Macintosh

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Les Macintosh, ou Mac, sont des ordinateurs personnels fabriqués et commercialisés par la société Apple depuis janvier 1984. Ils cohabitent sur le marché des ordinateurs personnels avec les compatibles PC.

Les premiers Macintosh ont tiré leur succès de l'interface graphique WIMP (fenêtre et souris) de leur système d'exploitation. Ils ont d'abord été équipés des microprocesseurs de la famille 680x0 de Motorola, puis des PowerPC d’IBM et Motorola et enfin des microprocesseurs x86 d'Intel. Les Macintosh n'ont jamais été très répandus, sauf dans quelques marchés de niche : professionnels de la vidéo numérique, de l’infographie, de la presse, de la musique, ainsi que par les universitaires, les architectes, les médecins. Certains utilisateurs, surnommés Applemaniaques, éprouvent une véritable passion pour leur Mac, voire une aversion corollaire pour le PC.

Un iMac fonctionnant avec un processeur Intel Dual Core
Un iMac fonctionnant avec un processeur Intel Dual Core

Les Macintosh sont habituellement gérés par le système d’exploitation Mac OS, reconnu pour son interface ergonomique et sa fiabilité. Les dernières versions du système (Mac OS 10, qui s'écrit Mac OS X) sont construites autour d'un noyau UNIX. Il est possible d'utiliser des systèmes qui ne proviennent pas d'Apple, comme Linux, FreeBSD et Microsoft Windows. Il est également possible d'utiliser des logiciels de virtualisation pour faire fonctionner simultanément plusieurs systèmes d'exploitation.

Sommaire

[modifier] Origine des noms et du logo

Logo Apple du temps du lancement du Macintosh
Logo Apple du temps du lancement du Macintosh

Le nom Apple vient de la pomme tombée sur la tête de Newton (si l'on se réfère au premier logo d'Apple avant 1976). Lorsque l'Apple II fut commercialisé, le logo devint une pomme multicolore. Le nom de cette pomme est « McIntosh », d'où le futur nom des ordinateurs de l'entreprise[réf. nécessaire]. À force de dire Macintosh (nom plutôt long), le nom a été réduit à « Mac » au retour de Steve Jobs dans l'entreprise.[réf. nécessaire]

[modifier] Histoire

[modifier] Le projet Macintosh

Le projet Macintosh naquit début 1979 avec Jef Raskin, qui envisagea un ordinateur facile à utiliser et peu cher pour le grand public. Ses idées furent répertoriées dans Le Livre du Macintosh.

En décembre 1979, Jef Raskin fut autorisé à lancer le projet Macintosh et se mit en particulier à la recherche d’un ingénieur qui soit capable de réaliser un premier prototype. Bill Atkinson, un membre du projet Lisa, lui présenta Burrell Smith, un technicien qui venait d’être recruté la même année. Selon certaines sources, Bill Atkinson aurait dit à Jef Raskin : « Jef, voici Burrell. Il est le gars qui va réaliser le Macintosh pour toi. »

Jef Raskin demanda à Burrel Smith de réaliser un ordinateur qui puisse être commercialisé à 500 $. Son premier prototype embarquait 64 Ko de mémoire vive, utilisait le peu puissant microprocesseur 6809E de Motorola, et avait un affichage de 256 par 256 pixels en noir et blanc. C’est alors que Bud Tribble, un programmeur sur le Macintosh, eut l’idée d’adapter les programmes graphiques du Lisa pour les faire tourner sur le Macintosh. Il demanda aussi s’il était possible d’intégrer le microprocesseur Motorola 68000 du Lisa dans le Macintosh tout en maintenant un faible coût de production. Dès décembre 1980, Burrell Smith mit au point une carte qui embarquait non seulement un microprocesseur 68000, mais qui de plus le faisait tourner à une fréquence de 8 MHz au lieu de 5 MHz. Ce deuxième prototype avait aussi un affichage de 384 par 256 pixels. Cette machine utilisait moins de contrôleurs mémoire que le Lisa, ce qui la rendait bien moins chère à fabriquer.

Le concept innovant du Macintosh attira l’attention de Steve Jobs, qui quitta le projet Lisa pour se concentrer avec son équipe sur le projet Macintosh. En janvier 1981, il prit la direction du projet, forçant Jef Raskin à le quitter.

Steve Jobs avait visité les locaux de développement de Xerox PARC en décembre 1979, soit trois mois avant le lancement des projets Lisa et Macintosh. Ayant appris que Xerox développait une technologie d’interface graphique, il avait négocié cette visite en échange de stock option Apple. Cette visite influença grandement Steve Jobs pour le développement du Lisa et du Macintosh.

[modifier] Le Macintosh

Le Macintosh fut finalement lancé le 24 janvier 1984, avec la célèbre publicité 1984 diffusée lors de la mi-temps du Super Bowl (championnat mondial de football américain). Réalisée par Ridley Scott, cette publicité décrivait un monde orwellien enchaîné par la technologie IBM et libéré par l’arrivée d’une nouvelle machine : le Macintosh. Élément de suspense : le produit n’y était pas montré !

Commercialisé à un prix de 2 495 $, le Macintosh avait 128 Ko de mémoire (d’où le nom Macintosh 128K) et tournait sur un nouveau système d’exploitation, Mac OS (une grande partie était enregistrée en mémoire morte) et un lecteur de disquette 3,5 pouces. Apple prit soin de préciser que ces 128 Ko de RAM étaient épaulés par 64 Ko de ROM contenant les bibliothèques indispensables à son fonctionnement, ce qui en faisait «  une machine à 196 Ko ». Lors de sa présentation, Steve Jobs disposait d’un prototype du futur Macintosh 512k mais qu’il présenta comme le Macintosh 128k.

Il reçut un accueil enthousiaste, mais sa mémoire limitée et son absence initiale de disque dur limitèrent son implantation. La machine n’étant utilisable qu’à travers son interface graphique, tous les programmes devaient être complètement repensés, et les outils de développement étaient pratiquement absents. Cela rebuta plusieurs développeurs de logiciels, mais pas Microsoft, qui développa Word, un traitement de texte WYSIWYG, ainsi qu’un nouveau tableur, Excel, qui tirait parti des polices typographiques. La première version alpha de Windows naquit sur un prototype du Macintosh offert gracieusement par Steve Jobs à Bill Gates, lequel aurait dit, en le voyant « De toutes les machines que j'ai vues, le Macintosh est le seul qui dégage une certaine originalité », s’attirant ainsi (temporairement) les faveurs des fans d'Apple.

Vers la fin de l’année 1984, les ventes chutèrent : la faible évolutivité de la machine (pour brancher un disque dur externe notamment, mais surtout par sa faible quantité de mémoire) avait eu un écho dans la presse, y compris non-informatique. 128 Ko de mémoire paraissaient énormes lors de la disponibilité du Mac en mars 1984, mais la technologie (y compris pour les IBM PC) avait rapidement fait augmenter les standards.

Apple lança alors le Macintosh 512K, une évolution du Macintosh original avec 512 Kio de mémoire vive.

[modifier] La famille s’élargit : l’ère des Macintosh 68k

À partir de 1986 les nouveaux modèles se succédèrent à un rythme plus soutenu. En janvier 1986 sort le Macintosh Plus, qui vise à corriger le plus gros défaut des deux premiers Macintosh : le manque d’évolutivité. Il intègre ainsi quatre emplacements mémoire lui permettant d’embarquer jusqu’à 4 Mo de mémoire vive, ainsi qu’un port SCSI standard. Un peu plus tard sort le Macintosh 512Ke, petite évolution du Macintosh 512K, et qui forme l’entrée de la gamme.

En mars 1987 Apple introduit le Macintosh II en haut de gamme (4000 $ à son lancement). Il est le premier Macintosh qui n’est pas tout-en-un et offre 8 emplacements de mémoire vive, 6 slots NuBus et deux emplacements internes pour disque dur. Il est aussi plus puissant avec son microprocesseur Motorola 68020 cadencé à 16 MHz. En même temps sort le Macintosh SE qui va se positionner au-dessus du Macintosh Plus dans la gamme compacte (à écran intégré). Tout deux disposent d’une nouvelle version de Mac OS : le Système 2.

Désormais Apple dispose d’une gamme d’ordinateurs personnels complète et crédible et les ventes redécollent avec plus de 50 000 unités vendues par mois. Mais au début des années 1990 les compatibles PC occupent un tel pourcentage marché qu'on n'imagine plus les détrôner.

La gamme Macintosh continue à évoluer en adoptant les microprocesseurs Motorola 68030 puis 68040. En entrée de gamme apparurent les Macintosh Classic et les Macintosh LC, les dérivés du Macintosh II (IIx, IIcx, IIci, IIsi, IIfx…) formant le haut de gamme jusqu’en 1991. Fin 1991 apparaissent les Macintosh Quadra, les premiers Macintosh au format tour, destinés aux professionnels. Dotés d’un microprocesseur Motorola 68040, ils reléguèrent les Macintosh II en moyenne gamme. Dans les années 1992-1993 les Macintosh LC furent très populaires grâce à leur prix très compétitif (750 $ pour un LC III à sa sortie). En septembre 1992, Apple Computer lance la famille Performa pour le grand public. Ce sont au début des Classic ou des LC vendus avec des moniteurs, à des prix réduits. En 1993 est lancée la famille Centris, des modèles de milieu de gamme à base de 68040.

Parallèlement aux Macintosh de bureau, Apple sortit des ordinateurs portables. La première tentative fut le Macintosh Portable, sorti en 1989, mais, pesant plus de 7 kg, il ne connut pas le succès. Les premiers Macintosh vraiment portables furent les PowerBook, lancé en 1991. Ils connurent d’emblée un grand succès, grâce à leur caractère novateur : ils intégraient un trackpad (contrairement à ses concurrents qui utilisaient un trackball) et, subtil détail, le clavier était positionné du côté de l’écran, laissant de la place sur le devant pour reposer les poignets (alors que tous les portables compatibles PC de cette époque plaçaient tous le clavier le plus proche possible de l’utilisateur).

[modifier] De 1994 à 2006 : les Macintosh PowerPC

Au début des années 1990, l’alliance Apple-IBM-Motorola annonça la série de processeurs PowerPC à architecture RISC. Ils prédisaient que les microprocesseurs CISC (Motorola 680x0 et x86 d'Intel) seraient incapables de suivre l'évolution des performances des RISC.

Les premiers Macintosh à base de PowerPC furent les Power Macintosh 6100, 7100, 8100 sortis en 1994. En termes de performance, le Power Macintosh 6100 à base de PowerPC 601 d’entrée de gamme était plus rapide que le plus puissant des Macintosh 68k. En contrepartie, du fait de l’incompatibilité entre les processeurs PowerPC et m68k, toutes les applications Macintosh durent être réécrites, y compris le système d’exploitation. Les anciennes applications fonctionnaient sur les Power Macintosh par l’intermédiaire d’un émulateur.

Dès 1995, toute la gamme de bureau Apple fut composée de machines à processeur PowerPC. Jusqu’en 1997, la gamme Macintosh était composée comme suit : les Performa et les Power Macintosh des séries 4000, 5000 et 6000 pour la gamme grand public (dotés d’un écran), les Power Macintosh 7xxx en milieu de gamme, les Power Macintosh 8xxx destinés aux professionnels du son et de la vidéo et les Power Macintosh 9xxx en haut de gamme.

Les PowerBook ne passèrent au PowerPC que fin 1995, avec le PowerBook 5300. Mais cette sortie était encore trop anticipée et le PowerBook 5300 connut de nombreux problèmes techniques. Seuls trois autres PowerBook virent le jour avant le passage au PowerPC G3 : les PowerBook 1400, 2400 et 3400c.

À partir de 1995, pour contrecarrer la perte de part de marché, Apple autorisa d’autres sociétés, comme Umax ou PowerComputing à fabriquer des Macintosh. Ces Macintosh sont surnommés les clones. Apple est à cette période au plus bas, enregistre des pertes et ne parvenant pas à créer son OS confie à nouveau son destin à Steve Jobs. Ce dernier avait entre-temps été évincé de la société et créé les ordinateurs et le système d'exploitation NeXT.

Fin 1997 sortent les premiers Macintosh à base de PowerPC G3 auxquels ne peuvent accéder les clones. Les PowerPC 603 et 604 sont rapidement abandonnés dans la gamme Macintosh. Cela ne suffit pas à reprendre des parts de marché mais permet à Apple de survivre.

Mais c’est à partir de 1998 que les ventes reprennent, grâce à la sortie de l’iMac. Plus de 6 millions d’iMac se vendent jusqu’en 2001. La mode colorée de l’iMac déteint sur le reste de la gamme Macintosh : en 1999 sortent les Power Mac Bleu et Blanc (au boîtier translucide), puis les PowerBook se parent d’un boîtier tout en rondeurs. En 1999 sort l’iBook palourde coloré. Le carré magique est complété : dans la gamme de bureau, l’iMac pour le grand public et le Power Mac pour les professionnels, et dans la gamme portable, l’iBook pour le grand public et le PowerBook pour les professionnels.

En 1999 les Power Mac passent au processeur PowerPC G4. Celui-ci n’apporte à la plupart des applications qu’un faible gain en puissance (à moins qu’elles soient réécrites pour tirer parti d’un jeu d’instructions spécifiques) et est marqué par les difficultés de production par Motorola.

En avril 2001, le Macintosh subit une seconde révolution (après le passage au PowerPC), cette fois-ci dans son système d’exploitation, avec le passage à Mac OS X, basé sur un noyau UNIX dérivé de BSD, auquel sont ajoutés des éléments de NEXT.

La même année, Apple lance le PowerBook G4. Celui-ci signe la fin des Mac au design coloré et arrondi : totalement en titane, il se veut très sobre et d’un aspect plus professionnel. l’iBook se pare lui d’une coque toute blanche, caractéristique de tous les futurs Mac grand public. En 2002 sort l’iMac G4, doté d’un écran plat. Il est suivi par l’eMac G4, destiné au bas de la gamme grand public. La même année, Apple commercialise parallèlement un serveur en rack 1U : le Xserve.

Dans les années 2001-2002-2003, à cause des déboires de production du G4, les Mac sont quelque peu dépassés en terme de puissance par les PC : le G4 ne peut suivre l'évolution en puissance de calcul des processeurs x86 d'Advanced Micro Devices et Intel et seuls les professionnels ayant besoin de calculs spécifiques peuvent tirer avantage des processeurs G4. Cela causa une chute des parts de marché d’Apple sur le marché grand public ces années-là.

En 2003 le Power Mac G5 sort, et ramène les Mac dans la course à la puissance. Basé autour du microprocesseur 64 bits PowerPC 970 d’IBM, le Power Mac G5 trace un avenir plus clair au Mac. Depuis septembre 2004, les iMac ont à leur tour adopté le processeur G5. Mais la promesse qu'IBM avait faite à Steve Jobs et Apple ne sera jamais tenue, et, plus de 2 ans après leur première apparition, les G5 fabriqués par IBM n'atteignent toujours pas la fréquence prévue de 3 GHz.

[modifier] 2006 : Les MacIntel

Icône de détail Article détaillé : Passage de Apple vers Intel.

Déçu par IBM, Steve Jobs annonce, le 6 juin 2005 à la conférence d’Apple de la WWDC, le passage progressif de toute la gamme Macintosh vers les processeurs Intel, abandonnant ainsi IBM et Freescale. La justification donnée par Apple est qu’IBM n’est plus capable de faire évoluer son G5. La décision d’abandonner l’architecture PowerPC paraît paradoxale car elle survient à un moment où l’industrie accorde un regain d’intérêt pour le PowerPC d’IBM : Sony a choisi son nouveau processeur Cell pour la console PlayStation 3, et les Nintendo Wii et Xbox 360 utiliseront une évolution du G5. En fait, Apple est actuellement le principal acheteur de tels processeurs, et est donc un client privilégié ; avec ces nouveaux clients, Apple ne représenterait au mieux que 10 % des achats de PowerPC.

La transition vers Intel est facilitée grâce à Xcode 2.1, capable de compiler en Universal Binaries, applications capables de fonctionner sur les deux architectures, et Rosetta, un émulateur PPC.

La transition a commencé en janvier 2006 avec des nouveaux iMac et le lancement des MacBook Pro disponibles en février, des Macbook, disponibles au printemps et s'est complètement achevée fin 2006 avec le lancement des Mac Pro, machines puissantes haut de gamme.

Remarquons toutefois que Mactel (ou encore Macintel) n’est qu’un surnom, Apple n’ayant jamais appelé ses anciens ordinateurs Macorola ou Macibm. Même si Apple a déposé le nom « Mactel », ce n’est sûrement pas pour l’utiliser mais plutôt pour éviter qu’il soit détourné par une autre société.

L'adoption de puces Intel x86 ouvre de nouvelles possibilités : l'architecture hardware des Mac étant maintenant identique à celle des PC, il devient théoriquement possible d'installer Windows sur Mac et Mac OS X sur PC. Si l'installation de Mac OS X sur un PC est illégale, Apple a annoncé que rien ne sera fait pour empêcher l'installation d'une version de Windows sur un Mac à processeur Intel. Ceci n'est nativement pas possible car les Mac utilisent un firmware de type EFI au lieu du BIOS habituel des PC. Cette limitation a finalement réussi à être contournée deux mois après le lancement des premiers Mac-Intel, puisque qu'une manière d'installer Windows XP a été trouvée en mars 2006 en faisant émuler un BIOS par l'EFI (voir BamBIOS) . Ceci a été accueilli avec un grand enthousiasme dans la communauté Macintosh, puisque pour la première fois un ordinateur peut démarrer au choix sous Mac OS et Windows. Cela lève aussi des réticences de la part de certains utilisateurs PC à acheter un Mac, car ils ne veulent pas perdre la possibilité d'utiliser Windows.

Depuis le contournement de cette limitation au niveau de l'installation du système d'exploitation de Microsoft, Apple a sorti son propre programme en avril 2006, Boot Camp qui permet de partitionner le disque dur pour installer les deux systèmes à la fois et ainsi de démarrer alternativement sur MacOSX ou sous Windows. Disponible en version bêta sous Tiger (10.4), Boot Camp est maintenant complètement intégré à Leopard (10.5).

Depuis peu, des logiciels de virtualisation (VMWare Fusion, Parallels Desktop, …) proposent une approche encore plus séduisante car ils permettent d'utiliser simultanément plusieurs systèmes d'exploitation, tels que Windows XP, Linux ou même DOS, sur un Mac doté d'un processeur Intel, sans baisse perceptible de performance : un must pour les développeurs multiplateformes, mais aussi pour ceux qui hésitaient à "switcher" du PC vers le Mac par crainte de perdre l'usage d'anciennes applications développées uniquement sous Windows, voire même sous Dos. Le succès de Mac profite de ce renouveau, en 2007, le cabinet iSupply place la firme Apple en 6e fabricant mondial de micro-ordinateurs dans le monde.

[modifier] Les modèles de Macintosh

[modifier] Chronologie

[modifier] Les différentes familles

Il existe plusieurs catégories de Macintosh :

Les Macintosh (voir la liste)
Classic | XL | II | Portable | LC | Centris/Quadra | PowerBook | Performa | WGS | TV | Power Mac | TAM | iMac | iBook | eMac | Xserve | Mac Mini | MacBook | MacBook Air | MacBook Pro | Mac Pro

[modifier] Notes et références

[modifier] Liens externes

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