Affaire Fouad Mourtada

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

VIOLATION POSSIBLE DU DROIT D’AUTEUR

Cet article enfreint probablement un droit d’auteur. Il est la copie conforme de tout ou partie du site :

[{{{1}}} {{{1}}}]

Pour tout éclaircissement et information complémentaires, consultez la note « Affaire Fouad Mourtada » dans la liste des pages soupçonnées de violation de copyright, ainsi que la page de discussion de cet article.

  1. Merci de ne pas modifier cette page pour le moment.
  2. Si vous possédez les droits d’auteur du contenu qui suit, ou si vous avez la permission d’utilisation sous les termes de la Licence de documentation libre GNU, merci de l’indiquer sur cette page de discussion et sur la note « Affaire Fouad Mourtada ».
  3. Merci de ne pas rétablir le contenu qui était présent ici. Il sera retiré. Cet article sera restauré si Wikipédia obtient la permission du détenteur des droits d’auteur.
  4. Si vous voulez tout de même travailler sur cet article merci de le faire sur la page de discussion.
  5. Si les statuts du contenu ne sont pas clarifiés, ce contenu sera supprimé au bout d’une semaine.
  • Ajouter des travaux sous droit d’auteur sans autorisation expresse est une violation des lois applicables à ce site et va à l’encontre de notre fonctionnement. Ceux qui ajoutent plusieurs fois du contenu sous copyright en ignorant cette règle seront bloqués.
  • La version originale de l’article qui est discutée est visible grâce à l’historique de cette page.

L' Affaire Fouad Mourtada fait référence aux événements qui concernent l'informaticien marocain de 26 ans Fouad Mourtada. Ce dernier a été arrêté et incarcéré au Maroc le 5 février 2008 pour s’être fait passer, durant quelques jours, pour le frère du roi du Maroc, le prince Moulay Rachid, sur le site Internet Facebook. Il fut condamné à 3 ans de prison et 1 300 $ d'amende[1]

[modifier] Historique

[modifier] Réactions

Au Maroc comme à l’étranger, la violente réaction des autorités marocaines a suscité l’émoi de nombreux internautes. Dans le cercle des internautes marocains, Maroc Telecom est violemment pris à parti. La filiale marocaine de Vivendi est accusée d’avoir «divulgué» aux enquêteurs l’adresse IP permettant d’identifier Fouad Mourtada et d’aider ainsi «les services de sécurité à traquer ses clients»[réf. nécessaire].

[modifier] Notes et références

  1. (en)Jail for Facebook spoof Moroccan, BBC NEWS, 23 février 2008.
Autres langues