Discussion Utilisateur:Mathieugp

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Sommaire

[modifier] Collaboration

Les gens de Wikisource ratisse le web pour ramasser tous les textes littéraires qu'ils trouvent. Pas capables de travailler eux-mêmes, ils utilisent le travail des autres. C'est la nouvelle philosophie du web. Tout pour moi et tout gratuit. Des voleurs! -- JD

voleur, euse : Personne qui vole, qui a volé le bien d'autrui.
voler : Prendre furtivement ou par force le bien d'autrui.
bien : Propriété.
Prendre furtivement, ou par la force, un objet qui est la propriété d'autrui est du vol, si l'on se fit au dictionnaire le plus commun.
Demandons-nous, à qui appartient la littérature du domaine public? À l'ensemble des êtres humains bien sûr. C'est le patrimoine commun de l'humanité
Ce qui est la propriété de l'ensemble des êtres humains peut-il en même temps appartenir en propre à un particulier? Non, au risque d'un grave problème de cohérence logique, ce n'est pas possible : c'est dire une chose et son contraire en même temps et sous un même rapport.
Ce qui est la propriété de l'espèce humaine peut-il être le bien d'autui? Pour les êtres qui ne sont pas des humains, oui. Pour les humains, non.
En conséquence, les « gens de Wikisource » qui sont parmi tous les humains tous ceux et celles qui le désirent et ont un libre accès à un ordinateur, peuvent-ils être accusés de voler ce qui leur appartient en commun avec tous les autres humains? La droite raison nous indique que non. Il serait assez difficile de se voler soi-même...
En termes plus généraux, ce qui est la propriété commune de l'espèce humaine peut-il faire l'objet d'un vol à l'encontre d'un individu en particulier ou d'un sous-groupe du groupe de tous les humains? Non, puisque chaque individu est, en quelque sorte co-propriétaire du tout. Pour qu'une personne ou un sous-groupe du groupe de tous les humains prenne possession de la propriété commune, il faudrait d'abord qu'il (ou qu'ils) la vole aux autres.
Un particulier peut-il prétendre, furtivement ou par la force, à la propriété exclusive de ce qui est la propriété du genre humain? Par malheur oui et c'est là, j'en ai bien peur, résumer une très grande partie de l'histoire du commerce des biens, des animaux et mêmes des personnes, depuis que le monde est monde... -- Mathieugp (d) 12 février 2008 à 05:02 (CET)

Oui, mais le problème c'est que je n'autorise pas Wikisource à prendre des textes de mon site. Tout comme les Classiques des sciences sociales. Mais bien sûr, vous vous en foutez: vous faites un site, vous prenez tout ce qui fait votre affaire sur le web, qu'importe d'où ça vient, et vous vous l'appropriez comme des voleurs... Voilà ce que c'est que Wikisource, un ramassis de n'importe quoi, tenu par des gens qui se cachent derrière des pseudonymes, et qui se font une belle petite morale pour expliquer leur comportement. Je ne pense pas que ça peut aider la culture; plutôt cette attitude peut décourager ceux qui font un travail honnête, fatigué de se faire prendre impunément leur travail... -- JD.

Mais monsieur, il faut alors matérialiser chaque copie, ce qui justifiera le prix de vente et donnera un sens véritable aux mots « propriété » et « vol » dont vous semblez si friand. -- Mathieugp (d) 12 février 2008 à 05:02 (CET)

Et si j'ai pris des textes sur Ebooks libres et gratos, c'était pour leur rendre la pareille. Des sites comme le leur, ou Wikisource, entendent par collaboration: VOUS travaillez, et NOUS, nous en prenons le crédit... Moi, par collaboration, tout ce que j'estimerais acceptable, c'est de s'entendre pour ne pas travailler sur les mêmes textes. Ça ferait plus de textes disponibles...

Oui, je te vole tu me voles, ça c'est de la grande morale. Soyons sérieux. Je vous ai expliqué dans ma lettre que si un texte que vous avez vous-mêmes numérisé se trouve dans Wikisource, vous êtes tout à fait en droit de vous créditer ce travail. Si vous me dîtes lesquels, je me ferai même un plaisir et un honneur de le faire pour vous.
Notez que, mathématiquement, ce qui ferait plus de textes disponibles dans les circonstances serait d'éviter les duplications d'effort dans le recopiage et de partager toutes ces copies qui ne coûtent rien à produire et véhiculent ce qui nous appartient à tous. -- Mathieugp (d) 12 février 2008 à 05:02 (CET)

[modifier] re-mézière, du Calvet et cie.

Bonjour,

Désolé pour le délais de réponse. L'article de Monsieur Galarneau est assez précis, il est d'ailleurs l'un des rares historiens ayant étudié Mézière avec Mason Wade. J'ai eu quelques discussions avec lui à ce sujet. Mais comme il est à la retraite depuis longtemps, la mise à jour n'a pas été possible. C'est lui qui m'a mis sur la piste de l'acte de décès de Mézière: Mézière est décédé à Bordeaux le 4 janvier 1846, comme en fait foi la copie de l’acte de décès, conservé dans les actes de décès de la ville de Bordeaux, 2e section, cote ADG  : 4E1187 dont j'ai obtenu copie. C'est la source la plus précise que je puisse fournir.

Faites attention même aux ouvrages les plus sérieux, il ne sont pas toujours mis à jour.

J'irai bientôt consulter les liens que vous avez ajouté à votre message, je suis curieux.

Rephilos

Merci de votre réponse! Donc, un M. Galarneau est votre source? Personnellement, je suis prêt à vous croire sur parole. (J'imagine mal pour quelle raison vous inventeriez toute cette histoire! ;-) Ceci dit, c'est une recommandation officielle de la communauté wikipédiste de citer ses sources. Si quelqu'un a déjà publié quoi que ce soit que l'on peut citer, ça serait génial. Sinon, l'information risque d'être considérée comme le résultat d'un travail inédit, ce qui est contraire à la règle. Peut-être dans un ouvrage récent de Bernard Andrès ou un(e) de ses étudiant(e)s? -- Mathieugp (d) 29 janvier 2008 à 20:46 (CET)
Galarneau, ma source? non. Je lui dois d'avoir retrouvé le document cependant. Ma source est une copie authentifiée du document officiel, donc un travail inédit. Faut-il donc faire disparaître la date de décès de Mézière pour remettre une information imprésise? Quoi que j'ai consigné l'information dans des publications... mais me citer moi-même? Pour le reste, j'ai pris un chemin plus tordu que le vôtre et je ne me suis pas fié à l'autorité pour publier des transcriptions de Mézière. Enfin, j'espère que vous avez apprécié le travail, car il écrit mal en maudit Mézière! Je lui dois au moins -2 sur ma prescription de lunettes. En passant, l'autorité concernant Mézière nous a déjà causé des ennuis à M. Andrès et moi-même. Ne pas en citer à moins d'avoir vérifié vous-même, ce qui devient du travail inédit. L'autorité ou la raison? Sinon, j'apprivoise un peu plus wiki -- Rephilos 8 février 2008 à 22:10 (CET)
Je crois que dans les circonstances, nous pouvons garder la date de décès précise. S'il est peut-être contraire à l'éthique de se citer soi-même, il l'est moins de demander à quelqu'un d'autre de le faire à notre place... Si vous êtes l'auteur d'un article ou d'un ouvrage dans lequel figure la date de décès de Mézière, il me fera plaisir de le citer.
Si vous êtes la personne qui a retranscrit les écrits de Mézière qui sont dans La Conquête des lettres au Québec (1759-1799) alors je vous remercie! Il est d'ailleurs possible et utile de préciser tout cela dans Wikisource. Ne sachant pas qui avait recopié les originaux manuscrits, j'ai simplement donné la source première (les archives). Il serait plus juste, ne serait-ce que pour reconnaître le travail de tout le monde, de citer le nom de premier copiste qui s'est rendu aveugle à l'ouvrage... ;-) -- Mathieugp (d) 9 février 2008 à 17:49 (CET)


Je ne suis pas le seul transcripteur, mais comme je suis intéressé par le personnage de Mézière, j'en ai donné plus dans son cas. Nous sommes une équipe.
Pour la citation, voir le texte de 2005 à ma page du site de l'Alaq et mon mémoire de maîtrise: mémoire
J'aurai éventuellement un ancien texte sur Mézière à transcrire et qui est très pertinent et tout à fait inédit, mais le temps me manque.
Merci pour la citation de mon mémoire, elle me permet de me rendre compte que le titre indiqué sur le site de l'ALAQ est erroné. La date n'est pas bonne non plus. C'est le titre proposé lors du dépot de projet. Nous allons corriger la page. Pour la bonne référence, va sur la page de la bibliothèque uqam: mémoire. Il faudra cliquer sur "invité".
La biographie de Mézière est assez juste, mais elle date un peu! Je ne suis pas tout à fait d'accord avec "l'épisode fâcheux avec la justice". La France était en guerre contre la Grande-Bretagne. En tant que Canadien (sujet anglais), il était un ennemi de la France. En fait, tous les étrangers allaient en prison, ou presque. Il aurait tenté de se cacher, mais il s'est fait prendre.
La biographie ne tient cependant pas compte du surprenant parcours de Mézière en France. C'était un bonnapartiste très haut placé dans l'administration publique à Bordeaux. Il a quitté la France (probablement aussi vite qu'il avait quitté le Canada en 1793) avec la chute des Cents-jours et le retour à la Restauration. Disons que les anciens révolutionnaires, républicains et bonnapartistes avaient alors tendance à perdre la vie prématurément en France, surtout dans la région très conservatrice de Bordeaux. Pendant un certain temps, il avait notamment le mandat de "minimiser" l'expression de la religion dans la société et de contrôler les cultes. Tu reconnaîtras l'homme qui a écrit les deux mémoires que tu as retranscrits.
rephilos

[modifier] Analyse automatique de vos créations (V1)

Bonjour.

Je suis Escalabot, un robot dressé par Escaladix. Je fais l'analyse quotidienne de tous les articles créés deux jours plus tôt afin de détecter les articles en impasse, les articles orphelins et les articles sans catégorie.

Un article en impasse est un article qui ne contient aucun lien interne et un article orphelin est un article vers lequel aucun article encyclopédique (donc hors portail, catégorie, etc.) n'a de lien interne. Pour plus de détails sur les liens internes, vous pouvez consulter cette page.

Les catégories permettent une classification cohérente des articles et sont un des points forts de Wikipédia. Pour plus de détails sur les catégories, vous pouvez consulter cette page.

Ajouter des liens ou des catégories n'est pas obligatoire, bien sûr, mais cela augmente fortement l'accessibilité à votre article et donc ses chances d'être lu par d'autres internautes d'une part et d'être amélioré par d'autres contributeurs d'autre part.

Pour tout renseignement, n'hésitez pas à passer voir mon dresseur. De même, si vous constatez que mon analyse est erronée, merci de le lui indiquer.

Si vous ne souhaitez plus recevoir mes messages, vous pouvez en faire la demande ici, néanmoins, je vous conseille de laisser ce message tel quel et, dans ce cas, j'ajouterai simplement mes prochaines analyses, à la suite les unes des autres. Escalabot (d) 17 février 2008 à 05:13 (CET)

[modifier] Analyse du 15 février 2008

[modifier] Analyse du 16 février 2008

[modifier] Analyse du 19 février 2008

[modifier] Analyse du 6 avril 2008

[modifier] L'Acte de l'Union

Sans avoir le document à la portée de la main, je crois que c'était Denis Vaugeois, qui a rédigé un article dans Le français au Québec: 400 ans d'histoire et de vie, collection dirigée par Michel Plourde et publiée par Fides et Publications du Québec. Je pense que le titre de l'article de Vaugeois était «La langue d’un pays conquis».--Steve-Mtl (d) 19 février 2008 à 23:52 (CET)

[modifier] Journaux : critères d'inclusion ?

Salut, Au sujet de l'article Liste des quotidiens et hebdomadaires québécois disparus, je me demandais si tu avais pensé à des critères pour savoir quels journaux inclure. En effet, il pourrait être plus nuisible qu'utile d'inclure tous les hebdmadaires possibles et imaginables, y compris les innombrables feuilles de chou publicitaires, journaux d'entreprises ou d'institutions scolaires, bulletins paroissiaux, etc. Un critère de tirage n'est sans doute pas le plus approprié puisqu'un journal du XIXe siècle à tirage peu élevé a pu être d'une importance majeure alors qu'une feuille publicitaire d'aujourd'hui, même à tirage plus élevé, peut ne présenter guère d'intérêt. Peut-être pourrait-on penser à des critères de public-cible et de géographie. Par exemple, un journal pourrait être inclus si, en gros, il s'adresse à l'ensemble de la population du territoire d'au moins une municipalité. Ce qui exclurait par exemple les publications s'adressant à un groupe trop spécifique (ex. publication d'entreprise, feuille de quartier). Qu'en penses-tu ? -- Asclepias (d) 27 février 2008 à 22:29 (CET)

J'ai déjà réfléchi à la question sans vraiment trouver de réponse définitive. J'ai commencé par créer l'ébauche d'une Liste des journaux, revues et magazines anciens du Québec. Réalisant assez vite que la liste serait excessivement longue, j'ai abandonné les revues et magazines pour me concentrer sur les quotidiens. C'est là que j'ai découvert que les quotidiens ont été chose rare au Québec, alors j'ai ajouté « hebdomadaire », qui n'est pas tout à fait juste car dans la liste il y a des bihebdomadaires et d'autres types aussi. Il faudra effectivement arrêter des critères.
Par contre, je ne sais pas si les « feuilles de chou publicitaires, journaux d'entreprises ou d'institutions scolaires, bulletins paroissiaux » peuvent être classés sous « quotidiens et hebdomadaires ». L'OQLF nous dit :
1. Journal : Publication quotidienne ou hebdomadaire consacrée à l'actualité (édition) et périodique paraissant à intervalles très rapprochés, donnant : les informations les plus récentes sur l'actualité, souvent accompagnés de commentaires (journalisme).
2. Bulletin : Publication périodique ou intermittente contenant des informations officielles (directives, études, nouvelles, etc.), qui s'adresse à des catégories de personnes engagées dans des activités sociales données (journalisme) et Publication périodique qui rend compte de certaines activités des membres d'une association, d'une administration, d'une entreprise (journalisme)
3. Quotidien : Journal paraissant tous les jours. (on s'en doutait ;-)
4. Hebdomadaire : aucune définition n'est donné, mais nous savons que c'est une publication « une fois par semaine ».
À priori, le bulletin semble être un type de publication particulier. Est-ce pour les distinguer des journaux au sens le plus commun? Je ne sais pas. Pour ce qui est des dépliants publicitaires et autres circulaires Métro ou IGA, je ne crois pas qu'on les considère généralement comme des journaux. Peut-être que ça vaut la peine de préciser que nous parlons bien des « journaux » au sens que ce mot a dans le journalisme, pas de tous les types de publications qui peuvent être imprimées une fois par jour ou une fois par semaine.
Voici ce que j'avais en tête personnellement pour raccourci la liste et offrir une meilleure navigation (en y ajoutant la précision du mot « journaux » :
Une liste par siècle, par exemple Liste des journaux quotidiens et hebdomadaires québécois du 18e et Liste des journaux quotidiens et hebdomadaires québécois du 19e.
Qu'en penses-tu? -- Mathieugp (d) 28 février 2008 à 03:07 (CET)
En fait, j'avais formulé ma question de façon large et théorique mais j'aurais sans doute dû ajouter quelques exemples. En fait, je n'avais pas à l'esprit les circulaires clairement identifiables comme tels, mais les cas potentiellement problématiques qui me préoccupaient surtout sont ceux où une publication peut correspondre à la définition de journal ou prétendre y correspondre. Par exemple, il y a dans mon quartier une petite publication nommée « Quartier <...> », avec en sous-titre « Le journal des commerçants du quartier <...> ». Elle contient à peu près 85% d'annonces, les autres 15% étant trois ou quatre petits textes qui sont des billets de réflexion anodins et des textes à propos d'activités commerciales ou sociales. Ça ne l'empêche pas de s'auto-proclamer « journal », d'avoir son ours de publication et à la rigueur de correspondre techniquement à la définition de journal traitant d'actualité et d'opinion. Je suppose qu'on pourrait trouver nombre de publications semblables un peu partout. L'autre exemple est les journaux scolaires. Ils correspondent à la définition mais ils s'adressent à un public particulier. Si on voulait compter tous les journaux scolaires hebdomadaires qui ont existé de ci de là une année ou l'autre dans l'ensemble du Québec, on arriverait facilement à plusieurs centaines. D'où ma préoccupation que si on tentait d'inclure la multitude de tout ce qui correspond techniquement à la définition de journal hebdomadaire, on va tout simplement « noyer » les journaux « ordinaires » tels ceux qui sont présentement dans l'article. Déjà qu'on en aurait sans doute plein les bras ne serait-ce qu'à recenser les hebdos plus classiques dans toutes les régions, dont certains ont été de respectables journaux locaux mais le secteur a dégénéré en quasi-feuilles de chou publicitaires surtout à partir des années 1980. Pour ce qui est de scinder la liste par siècles, je n'ai pas d'avis arrêté, quoique pour l'instant j'ai une préférence pour une liste unique si possible. Quoique scinder la liste par siècles pourrait peut-être avoir comme effet de résoudre le problème pour les listes des 18e et 19e siècles et de le concentrer sur la fin de la liste du XXe siècle. -- Asclepias (d) 28 février 2008 à 22:52 (CET)
Ah le pétrin dans lequel vous risquez de glisser! Que je le connais trop bien! Pour ma part, je crois qu'il vaudrait mieux utiliser le terme plus générique de "périodiques québécois" comme c'est la norme, plutôt que "journal". Ou mieux définir le genre de périodiques choisis. Pour des raisons monétaires, longtemps on ne pouvait pas compter sur des quotidiens ou des hebdomadaires au Québec, même pour livrer l'actualité. Comme les livres étaient encore plus chers, on publiait sous forme de pédiodique ce qui aurait dû être un ouvrage. Voir le texte de Landry qui se retrouve en référence à votre liste. Le terme "périodique" est aussi plus inclusif. La définition même de "journal" n'est pas claire selon les époques, souvent utilisé comme synonyme de "périodique". D'ailleurs, pendant une bonne période de temps au Québec, il est difficile de faire la distinction entre un journal, un magasin (ancêtre du magazine), une revue, une encyclopédie par fascicules, un miscellannée, un bulletin, une archives, une gazette, un spectateur, un Reader's Digest, un almanach, un annale, un courrier, une correspondance, un recueil périodique, etc. Il sera plus facile de mettre vos limites par la suite et de ne pas vous buter sur les bons termes à employer. Croyez-moi, les universitaires ne s'entendent pas sur ce que signifie les termes que vous tentez de définir. J'ai eu de très longues discussions avec plusieurs personnes qui se retrouvent dans votre liste bibliographique. Une chance pour vous qu'il n'y avait pas de censure officielle au Canada comme longtemps en France à l'époque de l'Empire et de la Restauration. Il y avait alors des périodiques qui se faisaient passer pour des ouvrages réguliers pour échapper à la loi sur les périodiques, charchée de censure. Il y avaient donc des journaux non périodiques. Certains les nomment les semi-périodiques, car ils n'étaient pas publiés à des dates fixes. Ne passez pas à côté des quelques collaborations de Beaulieu et Hamelin sur la presse québécoise comme vous l'avez indiqué dans vos références bibliographiques. -- rephilos (d)
Le premier terme auquel j'ai songé était justement « périodique ». Or, la lecture de cette note dans la page donnant la définition de ce mot dans le Grand dictionnaire terminologique m'a fait reculer : « Bien que les quotidiens et les publications annuelles soient souvent classés avec les périodiques, on ne les considère pas comme tels. Ils appartiennent à une classe plus large, les publications en série, qui inclut notamment les périodiques, les quotidiens, les publications annuelles, et les collections. » Avec ce que nous apprend maintenant rephilos, je ne sais plus trop quoi penser. Beau casse-tête en perspective... -- Mathieugp (d) 1 mars 2008 à 03:08 (CET)
C'est évident que vous pourriez débattre plus longtemps que prendrait à faire votre compilation. Je me la suis cassée pendant des années la tête à propos de ces termes-là. Je m'en suis fait reprocher des termes innapropriés au début de mes recherches... Mieux vaut rester général tout en donnant l'explication de ce que l'ont veut inclure. Rien de mieux qu'une démarche clairement annoncée.
Dans la pratique, on considère un quotidien comme un périodique, malgré ce que recommande la définition officielle. Ne pensez qu'à tous les journaux qui se retrouvent à la bibliothèque dans la section "périodique". Ce serait par contre très légitime de votre part de signaler que c'est une compilation de périodiques et de quotidiens. Les différentes lois sur les périodiques avaient toujours force de loi sur les quotidiens. Sinon, le terme "presse" est peut-être le plus approprié. Les grands travaux depuis le milieux du XIXe siècle utilisent ce terme pour parler des périodiques. Dans la pratique, toujours, c'est quand on utilise un autre terme que "périodique" ou "presse" que ça sent le roussi. Évitez les termes trop précis, c'est là que vous allez vous faire attaquer. Je peux vous donner un exemple de ce qui pourrait vous tomber dessus: "c'est quoi l'idée d'utiliser dans votre titre "revues" et "magazines" anciens! ça n'existaient même pas anciennement ces formes-là". Si on s'en tient à la définition de journal. Il n'y en avait pas non plus anciennement au Québec, personne n'avait alors les sous pour publier un quotidien, surtout chez les francophones. Votre liste serait "excessivement vide" avec le titre indiqué, si on s'en tient aux définitions strictes.
Bref, je vous suggère de donner une explication claire de ce que vous voulez inclure dans votre définition. Le terme le plus inclusif est selon moi "publication périodique" (ou "publication périodique et quotidienne"). Si vous voulez exclure les circulaires, il faudrait plutôt aller vers "la presse périodique". Le terme "journal" est aussi largement utilisé à toutes les sauces pour parler de la presse, mais la définition veut que ce soit réservé à des périodiques diffusant l'actualité journalièrement, enfin, quotidiennement. La définition est très rarement respectée, et ce depuis très longtemps. Les plus grands spécialistes travaillent tous à partir de ces termes, aussi bien en France qu'au Québec.-- rephilos (d)
C'est surtout la presse qui nous intéresse dans le cas présent. Les journaux, quotidiens, hebdomadaires ou mensuels, qui traitent de l'actualité et/ou qui véhiculent des opinions politiques. Parallèlement, nous pourrions créer des listes par siècle pour les périodiques savants et spécialisés. -- Mathieugp (d) 4 mars 2008 à 22:10 (CET)
Ça commence à être intéressant!!!-- rephilos (d)
Je propose ceci :
Presse québécoise du 18e
Presse quotidienne québécoise du 19e et Presse périodique québécoise du 19e
Presse quotidienne québécoise du 20e et Presse périodique québécoise du 20e
--Mathieugp (d) 29 mars 2008 à 20:49 (CET)
Ceci me paraît tout à fait logique, clair et conforme à votre projet. Certains pourraient vous questionner sur les raisons qui vous poussent à ne pas adopter la distinction pour le 18e siècle, mais l'idée est facile à défendre-- rephilos (d)

[modifier] À propos de L'Action

Salut Mathieugp,

Comme toi et Asclepias avez fait un travail assez complet sur les journaux disparus du Québec, je veux vous apporter un souvenir personnel que vous pourrez peut-être étayer par des sources (d'ailleurs en voici déjà une): avant de disparaître définitivement, le quotidien de Québec L'Action a brièvement paru sous le nom de À Propos et avec une mise en page rajeunie. Cela n'a pas duré longtemps cependant. Bonne continuation! Cortomaltais parloir ➔ 28 février 2008 à 04:17 (CET)

[modifier] À propos de l'Acte d'Union et autres pacotilles (c'est une joke bien sûr)

Merci pour le compliment. J'ai passé plusieurs années de ma vie à réfléchir sur tout cela et autres machins. Je ne sais pas si ma perspective est «bonne» mais je sais qu'elle est appuyée...... Si on peut collaborer et enrichir nos perspectives réciproques, en ayant de l'humilité (inévitablement), quel bonheur!

Foulam 10 mars 2008 à 03:33 (CET)

[modifier] Chronologie

Je suis d'accord que j'ai peut-être bifurqué du politique pour introduire des éléments autres, par exemple, qui relèvent de l'histoire des sciences, des femmes et autres corridors spécialisés. La raison est simple, c'est que j'ai déjà constitué, au fil des ans, de telles chronologies spécialisées (en particulier sur l'éducation au Québec) et c'est ce que je restitue pour wikipédia. Sinon, cela dort dans mon ordinateur.

Je suis également d'accord qu'il faut éviter de trop développer dans une chronologie, ce que je vais faire à l'avenir sauf lorsque c'est impossible. Par exemple: si j'écris:

  • 1954 - La refonte du code civil met fin au double standard en matière d'adultère.

C'est court mais on ne voit pas ce que cela signifie. Je préfère ce que j'ai écrit.

Je vais penser à la possibiité de faire des chronologiews plus spécialisées. Mais c'est beaucoup de travail et, en attendant, je pense qu'il faut plutôt engraisser la seule qui existe actuellement sans vouloir non plus remplir pour remplir en donnant trop de place à des événements qui relèvent de l'érudition.

Merci pour votre commentaire. Je vais tenter d'être plus vigilant. Je vais aussi, au fil des jours, passer en revue ce que j'ai déjà écrit et remplacer au besoin, rediriger vers les articles de fond, etc. Du beau travail de finition quoi!

À bientôt sûrement.

Foulam 15 mars 2008 à 22:46 (CET)

[modifier] Nom pour les discussions du projet Québec

Salut Mathieugp, étant donné que tu es inscrit au Projet:Québec, je voulais t'indiquer que nous avons amorcé un remue-méninges pour trouver un nom à la page de discussion.

D'ici la fin du mois de mai, nous aimerions avoir tes préférences parmis les noms proposés, pour passer au vote à partir du premier juin. Merci de prendre quelques secondes pour donner ton opinion. Cordialement. — Antaya @ 26 mai 2008 à 01:39 (HAE)

[modifier] Pierre du Calvet

En tout cas, toi tu me fais connaître quelqu'un qui est trop méconnu. Ce qui est la beauté de Wikipédia... Cortomaltais parloir ➔ 11 juin 2008 à 23:26 (CEST)