Tourisme en Essonne

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Cet article traite du tourisme dans le département de l'Essonne.

Sommaire

[modifier] Poids du tourisme dans le département

Le tourisme en Essonne représente un chiffre d’affaires de plus de 361 millions d’euros (1,4% du PIB départemental) et un vivier de près de 13.000 emplois annuels et saisonniers.


On compte plus de 2,2 millions de visiteurs qui sillonnent le territoire du département chaque année. En termes de valeur ajoutée (169 millions d’euros, soit 0,7% du PIB départemental), le tourisme a en Essonne un poids comparable à celui de l’agriculture.


Le chiffre d'affaire du tourisme est généré par l'hébergement (47%), les activités connexes (46%) et les activités de loisirs (7%).


[modifier] Caractéristiques du Tourisme dans le département

Le tourisme en Essonne reste avant tout de proximité. Quelques grandes typologies le caractérisent :

  • Les Essonniens eux-mêmes pour des pratiques de loisirs,
  • Les clientèles de proximité en excursion, principalement originaires du sud-est de l’agglomération parisienne,
  • La clientèle d’affaires en séminaires résidentiels ou à la journée,
  • Les clientèles étrangères ou nationales, en séjour, utilisant le département comme base de visite pour découvrir la Région Parisienne et être hébergées « à la campagne »,
  • Les clientèles thématiques, avec des entrées très diverses (escalades, passionnés d’aviation ou de jardins, randonnées…),
  • La clientèle des groupes en visite : essentiellement sur des entrées culturelles et patrimoniales.

[modifier] Patrimoine culturel

[modifier] Jardins, parcs et chateaux

Parc et château de Courances


Le parc d’une facture classique et romantique, historique et contemporaine. L’omniprésence des eaux « courantes », du végétal et de la pierre dans ce paysage de 75 ha dont la création remonte au XVIème siècle constitue un spectacle unique. Le château Louis XIII est également ouvert à la visite.


Domaine de Courson

Courson est représentatif des grands domaines de l’Ile-de-France. Château, chapelle (ancienne église paroissiale), écuries et château d’eau au cœur d’un parc romantique. Ce dernier est le fruit des plus grands paysagistes des trois derniers siècles et un jeu d’équilibre entre esthétique et botanique. Depuis vingt-cinq ans, sa restauration a permis l’introduction de nombreuses espèces rares d’arbres et arbustes à fleurs. Deux fois par an, les 3èmes week-ends de mai et d’octobre, ont lieu les Journées des Plantes de Courson (regroupement de pépiniéristes du monde entier).


Domaine de Saint-Jean-de-Beauregard

Témoins de l’art de vivre au XVIIème siècle, château, communs, parc, potager, écuries, pigeonnier et abreuvoir forment un ensemble architectural classé. Le pigeonnier avec ses 4500 boulins est très spectaculaire. Il devait fournir aux occupants du château viande et œufs mais aussi l’indispensable colombine pour le potager. Le jardin potager du XVIIème siècle avec ses légumes rares et la succession de ses floraisons : narcisses, iris, pivoines, roses anciennes, fleurs d’été dévoilent une harmonie de formes et de couleurs se modifiant au gré des saisons. Une collection de plantes aromatiques, officinales, condimentaires est également présentée dans le jardin. En avril et en novembre, deux fêtes des plantes regroupent les plus grands pépiniéristes européens et présentent une palette incomparable de végétaux rares.


Domaine départemental de Chamarande

Le Domaine départemental de Chamarande est un parc de 98 hectares entourant un château du XVIIe siècle.


Domaine Départemental de Méréville et Tour Trajane

Le Domaine de Méréville a été l’un des plus beaux jardins pittoresques de la fin du XVIIIème siècle. Acquis en 2000 par le Conseil général de l’Essonne ce domaine est classé au titre des monuments historiques. L’ouverture partielle (en raison de l’importance des travaux), permet de se rendre compte de l’histoire exceptionnelle de ce parc. La Tour Trajane ou « La Colonne », construite entre 1790 et 1792, était l’une des nombreuses « Fabriques » des Jardins de Méréville.


Parc de Jeurre et ses fabriques

Situé à Morigny-Champigny le parc de Jeurre est un complément à la découverte du Domaine de Méréville car il abrite les quatre principales « fabriques » de Méréville : la laiterie, le Temple de la Piété Filiale, la Colonne Rostrale et le Cénotaphe de Cook. En effet, à la fin du XIXème siècle, elles ont été rachetées puis démontées pierre par pierre, transportées de Méréville à Jeurre et réédifiées dans ce parc. C’est alors au paysagiste Duchêne que fut confié le soin de les placer dans le parc.


Propriété Caillebotte

Gustave Caillebotte, célèbre peintre impressionniste vécut dans sa propriété de Yerres de 1860 à 1879. A ses débuts picturaux, il réalisa ici près de 80 tableaux, parmi lesquels plus de 20 tableaux sur la rivière et le canotage. (Portraits à la campagne, Périssoires, Canotiers ramant sur l’Yerres].


Parc et musée du Marais

Un jardin à la française créé par Achille Duchêne situé au château du Marais, une grotte (dernier vestige du jardin romantique du XIXème siècle), un petit jardin de fleurs plus intime, un verger, une ancienne cressonnière. Il abrite un musée consacré aux propriétaires et ses hôtes illustres (Talleyrand, Chateaubriand…) et une salle des calèches.


Château et parc du Saussay


Le domaine du Saussay (Ballancourt-sur-Essonne) s’étire en pente douce jusqu’à la rivière Essonne, et a hérité son nom des saules qui poussaient abondamment sur ces terres humides. Au XIXème siècle, la mode romantique à conduit la constitution d’un jardin à l’anglaise et au XXème siècle la grande perspective a été redessiné par Duchêne. Deux châteaux du XVIIIe siècle se font face.


Château et parc de Villeconin

Le château est typique de l’époque médiévale avec son donjon et sa cour ronde, sa salle des gardes, et est entouré de douves en bordure du parc. Le jardin est composé de massifs de buis taillés et d’une partie boisée.


Arboretum de Segrez

En 1884, le parc de Segrez (Saint-Sulpice-de-Favières) était l’un des plus riches arboretums du monde (6500 variétés). Il reste aujourd’hui 300 espèces intéressantes. Le château en grès édifié en 1773 ne se visite pas.


Arboretum municipal de Verrières

L’arboretum municipal de Verrières-le-Buisson n’est qu’une partie de l’arboretum initial. Cette surface a été acquise en 1975 par la commune et a été classé réserve naturelle en 1988. Sur le millier d’espèces plantées par Roger de Vilmorin, il reste aujourd’hui encore 200 arbres et autant d’arbustes. La partie privée de l’arboretum (clos de murs), toujours propriété de la famille Vilmorin, s'ouvre exceptionnellement au public.


Domaine de Piedefer

Situé dans le centre historique de Viry-Châtillon, ce parc boisé du XIXème siècle est aménagé le long d’un canal et surplombe un parterre à la française et une orangerie du XVIIème siècle. Le nymphée (salle décorée de coquillages et de rocailles de la fin du XVIIème siècle) est classé monument historique.


Jardin Paul Jovet

Le jardin Paul Jovet a été créé pour rendre hommage au célèbre naturaliste et chercheur du Jardin des plantes qui vécu à Athis-Mons.


Château et musée de Dourdan


Tour de Montlhéry

Donjon d’un château des XIIIème et XIVème siècles reconstruit par les sires de Montlhéry et qui, commandait la route d’Orléans, fut intimement lié à l’histoire de France sous les premiers capétiens et associé à la figure de Louis VI le Gros.


Parc des Grottes de Juvisy-Sur-Orge

Le parc actuel est le résultat d'une histoire du site commencée au XVIIe siècle, période qui vit la construction d'un parc régulier, dessiné par Le Nôtre. Établit sur le coteau, il ouvrait la vue sur l'Orge, la Seine et au-delà sur son coteau opposé. De cette époque, il reste la composition générale et le mur de soutènement. Au XIXe siècle, l'adjonction de la grotte monumentale lui confère l'aspect qui lui reste aujourd'hui. Le parc des grottes d'une superficie de 2,2 ha est protégé au titre des sites inscrits. 21 espèces d'arbres s'y cotoient : tilleuls à petites feuilles, frênes, sycomore, charmes, arbres de Judée, chênes, érables…


Parc de l’Observatoire


Le parc Camille Flammarion à Juvisy-sur-Orge est un site de 2,1 ha classé depuis 1988 et organisé autour de chambres de verdure offrant plusieurs ambiances. Même si la tempête de 1999 a endommagé le parc, la structure est globalement restée comme elle fut conçue à l'époque de Camille Flammarion vers 1880. Une grotte rocaille, un belvédère de l'if , des petits bassins-réservoirs pour le potager et la tombe de C. Flammarion sont les point forts du site.


Le Jardin des Douves, parc de la Maison Saint-Antoine


A Marcoussis, parc boisé du XIXème siècle, qui s’étend de part et d’autre de la Salmouille, et où se trouvent les ruines du château construit en 1402 par Jean de Montagu.


Parc de la Seigneurie de Villiers-sur-Orge

Parc et potager au dessin traditionnel du XVIIème siècle (ancienne maison de campagne édifiée sous Henri IV). La visite des lieux permet d’évoquer l’histoire de la marquise de Brinvilliers qui y séjourna.

[modifier] Patrimoine religieux

Cathédrale de la Résurrection à Evry

Cela faisait plus de cent ans que l’on n’avait pas construit de cathédrale en France. Cette construction est l'oeuvre de l’architecte suisse Mario Botta (cylindre taillé de biais de 17 à 34 mètres de hauteur et 38 mètres de diamètre, toit triangulaire couronné d’arbres…), complète le nouveau centre urbain de la ville nouvelle d’Evry qui regroupe sur la place des Droits de l’Homme, trois bâtiments d’architecture moderne recouverts de briques : la Mairie d’Evry, la Chambre de Commerce et d’Industrie et la cathédrale.


Eglise Saint-Sulpice-de-Favières


Célèbre pour son pèlerinage, ce petit village s’est enrichi, à l’époque de Saint Louis, d’un sanctuaire aux dimensions d’une cathédrale. Cet édifice d’une rare luminosité présente de magnifiques vitraux du XIIIème siècle.


Chapelle Saint-Blaise-des-Simples à Milly-la-Forêt


Unique vestige d’une ancienne maladrerie, construite en 1136, la Chapelle subsiste encore en devenant le tombe de Jean Cocteau en 1963. En 1957, pour honorer Saint-Blaise, il choisit les plantes dites « simples » pour en décorer l’intérieur. Alors il jeta sur les murs de magnifiques hampes fleuries qui montent vers le toit comme une prière vers le ciel. L’autel est gardé par des anges assistant la résurrection du Christ. La lumière est diffusée à travers des vitraux dessinés par le Maître. A vos pieds, une grande dalle le nom de Cocteau avec ces simples mots de fidélité : « Je reste avec vous ».


Cimetière et église orthodoxes russes Notre-Dame-de-L’Assomption à Sainte-Geneviève-des-Bois


Plus d’un demi-siècle de la culture russe est représenté dans ce cimetière, site où se trouvent inhumés, depuis 1927 plus de 10000 russes venus en France à la suite de la révolution de 1917. Sous les grands bouleaux, épicéas, pins parmi lesquels percent les bulbes bleus des tombes fleuries, l’on découvre celles des célébrités contemporaines telles que l’actrice Odile Versois, sœur de Marina Vlady, Serge Lifar, le grand danseur étoile Rudolf Noureev, le cinéaste Andreï Tarkovski. L’église blanche surmontée d’un bulbe bleu a été construite en 1939 dans le style novgorodien (XVème siècle). L’église et le cimetière sont inscrits aux Monuments Historiques et forment un ensemble unique en France.


Etampes et ses églises

Etampes possède un patrimoine religieux significatif avec les églises Saint-Basile, Saint-Gilles, Notre-Dame-du-Fort et Saint-Martin d’Etampes. Succédant à plusieurs édifices, Saint-Martin-d’Etampes a été construite à partir de 1140, les travaux se sont poursuivis jusqu’au début du XIIIème siècle. C’est cette continuité dans le gros œuvre qui donne à l’église son unité d’ensemble, mais c’est l’inclinaison de sa tour «tour penchée» qui en fait l’originalité.


Eglise Saint-Médard de Brunoy


L’Eglise Saint-Médard de Brunoy, monument historique entièrement classé, est ouverte au public. Cette église est vraisemblablement le seul édifice paroissial français recouvert de lambris à décors de styles Louis XV/Louis XVI. Elle abrite une galerie de tableaux d’art religieux (originaux et copies) du XVIè au XXè siècle.


Basilique Notre-Dame-de-Bonne-Garde de Longpont-sur-Orge


Vaste église romane, commencée au XIème siècle, par les seigneurs de Montlhéry, sur l’emplacement d’un culte druidique, pour abriter une relique précieuse : un morceau du voile de la Vierge Marie. A l’origine d’un très riche reliquaire. Tympan sculpté du XIIIème siècle : Dormition et Glorification de Notre-Dame. Etape sur la route de Saint-Jacques de Compostelle, elle est célèbre par ses pèlerinages.


Cathédrale Saint-Spire

Cathédrale depuis 1966, Saint-Spire fut fondée en 950. Cet édifice, situé en cœur de ville, a été partiellement détruit au XIème siècle, mais rebâti du XIIème au XVème siècle.


Eglise Saint-Germain l’Auxerrois

Construction gothique des XIIème et XIIIème siècles remaniée tout au long de l’histoire. Cette église au volume intérieur impressionnant est située au centre du vieux Dourdan, à proximité du château féodal. Elle possède deux tours de taille inégale, la plus haute atteignant la hauteur 50 mètres.


Abbaye Notre-Dame de l’Ouÿe à Les Granges-le-Roi

Ce prieuré grandmontain du 12ème siècle est situé à trois kilomètres de Dourdan, en plein cœur de la forêt de l’Ouÿe. Des vestiges importants demeurent : l’église, la salle du chapitre, le cellier, le réfectoire des moines, une belles cour intérieure. Un colombier, seul témoin en Ile-de-France des colombiers construits en briques, date des années 1516-1518.


Abbaye Saint-Louis du Temple à Vauhallan


L'abbaye bénédictine Saint-Louis-du-Temple à Vauhallan située sur le Plateau de Saclay domine la Vallée de la Bièvre. On y vient pour les offices chantés en grégorien, pour une retraite spirituelle, pour des stages d'artisanat, pour ses produits du terroir, pour une halte sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle ou encore pour visiter ses deux musées situés dans la crypte : - l'un consacré à Louise-Adélaïde-de-Bourbon-Condé, fondatrice de l'ordre et aux souvenirs de la famille royale, Louis XVI et Marie-Antoinette. - l'autre, à Mère Geneviève Gallois, moniale artiste de renommée internationale qui réalisa les surprenants vitraux de l'église abbatiale.

[modifier] Musées et collections

Le « Cyclop » à Milly-la-Forêt

Cette monumentale sculpture haute de 22 mètres est située dans les bois de Milly-la-Forêt, elle a été réalisée par Jean Tinguely et Niki de Saint Phalle avec la collaboration de nombreux artistes.


Espace Culturel Paul Bédu

8 bis, rue Farnault à Milly-la-Forêt

Cet espace culturel présente des expositions temporaires et une collection permanente permettant de découvrir un ensemble de tableaux de maîtres des XIXème et XXème siècles et ayant appartenu au collectionneur Paul Bédu, notemment le fameux « Boronali », célèbre canular imaginé par Roland Dorgelès.


Ecomusée de Boigneville

Place de l’Eglise, à Boigneville

Conçu et réalisé par la municipalité, l’écomusée est situé dans l’ancienne grange du garde-champêtre. Présentée sur 3 étages, la collection permet de découvrir un village rural dans le Gâtinais français (Machines agricoles, matériels d’écolier, photographies et affiches)


Le Moulin, ancienne demeure de Claude François

32, rue du Moulin à Dannemois

On peut voir dans le musée de nombreux objets et vêtements ayant appartenus à Claude François.


Verrerie d’art

Le Moulin des Noues à Soisy-sur-Ecole


Musée de l’amicale Jean-Baptiste Salis

Aérodrome de Cerny-La Ferté-Alais

C’est l’un des plus grands musées volants d'Europe(75 avions à hélice). Le musée suit pas à pas les débuts de l’aviation avec deux Blériot de 1909 et 1913, un Morane et un Caudron de 1913-1914, des avions de voltige de l’entre-deux guerres, les premiers avions de voyage, et les derniers chasseurs à hélices. Tous ces avions sont en état de vol. Grand meeting chaque année.


Musée "Á la rencontre des vieux métiers"

55, rue Haute à Bouray-sur-Juine

Exposition de plus de 3500 outils représentant plus d'une trentaine de métiers disparus ou en voie de disparition : apiculteur, charpentier, forgeron, sabotier, tonnelier…


Parcours de découverte touristique de Dourdan, ville royale

Afin de mieux découvrir le riche patrimoine architectural de Dourdan, huit plaques d’informations historiques jalonnent une promenade-découverte en centre ville, en commençant par la porte de Chartres, l’Hôtel de Ville, l’architecture au XIXe siècle, les remparts.


Etampes, ville d’art et d’histoire et ville royale

Etampes possède l’un des plus importants patrimoines bâtis et paysagers de l’Essonne, ce qui lui a permis d’obtenir le label Ville d’Art et d’Histoire. Ville du domaine royal, Etampes offre de nombreux témoignages de son histoire du Moyen-Âge au XXe siècle. A signaler notamment ses nombreuses églises médiévales, son donjon, ses hôtels renaissance, ses lavoirs et de ses abreuvoirs.


Musée intercommunal d’Etampes

Cour de l’Hôtel de Ville à Etampes Label « musée de France »

Fossiles du Stampien, vieux de 35 millions d’années, collection d'art du XIXème siècle, archéologie préhistorique, gallo-romaine et médiévale.


Musée français de la photographie

78, rue de Paris, à Bièvres

Avec plus de quinze mille objets, deux millions de photographies, une bibliothèque et un fonds documentaire technique unique, le Musée français de la photographie rassemble une des plus importantes collections européennes.


Maison littéraire de Victor Hugo

Château des Roches - 45, rue Vauboyen à Bièvres

Documents et manuscrits du célèbre écrivain, qui séjourna au cours de plusieurs étés au domaine des Roches, transformé aujourd’hui en Maison Littéraire.


Les Amis de l’Outil

L.A.D.O Place de l’Eglise à Bièvres

Musée des métiers anciens. Une vingtaine de métiers présentés sur 3 niveaux (sur 400 m²).


Musée municipal André Dunoyer de Segonzac

Hôtel de Ville (anciennes écuries) Place des Droits de l’Homme 91800 Boussy St Antoine

Musée créé par André Dunoyer de Segonzac (1884-1974), peintre, dessinateur, graveur, né au château de Boussy, abritant aujourd’hui la mairie et le musée. Prix Carnegie (1933), Médaille d’or à la Biennale de Venise (1935), Bibliothèque Nationale (1958), Orangerie des Tuileries (1976).


Musée municipal Robert Dubois-Corneau

16, rue du Réveillon à Brunoy Label « musée de France »

Demeure d’un collectionneur, bourgeois, érudit, passionné d’histoire locale. Les collections du musée sont constituées de dessins, gravures, peintures, sculptures et objets d’art, illustrent l’histoire de la ville et de la vallée de l’Yerres, rappelant le riche patrimoine disparu. 2 expositions temporaires au cours de l’année.


Maison d’Alphonse Daudet

33, rue Alphonse Daudet à Champrosay, Draveil

Possession d'Alphonse Daudet, c'est un lieu de mémoire à plusieurs titres. Daudet y venait en famille en villégiature, il y recevait de nombreux artistes du XIXème siècle. L’auteur y a écrit de nombreux ouvrages, et notamment "La Petite Paroisse" qu'il situe dans sa propre maison. Edmond de Goncourt, l'ami de la famille et parrain de la fille d'Alphonse Daudet, y été accueilli régulièrement.


Centre d’Art Paul Delouvrier

12, Clos de la Cathédrale à Evry

Les collections présentées sont diverses depuis l’art éthiopien, trésors du passé liturgique, jusqu'aux peintures d’art contemporain, sur 500 m² d’exposition.


Musée municipal d’histoire et d’archéologie

134 rue du Président François Mitterrand à Longjumeau

Ce musée est composé d’un éventail historique retraçant toutes les époques de l’histoire locale. De plus il présente des figurines antiques et lampes à huile de l’époque gréco-romaine et égyptienne.


Musée palaisien du Hurepoix

Hôtel Brière 5, place de la Victoire à Palaiseau

Le musée retrace la vie en Hurepoix à la charnière des XIX et XXème siècles, par des reconstitutions: agriculture, habitat, métiers, et présentation d’importantes collections (affiches…).


Maison-atelier Foujita

7 et 9, route de Gif, à Villiers-le-Bâcle

En 1991, Kimiyo Foujita a fait don du dernier atelier de son époux, le peintre franco-japonais Léonard Foujita au Conseil Général de l'Essonne, qui a exaucé le vœu de l’artiste en permettant la conservation et l’ouverture au public de ce lieu. Située en vallée de Mérantaise la petite maison rurale a été réaménagée par le peintre au début des années 1960. Au dernier étage de la maison, l’atelier de l’artiste est conservé intact. Pinceaux, pigments, maquettes et peintures murales (préparation de l’œuvre réalisée dans la chapelle ND de la Paix à Reims).


[modifier] Aviation

l'actuel département de l'Essonne a reçu sur son sol, dés le début du XXe siècle, de nombreux sites et équipements pionniers de l'aviation, tels que Port-Aviation (1909), le site Latham d'Etampes (1920) ou Etampes-Mondesir, et conserve un patrimoine volant et des édifices représentatifs des débuts de l'aviation. Une partie significative de l'emprise de l'aéroport d'Orly est située en territoire essonien.


Musée de l’amicale Jean-Baptiste Salis de Cerny-La Ferté-Alais

C’est en 1909 que Louis Blériot traverse la Manche à bord de son avion. Trois ans plus tard, Jean-Baptiste Salis alors âgé de 16 ans, décolle sur ‚“la libellule“, qu’il a lui-même restaurée, et entre dans la légende en survolant le premier le Mont-Blanc. En 1953, ce fou d’avions restaure un vieux Blériot et traverse à nouveau la Manche. A sa mort, son fils reprendra le flambeau. C’est ainsi que l’association et le musée verront le jour. 75 avions à hélice en pièces détachées ont été restaurés. C’est donc l’un des plus grands musées volants d'Europe. Le musée suit pas à pas les débuts de l’aviation avec deux Blériot de 1909 et 1913, un Morane et un Caudron de 1913-1914, des avions de voltige de l’entre-deux guerres, les premiers avions de voyage, et les derniers chasseurs à hélices. Tous ces avions sont en état de vol. l'aerodrome de Cerny acceuille un grand meeting international chaque année.


Aéroport de Paris, Maison de l‘Environnement d‘Orly

La Maison de l’Environnement de l’aéroport d’Orly est un lieu d’accueil, d’information et de documentation pour les riverains des aéroports parisiens, conçu pour tous les publics. Une exposition permanente est organisée autour de 3 thèmes :

  • L’histoire de l’aéroport
  • La circulation aérienne
  • Les activités de l’escale et l’environnement aéroportuaire.

Visites guidées de la plate-forme aéroportuaire, une partie du circuit se déroule en zone réservée, interdite au public. Animations spécifiques sur les thèmes du transport aérien et de l’environnement.


Mess des officiers de Port-Aviation à Viry-Châtillon

Unique vestige du premier aérodrome organisé au monde (1909-1919), ancêtre de l'aéroport d'Orly


Aérodrome d'Etampes-Mondésir à Guillerval

Etampes-Mondésir est le plus important aérodrome de tourisme de l’Essonne. Créé en 1909, il fut le cadre de nombreux records. La « Patrouille de France » y verra le jour. Aujourd’hui il accueille plusieurs aéroclubs du département.


Associations et clubs aéronautiques

Association aéronautique du val d’Essonne

Aérodrome

91720 Buno-Bonnevaux


Aéroclub des cheminots

Aérodrome d’Etampes-Mondésir

91690 Guillerval


GAMA

Aérodrome d’Etampes-Mondésir

91690 Guillerval


Aéroclub Brocard

Aérodrome d’Etampes-Mondésir

91690 Guillerval


Centre de pilotage régional

Aérodrome d’Etampes-Mondésir

91690 Guillerval


Aéroclub François Richet

Centre d’essais en vol

91228 Brétigny cedex


Aéroclub des navigants

Aérodrome d’Etampes-Mondésir

91690 Guillerval


Amicale J.B. Salis

Aérodrome de Cerny / La Ferté-Alais

91590 Le Ferté-Alais/Cerny

[modifier] Lacs et Bases de Plein Air et de Loisirs

Le département de l'Essonne accueille deux bases régionales, à Draveil et Etampes, sous l'égide du Conseil régional d'Île-de-France et un ensemble lacustre de grande dimension, le lac de Viry-Châtillon-Grigny, géré par la communauté d'agglomération Les Lacs de l'Essonne.


  • Base Régionale de Plein Air et de Loisirs de Draveil

dit « Le Port aux Cerises »


  • Base Régionale de Plein Air et de Loisirs d’Etampes


[modifier] Lien externe