Portail:Nouvelle-Calédonie

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bienvenue sur le portail de la Nouvelle-Calédonie

[modifier

Actualité

  • 3ème trimestre 2008 : Ouverture de la Maison de la Nouvelle-Calédonie dans ses nouveaux locaux proches de l'opéra Garnier, à Paris.
  • 9 octobre : Francis Cabrel annule deux concerts prévus en Nouvelle-Calédonie, après des menaces sur son site internet.
  • 25 septembre : la Confédération syndicale des travailleurs de Nouvelle-Calédonie (CSTNC) est en grève illimitée. Sa principale revendication est le « départ immédiat des travailleurs philippins » du chantier de l'usine Goro Nickel du canadien Inco. Le syndicat réclame aussi la démission du gouvernement local et un calendrier précis pour la construction de l'usine métallurgique du Nord.

[modifier

Les images

Le phare Amédée
Le phare Amédée

[modifier

Le saviez-vous ?

  • La tête d'Ataï « grand chef » kanak de Komalé et leader de la révolte kanak de 1878 avait été mise à prix 200 F, conservée dans du formol, montrée à Nouméa puis emportée en métropole. Il est probable que la tête ait été alors entreposée au Musée Broca qui se trouvait à l'époque dans les combles du Musée Dupuytren (ancien couvent des Cordeliers). Aujourd'hui, alors que les Kanaks continuent de revendiquer son retour au pays, elle est officiellement perdue. Un roman de Didier Daeninckx, Le Retour d'Ataï évoque cette quête et propose une explication plutôt romanesque du devenir des restes d'Ataï.

[modifier

Article du mois

Le Fort Teremba est un ancien pénitencier situé non loin de Moindou, en Nouvelle-Calédonie.

La construction d'un fort militaire et d'un pénitencier le long de la baie d'Uarai débute en 1871, à la demande du gouverneur Gaultier de la Richerie qui envoie sur place un contingent de vingt-cinq condamnés, encadrés de deux surveillants et de trois gendarmes. Le camp prend le nom de Fort Teremba, par référence à l'ilôt Teremba qui se trouve au milieu de la baie d'Uarai. Un véritable petit village se créé autour du camp, on y trouve un bureau d’état civil, une bibliothèque, une église, une école, un bureau de poste, un télégraphe. Il faut y ajouter d’une part les locaux nécessaires à la vie pénitentiaire : cellules, cuisines, loges des surveillants et les constructions liées aux besoins militaires : poudrerie, tour de guet, mur d’enceinte. En 1872, le gouverneur autorise l’implantation de colons libres. C’est ainsi que les premiers Alsaciens-Lorrains s’installent à Moindou en 1873.

Lire l'article

[modifier

Projet

Pour aider au projet, il suffit de créer des articles. De rajouter des images. Ou de completer les articles existants.



Il n'est pas obligé de s'inscrire pour participer au projet.