Orgasme

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sexologie et sexualité
Sexualité
Sexualité humaine
Amour - Libido
Rapport sexuel - Position
Genre sexuel - Jouet
Aspects sociaux
Éducation
Pornographie - Prostitution
Agression et Discrimination
Infractions sexuelles
Littérature - Cinéma
Mythologie - Religion
Santé
Contraception - Avortement
Impuissance - Frigidité
Circoncision - Excision
Contragestion - Infection sexuellement transmissible
Sexologues
Ellis Havelock - Forel Auguste
Kinsey Alfred - Leleu Gérard
Reich Wilhelm - Robert Jocelyne
William Masters et Virginia Johnson
Méta
Le projet sexologie
Participez !

L'orgasme, en grec : οργασμός (orgasmós), de orgân, « bouillonner d'ardeur », est la réponse physiologique et psychologique qui a lieu au maximum de la phase d’excitation sexuelle. Il est généralement associé, chez l’homme, à l’éjaculation et à des contractions musculaires rythmiques des muscles du périnée, chez la femme, à la rétraction du clitoris, à des contractions musculaires rythmiques périnéales et intra-vaginales.

Sommaire

[modifier] Généralités

L'orgasme est la troisième étape de la stimulation sexuelle, selon le modèle en quatre phases de la réponse sexuelle de Masters et Johnson .

Dans un rapport sexuel, il est habituellement précédé par des jeux amoureux et des caresses avec une intense excitation sexuelle associée.

Il peut se caractériser par d’autres actions involontaires : une baisse de la vigilance, les pupilles des yeux qui se dilatent, une lubrification des organes génitaux, des vocalisations (râles, cris, soupirs, etc.), une respiration accrue dont l'apport d'oxygène décuple les sensations, des spasmes du visage, des contractions musculaires diverses (le coït étant physique par nature, de par ses « va-et-vient »), une rougeur de la peau, une excitation des mamelons, etc. ; pour aboutir au « point de non retour » qui déclenche une intense jouissance physique.[1]

C’est la conclusion de la phase en plateau par la relâche de la tension sexuelle, accompagnée d'une série de contractions musculaires rapides entourant les régions de l’anus, des muscles du périnée et des organes génitaux, avec l'éjaculation de sperme, ou moins fréquemment de fluides chez les femmes.

Une sensation euphorique généralisée est ressentie, qui sera dès lors accompagnée de la dernière phase : la résolution de la tension sexuelle, un apaisement.

L'orgasme peut aussi être obtenu au moyen de la masturbation solitaire, sans partenaire associé.

[modifier] Jouissance et orgasme

Trois sexes féminins et un phallus pourvu d'ailes. Provenance inconnue. Vers 450-425 a.C.
Trois sexes féminins et un phallus pourvu d'ailes. Provenance inconnue. Vers 450-425 a.C.

Jouissance, dans un contexte sexuel, est un synonyme d'orgasme[2].

Dans un contexte sexuel jouir signifie : éprouver un orgasme.

Lors d’une relation sexuelle, l’orgasme n’est pas systématique mais dépend de l’état psychologique, du lâcher-prise personnel et du partenaire. On peut avoir du plaisir de nombreuses fois au cours de sa vie sans jamais connaître l’orgasme.

Juste après l’orgasme, une sensation de vide et de détente physique, mentale et émotionnelle apparaît. Ce moment, est très important dans la sensation fusionnelle qui apparaît à ce moment-là avec l’autre.

Chez la plupart des sujets le clitoris/pénis est trop sensible après un premier orgasme pour une stimulation directe qui serait alors douloureuse. La période dite réfractaire désigne le temps pendant lequel il est impossible de jouir à nouveau. Cette période peut durer entre une minute et une demi-journée, dépendant de facteurs individuels.

Pour les femmes, la période réfractaire peut être beaucoup plus courte, de l’ordre de quelques secondes seulement. Elle peut aussi avoir plusieurs orgasmes clitoridiens rapprochés

[réf. nécessaire]

[modifier] L’orgasme féminin

[modifier] Une intensité… mythique

Dans Les Métamorphoses, Ovide rapporte comment Tirésias acquiert le don de divination. Alors qu'il se promène en forêt, il trouble de son bâton l'accouplement de deux serpents. Aussitôt, il est transformé en femme. Tirésias reste sous cette apparence pendant sept ans. La huitième année, il revoit les mêmes serpents s'accoupler, refait le même geste et redevient homme.

À l'occasion d'une querelle entre Jupiter et son épouse Junon sur le plaisir que prennent les femmes dans l'acte sexuel, ceux-ci interrogent Tirésias qui, par son expérience, en sait plus que quiconque. Malgré les signes que lui fait Junon de ne pas révéler le secret, Tirésias affirme que les femmes jouissent sept fois (ou huit fois, selon les versions) plus intensément que les hommes. Et Junon, « plus offensée qu'il ne convenait de l'être pour un sujet aussi léger, condamna les yeux de son juge à des ténèbres éternelles »[3] ; le privant symboliquement de ses deux « testicules » oculaires. Jupiter, ne pouvant réparer cette castration symbolique, décide alors, pour compenser sa cécité, d'offrir à Tirésias le bâton (substitut phallique) et le don de divination ; ainsi qu'une vie longue de sept générations.

[modifier] Les signes physiologiques

Quand une femme approche de l’orgasme, le clitoris en érection se retire sous le prépuce clitoridien, et les petites lèvres enflent, deviennent plus foncées et plus sensibles. Lorsque l’orgasme est imminent, le vagin diminue de volume, environ 30%, et se gorge de sang. Les muscles de l’utérus se contractent. Au moment même de l’orgasme, l’utérus, le vagin et les muscles du bassin subissent une série de contractions musculaires. La lubrification naturelle du vagin est alors intense. Après avoir orgasmé, l’afflux de sang disparait, ce qui fait que le clitoris sort du prépuce et reprend sa taille normale, en moins de 10 minutes.

[réf. nécessaire]

[modifier] L’origine de l’orgasme

L’origine de l'orgasme féminin a suscité de nombreuses études, théories et mythes.

Dans la théorie classique initiée par Freud on distingue deux types d'orgasmes chez la femme. Le premier chronologiquement serait l’orgasme clitoridien considéré comme basique ou infantile, le second, l’orgasme vaginal nécessiterait un apprentissage pour les femmes et serait selon Freud «l'orgasme de la femme mature».

Mais les études modernes ont remis en question la théorie classique. Dans cette quantité de sources se dégage de plus en plus le rôle prépondérant du clitoris. En ce qui concerne la place du vagin dans la génération du plaisir sexuel féminin, les avis sont divergents.

Ainsi, selon Masters et Johnson, l’orgasme obtenu lors du coït n’a pour origine qu’une stimulation indirecte du clitoris (Il existerait donc une sorte d'unité mécanique fonctionnelle vagino-labio-préputio-glandienne transmettant et transformant les mouvements de va-et-vient du pénis en frottement du capuchon et du prépuce sur le gland clitoridien rétracté). Cette théorie s’appuie sur le nombre important de leurs observations  : ils ont observé et mesuré environ 10 000 réponses sexuelles. Mais aussi sur les recherches faites sur l’autostimulation féminine ainsi que chez les femmes n'utilisant pratiquement jamais la stimulation vaginale de façon privilégiée lors de technique d'autostimulation.

Selon d'autres découvertes concernant le clitoris faites par le sexologue Andrée Matteau, l'orgasme dit « vaginal » met toujours en œuvre le clitoris par l'intermédiaire de ses branches profondes qui encadrent les parois du vagin. La distinction entre orgasme vaginal et orgasme clitoridien n'aurait donc plus lieu d'être, même si les composantes psychologiques, affectives, physiologiques, anatomiques s'entremêlent tellement dans ce domaine qu'il est difficile d'isoler une zone ou un organe dans ce mécanisme. Ce fameux point G n'est en fait que la partie interne de la structure clitoridienne, explique Andrée Matteau, sexologue :

«  La partie extérieure et visible du clitoris, c'est cette petite perle que tout le monde peut identifier. Mais cette structure comporte également des nerfs qui aboutissent à l'intérieur du vagin, comme des pattes qui se rejoignent dans ces éponges que le docteur Grafenberg a bien vaniteusement appelé le point G. Certaines femmes peuvent effectivement ressentir un grand plaisir de la stimulation de ces éponges qui sont fortement innervées. Elles peuvent les repérer par exploration manuelle et s'en servir lors de la pénétration pour amplifier les sensations. Mais de là à prétendre que le point G procure l'ultime jouissance... »

Ainsi, il n'y aurait qu'un seul et unique type d'orgasme féminin. Un extrait d'une enquête de F.Magazine, préfacé de Marie Cardinal en 1980, illustre parfaitement ce point de vue :

« La théorie psychanalytique a créée une séparation nette et sans appel entre deux orgasmes qu'elle veut étrangers l'un à l'autre. L'un symbolise la normalité, l'autre l'immaturité. Or, tout ceci est faux. Malgré les travaux récents et l'importance de la sexologie dans les médias, la confusion reste maintenue. En effet, il n'existe aucune différence entre un orgasme obtenu par une stimulation digitale ou buccale du clitoris et un orgasme provenant de l'excitation provoquée par le frottement du pénis (pendant la pénétration) sur le clitoris. Si dans ce dernier cas, on peut parler d'orgasme vaginal, c'est seulement parce qu'il y a eu, là aussi, stimulation clitoridienne. »

[modifier] L’orgasme masculin

L’orgasme pénien se caractérise par des contractions rapides et rythmiques de la prostate, de l’urètre et des muscles à la base du pénis. Ces contractions expulsent le sperme par le méat urétral du pénis (l’éjaculation). Ce processus dure de 3 à 10 secondes [réf. souhaitée] et est accompagné habituellement d'une sensation de plaisir intense. Il existe un autre type d'orgasme chez l'homme : l'orgasme prostatique par stimulation directe de la prostate.

Les hommes peuvent avoir des orgasmes avant la maturité sexuelle, mais ils n’éjaculent pas. Il est aussi possible pour l’homme adulte d’avoir un orgasme sans éjaculer (par exemple lorsqu’il a déjà éjaculé plusieurs fois), on parle alors d’étreinte réservée, et d’éjaculer sans orgasme (ce qui peut être le cas pour les éjaculateurs précoces notamment) [réf. souhaitée].

Ces orgasmes non éjaculatoires ont une qualité différente de l'orgasme issu de la stimulation directe du pénis [réf. souhaitée].

La capacité de ressentir un orgasme sans éjaculer peut aussi résulter d’un entraînement. En s'entraînant à reculer le plus longtemps possible leur éjaculation tout en s'approchant le plus possible du pic orgasmique, certains hommes parviennent à vivre un orgasme sans éjaculation. Cet orgasme est souvent plus fort qu'un orgasme avec éjaculation mais pas nécessairement. Il peut aussi durer jusqu’à plusieurs minutes.

[réf. nécessaire]

Une idée fausse très répandue veut que certaines pratiques tantriques permettent aux hommes qui le souhaitent de parvenir à se contrôler. Ce sont des techniques sexologiques utilisées par des animateurs de stages peu scrupuleux, sans rapport avec le tantrisme traditionnel.

L'acte sexuel étant très lié à des mécanismes émotionnels inconscients liés à la valeur personnelle, à la capacité d'être quelqu'un d'intéressant, etc., il est recommandé aux hommes et femmes qui pratiquent cette technique de prévenir leurs partenaires afin d’éviter chez lui ou elle un sentiment de frustration lié à ce qui pourrait être interprété comme une incapacité à faire réellement orgasmer le partenaire.

[modifier] Après l’orgasme

« Tu m'as emmenée au septième ciel. »
    — Jennifer Aniston à Jim Carrey, dans le film Bruce tout puissant

L'orgasme entraîne généralement des effets physiologiques avant que les partenaires peuvent décider de re-faire l'amour. On parle alors de « nuit d'amour » pour ceux qui réussissent à obtenir plusieurs orgasmes durant cette période (jusqu'à cinq-six fois, voire plus).

[modifier] La période réfractaire

Selon les termes de William Masters et Virginia Johnson, il s'ensuit une période réfractaire, dite « résolution » qui peut être plus ou moins longue selon l’âge et le degré d’excitation (de quelques secondes ; généralement de 5 à 20 minutes ; jusqu’à plusieurs jours).

Le couple, s'il le désire, plutôt que de finir abruptement cette relation par un retrait immédiat des sexes et des corps, peut prolonger le plaisir de son union, en partageant ce moment d'intimité par un moment de calme : le regard, les caresses, la tendresse, tout en devisant tranquillement ; cela ne peut que renforcer l'amour que se vouent deux personnes intimes... Cependant, il peut y avoir d'autres réactions déclenchées tout juste après l'orgasme :

[modifier] Les réactions physiologiques

[modifier] Émotions

« Alors... heureuse ? »
    — Jean-Pierre Marielle, dans le film les Galettes de Pont-Aven

Différentes sortes d'émotions plus ou moins « heureuses » peuvent être ressenties après l'orgasme.

[modifier] Positives

Un partenaire seul ou le couple entier peut ressentir la plénitude (de son union, avec monde ou l'univers, etc.) parfois en se remémorant ce qui vient de se passer, comme par exemple dans certaines scènes du film Lady Chatterley. L'amour est généralement associé à ce sentiment positif.

[modifier] Négatives

« Post coïtum anima tristis »
    — Ovide, L'Art d'aimer (Après le coït, l'âme est triste)

Ovide nous enseigne par là que l'être humain peut ressentir un sentiment de tristesse, de mélancolie et/ou de nostalgie (la fatigue et le stress peuvent y être associés) par rapport à ce qu'il vient de faire comme expérience sexuelle. Plus prosaïquement, il est tout à fait normal de ressentir une certaine tristesse après un rapport sexuel, le néocortex reprenant ses fonctions, la pensée qui reprend son cours normal, le flot d'hormones qui se remet en place…

Il peut y avoir aussi un sentiment négatif voire d'échec si le rapport n'a pas été satisfaisant pour l'un ou l'autre partenaire.

Suivant l'attente du couple face au résultat à la fin du rapport sexuel, ou s'il y avait un objectif de réussite trop ambitieux posé avant celui-ci. Par exemple, certaines personnes considèrent l'orgasme comme une expérience extatique obligatoirement associée au coït, voire un aboutissement complet de leur relation affective. Cela peut avoir un caractère tout à fait déceptif car une relation amoureuse ne peut se baser entièrement sur le « sexe ».

[modifier] Le sommeil

La détente post-orgasmique des corps favorise le sommeil qui peut survenir après, si l'on y consent. Les hommes y sont fréquemment sujets mais pas toujours. Les femmes y sont sujettes aussi, mais dans une moindre proportion.[réf. nécessaire]

[modifier] Les pleurs

Des pleurs peuvent survenir spontanément et naturellement après un rapport sexuel, si la charge émotionnelle induite, la charge érotique physique, l'excitation sexuelle, ont été fortement ressentis durant le coït, surtout dans ses parties génitales. Il y a alors une sorte de retour, de relâchement de la tension, remontant du bassin vers la tête, provoquant du même coup cette réaction. Il n'y a pas lieu de s'alarmer alors, sauf si la cause est d'origine traumatique et refoulée dans l'inconscient.[4] Les pleurs peuvent même survenir au cours de l'orgasme lui même de façon incontrôlées. Il peut tout a fait s'agir de pleurs de joie, quand l'orgasme a été particulièrement exceptionnel (par exemple la révélation du premier orgasme dans la vie d'une femme).

[modifier] Les « problèmes d’orgasme » (troubles sexuels)

On peut ne pas avoir d'orgasme durant un rapport sexuel, voire ne jamais l'éprouver.

[modifier] La performance

[modifier] La capacité multiorgasmique

Certains sujets présentent une possibilité multiorgasmique ce qui signifie qu’ils peuvent expérimenter plusieurs orgasmes à peu de temps d’intervalle les uns des autres. Ce phénomène est de loin bien plus courant chez les femmes que chez les hommes [réf. souhaitée].

Malgré l’attrait que peut, dans un premier temps, présenter la capacité multiorgasmique, ce n'est pas nécessairement un avantage puisque probablement souvent lié au contrôle de la montée orgasmique [réf. souhaitée]. Plusieurs orgasmes sont alors nécessaires à la satisfaction sexuelle [réf. souhaitée].

Des recherches ont montré que la proportion de femmes naturellement multiorgasmiques serait d'environ 13 % [réf. souhaitée]. Alors que les hommes naturellement multiorgasmiques se trouvent dans une proportion négligeable [réf. souhaitée]. Cela est peut-être lié aux différences anatomiques et culturelles. Les hommes ayant plus facilement accès à l’orgasme pénien que la femmes au clitoridien. Et celles-ci sont souvent bloquée par la morale qui veut qu'une femme doit se montrer « réservée » [réf. souhaitée].

Il est possible d’apprendre à développer une capacité multiorgasmique grâce à certaines techniques développées en sexologie. Cet apprentissage est délicat à mettre en œuvre car il est corrélatif avec l’apprentissage du lâcher-prise orgastique (pour ne pas tomber dans le travers de l’orgasme insatisfaisant).

Il est possible également d’obtenir un orgasme prostatique juste après un orgasme clitoridien/pénien. Pour cela, le moyen le plus simple est pour les femmes et les hommes une stimulation appropriée du point G (avec l’utilisation d’un jouet sexuel spécialisé par exemple) et à l’aide d'une disposition psychologique favorable.

Quelques femmes et hommes peuvent avoir un orgasme prolongé (status orgasmus) pendant plusieurs minutes.

[réf. nécessaire]

Toutefois, la meilleure façon de cultiver un orgasme de qualité est justement d'oublier la notion de performance, qui induit la crainte de l'échec. En effet la peur est l'émotion qui inhibe le plus la sensation de plaisir. Il est donc préférable d'être a l'écoute de ses envies, de ne pas vouloir plaire à tout prix mais plutôt de suivre le calme petit chemin de son plaisir personnel. C'est ainsi que l'on sera finalement a même de donner par la suite plaisir a l'autre

[modifier] Ailleurs (le tantra sexuel)

Des techniques sexologiques issues des traditions orientales et asiatiques se répandent en Occident. Beaucoup ne sont que des déformations ou des simplifications de techniques de découverte de soi. La plupart se présentent sous couvert de tantrisme ou de taoïsme mais ne font en fait que rajouter une note d’exotisme à de la sexologie basique. L'arrivée du tantra en Occident correspond également à une recherche d'une réintégration de la sexualité dans la spiritualité et participe à une vision de l'union de l'homme et de la femme comme une méditation à part entière incluant un état modifié de la conscience. L'orgasme est alors considéré comme un évènement énergétique.[5]

[réf. nécessaire]

[modifier] Voir aussi

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens externes

[modifier] Notes et références

  1. Excitation sexuelle dans le cerveau - Doctissimo Le plaisir sexuel n'aurait pas son siège seul dans les parties génitales mais pour une large part dans le cerveau selon des études récentes.
  2. ATILF:Jouissance
  3. Ovide, Les Métamorphoses, III, 316-338
  4. http://ideas.uqam.ca/~dsexo/2003/0403/4295-15w.htm Elysa - Les pleurs féminins après l'orgasme
  5. Bibliographie : l'Art de l'extase sexuelle, Margot Anand, Guy Trédaniel
Sexologie
Sexualité humaine - Amour - Libido - Rapport sexuel - Position sexuelle - Genre sexuel - Jouet
Aspects sociaux
Éducation - Pornographie - Prostitution - Agression et Discrimination - Infractions sexuelles
Littérature - Cinéma - Mythologie - Religion
Santé
Contraception - Avortement - Impuissance - Frigidité - Circoncision - Excision - MST