Utilisateur:Ibrisimovic Armin

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[modifier] Ibrisimovic Armin

Armin Ibrišimović [aʀmin ibʀiʃimoviʨ]], né le 10 avril 1989 à Podgorica (Monténégro), est un étudiant monténégrin passionné par l'histoire, la littérature, la géo-politique et les langues, vivant et étudiant à Bruxelles depuis le début du troisième millénaire.

[modifier] Mes Contributions

Articles

Modèles

[modifier] Description

Futur étudiant en Sciences Politiques, Relations Internationales, je consacre une partie de mon temps à lire, à toujours apprendre plus sur les civilisations disparues et actuelles ainsi qu'à l'histoire en général. Etant originaire du Monténégro et y ayant vécu 11 années, je m'efforce de faire parvenir ma culture, mes connaissances et mes appris au monde entier au travers de traductions et d'apports personnels dans plusieurs domaines, notamment dans celui de mon cher pays natal, qui regorge de richesses inestimables. De très anciennes villes couvrent les paysages de ces contrées, mais c'est également un pays où la Nature est reine, où l'appel à la vie dépasse la raison, un endroit fortifié naturellement par des montagnes légendaires, qui s'ouvre sur une mer chaude et bleue..

[modifier] Récompenses

Récompense Reçois les Lauriers du Projet:Rome antique pour avoir ajouté cet article à nos fondations! Darth Gaut - 22 août 2006 à 14:41 (CEST)


[modifier] Mon Histoire

Naissance à Titograd (aujourd'hui Podgorica), dans la Grande Yougoslavie.

Dès ma plus tendre enfance, avec mon frère cadet Ermin, je fus initié aux lettres et à la lecture par mes parents. Mon père, Saki, était un pilote de chasse et d'essai au service de l'Armée, alors que ma mère, Liria, était comptable d'une grande banque.

Je me découvris tout de suite une passion pour les livres et pour l'école, et comptai parmi les meilleurs sur les bancs scolaires. Je fis ma première année primaire à Smederevo, en Serbie, à cause de la mutation de mon père. Après l'avoir terminée, nous retournâmes à Podgorica, où je fis mes 2ème,3ème et 4ème années primaires dans la meilleure école du Monténégro, "Savo Pejanovic".

Mes parents ayant une immense envie de partir vivre en Europe, mirent leur projet à éxécution et nous prîmes un avion pour Köln, en Allemagne. Arrivés à destination, nous réalisions que le "rêve" européen n'était pas tel que nous l'imaginions; une pluie diluvienne tombait sur cette cité morose en début Juillet, alors que les bruits infernaux des moteurs de voitures s'accompagnaient de l'odeur âcre caractéristique des Grandes Villes, nous ne parlions pas l'allemand, même si mon père en avait quelques notions... Sur le coup de téléphone d'un ami de mes parents vivant en Belgique, qui vantait les mérîtes de ce pays méconnu de nos idées, nous décidâmes de nous y rendre. Accueillis dans un Centre pour Etrangers à Yvoir, puis dans un autre à Rendeux, nous trouvâmes un logement à Bruxelles, avant que l'année scolaire ne commence.

Mes parents m'inscrivirent en 5ème année primaire dans une école communale anderlechtoise, "Les Marronniers", et j'y débarquai après 3 jours de cours, ne comprenant pas un mot de français. Les premiers jours, je fus impressionné par la diversité des gens et leurs origines. Ma grande difficulté est que je ne pouvais pas communiquer avec eux, sauf avec un garçon de mère géorgienne et de père irakien, qui se débrouillait en anglais et en russe. Son nom était Raïd, et il est aujourd'hui encore mon meilleur ami. Je finis par comprendre la globalité des mots que disait mon institutrice après un mois de cours, mais je continuais à me taire. Je fus aidé par une élève bonne en français, et avançai encore mieux comme cela. Grâce à mes efforts, je finis mon année sans problèmes, me classant parmi les meilleurs, malgré mes manques linguistiques antérieurs.

En 6ème année primaire, grande ironie du sort, c'est moi qui devais aider un nouvel élève marocain en français, puisque je m'étais illustré dans cette matière comme étant le plus habile. Mon orthographe était d'un haut niveau, j'ai rarement fait des fautes d'orthographe, si ce n'est de frappe... Je ne comprenais pas le désintérêt des gens pour cette langue magnifique, cette langue mythique qu'est le français. A la fin de l'année, j'obtins le Prix du Bourgmestre, le fruit de mes efforts d'intégration, décerné par Jacques Simonet, qui fut un livre sur la Turquie.

Sur les conseils de mon institutrice, je m'inscrivis dans l'athénée Bracops-Lambert, en section latine, et après deux ans d'études excellentes, je décidai de changer d'école, accompagné de mon frère. Notre choix optait pour l'Institut des Soeurs de Notre-Dame, qui était réputé à Anderlecht et difficilement accessible, il était possible d'y entrer à condition d'y avoir été inscrit 4 ans d'avance... Malgré cette difficulté, un ami de mes parents, réussit à nous avoir deux places pour la 3ème année secondaire à l'Institut, dans l'option "Sciences-Latin".

Nous arrivâmes dans cette école où tout le monde se connaissait, seuls, comme de nouvelles espèces introduites dans un zoo. Très vite, en un mois, nous devînmes "populaires" grâce à notre charisme; on entendait notre nom partout et des gens que nous n'avions jamais vu venaient nous adresser la parole et nous interpellaient. Il m'est arrivé mille fois de parler à des personnes sans connaître leurs noms. J'aimais bien ce climat, différent de mon autre école. Mes notes à la fin de l'année avaient baissé, je me retrouvai avec une "bonne" moyenne en 3ème secondaire alors que l'année d'avant j'avais une moyenne "excellente". Malgré cette baisse, je restai le meilleur élève de ma classe, dont les efforts généraux et la recherche de résultats n'étaient pas élevés.

Aah, l'amour... Il était enfin arrivé, le Premier Grand Amour, et il est reparti, une histoire qui ne saurait se résumer en quelques phrases... Un amour-bulle, si je puis le définir ainsi, laissant ses acteurs dans une forme de dépendance active, en étant objectif, on pourrait qualifier cette relation d'exagérée, elle a pourtant inévitablement marqué mon coeur et mon esprit pour longtemps.

Mes notes scolaires glissent dangeureusement sur une pente raide, sans que je sache les retenir. Marqué par cette première relation, mon esprit a sombré dans de futiles pensées, et j'oubliai la raison principale pour laquelle j'étais à l'école. Mais je me rends compte, de façon tardive, que si je continue ainsi, je ne parviendrais à rien dans la vie. Car la vie est faite de sacrifices, qui peut-être contribueraient à un bonheur futur. Grâce à des professeurs magnifiques, et une volonté de Titan, Je passe mon année, et mes examens, avec quand même quelques difficultés, mais la joie réussit à emplir mon coeur de nouveau. Mon bonheur s'est en quelque sorte régénéré, je sors de cette année plus fort qu'avant, et doté d'une lumière plus puissante; le parcours est long, mais les chemins sont moins tortueux. Il faut modérer les passions, mais pas les éviter, car ce sont ces mêmes passions qui nous font avancer. J'ai même réussi à percer le monde de la mode, même si c'est un monde superficiel, il a réussi à me donner une nouvelle énergie, et une plus ample confiance en moi-même.

Je commence ma rhétorique (ou terminale) avec enthousiasme, c'est tout ce à quoi je m'attendais, je me suis inscrit à l'Académie des Arts de la Parole, et je suis hebdomadairement des cours d'Art dramatique et de "Poésie-Théâtre", je puis me consacrer enfin à quelque chose que j'aime, et cultiver mon Jardin (cfr. Voltaire). Mes relations amoureuses s'améliorent, je franchis des pas nouveaux, mais avec les paupières toujours ouvertes, et un cœur plus serein. J'ai du temps pour moi, du temps pour réfléchir à mon futur, du temps pour m'émouvoir chaque seconde de la vie qui m'a été offerte, de capter un instant magique, un cube d'air, de lumière, de parfums, et de mémoire, qui fusionnent pour laisser une empreinte de bonheur sur mon âme étonnée.

[modifier] Carrière

Lorsque j'étais enfant, je voulais absolument devenir écrivain. J'écrivais même des histoires pour mon frère, et les lui lisais la nuit, afin qu'il s'endorme... Mon entourage était surpris par cette aptitude. J'ai toujours des aspirations littéraires, mais sous forme d'hobby désormais. Je prévois de continuer, mais le temps me manque. A travers les livres que je lisais, je me fascinai rapidement pour les civilisations antiques et leurs mythologies et commençai à lire beaucoup de livres ayant des thèmes historiques. En moi naquit un nouvel engouement, qui fut l'archéologie. Je rêvais de trouver des objets importants que j'aurais fait découvrir au monde entier, déchiffrant de nouvelles écritures, dévoilant de nouvelles thèses, etc. Mais dans un monde où les archéologues sont trop présents, je décidai de me tourner vers une autre optique. J'ai toujours aimé la justice, et je me défendais comme un lion contre mes accusateurs en n'utilisant que la parole, je trouvais toujours de bons arguments pour les contrer et leur prouver que j'étais innocent; l'éloquence était un de mes points forts. Avocat, cette profession si respectée... Malgré mon envie d'être avocat, une envie à mon avis marquée du sceau de la télévision et de la pensée populaire, je préfère me tourner vers une autre optique.. "Alea iacta est!". Je souhaite aussi accéder à un rang élevé dans la politique, de préférence internationale, car mes espérances à ce niveau sont justifiées, ainsi que mon désir de faire changer certaines choses, mon désir d'inscrire mon empreinte sur la mémoire du monde, et d'y contribuer en bien.

[modifier] Étymologie

Mon nom de famille du côté de mon père, Ibrisimovic, vient de l'anatolien ibrisim, qui lui même vient du perse ancien ebrium et qui signifie "fil de soie". Je pourrais fantasmer, et penser que mes origines se situent quelque part en Perse, sur la Route de la soie. Mais mes racines les plus probables sont pour l'instant dans les Balkans, car un de mes ancêtres du nom de Luka Ibrisimovic était un prêtre au service de l'Eglise croate, il mena une bataille décisive contre les Ottomans dans son temps, à côté de ses qualités de prêtre, ce fut aussi un maître stratège, et un combattant du peuple. Et de plus, il fut prouvé par certains chercheurs que mon nom de famille d'origine était Svilović, mais qu'il a été turcisé à l'époque de l'Empire Ottoman, en gardant sa signification initiale. Alors que le nom du côté de ma mère est Adzovic et qu'il vient probablement du grec agon, qui signifie "le duel" et qui était aussi le "tournoi" entre les combattants chez les Grecs Anciens; cette théorie ne s'avère pas impossible puisque mon arrière-grand-père prétendait descendre d'ancêtres macédoniens, une chose qui fut révélée de génération en génération.

Passons à mon prénom: Armin est une variante latinisée du nom germanique Irmin (Dieu de la guerre chez les Saxons) qui signifie « Grand » (cf. Herminones). Le nom de "Hermann" signifiant "le combattant, le héros", fut souvent attribué aux chefs de guerre; son étymologie est heri , qui signifie "la guerre", et mann, qui signifie "l'homme" ( exemple: Arminius). Ce prénom me convient parfaitement car je suis né sous le signe du Bélier, et ainsi sous la protection de Mars(ou Arès), Dieu de la Guerre, mon élément est le Feu, et je suis quelqu'un d'ardent et de passionné.

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