Vitamine C

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La vitamine C est une vitamine hydrosoluble sensible à la chaleur et à la lumière.

Chimiquement parlant, il s'agit de l'acide L-ascorbique et de ses sels, les ascorbates (les plus courants étant les ascorbates de sodium et de calcium).

Sommaire

[modifier] Action

La vitamine C est un cofacteur enzymatique impliqué dans un certain nombre de réactions physiologiques (hydroxylation). Elle est requise dans la synthèse du collagène et des globules rouges et contribue au système immunitaire. Elle joue également un rôle dans le métabolisme du fer. Sous forme oxydée, elle traverse la barrière hémato-encéphalique pour accéder au cerveau[1] et à plusieurs organes à forte concentrations de vitamine C. Très fragile en solution, elle est détruite au contact de l'air, par la lumière ou la chaleur. Il s'agit d'un antioxydant, molécule capable de contrer l'action néfaste d'oxydants comme les radicaux libres. À cet effet, on emploie également la forme R- de l'acide ascorbique qui, à l'inverse de la forme L-, ne présente pas d'activité vitaminique.

[modifier] Synthèse

Alors que la plupart des mammifères sont capables de la synthétiser dans leur foie ou dans leurs reins (ce n'est donc pas une vitamine pour eux), la majorité des primates (dont l'être humain), le cochon d'Inde et certains oiseaux ou poissons en sont incapables. Ceci est le résultat d'une mutation génétique, survenue il y a 40 millions d'années, bloquant la transformation du glucose en acide ascorbique. Les animaux dépourvus de cette capacité de synthèse de la vitamine C doivent donc la puiser dans leur alimentation.

[modifier] Apports conseillés

[modifier] Apports Journaliers Recommandés

Icône de détail Article détaillé : Apports nutritionnels conseillés.

Les règles européennes conseillent un apport quotidien de 75 mg pour la femme et de 90 mg pour l'homme. Les autres primates qui, comme les humains, ne produisent pas de vitamine C, en consomment entre 2 000 et 8 000 mg par jour[2]. Leur alimentation est plus proche que la nôtre de ce qu'elle était quand le gène responsable de la capacité à produire de la vitamine C a muté, chez notre ancêtre commun. Ce fait constitue la base de plusieurs remises en question des AJR actuels, notamment par Pauling (voir plus bas). L'apport journalier recommandé (AJR) est passé de 60 mg à 110 mg récemment[3]. Les fumeurs ont des besoins accrus en vitamine C, car le tabagisme réduit le taux de vitamine C dans l'organisme. Une orange apporte en moyenne 53 mg de vitamine C (40 à 80 mg par 100 g).

Structure chimique de la vitamine C
Structure chimique de la vitamine C

Pour des doses supérieures à 500 mg/j, une augmentation de production d'acide oxalique peut induire un risque de calculs rénaux d'oxalate[4],[5]. Cet effet secondaire est controversé par certaines études[6].

Certains auteurs considèrent que les apports nutritionnels recommandés devraient être d'au moins 200 mg, ce qui correspond à environ cinq fruits frais par jour.

[modifier] Carence

Une importante carence en vitamine C, très rare, provoque le scorbut, lorsque l'apport est de moins de 10 mg par jour. Les hypovitaminoses plus discrètes sont très répandues et se traduisent par de l'asthénie, un amaigrissement, des maux de tête, des douleurs osseuses, une plus grande sensibilité aux infections et parfois des problèmes hémorragiques.[7]

[modifier] Toxicité

Depuis sa synthèse dans les années 1930, la vitamine C est utilisée à toutes doses à travers le monde. Les seuls effets secondaires associés à son utilisation et qui soient établis sont la diarrhée bénigne et une action diurétique. Celles-ci surviennent lorsqu'elle est consommée trop rapidement et en trop grande quantité. L'organisme ne pouvant la stocker, il en élimine ainsi l'excès.

Des études cliniques montrent[réf. nécessaire] :

Les études in vitro montrent que la vitamine C, même en présence de métaux de transition n'a pas d'effet mutagène et qu'au contraire elle protège les cellules de l'action mutagène du peroxyde d'hydrogène[14].

[modifier] Usages thérapeutiques

En tant que traitement médical, la vitamine C a quelques indications reconnues[15]: la prévention ou le traitement du scorbut, l'avitaminose C, la méthémoglobinémie idiopathique du nourrisson et la méthémoglobinémie chez les sujets déficients en G6PD.

[modifier] Utilisation en médecine orthomoléculaire

Icône de détail Article détaillé : médecine orthomoléculaire.

La médecine orthomoléculaire dont font partie Linus Pauling, prix Nobel de chimie, et Matthias Rath, recommande une consommation de vitamine C de 3 à 18 g par jour[16]qui peut être augmentée en cas de maladie, en se basant sur les premiers travaux d'Irwin Stone sur le scorbut et les besoins de l'organisme humain en acide ascorbique. Linus Pauling a étudié le rôle de la vitamine C dans la prévention du rhume et le traitement du cancer.

[modifier] Usages thérapeutiques supposés et à confirmer

Selon certains chercheurs , dont Linus Pauling ou Matthias Rath, la vitamine C, administrée « sous une forme adéquate, au moyen de techniques appropriées, en doses suffisamment fréquentes, en doses suffisamment élevées, en conjonction avec certains agents et pour une période suffisante »[17], serait capable de prévenir voir de guérir un grand nombre de maladies, notamment la grippe[18], le cancer[19],[20] ou les maladies coronariennes[21]. Ces hypothèses n'ont pas été confirmé par d'autres études, que ce soit pour la grippe[15],[15] ou pour le cancer[22],[23].

  • Synthèse du cholestérol

Une étude datant de 1986 indique que la vitamine C pourrait avoir un rôle important dans la régulation de la synthèse du cholestérol[24].

  • Synthèse du glutathion

La vitamine C permettrait d'augmenter les taux de glutathion des cellules sanguines[25]. Le glutathion serait un élément indispensable à la détoxification cellulaire: il permettrait de désintoxiquer divers plusieurs polluants, cancérigènes et poisons, incluant plusieurs répertoriés dans les échappements de carburant et la fumée de cigarette. Il retarderait des dommages des radiations tel que ceux rencontrés suite à la diminution de la couche d’ozone. Pour certains, cela confirmerait l'effet anti-cancer supposé de la vitamine C.

  • Vitamine C et plomb

En 1939, on a signalé que 34 travailleurs ayant absorbé du plomb avaient été traités au moyen de la vitamine C[26]. Récemment, une étude sur des animaux a montré que la vitamine C avait un effet protecteur contre l’intoxication au plomb sur les plans des fonction nerveuses et musculaires[27]. Chez des fumeurs, l’administration de 1000 mg de vitamine C a permis une réduction moyenne de 81 % des concentrations sanguines de plomb, tandis que 200 mg sont restés sans effet. Les auteurs ont donc conclu que la supplémentation de vitamine C pourrait représenter une façon économique et pratique de faire baisser les concentrations de plomb dans le sang. Le journal de l’association médicale américaine a publié une étude concluant que l’association inverse entre le plomb et la vitamine C dans le sang, telle que constatée dans une enquête d’envergure nationale, s’il était démontré qu’elle est causale, aurait un impact sur le plan de la santé publique en général[28].

  • Autisme

Selon des études réalisées en 1967 et 1993 une supplémentation en vitamine C diminuerait la sévérité des symptômes chez les enfants atteints d’autisme, mais la posologie optimale reste à déterminer[29].

  • Traumatologie

L’apparition du syndrome de défaillance multiviscérale, qui pour les traumatologues est un des principaux signes annonciateurs du décès[30], apparaît moins souvent chez les patients recevant de la vitamine C; cette vitamine diminue aussi les durées de séjours aux soins intensifs[31].

  • Fertilité

Chez des hommes infertiles, on a montré qu’un supplément de vitamine C améliorait la qualité du sperme (morphologie et mobilité des spermatozoïdes) et augmentait le nombre de spermatozoïdes[32].

  • Maladies et dysfonctionnements immunitaires liés à l’âge

Les maladies liées à l’âge et les dysfonctionnements immunitaires qui y sont associés pourraient, selon un journal officiel canadien, être limités par l’absorption de suppléments de vitamine C[33].

  • Syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) et cancer : études préliminaires

Une des maladies dont le traitement éventuel par des doses pharmacologiques d’ascorbate est le plus controversé est le SIDA. La controverse dure depuis plus de 16 ans, c’est-à-dire depuis la publication d’une étude montrant que l’ascorbate, en doses non-toxiques pour l’homme, arrêtait la réplication du VIH, dans le journal les Proceedings of National Academy of Sciences des États-Unis[34]. D’autres études ont suivi et ont étayé ces résultats[35],[36],[37], mais aucune étude clinique d’envergure n’a été entreprise.

Dans le cadre du traitement contre le cancer, Linus Pauling s'inspirant des travaux d'Irwin Stone,donne l'idée d'un apport en acide ascorbique beaucoup plus important que suggéré par les AJR (de l'ordre de 10 à 20 g par jour). Cette théorie est reprise par d'autres scientifiques, dont Matthias Rath. Un effet favorable semble exister chez les cultures cellulaires ou chez des animaux mais aucune preuve satisfaisante n'existe chez l'être humain à titre curatif[38] ou préventif[39]. La Société Suisse de lutte contre le cancer souligne, en particulier, les faiblesses du dossier scientifique de Matthias Rath[40].

  • Mort subite du nourrisson

Le médecin australien Archie Kalokerinos, supporter des thèses de Linus Pauling sur la médecine orthomoléculaire et la vitamine C, émet en 1981 l'hypothèse que la forte mortalité infantile observée chez les enfants aborigènes, et notamment la mort subite du nourrisson, seraient dues à un manque de vitamine C et donc au scorbut. Et que cette mortalité serait de plus aggravée par les vaccinations[15]. Cette hypothèse n'a depuis jamais été validée par la communauté scientifique.

  • Poliomyélite

Le docteur américain Claus Washington Jungeblut avait émis en 1935 l'hypothèse que la vitamine C puisse inactiver le virus de la poliomyélite. Il publia une série de papiers entre 1936 et 1939 dans lesquels il montrait que l'administration d'acide ascorbique chez des singes infectés diminuait la sévérité de la maladie. Albert Sabin, en collaboration avec Jungeblut, essaya de reproduire ces résultats mais n'y parvint pas, ce qui mit un terme à cette voie de recherche[41].

La vitamine C, injectée précocément par voie intraveineuse, fait partie du traitement de l’intoxication phalloïdienne proposé par le docteur Pierre Bastien[42].

[modifier] Tolérance intestinale

La tolérance intestinale désigne la quantité de vitamine C qui peut être absorbée par l'intestin dans un temps donné[43]. Lorsque cette quantité est atteinte, la vitamine C non absorbée est éliminée dans les selles. Durant son trajet, elle attire de l'eau dans l'intestin ce qui produit une diarrhée passagère. Ceci est une des raisons pour lesquelles on ne peut pas s'intoxiquer avec de la vitamine C.

On notera que les quantités produites par les animaux varient en fonction de leur état de stress et santé ; un animal stressé ou malade peut produire plusieurs dizaines de grammes par jour. On peut mettre en parallèle cette production variable d'ascorbate chez les animaux avec la variabilité de la tolérance intestinale chez l'être humain. Lorsqu'un humain est malade ou stressé, sa tolérance intestinale à la vitamine C augmente, ce qui lui permet d'absorber plus de vitamine C qu'en temps normal. La variabilité de la tolérance intestinale suggère un besoin accru de l'organisme en vitamine C dans les périodes de stress ou de maladies, comme on l'observe chez les animaux qui synthétisent la vitamine C.

[modifier] Histoire

[modifier] Production

La production mondiale annuelle d'acide L-ascorbique est de 80 000 tonnes[45], dont la moitié est utilisée dans les industries pharmaceutiques et parapharmaceutiques, 25% dans l'agroalimentaire comme conservateur (E300, E301, E302), 15% dans la fabrication de boissons, le reste étant utilisé pour la nutrition des animaux.

Chez les végétaux, la synthèse de la vitamine C a lieu indifféremment dans toutes les cellules de la plante. Les fruits de l'argousier sont exceptionnellement riches en vitamine C.

Chez les animaux qui en sont capables, la synthèse a lieu majoritairement dans le foie, mais toutes les autres cellules en ont la capacité, qui reste cependant très limitée.

[modifier] Teneurs en vitamine C

Les teneurs ci-dessous sont des valeurs moyennes qui peuvent varier notablement selon les variétés des fruits et légumes indiqués.

Aliment Teneur
(mg/100 g)
Terminalia ferdinandiana + 2 000
Acérola, une petite cerise du Mexique 1 000 - 2 000[46]
Baie d'églantier ou Cynorrhodon 750 - 1 600
Argousier 750
Amla, ou « groseille indienne » 720
Goyave 243[47]
Cassis 200[47]
Persil 170[47]
Navet 139
Oseille 124
Poivron rouge, estragon, chou vert 120
Fenouil, piment 100
Kiwi 80[47]
Chou de Bruxelles ou rouge 75
Citron 65
Fraise[47], orange, chou-fleur, cresson, cerfeuil 60
Épinard, mâche 50
Cerise 10
Pomme de terre 15 [47]

[modifier] Références

  1. Judy Huang, David B. Agus, Christopher J. Winfree, Szilard Kiss, William J. Mack, Ryan A. McTaggart, Tanvir F. Choudhri, Louis J Kim, J Mocco, David J. Pinsky, William D. Fox, Robert J. Israel, Thomas A. Boyd, David W. Golde, et E. Sander Connolly, Jr. "Dehydroascorbic acid, a blood–brain barrier transportable form of vitamin C, mediates potent cerebroprotection in experimental stroke.", Proc Natl Acad Sci U S A. 2001 September 25; 98(20): 11720–11724.
  2. Milton K. (2003) "Micronutrient intakes of wild primates: are humans different?", Comp Biochem Physiol A Mol Integr Physiol. 2003 Sep;136(1):47-59.
  3. Apports nutritionnels conseillés en vitamine C pour la population française
  4. Dossier Vitamine C sur doctissimo.fr, consulté le 21 mai 2008
  5. Fiche acide ascorbique sur le répertoire BIAM, consulté le 21 mais 2008
  6. Dossier Calculs rénaux sur passeportsante.net, consulté le 21 mai 2008
  7. Pharamacorama - L'acide ascorbique ou vitamine C (paragraphe carence)
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[modifier] Bibliographie

  • (en) Irwin Stone, The Healing Factor: "Vitamin C" Against Disease, Ed Putnam Pub Group 1974, ISBN 0-448-11693-6.
  • (en) Linus Pauling avec E. Cameron, Cancer and Vitamin C: A Discussion of the Nature, Causes, Prevention, and Treatment of Cancer With Special Reference to the Value of Vitamin C, Camino Books (ISBN 094015921X) ;

[modifier] Liens externes