpation possibles pourraient être retenus : incitation à la haine et à la discrimination, diffamation et calomnie, offense à la personne du Roi et aussi racisme et discrimination[13].

Le 28 août 2006, en réponse aux critiques des responsables francophones, Yves Leterme rétorque dans la presse néerlandophone[14] :

« Les personnalités politiques francophones qui ne connaissent pas le néerlandais mais qui défendent un discours pro-Belgique sont absolument peu crédibles. »

Extrait (paru dans Le Soir du 14/10/2006) du livre de Filip Rogiers, Leterme au défi, Éditions Luc Pire, octobre 2006) :

« Comme j'ai de nombreux liens de parenté en Wallonie, je ne dois pas, contrairement à beaucoup de mes collègues, me faire une idée de l'autre région du pays à partir des médias. J'ai des cousins et des cousines dans le Brabant wallon et à Liège. J'ai récemment appris que j'étais un lointain parent de Jacques Brel. Les Brel habitaient Zandvoorde. (...) Une de mes cousines conduit la liste Ecolo à Mouscron. Ses parents habitent à cinq kilomètres de là, en Flandre. En France, une autre cousine a été candidate sur la liste RPR de Jacques Chirac. »

Marianne Leterme, sa cousine, s'est en effet présentée comme tête de liste Ecolo à Mouscron et considère son nom comme un avantage tout en exprimant qu'Yves Leterme ne pense pas vraiment ce qu'il dit par rapport aux francophones. Pour elle, il n'est pas séparatiste et n'a pas réellement des idées si radicales[15].

Cependant, les craintes suscitées par ses propos et les négociations très difficiles en vue de former le prochain gouvernement sont à l'origine d'articles et de chroniques diffusés dans les médias français annonçant la fin imminente de la Belgique (Alexandre Adler sur France Culture : « Peut-être est-ce Leterme de la Belgique »).

[modifier] L'hymne national

Le 21 juillet 2007, un journaliste de la RTBF demande à Yves Leterme, alors occupé à essayer de former un gouvernement, pourquoi ce jour est la fête nationale de la Belgique. Il est incapable de répondre et ira même jusqu'à entonner La Marseillaise lorsqu'on lui demande de chanter La Brabançonne, hymne national de la Belgique[16], suscitant de nombreuses réactions parmi la classe politique belge[17]. Le lendemain, M. Leterme dans une réponse à une interview à la télévision VTM se défendait de la manière suivante :"Je ne veux pas réagir à ces bêtises. Je m’occupe de choses bien plus importantes. Je pense qu’ils veulent me faire du tort. Celui qui me fait du tort en subira les conséquences tôt ou tard". Ces paroles de menace dans la bouche d'un pressenti premier ministre et concernant la presse de son pays, ont été remarquées par la presse belge francophone.

[modifier] La RTBF

Dans un entretien accordé aux quotidiens Het Belang van Limburg et Gazet van Antwerpen le 8 décembre 2007, Yves Leterme compare la RTBF à la Radio Télévision Libre des Mille Collines[18], radio ayant incité au Génocide au Rwanda entre 1993 et 1994, l'accusant par ailleurs d'être une « chaîne de propagande de Joëlle Milquet ». [19]

[modifier] Liens internes

[modifier] Liens externes

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Yves Leterme.

[modifier] Notes et références

  1. http://www.lalibre.be/index.php?view=article&art_id=360069 « bien que son père soit Wallon de souche »
  2. De Standaard Online - INTERVIEW. Yves Leterme na de crisis over Brussel-Halle-Vilvoorde
  3. Composition de la Chambre le 28/06/2007, document émanant de la Chambre des représentants
  4. Site officiel des élections législatives de 2007
  5. Yves Leterme jette l’éponge, article du Soir en ligne du 23 août 2007.
  6. ab Propos polémiques de Leterme
  7. ab Leterme se lâche dans Libération
  8. La presse francophone outrée, pas la flamande
  9. ab Bruxellois flamands pas d'accord
  10. Yves Leterme "rock and roll"
  11. Quelques milliers de personnes à la "Garde de l'Yser"
  12. Dépôt d'une plainte contre Yves Leterme
  13. « Maingain dépose plainte contre Leterme »
  14. Leterme rétorque
  15. Yves Leterme ne pense pas vraiment ce qu'il dit par rapport aux francophones
  16. (fr) « Leterme confond Brabançonne et Marseillaise », Le Soir, 22 juillet 2007 ;
    (nl) « Leterme kop van Jut in RTBF-journaal », Het Nieuwsblad, 22 juillet 2007 ;
    vidéo du reportage de la RTBF sur Youtube
  17. Reportage de la RTBF
  18. « Savez-vous comment on appelle aussi la RTBF ? Radio Mille Collines » Voir Gazet van Antwerpen : « Leterme had in de Nederlandstalige media de openbare omroep RTBF vergeleken met Radio Mille Collines. » (Leterme a comparé dans les médias néerlandophones le groupe de radio-télévision public RTBF avec Radio Mille Collines).
  19. Leterme charge la RTBF - lesoir.be


Précédé par
Guy Verhofstadt
Premier Ministre de Belgique

2008 –
Suivi par
---


Ministres-présidents de la Région flamande

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