Utilisateur:DominiqueMichel

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Sommaire

[modifier] Qui suis-je?

Je m'appelle Dominique MICHEL, je suis né en 1958 en Suisse, suis divorcé et j'ai un fils, Maxime, qui habite en Suède.

Mes passions sont la musique que je pratique en amateur depuis mon enfance, la lecture, les ballades à pied et en vélo, l'informatique, l'électronique et la philosophie.

Mes formations:

  • Radioélectricien.
  • Technicien ET en électrotechnique et électronique.
  • Installateur d'équipements d'antennes terrestre, câble et satellite, technique digitale et analogique.
  • Suédois comme deuxième langue. (Que je parle couramment.)

Mes composants électroniques préférés sont les tubes à vides et les DSP.

Je suis un adepte convaincu depuis de nombreuses années des logiciels libres. Mes deux distributions linux préferrées sont gentoo et A/Demudi.

[modifier] Ce que je considère comme le plus important

Un monde meilleur, ici et maintenant

Je ne suis en effet pas disposé à attendre la saint Glinglin pour l'atteindre dans une hypotétique vie aprés la mort ou dans une toute autant hypotétique autre vie.

Les religions exigèrent une soumission totale à leurs dogmes.

Le marquis de Sade prétendît que les actes de l'être humain lui sont dictés par son instinct. Cela revenait à faire de l'être humain un simple animal mais cela était déjà trop pour le pouvoir religieux de l'époque qui le fit jeter en prison, car ce pouvoir ne pouvait supporter que l'être humain se libère ainsi des chaînes de la religion pour suivre son instinct. | Les philosophes n'ont fait qu'interpréter le monde

Marx allât beaucoup plus loin et c'est avant tout pour cela que les bourgeois le détestent, il démontrât de façon scientifique que l'être humain est capable

  • de définir ses buts au présent grâce à sa raison
  • de travailler au présent à la réalisation de ses buts et en utilisant sa connaissance (appelée science aujourd'hui)
  • de transformer ainsi les choses, son avenir devient ce qu'il en fait.

Marx démontra aussi que la foi n'est pas, comme dans les religions, ce qui fixe les barrières de la raison, mais au contraire ce qui permet de les dépasser. Ainsi, il démontre qu'il avait foi en l'être humain et en ses capacités. | Manuscrits de 1844 (1844) (Économie politique et philosophie)

[modifier] Le problème d'aujourd'hui

Je considère que notre société se trouve dans une impasse dont l'issue est très incertaine. L'ère actuelle que nous appelons civilisation commença avec la comercialisation de l'être humain en tant qu'esclave, et aujourd'hui, tout est commercialisable, même les plus infimes parcelles du vivant que sont les gênes. L'emprise du commercial sur tout les aspects de notre vie est global et personne ne peut y échapper. Dans le même temps, nous apercevons mieux que jamais les problèmes posés par cette approche mercantile. Les gens, à la place d'être solidaires, sont conditionnés à être les meilleurs. L'envirronnement, depuis le temps que nous le mépricons est en train d'essayer de retrouver son équilibre, équilibre qu'il retrouvera avec ou sans nous. Le mythe de la croissance éternelle dans un monde aux ressources finies, mythe auquel seul un fou ou un économiste peut croire, est en train de causer l'èpuisement de nos ressources, le pétrole est dans ce domaine seulement la pointe visible de l'iceberg.

Face à cet état de fait, partout des voix se lèvent pour demander un autre monde. Quelle que soit la voie choisie, notre société va connaître dans les décennies qui viennent des bouleversements dont il est impossible de prédire l'issue.

  • Soit nous aurons une concertation positive de toutes les bonnes volontés. Nous assisterons alors à une période de sacrifices car les problèmes sont déjà si grands que pour les résoudre, il sera nécessaire d'établir des priorités qui provoquerons des restrictions dans certains domaines. Cependant, après cette période, nous assisterons à l'avénement de l'âge d'or de l'humanité, car la technologie sera mise au service de touTEs et de chacunE.
  • Soit nous continuons la course au chaos qu'est la course à la richesse individuelle, et au fur et à mesure que nos ressources naturelles se feront rares, nous verrons des pans entiers de l'économie mondiale s'effondrer. Il sera alors bien difficile de maîtriser les réactions que cet effondrement provoquera. Nous nous retrouverons vraisemblablement dans une situation au niveau mondiale semblable à celle que traversait l'Espagne du vivant de Francisco Goya, à savoir des famines généralisées, des épidémies incontrolées et des guerres civiles.
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[modifier] Origines du problème

Notre civilisation occidentale, matérialiste, impérialiste et capitaliste, doit sont idéologie à une longue évolution de la "philosophie" grecque. Platon en jeta le dogme de base avec la notion d'opposition de l'ordre et du chaos, croyance qui allait servir de base à l'idéologie athénienne et à la seule véritable civilisation, la grecque (l'ordre), qui allait mépriser toutes les autres (le désordre) et se lancer à leur conquête. Ainsi, à son apogée, ce que certains considèrent comme une démocratie, comptait environ 6 esclaves pour chaque citoyen libre. En bon français, une telle société s'appelle une olygarchie esclavagiste, et elle n'avait rien de commun avec les sociétés qui la précédèrent. | Friedrich Engels, L'origine de la famille, de la propriété privée et de l'État (1884)

Ce dogme fut repris et transformé 3 siècles plus tard dans la bible où il devint la croyance superstitieuse en un immuable conflit du bien et du mal. Ce dogme religieux allait donner naissance à trois religions qui n'ont cessé d'être en conflit: le Judaïsme et son seul véritable peuple (le bien) qui exclut tous les autres (le mal), le Christianisme et son seul véritable dieu (le bien) qui exclut tous les autres (le mal), et l'Islam et ses seuls véritable croyants (le bien) qui exclut tous les autres (le mal).

Il n'est dés lors pas étonnant que les élites de notre civilisation, héritières et principales bénéficiaires de ces dogmes, s'engagent aujourd'hui corps et âme dans la croisade de la globalisation néolibérale, dont le principal enjeux -- mis à part l'enrichissement des riches et son corollaire, la globalisation de la misère -- est la globalisation de l'idéologie capitaliste à tous les secteurs de notre vie et sous toutes les latitudes, La seule universalité de cette globalisation là est son rejet universel de toutes autre forme de pensée.

Vous l'avez compris, je ne suis pas un partisan de la globalisation. Bien au contraire, je suis pour une démocratie participative comme elle existe à | Cuba, seul pays à ma connaissance où les élus ne sont que de simples gestionnaires des décisions prisent par la base dans les quartiers, les entreprises, etc., et où ces élus sont limogeables en tout temps par les citoyens en cas de manquement à leurs devoirs.

Venceremos! (= Nous allons gagner! en espagnol)

[modifier] Religion

Je ne dirais que deux choses:

  • La religion est une affaire personelle.
  • Le bonheur se savoure au présent, non au futur inconditionnel de l'illusoire du parfait.

[modifier] En pratique

Le problême principal est de deux ordres dans la pratique.

Si le peuple des pays pauvres a bien conscience de sa classe sociale, cette conscience n'est qu'embrionnaire chez les peuples des pays riches. Les riches eux ont conscience de leur classe sociale dans tous les pays. Voila pour la politique des pays capitalistes, laquelle ne représente que les intéréts des riches, son manque de volonté à changer la société et son incapacité à fixer des buts qui soient profitables à tous et à chacun.

Cela est aggravé par le manque de conscience politique des pauvres des pays riches. Si la classe moyenne à accéder au pouvoir et profite largement des acquis sociaux et des progrès de la technologie, cette classe moyenne n'a su faire qu'une chose au niveau politique: s'allier aux bourgeois pour mieux poursuivre sa propre exploitation. Nous voyons déjà avec la globalisation de la pensée néo-libérale où cela nous conduit: les acquis sociaux sont en recul dans tous les pays riches, et le fossé entre riches et pauvres dans ces pays ne cesse de croître.

Cela n'est qu'un prélude, car plus l'économie de ces pays va freiner avec l'augmentation prévisible du prix du pétrole, plus cette classe sociale moyenne va se paupériser. Des | études ont montré qu'un dépassement de 4% de la demande mondiale de pétrole par rapport à la production suffirait à propulser le prix du baril à plus de 160 dollars et produire une récession mondiale.

| Certains pays riches ont déjà commencé à réagir, la plupart sont incapable de dégager des priorités politiques devant ce problème urgent. De plus, il montrent tous un manque évident de volonté à décider, alors qu'il reste encore assez de pétrole pour assurer une transition en douceur et profitable à tous les pays. En effet cela signifierait de rationner le pétrole restant, au lieu de cela, ils se le disputent comme en Iraq. Leurs ardeurs guerrières sont cependant freinées par le fait que le marché du pétrole est si tendu actuellement, qu'une nouvelle expédition coloniale sur un pays producteur provoquerait un enbrasement tel des prix qu'ils y perdraient bien plus que le pétrole de ce pays.

Ils resemblent en cela à la classe moyenne occidentale. Ils préferrent continuer comme si de rien était, tout en sachant pertinament que demain sera pire.

Le deuxième problème est le désastre écologique. Les indiens d'Amérique du nord l'avait vu venir, eux qui dirent aux colons blancs puritains qui les massacraient et qui parquaient les survivants dans des camps de concentration où beaucoup moururent de faim et de maladies:

"Vous ne comprendrez que l'argent ne se mange pas que le jour où il ne restera rien d'autre!"

"Un être humain qui ne respecte pas son environnement est incapable de respecter ses prochains."

Ce désastre écologique prévu peut encore non pas être évité, mais tout au moins circoncis, et encore qu'à la condition que toute la planête se concentre rapidement sur cet objectif. Cela peut sembler utopique, mais il faut bien être réaliste: tant sur le plan politique qu'humain, nous n'avons plus le choix! Nous n'avons plus le temps de tergiverser et de continuer à nous disputer les faveurs du dieu argent.

Nos propres erreurs -- celles du passé autant que celles d'aujourd'hui -- nous ont enlevé la plus grande partie de notre capacité de choix. C'est cette capacité de choix qui fait le propre de l'être humain. Nous ne suivons pas notre instinct comme les autres animaux mais nous somme capable d'utiliser notre raison pour définir nos buts, puis toujours au présent d'utiliser notre connaissance, ou sience, pour parvenir aux buts fixés. Quand nous y sommes parvenus, nous avons forgé notre avenir car celui-ci est devenu différent de ce qu'était notre passé. Savoir cela permet de le faire consciemment et ce processus s'appelle transcendance humaine. C'est en fait la seule transcendance consciente qui existe sur cette planète. Elle n'est pas superstitieuse comme celle des religions, et elle n'est pas innée comme celle de la nature. C'est aussi la seule que nous puissions controller.

Quand aux autres formes de transcendance, celle de la nature fait que la nature cherche toujours a retrouver son équilibre, et celle des dieux n'existe pour moi que dans l'imagination de leurs disciples soumis qui remettent leur transcendance humaine dans les mains d'entités hypotétiques aux pouvoirs surnaturels et tout autant hypothétiques.

Je sais que nous ne comprenons pas tout. Je crois en l'être humain et c'est pour cela que je me refuse à déïfier ce qui rend possible la création et à le doter de pouvoirs surnaturels! La transcendance consciente est le propre de l'être humain qui a pris conscience de son êtat.

L'humanité a su vivre en paix pendant des millions d'années, et ce sur plusieurs espèces humanoïdes. "Ce n'est que récemment que certains hommes, les plus vils, se sont mis à dominer leurs semblables' (Âke Ohlmarks et Berndt Gustafsson dans Svenskarnas religion, 1974), et que, pour justifier leur forfait, ils imposèrent toutes sortes d'idéologies de domination. Après quelques millénaires de cette dérive inhumaine et tragique, nous sommes confronté à un choix très simple et urgent, car avec ou sans nous la planête cherchera toujours à retrouver son équilibre écologique:

  • Voulons nous continuer à nous soumettre à des idéologies qui conduisent l'humanité à sa perte, ou voulons nous au contraire prendre consciemment la maîtrise de notre detinée et travailler ensemble à un monde meilleur, ici et maintenant!

Comme le dire les alchimistes (ils furent massacrés par l'Eglise pour cela):

"Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, et ce qui est en bas est comme ce qui est en haut. Celui qui a compris cela a tout compris."

Ce n'est pas en courant après la pierre philosophale profane qu'est l'argent, la gloire ou d'autres chimères que nous parviendrons à réaliser que notre monde terrestre soit comme le monde céleste, mais uniquement en nous fixant cette réalisation comme but à atteindre et en travaillant à atteindre cet objectif.

Pour cela, il est nécessaire de redéfinir nos priorités, et de commencer par redéfinir le droit de l'homme qu'est le droit égoïste de s'enrichir sur le dos des autres en en devoir communautaire de l'être humain de contribuer aux conditions nécessaires au bonheur de touTEs et de chacunE.

[modifier] Articles auxquels j'ai collaboré

Cette liste ne se veut pas exaustive. De plus, si certains articles sont bien avancés, il reste encore beaucoup à faire sur d'autres.

[modifier] Salsa

Rajout de quelques références sur l'historique de cette musique.

Rajout de la section sur les caractéristiques de la salsa -- travail en cours

Rajout de quelques éléments dans des articles liés à celui-ci comme celui sur le tres. Refonte de l'article sur le clave.

[modifier] Musique et commerce

J'ai repris cet article qui n'était pas informatif. Dans sa forme actuelle, il reste beaucoup de chose à changer, voir à déplacer, car il n'est pas neutre, voir polémique, et pas vraiment exhaustif. Toute aide sera appreciée, comme sur les autres articles d'ailleur. Je compte privilégier l'avancement des "caractéristiques de la salsa" dans un premier temps, sujet plus facile qui devrait aller assez vite à traiter, ceci à moins que quelqu'un ne se décide à aider la rédaction de cet article sur la musique et le commerce. Voir l'article, sa page de discution et sa page dédiée dans les articles non neutres (liens en haut de l'article).

Cet article s'inscrit en fait dans un context plus large, celui où le commerce touche tous les aspects de notre vie, et où la culture en général n'échappe pas à cette influence commerciale.

Après une pause, j'ai rajouté de nouveaux éléments à cet article. Ces éléments concernent la mutation de la structure de l'industrie de l'enregistrement que les techniques digitales sont en train de provoquer. N'importe quel musicien disposant d'un bon ordinateur peut aujourd'hui s'enregistrer et développer son propre site internet pour se faire connaître et diffuser sa musique. Ces nouvelles technologies provoquent une crise de la musique. Nous voyons d'un côté l'émergeance de petis labels indépendants et de l'autre un repli sur soi des grandes sociétés d'édition musicale qui semblent être plus intéressées par controler les droits sur les enregistrements en se battant contre les réseaux p2p et pour faire passer de nouvelles législations sur le droit d'auteur, qu'innover et proposer elles-mêmes les petits artistes qui aujourd'hui sont diffusés par des labels indépendants.

[modifier] Musique populaire

Rajout de quelques éléments. Il reste énormément à faire sur cet article, lequel est de plus est un sujet important car il est intimement lié avec l' histoire de la musique..

[modifier] Triode

Rajout du chapitre sur les caractéristiques et de quelques liens.

[modifier] Geda

Rajout de quelques précisions.

[modifier] Digital signal processor

Traduction de la partie de l'article anglais sur les caractéristiques des DSP ainsi que quelques précisions. Rajout de généralités sur le traitement numérique de signal + quelques liens.

[modifier] Uranium appauvri

Rajout de quelques éléments.

[modifier] Demudi Linux

Rajout de pas mal de choses.

[modifier] Vandalisme

Ajout des vandalisations quand j'en constate.