Discuter:Athéna

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le texte de l'article est la copie conforme de

http://www.ai.univ-paris8.fr/corpus/lurcat/dara/athena.htm

-- AlNo 4 mai 2004 à 22:17 (CEST)

Merci à Jastrow pour avoir réécrit l'article et résolu le pb... :)
-- AlNo 7 mai 2004 à 10:51 (CEST)

Sommaire

[modifier] Importance de l'article

Je propose que l'importance de l'article soit portée à "maximum" car il me semble qu'il correspond à un "sujet est très important au niveau universel ; il est traité par toutes les encyclopédies imprimées." pour des raisons pratiques, je le passe immédiatement en "maximum", si vous n'êtes pas d'accord vous pouvez (et devez) le replacer dans sa catégorie initiale en argumentant un minimum ci-dessous. Cordialement, Raziel {boudoir} 7 juin 2007 à 22:21 (CEST)


[modifier] PETITE REMARQUE

celui ou celle qui a parlé d'Athéna parthéna, merci de vériifer dan sun dictionnaire grec avant d'inventer des formes QUI N'ONT JAMAIS EXISTE

--philipposhelios 7 décembre 2007 à 23:30 (CET)

[modifier] UNE AUTRE PETITE REMARQUE

le nom de pallas athena n'est pas a cause que elle tua un géant, mais elle tua sa meilleur amie de l'infence en jouant a la guerre (verifié au diccionaire de mytologie greque Pierre Grimal).

un ptit catalan de 11 ans 29 avril 2008

[modifier] Déplacé de Minerve (mythologie)

Ci dessous le texte que je vais supprimer de l'article Minerve (mythologie) et qui ne parle en fait que de la déesse grecque. Beaucoup de choses sont déjà dans l'article actuel, mais il y a peut être des passages à récupérer. Mica 26 janvier 2008 à 15:46 (CET)


Un des traits les plus fameux de l'histoire de Minerve (Athéna chez les Grecs) est son différend avec Neptune (Poséidon) pour donner son nom à la ville d'Athènes. Les douze grands dieux, choisis pour arbitres, décidèrent que celui des deux qui produirait la chose la plus utile à la ville lui donnerait son nom. Neptune, d'un coup de trident, fit sortir de terre un cheval, Minerve en fit sortir un olivier, ce qui lui assura la victoire (selon une version différente, Poséidon fit jaillir de l'eau, mais de l'eau de mer, qui, salée, n'intéressait pas les hommes; c'est pour cette raison que la victoire revint à Athéna).

Dans la guerre de Troie, elle s'est montrée favorable aux Achéens après que Pâris l'eut humiliée en préférant la beauté de Vénus à celles de Minerve et de Junon.

La chaste Minerve resta vierge ; cependant, elle ne craignit pas de disputer le prix de la beauté à Junon et à Vénus. Afin de l'emporter sur ses rivales, elle offrit à leur juge, Pâris, le savoir et la vertu. Ses offres furent vaines, et elle en conçut un grand dépit.

L'égide - le bouclier orné d'un masque de Gorgone -, l'olivier et la lance. Jupiter a préféré, non sans parti pris, le rameau d'olivier de Minerve aux chevaux de Neptune.

C'est la déesse de la sagesse, des arts, des techniques de guerres, des sciences, elle est la protectrice de Rome et la patronne des artisans.

Cette déesse était la fille privilégiée du maître de l'Olympe ; il lui avait accordé plusieurs de ses prérogatives suprêmes. Elle donnait l'esprit de prophétie, prolongeait à son gré les jours des mortels, procurait le bonheur après la mort ; tout ce qu'elle autorisait d'un signe de tête était irrévocable ; tout ce qu'elle promettait arrivait infailliblement. Tantôt elle conduit Ulysse dans ses voyages, tantôt elle daigne enseigner aux filles de Pandore l'art d'exceller dans les travaux qui conviennent aux femmes, à représenter des fleurs et des combats dans des ouvrages de tapisserie. C'est elle encore qui embellit de ses mains le manteau de Junon. Enfin c'est elle qui fait construire le vaisseau des Argonautes d'après son dessin, et qui place à la proue le bois parlant, coupé dans la forêt de Dodone, lequel dirigeait leur route, les avertissait des dangers, et leur indiquait les moyens de les éviter. Sous ce langage figuré, il est aisé de reconnaître le gouvernail du vaisseau.

Beaucoup de villes se mirent sous la protection de Minerve, mais la ville entre toutes favorisée par la déesse fut Athènes, à laquelle elle avait donné son nom. Là, son culte était en honneur : elle y avait ses autels, ses plus belles statues, ses fêtes solennelles, et surtout un temple d'une remarquable architecture, le temple de la Vierge, le Parthénon. Ce temple, reconstruit sous Périclès, avait cent pieds en tous sens. La statue, d'or et d'ivoire, haute de trente-neuf pieds, était l'œuvre de Phidias.

Aux Panathénées, fêtes solennelles de Minerve, tous les peuples de l'Attique accouraient à Athènes. Ces fêtes, à l'origine, ne duraient qu'un jour, mais ensuite leur durée se prolongea. On distinguait les grandes et les petites Panathénées ; les grandes se célébraient tous les quatre ans, et les petites tous les ans. À ces fêtes, se disputaient trois sortes de prix, ceux de la course, de la lutte et de la poésie ou de la musique. Aux grandes Panathénées, on promenait dans Athènes un navire orné du péplum, ou voile de Minerve, chef-d'œuvre de broderie exécuté par les dames athéniennes.

Dans ses statues et ses images, on lui donne une beauté simple, négligée, modeste, un air grave, empreint de noblesse, de force et de majesté. Elle a ordinairement le casque en tête, une pique d’une main, un bouclier de l'autre, et l'égide sur la poitrine. Le plus souvent la déesse est assise ; mais, quand elle est debout, elle a toujours, avec l'attitude résolue d'une guerrière, l'air méditatif et le regard porté vers de hautes conceptions.

Les animaux consacrés à Minerve étaient la chouette . On lui sacrifiait de grandes victimes ; ainsi, aux grandes Panathénées, chaque tribu de l'Attique lui immolait un bœuf, dont la chair était ensuite distribuée au peuple par les sacrificateurs.