Nanterre

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Nanterre
Carte de localisation de Nanterre
Pays France France
Région Île-de-France
Département Hauts-de-Seine
Arrondissement Nanterre
Canton Chef-lieu de 3 cantons
Code Insee 92050 (ex 75050)
Code postal 92000
Maire
Mandat en cours
Patrick Jarry
2008-2014
Intercommunalité sans
Latitude
Longitude
48° 53′ 56″ Nord
         2° 11′ 49″ Est
/ 48.898807, 2.196922
Altitude 22 m (mini) – 127 m (maxi)
Superficie 12,19 km²
Population sans
doubles comptes
87 800 hab.
(2005)
Densité 7202 hab./km²
Nanterre sur le plan de Paris et proche banlieue

Nanterre est une commune française située dans le département des Hauts-de-Seine et la région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Nanterrois puis les Nanterriens.

Sommaire

[modifier] Géographie

Nanterre est une ville de la banlieue ouest de Paris.

Le quartier de La Défense, l'un des principaux quartiers d'affaires d'Europe, s'étend en partie sur Nanterre, le reste étant partagé entre Courbevoie et Puteaux. La ville de Nanterre comprend aussi l'une des plus grandes universités de la région parisienne : l'université de Paris Ouest - Nanterre La Défense.

Située en bord de Seine, cette ville est préfecture des Hauts-de-Seine (92). Anciennement une plaine, elle s'étend de la Seine au mont Valérien et à l'ancienne colline de la Défense.

[modifier] Démographie

Évolution démographique
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 991 2 222 2 340 1 903 2 500 2 590 2 792 2 842 2 770
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 919 3 549 3 907 3 944 4 279 4 984 5 592 10 430 11 950
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
14 140 17 434 21 349 27 042 35 843 42 978 46 065 41 860 53 037
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 - -
83 416 90 332 95 032 88 578 84 565 84 281 86 700 - -
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Graphique de l'évolution de la population 1794-1999

[modifier] Histoire

D'argent à deux fasces d'azur
D'argent à deux fasces d'azur

[modifier] Origine de « Nanterre »

La présence humaine est attestée sur le site de Nanterre dès l’époque néolithique par les découvertes fortuites d’outils de pierre. Le nom de Nanterre apparaît dans les textes à partir du VIe siècle mais ses racines celtiques « Nemeto-Durum » (ou "montagne sacrée") , révèlent une origine plus ancienne et l’existence d’un habitat important à caractère militaire et cultuel. Latinisé en Nemetodurum puis Nemptodoro, le nom sera francisé en Nantuerre et Nanturra au XIIe siècle.

[modifier] Un village gaulois

La découverte de la tombe à char d’un personnage de haut rang établit l’importance du bourg situé sur la voie antique de Paris à la Normandie. Il reste un centre religieux des Parisii après la conquête romaine. En 1993, des fouilles archéologiques ont mis au jour l’ancien village gaulois.
De plus, en 2003, a été découvert une importante nécropole gauloise datant de la fin du VIe siècle - début du IIIe siècle avant notre ère, dans ce qui était à l'époque une véritable ville gauloise. Du fait de l'importance gauloise de la ville, une théorie récente présente Nanterre comme étant la Lutèce décrite par Jules César dans sa guerre des Gaules, en lien avec des fouilles effectuées à Nanterre [1],[2].

[modifier] Nanterre au Moyen Âge

Cathédrale Sainte-Geneviève-et-Saint-Maurice
Cathédrale Sainte-Geneviève-et-Saint-Maurice

La « Vie » de Sainte Geneviève, document écrit au début du VIe siècle, mentionne la naissance de Geneviève à Nanterre vers 426 et lui attribue la guérison miraculeuse de la cécité de sa mère avec l’eau du puits situé près de sa maison. Après la mort de sainte Geneviève, Clovis et Clotilde créent l’abbaye de Sainte-Geneviève qu’ils dotent de vastes possessions. Nanterre fait partie des villages dont cette abbaye devient le seigneur. De nombreux sarcophages mérovingiens, mis au jour lors des fouilles archéologiques effectuées sous le parvis de la cathédrale en 1973, attestent l’importance de Nanterre pendant cette période.

En 1247 le roi Louis IX confirme l’affranchissement des serfs de Nanterre avec l’accord de Thibaud, abbé de Sainte-Geneviève. Les affranchis demeurent sujets de l’abbaye et acquittent les redevances et corvées ordinaires. Les chroniques mentionnent les horreurs de la guerre de Cent Ans au cours de laquelle l’église est plusieurs fois incendiée.

À partir du XVe siècle, on sait avec certitude que le puits miraculeux de sainte Geneviève fait l’objet de pèlerinages importants.

[modifier] Un haut-lieu religieux

En 1634, un curé-prieur, Paul Beurrier, est chargé par l’abbaye d’ouvrir un séminaire et de redresser la situation temporelle et spirituelle. Il combat la Réforme et obtiendra l’appui d’Anne d’Autriche qui s’est rendue plusieurs fois en pèlerinage au puits de Sainte Geneviève. Il fait construire un collège dont la première pierre est posée par la reine en 1642.

Une autre communauté religieuse, les prêtres du Calvaire, est établie au Mont Valérien.

Le territoire, cultivé en vignes, céréales et légumes, est parsemé de nombreuses réserves à gibiers destinés aux chasses royales. On y exploite de nombreuses carrières souterraines de pierre à bâtir. Nanterre est le principal fournisseur de Paris en charcuterie.

[modifier] La Révolution

Le collège devient une école militaire. Les Nanterrois rédigent leur cahier de doléances, ils demandent notamment la suppression des droits et privilèges de l’abbaye et des réserves à gibiers.

Le 4 août 1789, l’abolition des privilèges délivre les Nanterrois des droits seigneuriaux de l’abbaye. L’église devient « temple de la raison ». La première municipalité est élue au suffrage censitaire le 7 février 1790. Les biens des moines génovéfains sont vendus comme bien nationaux.

Les Nanterrois ne manifestent pas un grand zèle révolutionnaire. Après les batailles de Valmy et Jemappes, les volontaires se mutinent pour rentrer au pays, leur commandement leur ayant refusé de passer leurs quartiers d’hiver en famille. C’est sous la pression du Comité de vigilance que la municipalité fera arrêter les prêtres du calvaire et les ermites du mont Valérien, suspectés d’activités contre-révolutionnaires.

La Révolution a interrompu les échanges avec Paris privant les Nanterrois de leurs principales ressources. L’économie de guerre, les réquisitions, les levées d’hommes pèsent trop lourdement sur la vie quotidienne. L’arrestation de Robespierre, le 9 thermidor (27 juillet 1794), malgré la vaine tentative de soulèvement des Parisiens par François Hanriot, général commandant la Garde nationale de Paris, est accueillie avec soulagement. François Hanriot, né à Nanterre le 2 décembre 1759, est guillotiné le 10 thermidor (28 juillet 1794).

[modifier] Le chemin de fer

La Ligne de Paris à Saint-Germain-en-Laye, première ligne de chemin de fer partant de Paris, est inaugurée le 24 août 1837. La mise à niveau de la voie qui coupe le territoire en deux, nécessite le creusement d’une tranchée, l’édification d’un talus et la construction de ponts.

Une autre ligne reliant Paris à Rouen traverse Nanterre en 1841.

Les Parisiens avides de plaisirs champêtres assistent nombreux aux fêtes de la rosière et se rendent dans l’île fleurie où les attendent les guinguettes accueillantes.

La rapidité des moyens de transport favorise l’établissement d’une nouvelle population. Villas bourgeoises et immeubles de rapport seront édifiés près de la gare.

[modifier] Le canon tonne

Pendant la guerre de 1870, les Nanterriens se réfugient à Paris. Les canons de la forteresse du mont Valérien édifiée en 1841, contiennent l’ennemi au-delà de la Seine. Nanterre est gravement endommagé par les échanges de tirs, puis par l’occupation et les réquisitions des Prussiens.

Une statue commémorative sera édifiée au rond-point de la Défense, site qui sera transformé ultérieurement pour accueillir le quartier de La Défense

[modifier] L’industrialisation

Les premières industries sont dépendantes de l’élevage : suiferie, fabrique de noir animal, fabrique de colle. À la fin du XIXe siècle, les industriels trouvent à Nanterre les espaces dont ils ont besoin sur des terrains à bon marché, à proximité de voies de communication importantes : routes nationales, voies ferrées, fleuve.

Les grands travaux consécutifs à l’extension de Paris nécessitent de grandes quantités de matériaux. Ils offrent de nouveaux débouchés par l’exploitation de nombreuses sablières.

Toutes les branches d’activité seront présentes à Nanterre : Papeteries, industries chimiques, pharmaceutiques, cosmétiques, métallurgie, fonderies, industries alimentaires, construction automobile et ses équipements.

De grandes marques sont nées à Nanterre : biscottes et produits diététiques Heudebert, pâtes alimentaires Milliat frères, automobiles Simca, camions Willème. D’autres grandes marques y ont installé leurs usines de fabrication : Bâches Cauvin et Yvose, encres d’imprimerie Lorilleux, pâtes dentifrice du Docteur Pierre qui deviendra Forvil, parfums Lanvin, Roja, apéritifs Campari, carburateurs Solex, équipements de cycles Huret, accumulateurs Dinin…

Le secteur de l’énergie sera représenté par l’usine de production de gaz d’éclairage, les installations de distribution de courant électrique Ouest-Lumière qui deviendront l’Électricité de France et les dépôts d’hydrocarbures Fina, Shell

Autour des grandes usines, employant des milliers d’ouvriers, s’établissent de nombreux petits ateliers de sous-traitance et d’outillage, souvent à caractère familial.

Les résidus urbains et industriels sont exploités pour être recyclés selon une organisation structurée. De simples chiffonniers collecteurs revendent à des « semi-grossistes » lesquels revendent à des industriels de la profession, disposant de vastes chantiers de stockages reliés au réseau ferré. Les industries métallurgiques induiront la profession de ferrailleur et la construction automobile celle de casseur.

[modifier] Du carcéral au social

Dès 1874, le département de la Seine fait construire une vaste maison de répression à l’écart du bourg, au nord du territoire. L’établissement occupe 17 hectares. Il perdra progressivement sa fonction carcérale pour devenir un centre d’accueil des indigents auquel s’adjoindront une maison de retraite et un hôpital. Il est administré jusqu’en 1989 par la Préfecture de police et constitue un cas unique en France.

En 1989, il prend le statut d’un établissement public autonome de la Ville de Paris à caractère sanitaire et social dénommé : « Centre d’accueil et de soins hospitaliers ».

Il est organisé en quatre secteurs fonctionnels : un centre d’accueil, l’hôpital Max Fourestier, une maison de retraite et un centre d’hébergement et d’assistance aux personnes sans abri.

L’État et les administrations acquièrent de vastes terrains : chemins de fer, entrepôts de la régie des tabacs (SEITA), camp militaire de matériel aéronautique (1916).

[modifier] Nanterre pendant la Première Guerre mondiale

Pendant la guerre de 1914-1918, 814 Nanterriens sont tués. Nanterre accueille les réfugiés et des industries repliées des zones de combat.

[modifier] L'entre deux guerres

La population nouvelle attirée par les emplois offerts dans l’industrie et confrontée aux difficultés économiques de l’entre-deux-guerres modifie profondément les données sociologiques de la ville.

En 1935, une municipalité est élue sur une liste « Unité d’action anti-fasciste ». Le maire Raymond Barbet est un jeune cheminot communiste. Les Nanterriens rejoindront le Front populaire créé le 14 juillet 1935 et éliront un député communiste aux élections de 1936.

Les usines de Nanterre sont occupées pendant les grandes grèves de 1936-1937 qui aboutissent à la conquête d’importantes avancées sociales.

L'émergence du Front Populaire se traduisit par l'arrivée des communistes aux commandes de la ville.

[modifier] La Seconde Guerre mondiale (1939-1945)

La guerre à l’Allemagne est déclarée le 9 septembre 1939. Le conseil municipal est dissous le 4 octobre 1939 et Raymond Barbet est arrêté le 19 décembre ; interné, il s’évadera et rejoindra la Résistance. Les dépôts de carburant sont incendiés pour ne pas servir à l’ennemi.

Le 15 juin 1940, Paris est occupée ; l’Armistice est signé le 22 juin. La ville est administrée par une délégation spéciale nommée par le gouvernement de Vichy. La résistance s’organise. Juifs, communistes, antifascistes, résistants sont arrêtés, déportés, fusillés. Le mont Valérien est devenu un haut lieu du martyrologe de la Résistance.

Après la Libération, Raymon Barbet est réélu aux élections municipales de 1945. En 1973 après 38 ans de mandat, Raymond Barbet passe le relais à Yves Saudmont. Quinze ans plus tard le docteur Jacqueline Fraysse prend la relève.

[modifier] La reconstruction

Au lendemain de la guerre la priorité est donnée au logement et aux équipements sociaux, sportifs et culturels. Un Office municipal d’habitations à loyer modéré est créé en 1951. De son côté, l’État fait expérimenter la construction industrielle de 2600 appartements. Aujourd'hui encore, 54% des habitations sont des logements sociaux.

Nanterre connaît un nouvel essor industriel et une croissance démographique importante que ne suit pas le rythme des constructions de logements.

De 60 283 habitants en 1956, la population atteindra 83 528 habitants en 1962.

Les terrains vagues se sont couverts de bidonvilles où loge la main-d’œuvre immigrée, principalement venue du Maghreb ; les conditions de vie pénibles sont aggravées par les opérations de police consécutives à la guerre d'Algérie.

En 2007, la mairie avait voulu donner à un collège de Nanterre le nom d'Abdelmalek Sayad, sociologue qui avait spécialement étudié la vie du bidonville. Ce projet a été refusé par le Conseil général.

Il faudra attendre le milieu des années 1970 pour que disparaissent ces constructions de fortune.

[modifier] Nanterre en lien avec la Défense

Le lieu-dit « Les Fontenelles » s’étend sur la trajectoire de la poussée de Paris vers l’Ouest, sujet de très anciens et nombreux projets.

En 1958 l’État crée l’Établissement Public pour l’Aménagement de la Défense (EPAD). Architectes et urbanistes de renommée internationale conçoivent un nouveau quartier selon les tendances modernes d’urbanisme et d’architecture, souvent objets de polémiques.

La densification des tours de bureaux et de logements nécessitera des équipements et des infrastructures importantes.

Les opérations de l’EPAD donneront lieu à de vives réactions de la municipalité qui tient à garder la maîtrise de son territoire et cherchera à faire participer l’aménageur plus largement au financement des équipements collectifs nécessaires, dont elle a la charge.

De vastes chantiers se poursuivent avec l’aménagement de l’axe Seine-Arche.

Le quartier est bien doté en transports en commun, autour de la station La Défense :

(RER) A /T/ L U (M) 1 2 (BUS) RATP 73 141 144 159 161 174 178 258 262 272 275 276 278 360 378 Balabus.

[modifier] Nanterre, sa préfecture, son université, sa cathédrale

Nanterre va connaître plusieurs événements importants durant les années 60 :

  • À partir de l’année 1964-1965, l’université de Paris X s’installe progressivement dans ses nouveaux bâtiments, construits sur l’emplacement de l’ancien camp militaire de matériel aéronautique de la Folie. C’est là que naîtra la contestation étudiante, rejointe par les revendications ouvrières, de mai 1968.

Le quartier est desservi par la Gare de Nanterre - Université (RER) A /T/ L qui a remplacée l'ancienne halte de La Folie.

Les services préfectoraux s’installent en 1972 dans la tour de la Préfecture des Hauts-de-Seine conçue par l’architecte André Wogenscky ; elle est desservie par une ligne du Réseau express régional. Dans le même secteur seront établis l’Hôtel du département, le Palais de Justice et les Archives départementales. La maison d’arrêt sera bâtie à l’écart, en bordure de la Seine.

Le quartier est desservi par la gare de Nanterre - Préfecture (RER) A.

Sainte Geneviève, originaire de Nanterre, devient la sainte patronne du diocèse de Nanterre. Elle est aussi sainte patronne du diocèse de Paris.

[modifier] Nanterre Ville

Dans les années 1970, s’amorcent les grandes mutations des activités économiques caractérisées par une forte désindustrialisation.

Cependant, la situation géographique de Nanterre et l’organisation de zones d’activités économiques, favorisent le maintien d’emplois industriels et le développement des secteurs du tertiaire, du commerce, des services et de l’informatique. Nanterre compte 86 219 habitants recensés en 1999.

Du village à la cité, Nanterre conserve dans son patrimoine les témoignages de cette longue histoire.

Le quartier est desservi par la gare de Nanterre - Ville (RER) A.

[modifier] Seine Arche

Issu d'une longue bataille politique, l'Etablissement public d'aménagement Seine-Arche organise la construction des derniers terrains libres de la ville, ce qui en fait l'une des principales opérations urbaines de France par sa taille, son volume et son importance. Sur l'ancien projet d'autoroute A14, démolie puis enterrée, l'aménageur poursuit une extension « douce » de la Défense le long de l'Axe historique ou « grand axe » ; sujet de vives controverses, la Voie Royale pensée au XIXe siècle dans la continuité des Champs-Élysées se poursuit sur la ville de Nanterre, symbolisé par une « coulée verte » de 17 terrasses piétonnes et paysagères. Le long de cet ensemble, des bureaux et des logements seront construits. Ce projet couvre 20 % du territoire de la ville.

Ce projet fait suite a près de 30 ans de débats après des propositions avortées de Paul Chemetov en 1992. Aujourd'hui encore, l'aménagement de l'Axe historique fait débat notamment sur le bien-fondé de cette opération immobilière.

[modifier] Tuerie de Nanterre

Le 26 mars 2002, Richard Durn s'introduit avec des armes dans l’hôtel de ville de Nanterre. Il tue huit personnes du conseil municipal et en blesse grièvement 14 autres. Le 28 mars, il se suicide en se défenestrant du 4e étage du « Quai des orfèvres », à Paris, alors qu'il était interrogé par deux policiers.

[modifier] Économie

Nanterre accueille de nombreuses entreprises sur son territoire.

[modifier] Administration

  • La députée de la 4e circonscription des Hauts-de-Seine (Nanterre-Suresnes) est Jacqueline Fraysse (2007-2012).
  • Mais aussi en neuf quartiers :
    • Quartier du Centre
    • Quartier du Vieux-Pont
    • Quartier du Mont-Valérien
    • Quartier du Plateau
    • Quartier du Parc Nord
    • Quartier du Parc Sud
    • Quartier du Petit-Nanterre
    • Quartier de l'Université
    • Quartier du Chemin de l'Île

[modifier] Enseignement

Nanterre est dotée de nombreux établissements d'enseignement primaires et secondaires publics :

Maternelle Élementaire Collège Lycée
Anatole-France Anatole-France André-Doucet Claude-Chappe*
Balzac Balzac Évariste-Galois Louise-Michel*
Elsa-Triolet Elsa-Triolet Jean-Perrin Paul Langevin*
Jacques-Decour Jacques-Decour Paul-Éluard Joliot-Curie
Joinville Joinville Les Chènevreux
Joliot-Curie Joliot-Curie République
Jules-Ferry Jules-Ferry Victor-Hugo
La Fontaine La Fontaine
Maxime-Gorki Maxime-Gorki
Pablo-Neruda Pablo-Neruda
Pablo-Picasso Pablo-Picasso
Pâquerettes Pâquerettes
Paul-Langevin Paul-Langevin
Provinces Françaises Provinces Françaises
Robespierre Robespierre
Romain-Rolland Romain-Rolland
Henri-Wallon Henri-Wallon
Danielle-Casanova Centre
Eugénie-Cotton Voltaire
France-Bloch
Jacques-Prévert
Victor-Hugo
Moulin des Gibets

(*) : Lycée professionel

Nanterre accueille également le campus de l'université Paris Ouest - Nanterre La Défense.

[modifier] Personnages célèbres

[modifier] Monuments et lieux touristiques

La mairie de Nanterre
La mairie de Nanterre

[modifier] Nanterre dans les arts

Plusieurs peintres ont pris la ville ou ses lieux en modèle, dont Maurice de Vlaminck (Les Bords de la Seine à Nanterre, 1904[3])

[modifier] Jumelages

La ville de Nanterre est jumelée avec les villes de :

[modifier] Références

[modifier] Bibliographie

  • Nanterre gauloise : Cécile Moréno, "Par Toutatis les Gaulois ressurgissent", Nanterre Info N° 281, janvier 2004.

[modifier] Filmographie

[modifier] Liens connexes

[modifier] Liens externes

[modifier] Sites officiels de la ville de Nanterre

[modifier] Liens en rapport avec la ville de Nanterre

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Nanterre.

[modifier] Notes, sources et références