Alès

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Alès
Carte de localisation de Alès
Pays France France
Région Languedoc-Roussillon
Département Gard (Sous-préfecture)
Arrondissement Alès
Canton Chef-lieu de 3 cantons
Code Insee 30007
Code postal 30100
Maire
Mandat en cours
Max Roustan
2008-2014
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Alès
Latitude
Longitude
44° 07′ 41″ Nord
         4° 04′ 54″ Est
/ 44.1280555556, 4.08166666667
Altitude 116 m (mini) – 356 m (maxi)
Superficie 23,16 km²
Population sans
doubles comptes
41 054 hab.
(2004)
Densité 1700 hab./km²

Alès est une commune française située dans le département du Gard et la région Languedoc-Roussillon. Alès est considérée comme la « capitale » des Cévennes.

Les habitants d'Alès sont appelés les Alésiens.

En 1926, l'orthographe du nom de la ville, fixée au XVIIe siècle, est rétablie. Sous l'impulsion du professeur Artigues Alais redevient donc Alès. À la fin des années 1980, la municipalité décida de renommer la ville Alès-en-Cévennes afin de bénéficier de des retombées d'images positives liées aux Cévennes.

Sommaire

[modifier] Géographie

Panorama sur la ville depuis la colline de l'ermitage
Panorama sur la ville depuis la colline de l'ermitage
Un aperçu du "crassier" de Rochebelle après sa combustion
Un aperçu du "crassier" de Rochebelle après sa combustion

La ville d'Alès est édifiée dans une boucle du Gardon dans la plaine, au pied des Cévennes. La cité cévenole constitue une bonne base de départ pour la découverte des Cévennes. La ville subit une extension géographique vers le sud. La géographie locale associée au comportement parfois violent du climat (épisode cévenol) et à l'urbanisation rapide rendent la ville particulièrement sensible aux risques d'inondations, comme ce fut le cas en 1951 et le 9 septembre 2002.

Au nord-ouest de la ville, aux portes des habitations, s'élève le mont Ricateau (du nom d'un ancien directeur des houillères locales), crassier de l'ancien site minier de Rochebelle. Depuis un incendie de forêt (24 juillet 2004), ce terril est entré en combustion souterraine.


[modifier] Histoire

[modifier] Époque gallo-romaine

Sur la colline de l'Ermitage ont été découverts des vestiges d'habitats gaulois du Ie siècle av. J.-C[1]. Certaines dénominations de quartiers, comme Larnac ou Croupilhac, témoignent de l'existence d'exploitations agricoles à l'époque gallo-romaine[réf. nécessaire].

[modifier] Moyen-Âge

Alès était une cité sur la voie Régordane entre Le Puy et Saint-Gilles.

[modifier] XVIIe et XVIIIe siècle

En 1629, Louis XIII assiégea la ville, alors haut-lieu de la résistance protestante, qui capitula après neuf jours. Le dimanche 17 juin 1629 au matin, Alès se rend, les quelque 2300 hommes présents en ses murs ne purent rien devant l'armée du roi. Louis XIII fait son entrée à la tête de ses troupes par la porte de la Roque, accompagné par Richelieu en habit militaire. Les huguenots furent autorisés par le roi à partir pour Anduze avec la promesse expresse de ne plus porter les armes contre le roi. Le 28 juin 1629, Richelieu accorda aux protestants la paix d'Alès ou l'Édit de grâce. Cet édit qui leur retirait les places fortes mais leur confirmait les garanties religieuses de l'édit de Nantes a été signé par Richelieu au camp de Lédignan. On dit que Louis XIII logea à l'auberge du Coq Hardi, dans la Grand'Rue. Cette rue, aujourd'hui disparue comme tout le quartier, se situait au bas de l'actuelle rue Jules-Cazot. On peut voir le blason au restaurant du Coq Hardi, rue Mandajors.

Un fort de type Vauban fut bâti après la révocation de l'édit de Nantes sur un point haut de la vieille ville, à l'emplacement des anciens châteaux des seigneurs afin d'y installer une garnison au milieu de la zone tenue par les protestants. Il a abrité un temps une maison d'arrêt. Dans les premières années du XVIIIe siècle éclata la révolte populaire dite "des Camisards". En 1694, a été créé, sur ordre de Louis XIV, l'évêché d'Alès, dont les titulaires les plus actifs furent Mgr Charles de Banne d'Avéjan et Mgr Jean-Louis de Buisson de Beauteville. Le dernier évêque, Mgr Louis-François de Beausset, abandonna son poste pendant la Révolution et l'évêché fut supprimé peu après, en 1790.

[modifier] Époque industrielle

[modifier] Industrie liée à la houille

Le charbon de terre est exploité depuis au moins le XIIIe siècle. La pénurie de bois qui survient au XVIIIe siècle stimule son exploitation. Le charbon est utilisé pour la production de chaux qui nécessite la cuisson de roche calcaire. Le charbon permet aussi de produire de l'acier. Ces exploitations étaient alors artisanales et indépendantes.

En 1773, l'entrepreneur Pierre-Francois Tubeuf obtient la concession exclusive des mines dans toute la région des Basses-Cévennes. Il fait creuser de nouveaux puits plus profonds et plus sophistiqués: systèmes de ventilation et de drainage. En 1788 par l'abbé Bérard créée la verrerie de Rochebelle . Tubeuf rentre en conflit avec les proprétaires terriens, et finalement, il est chassé en 1786. La concession dite de Rochebelle et Cendras est toutefois renouvelée à sa veuve et ses enfants en 1802.

1828 : cession à Bérard pour sa société d'exploration de mines qui est en train de créer les forges et fonderies de Tamaris, puis création de la société civile de Rochebelle et Trélys.

1834 : absorption par la Cie des Fonderies et Forges d'Alais qui exploite principalement pour l' usage de ses usines.

À partir du milieu du XIXe siècle et jusqu'au milieu du XXe, l'histoire de la ville est intimement liée à l'extraction du charbon. Elle va devenir un important centre industriel de la région surtout à partir de 1840, date à laquelle Alès est relié par la ligne de chemin de fer Beaucaire-La Grand-Combe (une des premières en France) grâce à Paulin Talabot. D'autres lignes furent ensuite créées pour transporter le charbon, notamment la ligne Alès-Bessèges. La ville d'Alès est alors le pôle principal du bassin houiller des Cévennes.

Le 22 septembre 1843, une ordonnance royale institua à Alès une école pratique destinée à former des maîtres-ouvriers-mineurs. Ce n'est qu'en novembre 1845 que la première promotion fut installée dans les locaux du collège d'Alès. Cet établissement est aujourd'hui une école d'ingénieurs réputée, l'école des Mines d'Alès EMA.

1873 : modification du nom en Cie des Mines, Fonderies et Forges d'Alais.

1878 : séparation difficile des activités et création avec des capitaux lyonnais de la S.A. des Houillères de Rochebelle qui renouvelle les installations, creuse de nouveaux puits etc. Nationalisation en 1946 au sein des Houillères du Bassin des Cévennes (secteur sud) . Concentration progressive sur le siège modernisé de Fontanes Destival. Fermeture en 1984.

Le site de Rochebelle, dans la commune, sur la rive droite du Gardon, a cessé son activité en 1968.

[modifier] Production de soie

En juin 1865, Jean-Baptiste Dumas fait appel à son ancien élève, Louis Pasteur pour venir étudier une maladie inconnue qui décime les élevages de vers à soie. Louis Pasteur arrive à Alès le 7 juin 1865 et s'installe au domaine de Pont de Gisquet sur la route qui mène à Saint-Jean-du-Pin. Il y restera 5 mois. Après quatre années de recherche, il découvre comment identifier les papillons malades et permet ainsi leur éradication avant que tout l'élevage ne soit infesté. Il sauve ainsi en partie l'industrie de la soie dans les Cévennes. Mais elle déclinera à cause de la concurrence asiatique.

[modifier] Une difficile reconversion

Dans le cadre de la reconversion du bassin minier gardois, la manufacture française de piano (MFP) s'installa en 1973 à Alès . Elle a fabriqué des instruments sous la marque Rameau, Gaveau, Erard, puis Pleyel en 1997. En 2007, Pleyel a définitivement fermé son implantation alésienne (43 salariés).

[modifier] Aménagement de la ville

Au cours des années 1950-1960, une grande partie du centre historique d'Alès, situé à l'ouest de la Cathédrale, certes particulièrement insalubre et délabré (les programmes de réhabilitations des quartiers historiques en étaient à leurs balbutiements ), fut entièrement rasé pour laisser place à une architecture typique des "grands ensembles" des années 1960 de type ZUP. Cette opération d'urbanisme fut très contestée, les barres HLM ont profondément défiguré le centre-ville. La cathédrale, le temple ainsi que le Fort se retrouvent ainsi au milieu des barres HLM, spectacle pour le moins insolite... L'ancien lycée J.B. Dumas, édifié à la fin du XIXe siècle sur le modèle du lycée Daudet de Nîmes et auquel on accédait par une rotonde d'angle surmontée d'une horloge fut également démoli. Son espace abrite aujourd'hui la médiathèque, à coté du palais de justice.

[modifier] Évolution du nom

Alès proviendrait de Alestum[2] ancienne colonie romaine dont l'existence est rapportée en 26 avant JC. Le site de recherche généalogique de la famille Garby note une évolution[3], au cours du Moyen Âge: Alestum en 1120, Alest en 1190 et 1344, Alez ou Allès en 1435, Alais à partir de 1694[4] et Alès depuis 1926.

[modifier] Transport

  • Aérodrome de Deaux-Alès.

[modifier] Transports urbains

  • Réseau de transport en commun NTECC

[modifier] Routes

[modifier] Rail

[modifier] Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
14 juin 1855 - Etienne Duclaux-Monteil Avocat et Notaire
1925 - Fernand Valat PCF Député du Gard (1936-1942)
19-- 1965 Paul Béchard SFIO Député du Gard (1945-1948, 1951-1955, 1958-1967), Sénateur du Gard (1955-1958), Président du Conseil général (1961-1973), Secrétaire d'État à plusieurs reprises (entre 1946 et 1948)
1965 1985 Roger Roucaute PCF Député de l'Ardèche (1945-1951, 1956-1958), Député du Gard (1962-1978)
1985 1989 Gilbert Millet PCF Député du Gard (1967-1968, 1973-1981, 1988-1993)
1989 1995 Alain Fabre PS
1995 - Max Roustan UMP Député du Gard (1993-1997 et depuis 2002)
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Alès est l'une des deux sous-préfectures du Gard, avec Le Vigan. L'arrondissement d'Alès comprend douze cantons.

La commune d'Alès est divisée en 3 cantons :

Les cantons d’Alès
Canton d'Alès-Nord-Est Canton d'Alès-Ouest Canton d'Alès-Sud-Est
Autres cantons du Gard


Alès est le siège d'un tribunal de grande instance.

[modifier] Intercommunalité

[modifier] Démographie

Évolution démographique
1936 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2007
36 893 41 385 41 360 42 818 44 245 43 268 41 037 39 346 41 054 42 000 (est.INSEE)
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Communauté d'agglomération : Environ 80 000 habitants

Aire urbaine : environ 90 000 habitants

Arrondissement : 136 000 habitants

[modifier] Économie

Alès est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie d'Alès Cévennes. Elle gère l'Aérodrome Alès Deaux, le centre de formation des apprentis, le parc des expositions.

[modifier] Foires

Trois foires traditionnelles ont lieu chaque année les 17 janvier, 27 avril et 24 août. Ces dates sont reportées au jour suivant si elles correspondent à un dimanche ou à un jour férié.

[modifier] Industries

  • Pôle Mécanique : 10 circuits terre et asphalte fédèrent une activité industrielle centrée sur la mécanique auto/moto.
  • PGO constructeur automobile spécialisé dans les petites séries : Speesdter II, Cévennes 180 (présenté au Mondial de l'Automobile 2004). Le rythme de production de PGO est d'une voiture par jour.
  • Merlin Gerin (Groupe Schneider Electric) : Fabrication de disjoncteurs
  • Cévennes Déchets spécialisée dans la collecte du tri sélectif.
  • Conti / AGV France spécialisé dans les casques et accessoires motos
  • Scorpa Fabricant de motos pour le trial


[modifier] Enseignement supérieur et recherche

[modifier] Personnages célèbres

[modifier] Science

[modifier] Arts et lettres

[modifier] Sport

  • les athlètes Khalid Zouba, Hassan El Lasshini, Kevin Paulsen, Thierry & Pierrot Pantel
  • le footballeur de Rousson près d'Alès Laurent Blanc
  • les anciens joueurs de l'Olympique Alès en Cévennes ayant evolué au plus haut niveau, Gérard Gilli, Victor Da Silva, Olivier Dal'Oglio, Sabri Lamouchi, ,James Debah, Didier Monczuck, Didier Agathe, Frank Ribéry, José Pasqueletti et Bernard Bosquiet
  • le pongiste de Salindres près d'Alès Jean-Philippe Gatien
  • les pilotes Stéphane Sarrazin et Romain Dumas
  • l'athlète Dominique André, médaille de bronze aux championnats du monde handisports 2003
  • l'athlète Raphaël Pujazon 1er aux Championnats européen du 3000 steeple en 1946 et 1947
  • la pongiste Valérie Gay, championne du monde par équipe aux premiers championnats du monde handisports de la catégorie en 2002, championne de France 2006.
  • la joueuse de tennis Adelaide Bourlon, championne du Gard en 2006

[modifier] Autres

[modifier] Monuments et lieux touristiques

[modifier] Bâtiments et lieux publics remarquables

  • Cathédrale XIIe, XVIIe et XVIIIe siècles, classée monument historique.
  • Arènes du Temperas.
  • Colline de l'Ermitage (vestiges d'un oppidum préromain). Avec sa statue de la Vierge, dite "Notre-Dame des Mines", elle offre un point de vue unique sur la ville.
  • Fort Vauban. Entouré de son parc, il est le lieu, en été, de nombreux spectacles dans son théâtre de verdure et alentour.
  • Parc de la Tour vieille. Parc botanique, mini golf et jeux pour enfants.

[modifier] Bâtiments religieux

  • Cathédrale Saint-Jean
  • Abbaye ruinée de la Gleisette sur la colline de Saint Germain de Montaigu (XIII siècle)
  • Eglise de Saint Julien des Causses sur la colline de l'Ermitage

[modifier] Monuments remarquables à proximité

  • Château de Portes, classé Monument historique
  • Chateau de Rousson
  • Tour Bécamel de Salindres
  • Maison musée dite "musée du Désert" à Mialet - Histoire du protestantisme en Cévennes
  • Chateau d'Arène et chateau de Montmoirac à Saint Christol lès Alès
  • Chateau de la Tour aux Salles du Gardon
  • Chateau de Soucanton à Saint Jean du Pin
  • Chateau du Montalet à Molières sur Cèze
  • Tour Dugas à Saint Ambroix
  • Chateaux d'Aujac et de Bresis

[modifier] Musées

  • Mine témoin qui retrace l'histoire du charbon dans la région
  • Musée bibliothèque P.A.B. musée bibliothèque Pierre André Benoit
  • Musée Minéralogique de l'École des Mines d'Alès. Ce musée comprend trois collections :
  • une collection minéralogique, d'intérêt national,
  • une collection paléontologique, intéressant panorama d'organismes fossiles locaux,
  • une collection pétrographique, à vocation essentiellement pédagogique elle est dédiée aux roches et matériaux naturels régionaux.
  • Musée du Colombier, collection archéologique et beaux arts

[modifier] Sports

[modifier] Equipements sportifs

  • Stade Pierre Pibarot
  • Stade d'athlétisme R. Pujazon
  • Centre nautique (2 bassins dont 1 ludique),Piscine Municipale d'été de Cauvel(2 bassins)
  • Patinoire sur glace
  • Salle de Roller
  • Sportland (en construction)
  • Le Pôle Mécanique

[modifier] Art et Culture

Médiathéque Alphonse Daudet

[modifier] Héraldique

Le blason de la ville d'Alès est décrit comme de gueules au demi-vol d'argent.

[modifier] Évènements remarquables

  • Début mars, festival de cinéma Itinérances incluant une compétition de courts métrages.
  • Week-end de l'Ascension, Feria d'Alès.
  • Semaine des Fous Chantants d'Alès, dernière semaine de juillet. 1000 choristes travaillent ensemble durant une semaine sous la direction de chefs de chœur internationaux un hommage musical à un grand chanteur francophone. Concert final le dernier samedi de juillet.
  • Scène Nationale Cratère théâtre d'Alès
  • Centre Méditerranéen de Littérature Orale. Centre de ressources régional. Centre de documentation, de formation.
  • Les Atypiques, journées théâtrales des Amis du Théâtre Populaire.
  • Compagnie Professionnelle de Théâtre Action Commedia
  • Station de radio associative : Radio Grille Ouverte (88.2 FM) d'inspiration protestante.
  • Début Juillet, festival d'arts de rue Cratère surface.

[modifier] Vie militaire

Unités ayant été stationnées à Alès:

[modifier] Jumelages

Drapeau : République tchèque Bilina (République tchèque)
Drapeau : Écosse Kilmarnock (Écosse)
Drapeau : Belgique Herstal (Belgique)

[modifier] Voir aussi

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens externes

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Alès.

[modifier] Bibliographie (liste non exhaustive)

  • Alès, capitale des Cévennes: vie politique, religieuse, intellectuelle, economique et sociale / Marcel Bruyère . - Nîmes : Mauger, 1948
  • Alès au fil des ans et des hommes  : chronologie et lexique de l'histoire d'Alès des origines à 1900 / Jean Médard. - Alès : Amis du vieil Alais, 1992
  • Alès plurielle et singulière / Jean Carrière, Jean-Pierre Chabrol ; photogr. Alain Gas. - Marguerittes : Equinoxe, 1991
  • La Cathédrale Saint-Jean d'Alès / Paul-Jean Roux. - Avignon : Aubanel, 1953
  • Cent cinquante ans de l'École des Mines d'Alès / photogr. Raymond Depardon, photogr. Tony Iacoponelli. - Alès : École des Mines d'Alès, 1993.
  • Description de la ville d'Alais et de ses environs / François Bonnal-Ollive. - Avignon : Niel, 1788
  • Etude sur la ville d'Alais  : origines de la ville, ses agrandissements successifs / Amédée Gros. - Alès : Martin, 1893
  • Histoire de la ville d'Alais  : de 1250 à 1340 / Achille Bardon. - Nîmes : Lacour, 1988
  • Histoire de la ville d'Alais  : 1341-1461 / Achille Bardon. - Nîmes : Lacour, 1990
  • Précis des usages et coutumes de l'arrondissement d'Alès / I. Platon. - Nîmes : Lacour, 1991
  • Promenade dans Alès / Alain André ; préf. Auguste Roustan. - Montpellier : Presses du Languedoc, 1995
  • Recherches historiques sur la ville d'Alais / Duclaux-Monteil ; J.M. Marette ; Maximin Dhombres. - Alès : Martin, 1860
  • Le Vieil Alais disparu / Jean Médard ; ill. Michel Vincent. - Alès : Amis du vieil Alais, 1988
  • Le Vieil Alais oublié, t. I et t. II / Jean Médard, Michel Vincent. - Alès : Amis du vieil Alais, 1989
  • Alès Insolite / Alain André / préf. Thierry Montaner. - Montpellier Nouvelles Presses du Languedoc, 2006.

[modifier] Sources, notes et références

  1. CNRS
  2. M. Bruyère , Alès , capitale des Cévennes: vie politique, religieuse, intellectuelle, religieuse et sociale - Nîmes , 1948
  3. [1]
  4. M. Bruyère , Alès , capitale des Cévennes: vie politique, religieuse, intellectuelle, religieuse et sociale - Nîmes , 1948