Littérature hongroise

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La littérature hongroise est la littérature écrite en langue hongroise. On peut faire remonter cette littérature aux premiers chroniqueurs hongrois qui relataient les légendes du peuple magyar (La Légende du cerf merveilleux ou La Légende du touroul). Jusqu'au XVIe siècle, ce sont principalement les chroniques, les légendes et les hymnes qui ont dominé la culture littéraire.

Sommaire

[modifier] Poésie lyrique

La poésie lyrique, qui deviendra une spécialité hongroise est lancée par Janus Pannonius, puis Bálint Balassi (1554-1594).

[modifier] Le baroque

Au XVIIe siècle, le baroque est représenté par Miklós Zrínyi avec son épopée Siège de Sziget.

[modifier] Les Lumières

Le courant philosohpique et littéraire de la fin du XVIIIe siècle est marquée par quelques grands noms : Ferenc Kazinczy ou Mihály Csokonai Vitéz.

[modifier] Le romantisme

Quatre poètes dominent cette période de changement : Ferenc Kölcsey, Mihály Vörösmarty, János Arany, Sándor Petőfi

[modifier] Le XXe siècle

Au début du XXe siècle, la fondation, en 1908, de la revue Nyugat (Occident) permet de rassembler de nombreux écrivains autour de l'impressionnisme, du symbolisme, réalisme ou naturalisme (Endre Ady, Attila József, Dezső Kosztolányi, Gyula Krudy, Mihály Babits, Árpád Tóth, Gyula Juhász, Lőrinc Szabó, Milán Füst). Sous l'ère communiste, se développe entre autres le roman ainsi qu'une nouvelle poésie lyrique.

Voir aussi: János Pilinszky, Sándor Weöres, Magda Szabó, Ferenc Karinthy, Sándor Márai, Örkény István.

En 2002, Imre Kertész, survivant de la Shoah, reçoit le Prix Nobel de littérature.

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