Cathédrale Notre-Dame de Chartres

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48° 26′ 50″ N 1° 29′ 15″ E / 48.44722, 1.487417

Pour les articles homonymes, voir Cathédrale Notre-Dame et Notre-Dame.


Cathédrale
Notre-Dame de Chartres
Ville Chartres
Pays France France
Région Région Centre Centre
Département Eure-et-Loir
Culte Catholique romain
Type Cathédrale
Rattaché à Évêché de Chartres (siège)
Début de la
construction
1145 (cathédrale romane)
1194 (cathédrale gothique)
Fin des travaux 1220
Style(s)
dominant(s)
Roman
Gothique
Classé(e) Monument historique (1862)
Patrimoine mondial (1979)
La cathédrale de nuit.
La cathédrale de nuit.

La cathédrale Notre-Dame de Chartres, en France, est le monument le plus célèbre de Chartres, préfecture du département d'Eure-et-Loir, située à 80 kilomètres au sud-ouest de Paris. Elle est considérée comme un des plus parfaits édifices gothiques.

L'actuelle cathédrale, de style gothique dit lancéolé, a été construite au début du XIIIe siècle, pour la majeure partie en 30 ans, sur les ruines d'une précédente cathédrale romane, détruite lors d'un incendie en 1194.

Grand lieu de pèlerinage, cette cathédrale et ses tours dominent la ville de Chartres et la plaine de la Beauce alentour. Elles s'aperçoivent à plusieurs dizaines de kilomètres de distance. La cathédrale a été le premier monument classé au patrimoine mondial par l'UNESCO en 1979.

Sommaire

[modifier] Histoire

[modifier] Les édifices précédents

Il semble qu'une ancienne grotte druidique ait servi de sanctuaire aux premiers chrétiens à l'époque romaine. Mais cette hypothèse n'est pas confirmée.
Au IVe siècle — vers 350 — eut lieu la construction de la première cathédrale appelée cathédrale d'Aventin. Celui-ci est le premier évêque de la ville de Chartres. Elle fut édifiée aux pieds des murs gallo-romains qui entouraient la ville. Cette première cathédrale fut incendiée en 743 ou 753 par les troupes de Wisigoths du duc d'Aquitaine Hunald, lors du sac de la ville. Un deuxième sanctuaire fut alors construit.

Le 12 juin 858, cette deuxième cathédrale fut détruite par les pirates Vikings. L'évêque Gislebert reconstruisit un édifice plus grand. De ce dernier, il subsiste actuellement le martyrium, appelé chapelle Saint-Lubin.

En 876, le roi Charles le Chauve, petit-fils de Charlemagne fit don à la cathédrale de la sainte relique connue sous le nom de "Voile de La Vierge" ou "Sainte Tunique").

Le 5 août 962 cette troisième cathédrale fut à son tour incendiée pendant la guerre qui opposa Richard Ier, duc de Normandie, au comte de Chartres, Thibault le Tricheur. Un quatrième édifice lui succéda.

Les 7 et 8 septembre 1020, ce quatrième édifice fut à son tour accidentellement ravagé par le feu. L'évêque Fulbert releva l'église de ses ruines, en style roman. En 1020, on construisit la crypte que nous connaissons actuellement. La construction de cette dernière dura de 1020 à 1024.
La dédicace de cette cinquième cathédrale eut lieu le 17 octobre 1037. L'évêque Fulbert était décédé en 1029.

[modifier] Construction de la cathédrale actuelle

Le 5 septembre 1134, la ville de Chartres fut presqu'entièrement détruite par un incendie. Mais la cathédrale romane de Fulbert fut épargnée. De 1134 à 1155, on éleva la façade occidentale que nous connaissons toujours aujourd'hui, et peu après, on commença la tour nord. De 1142 à 1150 eut lieu le montage du portail royal et de ses sculpures.
En 1145, on commença la tour sud (appelée actuellement clocher "vieux"), dont la construction s'acheva, avec sa flèche, avant 1170.
La tour nord (appelée clocher "neuf") fut terminée vers 1150. mais elle ne comportait que 2 étages et était couverte en plomb.

Le 11 juin 1194 eut lieu un nouvel incendie qui n'épargna que les cryptes, la façade occidentale et les tours. Le Voile de la Vierge avait été mis à l'abri dans la crypte dite "chapelle de Saint Lubin". La tour sud était terminée, mais la tour nord n'atteignait que 41 mètres environ. Aucune des deux ne souffrit du feu. En réchappèrent aussi la façade ouest au complet et le vitrail "Notre-Dame de la belle verrière".

La reconstruction de l'édifice sous la forme que nous connaissons actuellement débuta immédiatement. Son architecte est inconnu. A l'exception de la façade occidentale et de la crypte, tout fut reconstruit.

En 1240, les vitraux étaient déjà réalisés. Et la consécration solennelle eut lieu en 1260.


[modifier] Le sacre d'Henri IV

Henri IV fut le seul roi de France sacré dans cette cathédrale et non pas à Reims selon la tradition.
Paris était en effet tenu par les catholiques, qui opposaient leur résistance au roi à cause de sa religion protestante. C'est à cette occasion que le monarque aurait prononcé la phrase célèbre : « Paris vaut bien une messe ». Il se convertit et fut sacré roi de France ; dès lors, les catholiques s'y rendirent progressivement.

[modifier] Les fraternités de compagnons bâtisseurs

La cathédrale a été construite par des ouvriers spécialisés, appelés compagnons, réunis en confréries ou fraternités. À cette période, il existait trois fraternités : les Enfants du Père Soubise, les enfants de Maître Jacques, et les Enfants de Salomon liés à l'Ordre du Temple.

Ces derniers ont laissé sur les pierres ou les poutres, quelques signes gravés qui sont leurs signatures.

Les tracés directeurs, de facture duodécimale, de la construction de son plan ont été directement exécutés grâce à la corde à treize nœuds, un des outils des compagnons bâtisseurs.

On peut y voir plusieurs symboles inhabituels tels que les signes du zodiaque.

[modifier] Quelques chiffres

Plan réalisé par Eugène Viollet-le-Duc
Plan réalisé par Eugène Viollet-le-Duc

Source : [1] et [2]

Dimensions principales
  • longueur intérieure : 130 m
  • hauteur sous voûte : 37,50 m
  • hauteur du sol au faîte de la toiture : 51 m
  • hauteur du clocher vieux : 105 m
  • hauteur du clocher neuf : 115 m
  • longueur intérieure totale : 130 m
    • dont longueur de l’avant nef : 17 m
    • longueur de la nef : 44 m
    • croisée du transept : 14 m
    • longueur du chœur : 37 m
    • déambulatoire et chapelle axiale : 18 m
  • largeur du vaisseau central de la nef : 16,40 m (contre 12 m pour Notre-Dame de Paris)
  • largeur de la nef avec les bas-côtés : 33 m
  • largeur intérieure du transept de trumeau à trumeau: 63,4 m
  • largeur du chœur avec les bas-côtés : 47 m
  • largeur de la façade ouest : 48 m
    • dont le Portail Royal : 15 m
  • largeur de chacune des façades nord ou sud : 40 m
Détails complémentaires 
  • La clôture du chœur comporte 200 statues
  • La grande rosace avec ses 13,36 mètres de diamètre, est une des plus grandes du monde (Les deux rosaces du transept de Notre-Dame de Paris ont un diamètre de 13,1 mètre).
  • Notre-Dame de Chartres possède 4.500 statues et bas reliefs (dont 176 représentations de la Vierge).
  • Pas moins de 10.000 personnages y sont représentés, en comptant les vitraux.
  • On compte 9 portails sculptés (ce qui est unique en Europe).
  • Avec ses 650 m², le chœur est le plus vaste de France.
  • Le transept de 63,4 m est aussi le plus long de France.
  • La crypte romane est la plus vaste de France.
  • On compte 176 verrières.
  • La surface totale de vitraux est de 2.600 m²
  • La cathédrale possède la plus importante surface au monde de vitraux des XIIe et XIIIe siècles.
  • Elle est nommée par certains la chartreuse, étant donnée sa localisation.

[modifier] L'extérieur de la cathédrale

[modifier] Les tours

On reconnaît facilement la cathédrale Notre-Dame de Chartres du fait de la grande différence entre ses deux tours : la tour nord a une base de type gothique ancien (avec contrefort et peu d'ouverture), surmontée d'une flèche flamboyante plus tardive (datée du XVe siècle) ; en revanche, la tour sud, dotée d'une base typiquement gothique, est surmontée d'une flèche très simple.

[modifier] La façade occidentale

[modifier] Le portail royal

Détail du portail royal
Détail du portail royal

La façade occidentale constitue la porte d'entrée principale de l'édifice religieux. Encadrée par deux tours, elle présente un programme sculpté important : 24 grandes statues (il en reste 19 aujourd'hui) et plus de 300 figures forment un décor en harmonie avec l'architecture de la cathédrale[3]. Le décor derrière les statues représente les derniers feux du style roman : entrelacs, colonnettes, feuilles d'acanthe témoignent des influences méridionales.

[modifier] Portail nord

Tympan du couronnement de la Vierge, porche nord
Tympan du couronnement de la Vierge, porche nord

Le porche nord est aussi appelé "portail de l'Alliance". Ses statues ont été exécutées entre 1205 et 1210[4]. Elles représentent des scènes de l'Ancien Testament et de la vie de la vierge Marie. Les voussures de la baie centrale évoquent les épisodes de la Genèse. La baie de droite reprend le thème des travaux et des jours, ainsi que des arts libéraux.

[modifier] Portail sud

Appelé aussi "portail de l'Église", il met en scène le Jugement Dernier (tympan central). Sont également figurés les confesseurs (portail de droite), les apôtres et les martyrs (portail gauche).

[modifier] L'intérieur

[modifier] Les vitraux

La cathédrale de Chartres possède le plus important ensemble vitré du XIIIe siècle, remarquablement préservé jusqu'à ce jour (notamment ses bleus inimitables). Il y a le nombre remarquable de 176 vitraux (petites roses comprises), sur une surface de 2 600 m². Pour la plupart, ils représentent des saints et saintes ou des personnages de la Bible : (Noé, Joseph, le Bon Samaritain, le Fils Prodigue...) mais aussi de la Légende dorée de Jacques de Voragine (dominicain italien du XIIIe siècle).

[modifier] Le labyrinthe

Labyrinthe de la cathédrale de Chartres
Labyrinthe de la cathédrale de Chartres

Le labyrinthe de Chartres, œuvre du XIIe siècle, est une figure géométrique circulaire inscrite dans toute la largeur du pavage de la nef principale, entre les troisième et quatrième travées. Elle représente un tracé continu déployé de 261,55 m, partant de l'extérieur et aboutissant au centre, en une succession de tournants et d'arcs de cercles concentriques. Une de ses particularités est que, partant du centre ou de l'extérieur, le chemin parcouru présente exactement le même enchaînement de tournants et d'arcs de cercle.

Le labyrinthe serait un chemin symbolique qui mènerait l'homme de la terre à Dieu ; un chemin où l'homme irait à la rencontre de Dieu. Le centre de cette grande figure symbolise la Cité de Dieu. La démarche du labyrinthe ne consiste pas seulement à aller jusqu'au centre mais à en repartir. Le pèlerin est invité à emprunter la ligne tracée face à lui pour monter vers le chœur de la cathédrale, vers l'orient, vers la lumière (il évite aussi un voyage, souvent dangereux, sur les lieux saints).

C'est un lieu réputé en géobiologie (radiesthésie).

[modifier] La clôture du chœur

Une scène de la clôture du chœur: la flagellation de Jésus
Une scène de la clôture du chœur: la flagellation de Jésus

La clôture du chœur est un mur de clôture entourant le chœur, destiné à mieux isoler ce dernier du déambulatoire. Entièrement sculptée (40 groupes, 200 statues au total), c'est partiellement l'œuvre de Jehan de Beauce qui initia les travaux au début du XVIe siècle. Le programme iconographique est de style Renaissance et évoque les épisodes de la vie de Jésus et de la Vierge Marie.

[modifier] La vierge au pilier

Cette vierge en bois de poirier date d'environ 1540, elle était autrefois adossée au jubé qui a été détruit au XVIIIe siècle.

[modifier] Le voile de la Vierge

Il s'agit d'une relique très importante qui fut offerte en 876 à la cathédrale par Charles le Chauve, empereur d'Occident. Ce voile, selon la tradition, est la chemise que portait Marie lors de l'Annonciation, au moment ou le Verbe fut conçu. Cette relique importante drainait de nombreux pèlerins. Lors de l'incendie de l'ancienne église, en 1194, on crut que la relique était perdue mais on la retrouva intacte : cela fut interprété comme le fait que la vierge Marie désirait une plus grande église pour sa relique, et explique peut-être l'enthousiasme et la rapidité avec laquelle la nouvelle cathédrale fut bâtie.

La relique était enchâssée dans une châsse de grande valeur, mais les joyaux furent vendus à la révolution. De même le voile fut découpé en plusieurs morceaux, qui furent vendus. Une expertise du tissu a confirmé sa datation, qui remonte bien à la haute antiquité. Il n'est d'ailleurs pas douteux que la vierge Marie, qui descendait de la famille royale de David et de Salomon par ses deux parents, sainte Anne (tribu d'Aaron) et saint Joachim (tribu de Juda), ait porté un vêtement de soie d'une telle valeur. Le voile est toujours exposé dans le déambulatoire, du côté nord, dans une des chapelles absidales.

Notre-Dame de Chartres reste un lieu de pèlerinage important à l'heure actuelle, principalement grâce à l'engouement pour la route de Saint-Jacques-de-Compostelle, dont Chartres est une étape pour les pèlerins qui viennent du Nord par la route de Paris.

[modifier] La crypte

La cathédrale actuelle résulte de 7 constructions de différentes époques, elles-mêmes reposant sur un lieu de culte druidique du pays des Carnutes. Les cathédrales ont souvent été superposées, servant chacune de fondations à celle qui a succédé. Les parties qui n'ont pas été remblayées forment deux cryptes concentriques qu'il est possible de visiter. Elle permet d'avoir un aperçu des fondations et de fresques du XIIe siècle, ainsi que du puits qui date des premières constructions. On peut y voir également une statue de "vierge à l'enfant" noire, réplique d'une statue médiévale, l'originale ayant été perdue dans un incendie.

[modifier] La crypte intérieure

Les premiers chrétiens auraient édifié du IVe au XIe siècle des sanctuaires successivement dévastés par les flammes et/ou persécutions religieuses. Un vestige de muraille, généralement attribué à l'époque gallo-romaine, rappelle la première église, mais il ne subsiste rien de celle du VIe siècle, pas plus que de celle détruite en 858 par les Normands. Par contre la crypte de l'église carolingienne édifiée par Gislebertus au IXe siècle existe toujours. Elle porte le nom de caveau Saint-Lubin et se situe sous le chœur de la cathédrale actuelle, juste sous le maître-autel.

[modifier] La crypte extérieure

La deuxième, appelée crypte Saint-Fulbert, qui enveloppe ce caveau, part d'un clocher et fait le tour de l'édifice. Datant du XIe siècle, avec ses 230 mètres de long sur 5 à 6 mètres de large, elle est la plus grande crypte de France. En partant de l'extrémité de la galerie nord, on arrive à la chapelle de Notre-Dame Sous-Terre, vraisemblablement le plus ancien sanctuaire marial du monde, où on peut contempler une reproduction récente de la statue de l'antique Madone, le modèle original ayant été brûlé par les révolutionnaires en 1793. Elle mêle sans doute l'image d'une divinité féminine remontant au temps des druides, au culte marial.

La galerie devient semi-circulaire sous le chevet et s'ouvre sur trois chapelles romanes profondes, encadrées par quatre plus petites chapelles gothiques du XIIIe siècle. C'est là que se trouve le puits dit des Saints-Forts (33 m de profondeur), érigé sur une base gallo-romaine carrée, dont l'eau passait au Moyen Âge pour posséder des vertus miraculeuses.

Dans la galerie sud, on peut admirer une fresque du XIIe siècle comprenant la représentation, pense-t'on, de la cathédrale romane de l'époque.

[modifier] Les principaux pèlerinages

La cathédrale Notre-Dame de Chartres est, depuis son édification, un haut lieu de pèlerinage pour les catholiques français - ce qui explique notamment l'ampleur du déambulatoire, permettant la circulation des fidèles autour du chœur. Au cours du XXe siècle, les pèlerinages à Chartres ont connu un nouvel élan, à la suite de l'écrivain Charles Péguy qui se rendit à pied de Paris à Chartres en 1912, accomplissant un vœu fait au chevet de son fils malade. Après la mort de Péguy en 1914, certains de ses amis refirent la route en méditant ses poèmes, initiant un vaste mouvement de pèlerinages à Chartres, parmi lesquels :

À la Pentecôte, il y a un pèlerinage de la Fraternité sacerdotale Saint Pie X (FSSPX) qui effectue le parcours en sens inverse, de Chartres à Montmartre mais qui n'a pas encore obtenu l'autorisation de célébrer la messe ni dans la Cathédrale de Chartres, ni dans la Basilique du Sacré Cœur de Montmartre.

Chartres est également une étape importante pour les pèlerins qui viennent du nord de l'Europe et qui font route vers Saint-Jacques-de-Compostelle, en empruntant la route de Paris à Tours.

[modifier] Vue du ciel

[modifier] Photos

[modifier] La cathédrale de Chartres et les arts

Cathédrale de Chartres1830 (64 × 51 cm)Musée du Louvre (Paris)
Cathédrale de Chartres
1830 (64 × 51 cm)
Musée du Louvre (Paris)

[modifier] Représentations picturales

Plusieurs peintres ont représenté la cathédrale dans leurs œuvres. L'un des tableaux les plus connus est celui de Jean-Baptiste Camille Corot, peint en 1830 (Musée du Louvre, Paris). Chaïm Soutine a repris le même thème en 1933 (Musée d'art moderne, Troyes).

[modifier] La cathédrale de Chartres dans le roman

Joris-Karl Huysmans a publié en 1898 un roman intitulé La Cathédrale où il s'initie à la symbolique médiévale et catholique à Chartres. Ce roman connut un certain écho à l'époque.

[modifier] Notes et références

  1. Cathédrale de Chartres - Plan et dimensions de la cathédrale
  2. Site Skynet - La cathédrale de Chartres
  3. Louis Gillet, Histoire de l'Art français, tome 1 : des origines à Clouet, Paris, Zodiaque, 1977, page 220
  4. Georges Duby, Le Moyen Âge, Paris, Seuil, 1995, page 294

[modifier] Annexes

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens externes

[modifier] Bibliographie

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Cathédrale Notre-Dame de Chartres.

  • Louis Charpentier : Les mystères de la cathédrale de Chartres.
  • Y. Delaporte, Les trois Notre-Dame de la cathédrale de Chartres, É. Houvet, Chartres, 1955.
  • André Trintignac : Découvrir Notre-Dame de Chartres : Guide complet de la cathédrale. Cerf 1988. (ISBN 2204029173)

[modifier] Filmographie

  • 60 ans au service de la cathédrale de Chartres, documentaire sur la cathédrale de Chartres réalisé par Tzarine Films (2006)