Peuple de la liberté

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cet article est une ébauche concernant l’Italie et un parti politique.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant. (Comment ?) ; pour plus d’indications, visitez le projet Italie.

Il Popolo della Libertà




Leader	Silvio Berlusconi

Fondation	18 novembre 2007
Siège	pas encore décidé

{{{option-1}}}	{{{valeur-1}}}
{{{option-2}}}	{{{valeur-2}}}
{{{option-3}}}	{{{valeur-3}}}
{{{option-4}}}	{{{valeur-4}}}
{{{option-5}}}	{{{valeur-5}}}
{{{option-6}}}	{{{valeur-6}}}

Coalition
avec la LN et le MpA

Présidents du groupe
au Sénat	{{{Sénat}}}
à la Chambre des députés	{{{ChambredesDéputés}}}
au Parlement européen	{{{ParlementEuropéen}}}

Idéologie	Conservatisme libéral, Démocratie chrétienne
Affiliation européenne	Parti populaire européen
Affiliation internationale	pas encore décidée
Couleurs*	bleu

Site Web	www.ilpopolodellaliberta.it

voir aussi
Constitution italienne Politique de l'Italie Partis politiques italiens Gouvernement italien Président italien

Le Peuple de la liberté (en italien : Il Popolo della Libertà) est un parti politique italien, annoncé le 18 novembre 2007 et créé le 28 février 2008 par Silvio Berlusconi, ancien président du Conseil.

Parallèlement à la création du Parti démocrate au centre-gauche, Silvio Berlusconi décide de dépasser le cadre traditionnel de Forza Italia pour rassembler l'ensemble de la droite et du centre-droit au sein d'un parti unique.

Les deux grands partis italiens de centre-droit (Forza Italia) et de droite conservatrice (Alliance nationale) se sont regroupés au sein du Peuple de la liberté (qui déclare vouloir adhérer au Parti populaire européen) ainsi que quelques petites formations allant du centre à la droite nationaliste, à l'exception notable de l'UDC, la principale formation centriste en Italie, jusque là alliée traditionnelle de Silvio Berlusconi.

[modifier] Commentaire sans référence

Selon certains^{[réf. souhaitée]}, ces grands regroupements symétriques sont consécutifs au déclin de clivages idéologiques traditionnels mais aussi d'une certaine lassitude des Italiens face à un système politique au sein duquel de très petits partis étaient en mesure de faire tomber des gouvernements.