Pleumeur-Bodou
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Pleumeur-Bodou | |
Pays | France |
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Région | Bretagne |
Département | Côtes-d'Armor |
Arrondissement | Lannion |
Canton | Perros-Guirec |
Code Insee | 22198 |
Code postal | 22560 |
Maire Mandat en cours |
Armelle Quéniat 2008-2014 |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Lannion Trégor |
Latitude Longitude |
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Altitude | 0 m (mini) – 102 m (maxi) |
Superficie | 26,71 km² |
Population sans doubles comptes |
4 012 hab. (2008) |
Densité | 150 hab./km² |
Pleumeur-Bodou (Pleuveur-Bodoù en breton) est une commune des Côtes-d'Armor en Bretagne. Ses habitants sont appelés les Pleumeurois.
La devise de la commune est "Dreizt mor ha douar", ce qui veut dire "Par-delà mer et terre".
Pleumeur-Bodou est jumelé avec Crosshaven, en Irlande.
[modifier] Géographie
[modifier] Situation
La commune de Pleumeur-Bodou est située à l'extrémité nord-ouest du département des Côtes-d'Armor et du pays du Trégor sur les bords de la Manche.
Pleumeur-Bodou compte une frontière commune avec Lannion, Trébeurden, Trégastel, Perros-Guirec et Saint-Quay-Perros. Il existe d'ailleurs un endroit nommé le pont des 4 recteurs, car 4 communes se rejoignent là en un seul point (il s'agit de Pleumeur, Lannion, Perros-Guirec et Saint-Quay-Perros).
La commune comprend le bourg de Pleumeur-Bodou et plusieurs petits "quartiers de campagne" comme Kérénoc, Gwéradur, le Dossen, Pont-Coulard, Penvern, ou Landrellec sur le littoral. Pleumeur-Bodou compte aussi une île densément peuplée, l'Île-Grande (Enez Veur en breton), reliée au continent par un pont.
[modifier] Site
Malgré le fait que Pleumeur-Bodou soit une commune littorale, le bourg se trouve en hauteur à 100 m d'altitude et à environ 3 kms des côtes. Le point le plus élevé se trouve à Crec'h Ar Gall (102 m). La commune est située sur un sol granitique, d'où les nombreuses carrières de granit qui furent exploitées au fil des ans.
[modifier] Les espaces naturels
Le littoral pleumeurois s'étend sur 17 kilomètres. Les principaux sites sur le littoral sont l'Île-Grande, la baie de Keryvon, la presqu'île de Landrellec et les landes de Bringwiller. La commune compte plusieurs plages, notamment celles de Pors-Gelin, de Toul-Gwenn, de Keryvon et de Landrellec. De nombreux îlots parsèment la côte, les plus connus sont l'île Aganton, l'île Losket, l'île d'Erc'h, l'île Morvil et surtout l'île d'Aval (cf : Avalon), où, selon la légende, le Roi Arthur serait en dormition (L'île d'Aval est une propriété privée. Sa visite est interdite).
La commune accueille aussi un bois qu'elle partage avec Trébeurden : le bois de Lann Ar Waremm (en Français : les landes de garennes). Ce bois s'étend sur environ 300 hectares, dont un peu plus de 200 se trouvent sur la commune de Pleumeur-Bodou. Le bois est surtout composé de hêtres, chênes, bouleaux, saules, peupliers et châtaigniers, et accueille aussi des chevreuils, bécasses, écureuils, renards, et de nombreuses espèces d'oiseaux.
Quelques ruisseaux côtiers parsèment la commune : le Kerduel se jette dans la rade de Perros-Guirec, le Ker-Huel à Penvern, et le Samson dans la baie de Keryvon. Pleumeur-Bodou compte aussi de nombreux circuits VTT, aussi bien sur le littoral que dans les bois ou à-travers la lande.
[modifier] La vie économique
Aujourd'hui, les activités de la commune sont principalement liées au tourisme (site de Cosmopolis, campings, hôtels, restaurants, golf 18 trous). En période estivale la population dépasse les 10 000 habitants. Les exploitations agricoles sont de moins en moins nombreuses et les activités de pêches sont relativement modestes.
[modifier] Histoire[1]
Étymologiquement, "Pleumeur" signifie "grande paroisse". "Bodou" proviendrait de saint Bodo (ou Podo), fondateur de la commune. C'est en 1330 que la commune voit pour la première fois son nom inscrit dans les registres sous la forme "Plebs Magna Podo". La commune prendra son nom définitif à partir du XVe siècle.
[modifier] L'ancienneté du peuplement
Pleumeur-Bodou est habitée depuis très longtemps par l'homme. Des vestiges nous le prouvent.
Entre 70 000 et 30 000 avant J.-C., des hommes chassaient et pêchaient sur ce territoire. En 1983, un biface a été découvert au lieu-dit Keryvon.
Entre 30 000 et 8 000 avant J.-C., l'île d'Aval et toute la côte étaient fréquentées par des tribus qui taillaient des petites pointes dans de tout petits blocs de silex. On en a gardé quelques traces.
Le menhir de Saint-Uzec fut dressé vers 4 000 avant J.-C. Il pèse 80 tonnes, mesure 8,10 m de hauteur (hors-sol) et 3,10 m de largeur. Il est enterré de 5 à 6 m dans le sol. Les deux allées couvertes que compte la commune datent de la fin du Néolithique.
On trouve deux allées couvertes à Pleumeur-Bodou : l'une à l'Ile-Grande, l'autre à Keryvon.
[modifier] VIe siècle : fondation de la paroisse
Au VIe siècle, un moine venu des îles britanniques, se nommant Bodo (ou Podo) s'établit en Armorique. Il fonde une paroisse sur un territoire très vaste puisqu'elle s'étendait sur les actuelles communes de Pleumeur-Bodou, Trébeurden, Trégastel, Perros-Guirec, Saint-Quay-Perros, Louannec, et le nord de Lannion.
A la même époque, un autre moine, Uzec, fonde un petit monastère sur un territoire très limité allant de la chapelle au menhir du même nom, mais sur lequel il eut une grande influence. D'autres moines s'installèrent plus tard sur l'île Aganton et l'île d'Aval.
[modifier] Période médiévale : l'emprise de deux seigneuries
Au Moyen-Âge, deux seigneuries se partageaient le territoire. D'un côté, celle de Keruzec. De l'autre, celle de Kerduel. La première s'étendait de la chapelle de St-Uzec au moulin à vent de Keraliès. La seconde s'organisait autour de son château dont les parties les plus anciennes datent du XIIe siècle. Les seigneurs de Keruzec et de Kerduel avaient cour et juridiction. On trouve encore les traces d'un ancien gibet au Dossen.
La paroisse comptait aussi quelques seigneuries secondaires (Crec'h Cariou, Gweradur, ...).
[modifier] Les origines du patrimoine religieux
Aujourd'hui, trois chapelles subsistent sur la commune : Saint-Uzec, Saint-Antoine et Saint-Samson.
La chapelle de Saint-Uzec fut construite au XIVe siècle. À l'origine, il y avait même deux chapelles qui appartenaient aux seigneurs de Keruzec. Ils auraient pris des pierres d'une des chapelles pour agrandir l'autre.
La chapelle de Saint-Antoine date des XVe et XVIe siècle, mais fut reconstruite en 1844. Elle est située à proximité du château de Kerduel.
La chapelle de Saint-Samson fut construite entre 1545 et 1610. C'est typiquement un monument de style Beaumanoir. Une fontaine datant de 1623 se trouve à une centaine de mètres en contrebas.
Quelques autres chapelles auraient existé :
- une chapelle sur l'île Aganton (chapelle Saint-André), qui aurait été ensevelie sous les dunes ;
- une chapelle au Dossen ;
- enfin, une chapelle dépendant du manoir de Kerprigent en Lannion au lieu-dit "Roz-Ar-Prat" (il reste d'ailleurs une croix à cet endroit).
Il existe aussi deux chapelles privées : celle de Kerduel dans la cour du château, et celle des Orantes de l'Assomption. Il existe aussi un oratoire à Landrellec.
Au XVIIe siècle, le menhir de Saint-Uzec fut christianisé. On coiffa son sommet d'une croix et on sculpta des symboles religieux sur sa façade. Il fut également peint.
La commune compte 2 églises : l'église Saint-Pierre au bourg et l'église Saint-Marc à l'Île-Grande. Au bourg, une église datant du début du XVIIIe siècle fut démolie quand elle devint trop petite pour la population, et on en reconstruit une au même endroit à partir de 1844. La première messe dans la nouvelle église fut célébrée seulement sept mois après le début des travaux. A l'Île-Grande, il y avait autrefois la chapelle Saint-Sauveur qui fut détruite par la foudre. Les habitants de l'île entreprirent alors de construire une église en 1909.
[modifier] Pleumeur-Bodou et la Révolution
La Révolution n'a pas laissé de grandes traces à Pleumeur.
En 1790, le recteur (curé) Louis-Gabriel du Largez refuse de prêter serment et émigre en Angleterre.
Le 22 février 1790, Pleumeur-Bodou élit sa première municipalité et devient commune.
[modifier] La paroisse de l'Île-Grande
L'île a toujours fait partie de la commune de Pleumeur-Bodou. Toutefois dès le XIXe siècle, les îliens dans leur grande majorité demandèrent l'érection d'une paroisse à part entière à l'Île-Grande, distincte de celle de Pleumeur. La municipalité pleumeuroise y répondit favorablement, et dès le 22 octobre 1842, elle fit la demande de la création d'une succursale à l'Île-Grande. Il faudra attendre 1924 pour voir ce voeu accompli. L'église de l'Île-Grande prendra le nom de Saint-Marc.
Entretemps, un pont avait été construit (1894) pour relier l'île au continent, et éviter de devoir traverser la grêve et les marais de Kervoallan à pied.
Au XIXe siècle et au début du XXe, l'île vivait au rythme du travail dans les carrières de granit. Le granit de l'Île-Grande servait principalement à la fabrication de pavés et de bordures de trottoirs, notamment pour alimenter Paris. C'est cette activité qui fit venir de nombreux travailleurs de toute la Bretagne à l'Île-Grande. L'île est restée depuis cette époque le lieu le plus densément peuplé dans la commune. L'autre activité florissante de l'île au XIXe était le ramassage du goëmon.
Aujourd'hui, l'île compte environ 800 habitants. Elle est séparée de la commune de Pleumeur-Bodou par une étroite langue de terre appartenant à la commune de Trébeurden. Il est aussi possible de découvrir le monde des oiseaux de mer à la station de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO).
[modifier] Pleumeur-Bodou dans la modernité : la révolution des télécommunications
La commune bénéficia de la politique de décentralisation des années 1960. La région de Lannion fut choisie pour être le berceau des télécommunications en France.
[modifier] Démographie
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[modifier] Administration
Période | Identité | Parti | Qualité |
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février 1790 - ? | Jean Le Tensorer | ||
? - juillet 1800 | Henry Le Bris | ||
juillet 1800 - septembre 1800 | Nicolas Prat | ||
septembre 1800 - janvier 1808 | Guillaume Le Diolen | ||
janvier 1808 - septembre 1813 | François Prat | ||
septembre 1813 - septembre 1815 | Yves Le Guillouzer | ||
septembre 1815 - septembre 1830 | Pierre Salaün | ||
septembre 1830 - février 1838 | Jean-Louis Le Coz | ||
février 1838 - août 1848 | Jean Riou | ||
août 1848 - mai 1852 | Nicolas de Nompère de Champagny (1790-1863) | ||
juillet 1852 - octobre 1852 | Jean-Louis Le Coz | ||
octobre 1852 - août 1860 | Jean-Marie Salaün | ||
août 1860 - juillet 1876 | Yves Le Yaouanc | ||
juillet 1876 - janvier 1881 | François-Marie Lissillour | ||
janvier 1881 - mai 1888 | Yves Le Yaouanc | ||
mai 1888 - décembre 1933 | Henry de Nompère de Champagny (1859- | ||
janvier 1934 - mai 1935 | Louis Querrec | ||
mai 1935 - mars 1941 | Pierre Le Flanchec | ||
mai 1941 - janvier 1944 | Léon Guillou | ||
février 1944 - mars 1945 | Anastase Briand | ||
mai 1945 - octobre 1947 | Robert Guillou | ||
octobre 1947 - juillet 1962 | Armand Lagain | ||
septembre 1962 - mars 1971 | Louis Potin | ||
mars 1971 - mars 1989 | Corentin Penn | ||
mars 1989 - mars 2008 | Pierrick Perrin | PS | Conseiller général |
depuis mars 2008 | Armelle Quéniat | Divers gauche |
[modifier] Lieux et monuments
- La Cité des télécoms
- Le planétarium de Bretagne
- Le village gaulois (reconstitution)
- La station L.P.O. de l'Île-Grande (Ligue pour la protection des oiseaux)
- Château de Kerduel, XVIe siècle, extérieur visitable de Pâques à septembre
- Les mégalithes et patrimoine religieux et historique :
- L'allée couverte de l'Île-Grande et celle de Keryvon.
- Menhir de Saint-Uzec
- La Chapelle de Saint-Samson et son menhir
- La Chapelle de Saint-Uzec
- La Chapelle de Saint-Antoine
- La Légende arthurienne
[modifier] Croyances et légendes
Comme dans toute la Bretagne, de nombreuses croyances étaient liées aux monuments religieux. C'est ainsi que de nombreux pardons se sont déroulés sur la commune (les pardons subsistent encore).
Par exemple, lorsque l'on se rendait à la chapelle Saint-Antoine, on implorait le saint pour avoir de beaux cochons. D'ailleurs, sur la fontaine située à quelques centaines de mètres de la chapelle, Saint-Antoine est représenté avec un cochon dans les bras. On implorait aussi Saint-Uzec à la chapelle du même nom pour que les vaches donnent du bon lait. On priait aussi pour la santé et la conservation des chevaux.
Un menhir se trouve au pied de la chapelle de Saint-Samson. On s'y frottait le dos pour soigner la stérilité féminine et les douleurs de membres. Assister aux pardons annuels de Saint-Samson permettait de guérir des maux de reins.
A la fontaine de Saint-Sauveur à l'Île-Grande, on y plongeait trois fois de suite les enfants qui tardaient à marcher. A la chapelle Saint-André de l'île Aganton, on y déposait un morceau de pain au pied de 3 croix pour guérir de la coqueluche.
Toujours sur l'île Aganton, il y a 2 croix séparés entre elles de quelques mètres. La légende raconte qu'elles se rapprochent tous les sept ans de la longueur d'un grain de blé. Le jour où elles de toucheront, ce sera la fin du monde.
De nombreuses légendes ont trait au roi Arthur. La plus connue est que le roi Arthur serait enterré sur l'île d'Aval. A Gweradur se trouve une pierre que certains jugeraient mystérieuse. La légende dit que cette pierre était auparvant située sur l'île d'Aval et que d'un bond, Arthur serait arrivé à Gweradur et y aurait déposé la pierre. D'autres légendes racontent qu'Arthur aurait été seigneur de Kerduel et que les chevaliers de la Table Ronde auraient un temps séjourné au château.
Dans La Légende de la mort chez les Bretons armoricains (1902), Anatole Le Braz conte l'histoire de Marie-Job Kerguénou, commissionnaire à l'Île-Grande. L'histoire raconte qu'une nuit, en rentrant de Lannion, Marie-Job aurait croisé un vieil homme en détresse au bord d'un chemin. Elle lui vint en aide, et l'accompagna jusqu'au cimetière de l'Île-Grande à sa demande. Arrivés sur les lieux, l'homme prit les traits de la mort. Il s'agissait de Mathias Carvennec, décédé il y a quinze ans, mais errant depuis, faute de n'avoir pas tenu parole, c'est-à-dire ramener les os de son compagnon de régiment mort à la guerre, jusqu'au cimetière de l'Île-Grande. Ce fut donc chose faîte grâce à Marie-Job. L'homme put donc désormais reposer en paix. Hélas, la bonté de Marie-Job lui fut fatale. Le lendemain, Marie-Job fut retrouvée morte dans son lit.[4]
[modifier] Anecdotes
Le Radôme sert de décor au début de l'album de bande dessinée Message pour l'éternité dont l'héroïne est Yoko Tsuno.
Le granit des carrières de l'Île-Grande servit notamment à paver le boulevard Haussmann à Paris. Les célèbres pavés de la course cycliste Paris-Roubaix proviennent également des carrières de l'Île-Grande, tout comme les pierres constituant le viaduc de Morlaix.
Lors de la construction de la nouvelle église du bourg, il fut décidé de composer l'extrêmité du clocher avec des pierres de couleur différente afin de distinguer le clocher pleumeurois de ceux des localités voisines. C'est ainsi qu'on peut aujourd'hui observer un clocher à l'extrêmité noire dans le bourg de Pleumeur.
Sur la première page de chaque album d'Astérix (celle avec la carte de la Gaule), la loupe semblerait se poser quelque part autour de Pleumeur-Bodou. Astérix et Obélix seraient-ils Pleumeurois ? Toutefois, l'endroit indiqué pourrait tout aussi bien se trouver dans les environs d'Erquy, ce qui serait plus vraisemblable car Albert Uderzo y a séjourné. Cependant, dans la BD "Le Tour de Gaule d'Astérix", le village gaulois est marqué d'une croix qui indique bien la région de Pleumeur. On peut tout de même préciser qu'un village gaulois a été reconstitué à Pleumeur-Bodou (sans référence au monde imaginaire d'Astérix).
[modifier] Personnalités liées à la commune
- Kévin Bodin (né en 1987), footballeur professionnel ayant grandi à Pleumeur-Bodou.
- Joseph Conrad (1857-1924), écrivain ayant séjourné à l'Île-Grande pour son voyage de noces.
- Jean-Pierre Le Bras (né en 1931), peintre né à Pleumeur-Bodou.
- Henry de Nompère de Champagny (1890-1944), homme politique et militaire né à Pleumeur-Bodou.
- Nicolas de Nompère de Champagny (1789-1863), homme politique et militaire qui fut maire de Pleumeur-Bodou entre 1848 et 1852.
[modifier] Notes, sources et références
- ↑ Yannick Lageat, Yvon Garlan, Pleumeur-Bodou, chronique d'une commune trégorroise de l'Ancien-Régime à la révolution spatiale, 1994
- ↑ http://cassini.ehess.fr/ Population avant le recensement de 1962
- ↑ INSEE: Population depuis le recensement de 1962
- ↑ Anatole Le Braz, La légende de la mort chez les Bretons armoricains, 1902
[modifier] Article connexe
[modifier] Liens externes
- Pleumeur-Bodou sur le site de l'Institut géographique national
- Pleumeur-Bodou sur le site de l'Insee
- La Mairie
- La Cité des télécoms
- L'Office de tourisme
- Le planétarium
- Le village gaulois
- Une page consacrée à Pleumeur-Bodou
- L'antenne cornet
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