Hyères

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43°07′12″N 6°07′54″E / 43.12, 6.13167

Hyères
Blason de la commune.
Logo de la ville.
Carte de localisation de Hyères
Pays France France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Var Var
Arrondissement Toulon
Canton Hyères-Est (Chef-lieu)
Hyères-Ouest (Chef-lieu)
La Crau
Code Insee 83069
Code postal 83400
Maire
Mandat en cours
Jacques Politi (DVD)
2008-2014
Intercommunalité Communauté d'agglomération Toulon Provence Méditerranée
Latitude
Longitude
43° 07′ 12″ Nord
         6° 07′ 54″ Est
/ 43.119879, 6.13161
Altitude 0 m (mini) – 364 m (maxi)
Superficie 132,28 km²
Population sans
doubles comptes
53 200 hab.
(2006 (est. INSEE))
Densité 403 hab./km²

Hyères en français (prononcer [jɛʁ]), Ieras en provençal selon la norme classique et Iero selon la norme mistralienne (prononcer [ˈjeɾ.ɔ]), est une commune française située à sept cent deux kilomètres au sud-est de Paris dans le département du Var et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Chef-lieu de deux cantons, la ville, située sur la rive de la mer Méditerranée, à l'embouchure du Gapeau, est une station balnéaire surnommée Hyères-les-Palmiers grâce aux 7 000 palmiers plantés dans la commune et cultivés dans les pépinières[1].

C’est à Hyères, en 1887, que Stéphen Liégeard inventa le terme de Côte d'Azur : « le long de cette plage baignée de rayons qui mérite notre baptême de Côte d’Azur, Hyères la première eût l’idée de mettre ses dons bénis au service de la maladie et de l’espérance. »

Ses habitants sont appelés les Hyérois.

Sommaire

[modifier] Géographie

Presqu'île de Giens
Presqu'île de Giens

La commune d'Hyères inclut notamment la presqu'île de Giens et les îles d'Hyères. Ces îles comprennent Porquerolles, Port-Cros et l'île du Levant ainsi que de nombreuses petites îles et îlots. On les appelle aussi les « îles d'Or », nom qui leur fut donné à la Renaissance, sans doute parce que, sous certains éclairages, les micaschistes de leurs roches ont des reflets d'or. Outre ces îles, la ville est composée de nombreux quartiers tels que La Capte, Giens, L'Almanarre, L'Ayguade, Les Salins-d'Hyères ou Les Borrels. La ville longe la mer sur trente-neuf kilomètres de côte, et est la plus au sud de la Provence. Ces côtes sont tour à tour de sable ou de falaises rocheuses.

La plus ancienne des stations climatiques de la Côte d’Azur est située dans un site abrité. Ses vieux quartiers s’accrochent au versant sud de la colline du Castéou (204 m) et dominent la ville moderne et la rade qu’enserrent le cap Bénat et la presqu’île de Giens. La notoriété de la ville remonte au XVIIIe siècle.

[modifier] Hydrologie

[modifier] Relief

[modifier] Communes limitrophes

Du sud-ouest à l'est, la commune est baignée par la mer Méditerranée, avec le Golfe de Giens au sud-ouest de la presqu'île et le quartier insulaire de Porquerolles au sud. Du sud-est à l'est se trouve la rade d'Hyères avec les îles de Bagaud, Port-Cros et Le Levant. Au nord-est, la commune est limitrophe de La Londe-les-Maures, de Pierrefeu-du-Var au nord, le Gapeau la sépare de La Crau au nord-ouest, la station balnéaire de Carqueiranne est située à l'ouest.

La Crau Pierrefeu-du-Var La Londe-les-Maures
Carqueiranne N Mer Méditerranée,
Rade d'Hyères
O    Hyères    E
S
Mer Méditerranée,
Golfe de Giens
Mer Méditerranée,
au large, Porquerolles
Mer Méditerranée,
Rade d'Hyères
au large, l'île de Bagaud,
Port-Cros et l'île du Levant
Enclave: {{{enclave}}}

[modifier] Climat

Hyères est située sur la Côte d'Azur et bénéficie d'un climat méditerranéen aux étés chauds et secs et aux hivers doux et relativement humides. La rade peut être soumise à des vents violents avec un record établi à 148 km/h le 28 novembre 1983. Le mistral souffle parfois bien que la commune soit abritée au nord par le massif des Maures. Elle est parfois exposée au levant qui s'engouffre dans la rade entre Port-Cros et le Cap Bénat mais est protégée du sirocco par Porquerolles et la presqu'île de Giens. En moyenne annuelle, la température s'établit à 15,9°C avec une moyenne maximale de 20,1°C et une minimale de 11,8°C. Les températures nominales maximales et minimales relevées sont de 29°C en juillet-août et 6°C en janvier et février, valeurs douces grâce à la présence de la Méditerranée et de l'agglomération toulonnaise. Les jours de gel sont assez rares mais le 10 février 1986 fût relevée la température de -7,5°C. À l'inverse, le 7 juillet 1982 la température de 40,1°C établissait un record. L'ensoleillement moyen s'établit à 2 899,3 heures par an avec une pointe à 373,8 heures en juillet. Autre valeur importante, caractéristique du climat méditerranéen, les précipitations totalisent à Hyères 665 millimètres sur l'année, valeur relativement faible par rapport à d'autres communes du pourtour méditerranéen et surtout les pluies sont très inéquitablement réparties avec moins de sept millimètres en juillet et près de quatre-vingt quatorze millimètres en octobre. Le record de précipitations relevées en vingt-quatre heures s'établit à 156 millimètres le 16 janvier 1978.

Mois Janv. Fév. Mars Avr. Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Déc. Année
Températures maximales moyennes (°C) 13 13 15 18 22 26 29 29 26 21 16 14 20,1
Températures minimales moyennes (°C) 6 6 8 10 13 16 19 19 17 13 9 7 11,8
Températures moyennes (°C) 9 10 11 14 17 21 24 24 21 17 13 10 15,9
Ensoleillement (h) 155,3 158,2 217,6 252,1 301,5 329,3 373,8 334,9 259,9 210,3 158,7 147,6 2899,3
Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 76,3 88,3 56,4 55,7 45,0 22,3 6,6 28,5 49,1 93,9 69,4 73,5 665,2
Source : Archives climatologiques mensuelles - Toulon (1961-1990)

[modifier] Transports

[modifier] Quartiers et lieux-dits

Vue panoramique du centre-ville.
Vue panoramique du centre-ville.
Le Casino d'Hyères
Le Casino d'Hyères
Rue du Vieux-Hyères
Rue du Vieux-Hyères
Avenue Gambetta
Avenue Gambetta
  • La commune d'Hyères étant très étendue en superficie, elle a été subdivisée en plusieurs quartiers – appelés « fractions » – qui possèdent une mairie annexe. Ces mairies annexes sont les suivantes :
    • Les Salins
    • L'Ayguade
    • Les Borrels
    • Sauvebonne
    • Le Port
    • La Capte
    • Giens
    • Porquerolles
    • Port-Cros
    • Le Levant

[modifier] Toponymie

Le nom de Hyères est une déformation du nom de l'ancienne colonie romaine Areae.[2] Le nom de cette ville semble provenir des salins qui s'étendaient à proximité, peut-être depuis l'Antiquité tardive, après altération du terme latin areae désignant des marais salants. Hyères est citée pour la première fois en 963 sous la forme Eyras ou Eras. On doit faire l'élision et parler de la ville d'Hyères ainsi que des îles d'Hyères, mais ce point de grammaire est souvent contesté par les hyérois eux mêmes. En 1801, la ville s'orthographiait indifféremment Hières ou Hyères.

[modifier] Histoire

Voir article Chronologie d'Hyères

En 1853, le territoire communal fût démembré de La Crau, de Carqueiranne en 1894 et de La Londe-les-Maures en 1901.

[modifier] Démographie

[modifier] Évolution démographique

Évolution démographique
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6 500 6 528 6 982 7 617 10 142 8 880 9 966 10 116 9 999
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9 446 10 368 10 878 11 212 12 289 13 849 13 485 14 982 17 708
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
17 659 17 790 21 339 17 476 19 816 22 967 26 378 23 654 29 061
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - -
28 505 34 875 36 123 38 999 48 043 51 417 53 200 - -
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes
Source : Cassini[3] et INSEE[4].
Histogramme
(élaboration graphique par Wikipédia)

[modifier] Pyramide des âges

Pyramide des âges à Hyères en 1999[5] en pourcentage.
Hommes Classe d'âge Femmes
0,1  Avant 1904  0,4
8,2  1905-1924  13,3
15,4  1925–1939  17,1
19,1  1940-1954  18,5
20,9  1955-1969  20,0
19,7  1970-1984  16,1
16,6  1985-1999  14,6

[modifier] Administration et politique

Extension de l'hôtel de ville.
Extension de l'hôtel de ville.

Hyères est divisée en trois cantons, mais n'est chef-lieu que de deux d'entre eux :

soit 50 789 habitants.

La troisième partie d'Hyères appartient au canton de la Crau.

[modifier] Maires d'Hyères


[modifier] Tendances et résultats politiques

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :

Élections référendaires :

[modifier] Enseignement

[modifier] Santé

[modifier] Services publics

  • L'administration de la Poste a aussi créé des bureaux de poste décentralisés, avec des timbres à date différents selon les bureaux :
    • Hyères-Hôtel-de-Ville
    • Hyères-Principal
    • Hyères-Principal B
    • Les Salins-d'Hyères
    • Île-du-Levant
    • Île-de-Port-Cros
    • Porquerolles
    • L'Ayguade-Le Ceinturon

[modifier] Jumelages

Hyères a développé des associations de jumelage avec :

[modifier] Vie quotidienne à Hyères

[modifier] La culture

  • Musée municipal

Peintures fin XVIIIe et XIXe siècle françaises et étrangères. Collections d'archéologie du site d'Olbia, sculptures du XIXe siècle.

  • Théâtre Denis

Construction en 1834 du théâtre Denis sur l'initiative d' Alphonse Denis et d'autres actionnaires. En 1848, ce théâtre devient la propriété d’Alphonse Denis. En 1879, il est racheté par la municipalité ; il fera l'objet d'importants travaux en 1881, 1932,1933,1935 et 1956.

  • La bibliothèque centrale
Rue des Porches
Rue des Porches

Devenue depuis juin 2005 une médiathèque en lieu et place de l'ancien centre des impôts, place Théodore-Lefebvre.

[modifier] Le sport

[modifier] Festivités

  • Festival International de Mode et de Photographie
  • Le Hyères Jazz festival qui se déroule du 21 au 24 juillet est ouvert à tous. Des artistes de renommées locales, nationales et mondiales y sont invités. Au programme 2008 : Rhoda Scott & Johnny Griffin quartet, Didier Lockwood trio : hommage à Stéphane Gappelli,Charles Lloyd & Jason Moran duo, Biréli Lagrène Gipsy Project. Les concerts se déroulent à l'hippodrome de la plage à partir de 21h, des déambulations de pianos, de fanfares et autres happenings investiront la ville pendant toute la journée.
  • Le Festival de la Chanson Française a lieu au début du mois d'août. Ce festival (ouvert à tous) accueille les représentants passés et actuels de la chanson française. Y ont été reçu : Pierre Bachelet, Aldebert, Gérard Lenorman... Toutes les représentations ont lieu sur la place Clemenceau.

[modifier] Lieux de cultes

  • Eglise Saint-Louis

[modifier] Médias

[modifier] Économie

[modifier] Le tourisme

[modifier] La saliculture

[modifier] Culture et patrimoine

[modifier] Patrimoine environnemental

  • Jardin Olbius-Riquier
Ile de Porquerolles
Ile de Porquerolles

Olbius Hippolyte Antoine Riquier lègue le clos Riquier par testament à la ville d'Hyères le 13 avril 1868. Le 14 juillet 1872, sur une idée conjointe de la municipalité et d'Albert Geoffroy Saint Hilaire, alors directeur du jardin d'acclimatation de Paris, une convention est signée donnant à bail pour vingt-six ans le terrain du clos Riquier afin d'y créer un établissement où l'on pourrait cultiver, étudier et créer des espèces tropicales susceptibles de s'acclimater dans nos régions. Cet endroit était une annexe du jardin d'acclimatation de Paris. De nos jours, ce parc de sept hectares est à la fois un jardin d'agrément et un jardin botanique avec de nombreuses essences exotiques rares.

[modifier] Patrimoine architectural

Hyères au coucher du soleil
Hyères au coucher du soleil
  • Villa Noailles
Icône de détail Article détaillé : Villa Noailles.
  • Chapelle Saint-Blaise dite tour des Templiers
Immeuble hyèrois
Immeuble hyèrois
Tour des Templiers
Tour des Templiers

Commanderie construite par l'ordre du Temple au XIIe siècle. Au XIVe siècle elle comprenait corps de logis, grange, cellier, moulin, four et la tour Saint-Blaise, son seul vestige actuel. Après la suppression de l'ordre du Temple elle fut affectée à la communauté des frères de la commanderie hospitalière de Baulieu, qui les afferma d'abord à divers particuliers. En 1673, elle les céda à la ville, par bail emphytéotique. La chapelle resta affectée aux pénitents bleus jusqu'en 1765. La ville transforma à cette date la chapelle en halle, puis fit ajouter un étage interne en 1770. Elle fit procéder à l'aménagement d'un niveau intermédiaire, avec démolition des voûtes et construction d'un escalier intérieur. L’hôtel de ville occupa dès lors les lieux jusqu'en 1913. Après restauration, c’est aujourd’hui un lieu d'exposition. Cet édifice a été classé Monument historique le 30 mars 1987.

  • Collégiale Saint-Paul
Collégiale Saint-Paul
Collégiale Saint-Paul

Monument historique classé en 1992. Exposition permanente d'ex-voto qui racontent des événements qui se sont déroulés pendant les guerres de religion. La légende veut que le trésor des Templiers y soit caché.

  • Site archéologique d'Olbia

Rouvert au public en 1999, le site archéologique d’Olbia, ancien comptoir de la cité de Marseille, juxtapose des éléments grecs, romains et médiévaux. Située au bord du golf de Giens, à Hyères, sur la route des comptoirs entre Nice et Marseille, Olbia (« la Bienheureuse » en grec) est évoquée par Strabon (Ier siècle av. J.-C.) dans sa Géographie. Le site a été fouillé dès le XIXe siècle par divers archéologues, dont le prince Frédéric, futur roi du Danemark, Alphonse Denis, maire d'Hyères, et le lieutenant-colonel Poitevin de Maureillan.

  • Château Saint-Bernard
Rue Piétonne
Rue Piétonne

Le château et les fragments de la première enceinte urbaine dominent le site dont l'escarpement fut retenu pour ses possibilités de défense. Au sommet, le château ne conserve que les vestiges du XIIIe au XVe siècle qui ont échappé à son démantèlement en 1620. L'enceinte de la partie la plus ancienne de la ville encadre le château et délimite une zone déjà largement abandonnée par la population au XIVe siècle au profit de la ville basse. C'est de cette époque que date la reconstruction générale de l'ouvrage dont les fragments sont encore visibles, tant pour la ville haute que pour la ville basse.

  • Castel Sainte-Claire
La Poste d'Hyères
La Poste d'Hyères

Le castel Sainte-Claire est le premier des édifices qui, à partir du milieu du XIXe siècle, ont réinvesti les espaces vacants de la vieille ville. C'est une villa bâtie dans un style roman de fantaisie par Olivier Voutier, le découvreur de la Vénus de Milo. Par la suite, l'écrivain américain Edith Wharton y résida de 1927 à 1937 alors que Robert Mallet-Stevens et de nombreux autres artistes œuvraient, au clos Saint-Bernard, pour Charles de Noailles.

  • Villa mauresque

Située 2, avenue Jean-Natte, cette villa fut construite en 1881 par l'architecte Pierre Chapoulart pour l’industriel Alexis Godillot. Elle était destinée à la fois aux réceptions données par l’industriel mais aussi à la location aux hivernants.

[modifier] Personnalités

Rue Massillon
Rue Massillon
Statue de Massillon, place Massillon
Statue de Massillon, place Massillon
Porte Massillon
Porte Massillon
Place Clémenceau
Place Clémenceau

[modifier] Héraldique

Blason historique de Hyères

Le blason originel était : De gueules, à un château d'argent, sommé de trois tours de même, maçonné de sable, la porte ouverte et garnie de sa coulisse de sable, accompagnée en pointe de trois besants d'or, posés deux et un.

Cette version fut attribuée à la ville en 1696.

Blason actuel de Hyères

La commune choisit plus tard : D'azur à la tour d'argent maçonnée de sable, ouverte et ajourée du champ, crènelée de quatre pièces, sommée de trois tourelles crènelées chacune de quatre pièces du même, et accompagnée en pointe de trois besants d'or deux et un.[19]

[modifier] Mythes, légendes et anecdotes

Livres dont l'action se passe à Hyères

  • Eugène-Melchior de Vogüé: Jean d'Agrève
  • William Luret : L’homme de Porquerolles
  • Gustave Roux : Contes du pays hyérois
  • Joseph Conrad: Le frère de la côte
  • Paul Bourget : Sous les Palmiers d'Hyères et autres
  • Charlotte Turner Smith : Celestina 1791
  • Jean-Frédéric Minéry : Frenchy et Fanny - Tome 1 - Mystères à Hyères ! (éditions ANGE)
  • Kélilan : La traversée onirique d'Azur Daffodil : Tome 1 - Ville-rêve

[modifier] Galerie

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[modifier] Pour approfondir

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens externes

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Hyères.

[modifier] Bibliographie

  • François Fray, Hyères. La ville médiévale, Itinéraires du Patrimoine, plaquette n° 97, Association pour le Patrimoine de Provence, 1995.
  • Christian Fischer : Reise nach Hyères im Winter 1803 - 1804 Leipzig 1806
  • Alphonse Denis et Dr R. Chassinat : Hyères ancien et moderne - H. Souchon. sd (1910?),
  • Alphonse Denis : Promenades pittoresques à Hyères ou notice historique et statistique sur cette ville, ses environs et les Iles. A Toulon & à Paris et à Brest, 1841,
  • Amédée Aufaure : Hyères et sa vallée. Guide Historique-Médical-Topographique. Hachette et Cie, s.d
  • Honoré-Zénon Gensollen : Essai historique, topographique et médical sur la Ville d'Hyères en Provence avec un prècis des troubles qui ont eu lieu dans cette ville en l'année 1815. Bellue, 1820
  • Emile Jahandiez : Les Iles D'Hyères. Monographie des Iles d'Or. Carqueiranne, Chez L'Auteur, 1915,
  • Docteur Barth : Notice topographique et médicale sur la ville d'Hyères. Béchet Jeune et Labé : 1841
  • Jules Icard : Notes historiques sur les rues d'Hyères.
  • Adolphe Smith: The Garden of Hyères - A Description of the Most Southern Port on the French Riviera. London; Published at the Fleet Printing Works and by H. Souchon, Avenue de la Gare, Hyeres (Var), France; 1882 Téléchargement gratuit de The Garden of Hyères sur Gallica, site de la Bibliothèque Nationale
  • Maurice Abbonen, "EAU" Moulins d'Hyeres , LACOUR-COLPORTEUR ed. 1996
  • P.N Fellon : Hyères en provence ou guide des voyageurs 1834
  • Ghislaine Maille et Hubert François : Hyères. Collection Mémoires en images, Editions Alan Sutton, 2003.
  • Ghislaine Maille et Hubert François : Hyères Tome II. Collection Mémoires en images, Editions Alan Sutton, 2007.

[modifier] Notes et références

  1. Hyères, la ville au 7 000 palmiers sur le site officiel de la commune. Consulté le 18/01/2008.
  2. Toponymie des communes du Var
  3. Notice communale, Cassini. Consulté le 20/01/2008
  4. Enquêtes annuelles de recensement de 2004 à 2006, Insee. Consulté le 20/01/2008
  5. Pyramide des âges, Recensement 1999 sur le site de l'INSEE
  6. Mairie d'Hyères : « Pages d'Histoire d'Hyères » par Gustave Roux.
  7. Information relative au décès de Léopold Ritondale sur le site de France 3 Méditerranée. Consulté le 21/02/2008.
  8. Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
  9. Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
  10. Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
  11. Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
  12. Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
  13. Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
  14. Résultats de l'élection cantonales de 2004 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
  15. Résultats de l'élection cantonales de 2004 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
  16. Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du Ministère de l'Intérieur. Consulté le 31/03/2008.
  17. Résultats de l'élection municipale 2001 sur le site du Journal Du Dimanche.
  18. Résultats du référendum de 2005 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
  19. Gaso, la banque du blason.
  20. Archive vidéo sur le site de l'INA, « Mon ami Maigret » diffusé le 14 mars 1973.