Danielle Collobert

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Écrivain français, journaliste, née à Rostrenen le 23 juillet 1940, s'est suicidée à Paris le 23 juillet 1978.

Sa mère, institutrice, étant nommée dans un village voisin, elle vit chez ses grands-parents, où sa mère et sa tante reviennent dès qu’elles le peuvent. Toutes deux entrent dans la Résistance.

Elle écrit des textes en prose et des poèmes.

En 1961, ayant abandonné ses études, puis renoncé à l’École normale où elle venait d’être reçue, elle travaille à la galerie Hautefeuille et y écrit Totem, ainsi que plusieurs textes de Meurtre. En avril, elle publie Chant des guerres chez Pierre-Jean Oswald (quelques années plus tard, elle détruira le tirage de ce premier livre).

Elle s’engage dans un réseau de soutien au FLN et doit se réfugier en Italie puis collabore à Révolution africaine.

En mai 1968, elle adhère à l’Union des écrivains.

[modifier] Bibliographie

  • Chants des guerres, Éditions P.-J. Oswald, 1961 (puis Éditions Calligrammes, Quimper, 1999).
  • Meurtre, Gallimard (Lagny-sur-Marne, impr. É. Grevin et fils), [Paris,], 1964.
  • Des nuits sur les hauteurs, Éditions Denoel (préface d'Italo Calvino)
  • Dire : I-II :+un-deux+, Paris, Seghers : Laffont, 1972, 27-Mesnil-sur-l'Estrée, impr. Firmin-Didot, 192 p., collection Change, série rouge.
  • Il donc, Laffont, Paris, 1976.
  • Survie, Éditions Orange Export Ltd, 1978.

[modifier] Références externes

L'hommage de Remue.net à D. Collobert

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