Discuter:2001 : l'odyssée de l'espace

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Il m'a semblé qu'il vaudrait mieux remplacer le texte existant par la traduction de l'article anglais.

Voici le texte d'origine :

Ca c'est un film trop space fait par Kubrick qui est assez louche aussi... Toute l'histoire tourne autour d'un monolythe... Qu'est ce que represente ce monolythe ? Et on voit l'evolution des 'humanoides' par ce monolythe.

La scene de la fin est trop forte. On m'a raconte qu'il avait passe trois semaines avec sa femme dans son garage pour la faire en balancant de la peinture sur les murs...

Quand on voit le rendu qu'il a obtenu avec les moyens qu'il a employe, on se dit que c'est fort...


Etonnant, non ?
Buzz.


Le titre de l'article devrait être : "2001, l'odyssée de l'espace"

En français, les titres de films ne portent pas de majuscule à chaque mot comme en anglais, mais uniquement sur le premier mot du titre :
"2001: A Space Odyssey" est "2001, l'odyssée de l'espace"
(ici le début du titre est un nombre, il n'y a donc aucune majuscule)


je cite :

À la base de l'histoire - ce que seul le film montre - une ancienne race extra-terrestre utilise de grands monolithes pour explorer tous les systèmes planétaires de la galaxie. Le but de ces monolithes est de rechercher, sur chaque planète, les éventuelles traces de vie, et de favoriser le développement des formes de vie intelligentes.

C'est marrant j'aurai dit l'inverse ce que seul le livre montre. quel est votre avis ?
Laurent 16 jun 2003 ・20:45 (CEST)

l'aspect a la fois totalement abstrait, comtemplatif et parabolique de ce titre monolithiquement ainsi que spatialement " BEAU" me donne l'impression presque sensationnelle voir sensitive de créer une reflexion incréable ou alors purement extrapolisante sur la nature encore inconnue de l'irréel naissance originelle de l'homme. néanmoins à la vue de ce spectacle néo classico- spatial une écharde cybero-punk me reste en travers de la gorge: que suis-je, d'où viens-je mon pere serait-il se monolythe tel le dark vador pour luke?? je me vois a travers l'écran comme a travers un mirroir guidant mes pas et me poussant à me jeter du 7eme étage. Je doit vous quitter vous et votre monde pour rejoindre mon pere le monolythe et voguer a tout jamais dans un espace de frustration maternelle.............envers notre terre


Sommaire

[modifier] Opinion

Je déplace ici le contenu suivant inséré dans l'article :

« 2010 présente tout de même un double avantage : En premier il apporte une explication rationnelle au comportement meurtrier de HAL dans 2001. Ce comportement résultait de l'application stricte d'une directive ambiguë donnée par un politicien, et donc la faute était humaine (thème que l'on retrouve dans Alien). D'ailleurs le sacrifice final de HAL pour sauver ses compagnons humains est tout simplement magnifique. Accessoirement, 2010 conclut l'odyssée, notamment au niveau du rôle des monolithes, d'une manière beaucoup plus claire et abordable que ce que 2001 parvient à traduire. Il est vrai que dans le livre 2001 (notamment la fin), c'est parfois sur un seul mot que repose la bonne compréhension de l'histoire, et que la traduction cinématographique était un véritable défi. [Patrick Brunet pour 2 §] »

Quelques remarques :

  • ces passages ne sont pas encyclopédiques, ils sont l'expression de votre point de vue sur le film et n'ont donc pas à figurer dans le corps de l'article. Ils ont par contre tout à fait leur place sur cette page de discussion (souvenez vous néanmoins que Wikipedia n'est pas un forum) ;
  • 2001 (le film) n'est pas adapté de 2001 (le livre) mais d'une nouvelle d'Arthur C. Clarke La Sentinelle que Stanley Kubrick et ACC ont considérablement étoffée. 2001 (le livre) est l'adaptation romanesque du scénario de 2001 (le film) ;
Ca, c'est inexact : le livre et le scénario ont été développé de manière totalement concomittante, le livre étant une sorte de mode d'emploi du film tel que le voit Clarke (il est clair qu'à certains points de vue, la vision de Clarke et Kubrick diverge) Bradipus 27 jun 2005 à 13:29 (CEST)
  • si vous êtes encouragé à signer vos contributions en page de discussion, l'article est par contre un travail collectif et ne doit pas être signé (ou alors dans le cadre de résumé de votre modification mais pas dans le corps de l'article).

J'espère que ces quelques commentaires ne vous dissuaderont pas de contribuer à nouveau mais au contraire vous aideront à mieux comprendre le fonctinnement de Wikipedia. Emmanuel 29 avr 2005 à 11:24 (CEST)

[modifier] Musique originelle ?

Bonjour. La musique finale n'est pas celle qui avait été commandée. Celle-ci a finalement été jugée moins bonne que la musique classique. Est-il possible de la télécharger ? de l'acheter ? Cette musique est-elle devenue libre ? Merci guffman 5 décembre 2005 à 20:04 (CET)

[modifier] Typo du titre

Bonjour, la typo ne serait elle pas 2001, l'Odyssée de l'espace après des , et des : me semble-il on replace toujours une majuscule. Me trompe-je ? bayo 18 juin 2006 à 01:35 (CEST)

[modifier] La course des Discovery 1

Avez vous réaliser que le Discovery de Kubrick était plus rapide que celui de Clarke. Remarquez bien que dans le film, lorsque nous arivons a la mission jupiter, cette scene se produit 18 mois apres la scene du crater de Tyco, sur la lune. Avant l'interview avec l'équipage, le narrateur de la BBC annonce que le Discovery a quiter la terre il y a 3 semaines. La scene suivant la lobotomie de HAL, un enregistrement sencé apparetre a l'arrivée a jupiter fait son apparition sur l'écran annonsant la véritable mission et précise la découverte du monolite 18 mois plus tôt. Ce qui veux dire que le vaisseau a fait le trajet en 3 semaines et quelque jours. Pour ce qui est du Discovery de Clarke. il a fait le trajet en cinq mois. bien sure, il ne s'est pas arreter a jupiter, car dans le livre, sa destination finale est saturne...


En passant pour répondre a la question de la musique originelle. vous pouvez la trouver chez la compagnie VARECE SARABANDE et le compositeur est Alex North...

[modifier] nouveau lien

Ajouté un lien du site palantir qui donne un excellent aperçu visuel et sonore du film.Edmondteste 1 août 2006 à 15:40 (CEST)

[modifier] Problème

Ce type d'article me pose problème...

Il mélange de manière subtile éléments objectifs, narratifs, et points de vue nécessairement personnel.

Ce problème me semble inévitable mais lourd de conséquence. Certes une encyclopédie ne visent pas fondamentalement à l'objectivité absolue qui est inatteignable. Mais, sur des oeuvres d'arts, l'interprétation étant la règle, que faut-il dire ? Le premier qui réalise un article impose une position, parfois dommageable pour la communauté de lecteur... Et pour combien de temps, alors que le projet peut fort bien connaître, en somme, une durée de vie extrêment longue, contrairement à l'encyclopédisme papier... ?

Et dans un projet aussi collaboratif, qui décidera qu'un changement radical est admissible, quand, et sur quel fondement ? <-- message de Adamh du 9 octobre 2006 à 22:39, déplacé par Bradipus Bla 9 octobre 2006 à 22:53 (CEST)

Si tu pouvais être plus spécifique, ça nous aiderait. Il y a effectivement des choses un peu trop analytiques dans cet article qui ressemblent à une analyse personnelle. Bradipus Bla 9 octobre 2006 à 22:53 (CEST)

Humm... comme je le disais tu as été trop rapide pour que je finisse mon intervention !! (Je ne suis pas un utilisateur chevroné).

Je relisais justement l'article pour préciser ma pensée : Le résumé tout d'abord est en réalité contenu dans l'intertitre 'précision'. L'intertitre 'résumé' est une vague approche assez étrange du film par sa seule seconde partie.

Qu'est-ce alors que le 'commentaire' par rapport à certains éléments des deux premiers intertitres ? Enfin le dernier sur le son et la musique n'est qu'un long commentaire, également, assez limité, et limitant.

Je vous donne pour exemple de subjectivité ma compréhension du film  :

L'oeuvre de Kubrick, est une étude de la nature humaine dans une perspective anthropologique de la violence, ou plus précisement une violence anthropo-logique. Je ne replacerais pas trop longuement le cadre culturel de l'oeuvre, mais disons que la psychanalyse et la linguistique, sont parmis les grandes agitations intellectuelles du XXème siècle.

Dans 2001, au début est la paix, le silence. Les cris animaux (dont ceux des humains 'à devenir') ne sont que mouvements, mais pas encore temporels. Le monolythe (il y a un souvenir Lovecraftien dans cette dénomination, ne l'oublions pas) apporte le temps en apportant la conscience. Et c'est la violence qui exprime la première lueur de cette conscience. La première notion créatrice d'être, d'existence, est celle de violence, de libération du choc de la limite du corps et de la naissance de la volonté (Shopenhauer/Heidegger/Sartre...). Nietzsche est invoqué par l'utilisation de l'oeuvre musicale de Richard Strauss homonyme du livre du philosophe. Et ce parcequ'il synthétise quelques uns de ces ressorts métaphysiques : volonté de puissance, parcours de l'animal à l'ubermench. Mais pour autant on aurait tord d'y voir une oeuvre entièrement Nietzschéenne...


La rencontre entre Clarke et Kubrick, tout deux sujets britanniques, très proches culturellement, donne une articulation complexe par leur capacité à se comprendre pour se compléter.

La violence fonde la conscience, et donc le langage, ainsi que la station debout, elle élève le corps. La violence est cri, comme la naissance, donc naissance à la conscience par le son, par la voix, qui est abondamment utilisée par Ligeti, elle construit le temps par construction de mouvement continuel, d'une continuité lentement rythmée. Pour les auteurs, on peut considérer qu'il ne s'est rien passé d'autre en 4 millions d'année que la lente préparation à une autre étape de la conscience, qui promet un au-delà du langage, et donc du temps, par une nouvelle élévation du corps... de l'étendue cartésienne, de l'espace ! Et rien ne nait de nouveau sans violence, mort, déconstruction du/retour sur le langage (mort de Hal), et ce dans le silence de la nature qui n'a elle ni temps, ni conscience...

Allez, on relit et on atteri ! :)

A plus Adamh du 9 octobre 2006 à 23:50

[modifier] Mais qui se cache derrière la voix française de HAL 9000 ?

Bonjour,

dans le casting du film, il est indiqué la voix française de HAL est incarnée par François Chaumette. Il me semblait que c'était en fait Jean-Louis Trintignant. Une recherche rapide sur google montre que les deux acteurs sont associés à la voix de HAL (avec une lègère préférence pour JL Trintignant : 639 contre 125).

Qui a raison ?

Florent.

Ceux qui disent et qui écrivent (dans des livres) que c'est François Chaumette. Signé -- louis-garden 12 janvier 2007 à 14:27 (CET)

[modifier] Bon article

Bonjour, je suis un grand fan de Stanley Kubrick et de 2001 et je voudrais essayer de faire passer cet article au grade de bon article. Mais pour cela il faut le développer ! Je suis membre du projet cinéma et j' ai déjà écris une partie de cet article (la dualité des héros et la symbolique des formes), alors je voudrais passer un appel pour que vous m aidiez à améliorer cet article et qu' ainsi dans 1 mois je puisse le proposer au grade de BA. Alors, fans de Kubrick, de 2001, de cinéma ou simplement volontaires, à vos plumes ! Merci

Benjamin.L Benjamin.L 28 mai 2007 à 21:57 (CET)

Grand fan de Kubrick et de 2001 aussi, j'ai pour l'instant contribué de manière discrete sur l'article en remaniant essentiellement la forme et en reprécisant certaines choses. Je suis d'accord pour commencer à le retravailler en profondeur. Par ailleurs, merci pour tes contributions. Je pense entamer ça dans 3 semaines environ. J'ai réalisé un dossier sur le film dans lequel je pourrai sûrement piocher quelques idées. De même, je pense qu'il faudra encore reviser la forme de l'article. Les interprétations sont intéressantes mais très précises. Une partie où la signification générale serait dégrossie serait une bonne chose je pense. Aussi, sujet à part : j'ai vu qu'une grosse contribution avait été effacée, elle n'était pas si mal, je verrai ce que je peux faire pour en reprendre les idées. Poke2001 28 mai 2007 à 23:53 (CEST)

Merci à toi Poke2001. C'est bon de ne pas se sentir seul! Je viens de terminer un nouveau paragraphe que j' ai intitulé "le fondu-enchaîné". Benjamin.L 29 mai 2007 à 22:57 (CET)

C'est bien joli, mais cette partie est un contresens. Si tu vas lire Fondu enchaîné, tu verras que cette scène n'est pas du tout un fondu enchainé. Pourrais tu éventuellement transférer cette section ailleurs?
J'ai supprimé ta précédante contribution, factuellement inexacte, sur l'os qui se transforme en bombe.
De manière générale, cet article est une horreur absolue point de vue source. Chacun y va de sa petite réflexion philosophique non sourcée. Un de ces jours je vais flinguer tout ça. Bradipus Bla 31 mai 2007 à 23:21 (CEST)

D' accord pour changer la partie sur le fondu-enchaîné mais, comme j'étais persuadé qu'il s 'agissait de cette technique, peut tu me dire quel est son nom pour que je puisse le remplacer dans l' article stp. Par contre concernant ma contribution précédente j'émet de serieux doutes sur le fait que le "vaisseau" ne soit pas une bombe. Je possède le livre de Michel Chion sur Kubrick et il me semble pourtant qu'il explique que l'os est sensé se transformer en bombe. Je peux me tromper mais j'aimerai savoir pourquoi tu considère que cela est "factuellement inexacte". En esperant que tu pourra m'éclairer.Merci. Benjamin.L 01 juin 2007 à 22:17 (CET)

En fait, il ne s'agit pas d'une technique cinématographique en tant que telle, mais plutôt simplement d'une technique de narration qui est l'ellipse. L'ellipse c'est chaque fois que le réalisateur décide de ne pas montrer au montage un événement important de l'action, le spectateur étant supposé deviner ce qui s'est passé. Exemple, deux cow-boys face à face dans un duel, on voit l'un qui dégaine et...hop, on passe sur une scène où l'ami d'un des deux s'approche d'un corps couché à terre, retourne le corps et reconnait...: l'ellipse sur le duel même, coeur de l'action, a permis d'augmenter la tension de la scène qui aurait été autrement un duel banal où la question de savoir qui meurt est réglé en une fraction de seconde, alors que l'ellipse peut à la fois solliciter l'imagination du spectateur, l'amener à s'interroger, introduire un élément de suspense ou d'attente, etc...
Dans le cas de la scène de 2001, l'ellipse est particulière pour deux raisons: elle porte sur quelques millions d'années et elle est particulièrement élégante par le lien esthétique et matériel qu'elle introduit entre l'os et le vaisseau. Mais note donc que l'ellipse ne git pas dans le fait que l'os se transforme en vaiseau, mais dans le trou de x millions d'années entre les deux scènes.
Alors, pour ce qui concerne la question vaiseau-bombe, c'est très simple: la transformation de l'os en vaiseau est un élément purement visuel que Kubrick a utilisé pour souligner son ellipse, cet élément est donc purement et simplement absent du livre. Il est exact que les dernières lignes du livre montrent que le foetus astral est apparemment attaqué par des missiles en s'approchant de la Terre, mais il n'y a aucune raison pour faire un lien avec la scène qui se situe, elle, au début du film ou en tirer une conclusion bizarre sur la scène du film qui montre clairement un vaisseau. Ceci dit, si c'est sourcé (je veux dire, si tu peux confirmer qu'un auteur a écrit cela), ça mérite alors plutôt une mention en passant, genre parenthèse, pas toute une section. Bradipus Bla 2 juin 2007 à 12:10 (CEST)

Merci pour ton aide Bradipus. Je vais changer le nom dans l'article et vais relire le livre de Michel Chion pour être sur de ce que j'ai avancé. Benjamin.L 02 juin 2007 à 17:52 (CET)

[modifier] Fusion 2001 : l'odyssée de l'espace et Liste des références culturelles à 2001 : l'odyssée de l'espace

On doit pouvoir intégrer assez facilement le second au premier. Chris93 31 mai 2007 à 20:40 (CEST)

Et pourquoi fusionner? On ne peut pas mettre la liste en annexe? ça permettrait de surcroît de réutiliser cette page ailleurs (sur Kubrick par exemple, avec un lien).--EL - 31 mai 2007 à 22:42 (CEST)
Vu la liste présente dans la version anglaise (en:List of cultural references to 2001: A Space Odyssey) je suis moi aussi d'avis de laisser comme tel... Seб 662 Hoooooowdy-ho!!!!! 3 juin 2007 à 21:16 (CEST)
Abandon. Ajout d'un lien "Article connexe" vers Liste des références culturelles à 2001 : l'odyssée de l'espace. Jerome66 | causer 6 juin 2007 à 10:59 (CEST)

[modifier] Ellipse

J'étais parti pour modifier quelques petits points sur la partie "Ellipse" et puis je n'ai pas pu m'empêcher de la réécrire totalement, une fois lancé.

Ce n'est pas très bien écrit mais je pense qu'il y a des éléments intéressants à retenir. Et vu la très bonne mise en forme de cette partie de l'article, je n'ai pas voulu l'écraser avec la mienne de moindre qualité je pense.

Néanmoins, il est important de rectifier à mon sens, que Kubrick réalise juste une succession de trois plans et que l'os ne se transforme pas en vaisseau (même si il y a des guillemets). Aussi, je pense qu'il faut insister sur le fait que cette scène ne provoque pas (ou peu) de rupture entre les deux âges. La visée du film n'étant pas de classer chronologiquement les Hommes mais de les diviser selon des périodes évolutives marquées par le monolithe. Ainsi, il doit y avoir une cohérence entre deux apparitions du monolithe, bien que les Hommes aient, en apparence, changés.

Voici donc :

Une très courte scène du film a particulièrement marqué la conscience collective et engendra de nombreuses parodies : celle où le singe-premier Homme lance en l'air le premier outil de l'humanité, un os. La particularité de cette scène tient essentiellement en sa forme (le montage). Elle est constituée d'une succession de trois plans très courts : deux premiers cadrant l'os en mouvement dans les airs et un dernier cadrant un vaisseau spatial en apesanteur. Cet enchaînement extrêmement simple, puisqu'il n'y a nulle utilisation de transitions (ex : fondu, etc.), est alors à la fois brutal et cohérent. Brutal parce qu'il oppose deux situations très différentes et surtout deux âges très éloignés. Cohérent parce que les formes de ces deux objets sont à l'écran, très semblables et que le mouvement n'est pas rompu. Traditionnellement, un fondu au noir aurait été utilisé pour signifier le changement de contexte. Kubrick permet ainsi d'éviter de créer une certaine forme de rupture avec ces Hommes-singes qui sont, finalement, les mêmes que le film nous expose ensuite. Par ailleurs, il n'y a donc pas réellement "d'aube de l'humanité", la véritable rupture n'étant signifiée que par le monolithe et seulement lui. Cet objet qui lui, sert véritablement de "fondu", n'est qu'un écran noir ponctuant l'évolution des Hommes. Le dernier plan du film le montre bien.

Poke2001 15 juin 2007 à 19:33 (CEST)

Bonjour Poke2001

Je suis d'accord avec toi sur le fait que ma partie Ellipse n'est pas parfaite et je suis d'accord avec la plupart des changements que tu apporte. Il me semble cependant important de faire attention à deux points:

  • Tout d'abord le fait qu'il y ait 2 plans pour l'os n'est dû qu'au fait qu' il était trop difficile de filmer l'os en train de monter puis, dans la continuité, de redescendre. Il n'est donc pas nécessaire de parler de 3 plans au total (mais plutôt de 2) et de deux plans de l'os (mais plutôt d'un seul).
  • Mais surtout, il est important d'insister sur le poids de l'ellipse de plusieurs millions d'années. Même si Kubrick ne classe pas les hommes comme tu le fait remarquer, il est indéniable que la force de cette scène ultra-connue réside essentiellement dans le fait que tous ce que le spectateur connait de l'histoire de l'humanité ne compte presque pour rien dans l'évolution de cette humanité. Comme le fait remarquer Michel Chion, le monolithe est un instrument de rupture qui délimite les étapes d'évolution de l'humanité. Ta réflexion sur le fait que cette scène soit une rupture brutale et cohérente est donc juste mais il me semble que ma contribution Ceci a pour effet d'effectuer un certain rapprochement entre les deux objets, en l'occurrence l'os et le vaisseau. La force de cette scène se trouve précisément dans l'ellipse que le réalisateur choisit d'opérer. Ainsi pour Kubrick les millions d'années d'évolution de l'homme ne représentent qu'une fraction de seconde. Toute cette évolution n'est qu'une transition qui a permis à l'homme de passer des premières inventions à la marche sur la lune, étape jugée comme révélatrice de maturité puisque c'est ici que l'on découvre le monolithe. L'homme n'évolue donc, dans 2001, que par paliers successifs. est justifiée et que ,du même coup, elle mérite d'être gardée.

Je vais travailler sur une refonte de cette partie et je te proposerait bientôt (mardi ou mercredi je pense) une nouvelle proposition. PS:Il y a une chose que je n'ai pas compris, pourquoi écrit tu que "Par ailleurs, il n'y a donc pas réellement "d'aube de l'humanité", la véritable rupture n'étant signifiée que par le monolithe et seulement lui". En effet je suis d'accord avec la deuxieme partie de la phrase mais c'est bien le monolithe qui crée cette aube de l'humanité en influençant les singes!

En tout cas merci à toi Poke2001 car c'est de la discussion que sort la vérité. Continue à apporter des contributions sur cet article car nous sommes peu à y travailler !

Benjamin.L 15 juin 2007 à 21:52 (CET)

Entièrement d'accord avec ce que tu évoque aussi. Il faudrait synthétiser tout cela. J'ai fait une erreur en disant qu'il n'y a pas réellement d'aube de l'humanité, je voulais dire que cette première partie où l'on voit des primates n'est pas dissociable de la partie qui suit. J'attribuais l'aube de l'humanité seulement à cette première partie, mais le second titre vient bien plus tard, même après l'ellipse. Merci à toi aussi, je n'ai pas encore pu tout lire de ce que tu as nouvellement écrit mais je te ferai part de mes impressions pour développer encore l'article.

Poke2001 15 juin 2007 à 22:19 (CEST)

Voila, je pense que la nouvelle Ébauche que je viens de créer synthétise assez bien l'ancienne version avec les nouveaux éléments que tu y a apporté.J' ai gardé ton passage sur l'enchaînement "brutal et cohérent" qui me semblait pertinent ainsi que le passage sur le fait que cet enchaînement soit particulier dans le sens où un fondu au noir aurait été la solution a priori évidente.
  • Si "2001, l'odyssée de l'espace" se résumait à une scène, du moins dans la conscience collective et au vu des nombreuses parodies qu'elle engendra, ce serait sans doute celle où le singe-premier homme lance en l'air le premier outil de l'humanité (un os) et que celui-ci s'élève en l'air puis retombe et se "transforme" soudain en un vaisseau spatial flottant dans l'espace et qui semble même "tomber" dans la continuité de l'os. La particularité de cette scène tient essentiellement en sa forme (le montage). Cet enchaînement extrêmement simple, puisqu'il n'y a nulle utilisation de transitions (ex : fondu, etc.), peut être qualifié à la fois de brutal et de cohérent. Brutal parce qu'il oppose deux situations très différentes et surtout deux âges très éloignés. Cohérent parce que les formes de ces deux objets sont à l'écran, très semblables et que le mouvement n'est pas rompu. Ce montage est une spécificité de l'oeuvre de Kubrick puisque traditionnellement, un fondu au noir aurait été utilisé pour signifier le changement de contexte.

Ceci a pour effet d'effectuer un certain rapprochement entre les deux objets, en l'occurrence l'os et le vaisseau. La force de cette scène se trouve précisément dans l'ellipse que le réalisateur choisit d'opérer. Ainsi pour Kubrick les millions d'années d'évolution de l'homme ne représentent qu'une fraction de seconde. Toute cette évolution n'est qu'une transition qui a permis à l'homme de passer des premières inventions à la marche sur la lune, étape jugée comme révélatrice de maturité puisque c'est ici que l'on découvre le monolithe. L'homme n'évolue donc, dans 2001, que par paliers successifs.

Si tu as des suggestions, n'hésite pas à m'en faire part. Si il n'y a pas d' opposition, je remplacerai jeudi l'ancien paragraphe par celui-ci. Merci

Benjamin.L 15 juin 2007 à 21:52 (CET)


[modifier] Ce que traduit sans doute l'ellipse du singe lançant l'arme (l'os) qui retombe sous forme de vaisseau spatial

Une anecdote a échappé à tout le monde et Stanley Kubrick était sans doute à ce propos un génial manipulateur, sans doute d'ailleurs a-t-il contacté Arthur C. Clarke sans lui dire totalement de quoi il s'agissait. Et sans doute Arthur C. Clarke n'a-t-il jamais pu saisir de quoi il retournait. Peu avant la sortie du film, Stanley Kubrick convie Marshall McLuhan et sa famille à la projection du film - une projection privée qui lui était réservée. Le professeur d'Edmonton a-t-il décrypté les paraboles de son oeuvre qui se trouveraient dans le film ? Sur le moment, ce n'est pas certain, encore qu'on ne peut être totalement convaincu de l'attitude qu'il prit à cet instant. Sans doute fut-il surpris de l'ampleur du projet et voulut-il partir au bout de dix minutes. Sa fille Teri le retint, mais il se dit que McLuhan tomba en léthargie durant la projection : il dormait, d'une certaine façon se mit-il en hibernation (notons qu'il venait de se faire opérer quelques mois plus tôt d'une impressionnante tumeur au cerveau).

Plus tard, en 1988, fut publié ce texte à titre posthume dont voici un court extrait (The global Village, Transformations in World Life and Media in the 21th Century, traduction personnelle vu que ce livre - et c'est scandaleux - ne se trouve qu'en anglais...), texte qui - sans le dire - fait parfaitement référence au film qu'il prétendait ne pas vouloir voir. L'analyse qu'il contient est assez saisissante il faut en convenir : «Quand nous sommes allés sur la lune, me dit-il, nous pensions en rapporter les photographies d'un paysage de cratères, à la place, nous avons trouvé l'image de nous-mêmes, voyage égocentrique, auto-amour. Je reprends, l’image dans le miroir, c’est une autre façon de nommer l’eau, qui désigne l’élément changeant de la nature pour l’homme. Narcisse est tombé amoureux de son image reflétée dans l’eau. « Non, répliqua Marshall Macluhan, cela, c’est la manière habituelle de voir. » Narcisse, tel qu’Ovide le décrit, est cet adolescent sauvage qui ne sait reconnaître ni miroir, ni reflet. « Il est tombé amoureux de quelqu’un qui lui était étranger. »

Si Stanley Kubrick convie McLuhan à cette projection, ce n'est sans doute pas au gré d'une simple fantaisie ou du hasard. Et le monolithe dont les singes tombent amoureux ressemble étrangement au miroir de Narcisse dont parle McLuhan dans le livre paru en 1964 “pour comprendre les médias” Les hommes sont fascinés par les prolongements de leur corps mais ne s'y reconnaissent pas et se laissent hypnotiser par cette image d'eux-même pourtant insaisissable. Narcisse tombe amoureux de quelqu'un qui lui est étranger, sans comprendre jamais que ce n'est qu'une partie de lui-même, les grecs ajoutent que Narcisse meurt de son engourdissement comme l'ordinateur meurt de sa passion nouvelle pour la mission qu'on lui a confiée. Le film de Kubrick semble nous indiquer qu'au bout de tous les prolongements de notre corps (l'os prolongement du bras, puis le vaisseau prolongement de la peau), se perpétue la recherche épuisante de notre propre identité.

Et effectivement au regard de l'oeuvre de McLuhan, le film prend une tonalité toute particulière, il est en fait conçu - et je m'étonne toujours que les français se perdent dans des analyses symboliques de détail, alors que c'est l'architecture du film qui en forme le message - comme une immense hypnose. Il n'y a plus de lignes, plus d'horizons à dépasser, tout est en cercle et tourne inlassablement. On promet aux spationautes sous hibernation une vie transparente et sans rêves. Tout est placé sous hypnose par la qualité des espaces et des lumières (diffuses, englobantes), le repli intérieur (la respiration sous le scaphandre). Et comme dit McLuhan, il ne restait plus à prolonger que le cerveau sous forme de circuits électriques et d'ordinateurs, ce qui finit par se produire puisque c'est HAL qui éprouve des sensations et fait part de ses sentiments, qui se met à se passionner pour la mission qu'on lui a confié, tandis que les spationautes s'abîment dans une étrange indifférence, seulement troublée par leur instinct de survie, Ordinateur tellement vivant qu'il meurt d'une thrombose cérébrale en chantant des comptines.

La scène qui me semble significative, mais toutes le sont à des degrés divers, c'est celle de la petite fille : elle rappelle à son père, qui est séparé d'elle par des années-lumières, que c'est son anniversaire. Il lui demande ce qu'elle veut en cadeau : elle répond un téléphone. Mais à quoi peut bien servir un prolongement de l'oreille : des téléphones ? le père est surpris, on en a déjà tellement, on est envahi de téléphones et on ne s'est jamais senti aussi perdus et aussi seuls. Alors le père lui propose de choisir quelque chose de très spécial : elle répond un singe (a bush-baby), autrement dit un enfant de la savane. Et là le père laisse entendre qu'il est trop tard pour retrouver ses racines.

Ce que l'on peut tenter d'éprouver, c'est la façon dont les hommes, quelques apparences qu'ils prennent, se confrontent à ce monolithe, et le mouvement du film semble élaboré suivant ce sens : les singes peuvent le caresser, les spationautes sur la lune ne peuvent plus le toucher sans déclencher un sifflement strident, quant au cosmonaute, sur son lit, qui ne se voit plus vieillir, il ne peut plus que le désigner de loin, comme si, au fur et à mesure de son évolution, l'homme s'éloignait de la compréhension (en sens premier du terme) de cet élément inconnu.

McLuhan faisait remarquer qu'il semblait curieux que les hommes soient si peu capables d'appréhender les effets de ce qu'ils avaient eux-mêmes engendrés, et cela Kubrick l'avait sans doute précieusement noté. Le film est d'une certaine façon, totalement transparent, il ne trouve sa résolution que dans la mesure où l'on épouse l'hypnose qu'il propose. Parce qu'à ce moment là, nous comprenons qui nous sommes. Véritablement.

Voila une lecture très intéressante de ce film. Je t'engage à réfléchir à un paragraphe que nous pourrions insérer dans l'article et qui décrirait cette vision de 2001. Je suis assez d'accord avec la vision du monolithe en tant que miroir et référence au narcissisme teinté d'incompréhension de l'homme; ainsi que sur l'idée que la distance avec le monolithe ou les sifflements stridents rendent compte d'un éloignement de l'homme avec cette compréhension.

Ceci étant, je suis aussi persuadé que réduire le film à cette vision entraine un appauvrissement important de l'oeuvre, alors que Kubrick répettait sans cesse que les nombreuses lectures que l'on pouvait faire de son film étaient le plus souvent vraies et qu'il avait voulu faire un film qui pourrait être compris différemment selon les personnes. C'est la raison pour laquelle nous essayons (et j'entends par "nous" tous ceux qui cherchent à comprendre un peu mieux ce film, français ou non) d'aborder cette oeuvre d'une manière générale mais aussi un peu plus précise (sans pour autant "se perdre dans des analyses symboliques de détail" comme tu semble le penser). Enfin, dernière chose, je ne pense pas que dans ce film, "tout est en cercle et tourne inlassablement", mais plutôt que l'humanité est décrite comme léthargique TANT QU'ELLE NE PASSE PAS A UN STADE SUPERIEUR (ce qui se produit quand même 2 fois). L'importance de ces deux dépassements (qui introduisent donc une idée de progression et non un mouvement cyclique) étant renforcée par la musique choisie par Kubrick (Ainsi parlait Zarathoustra qui symbolise l'arrivée d'une ère nouvelle car Zarathoustra est considéré par Nietzsche comme le premier penseur). J'espère que mes quelques remarques seront profitables pour peut-être améliorer l'article. Si tu veux y répondre, surtout n'hésite pas! Merci

Benjamin.L 21 août 2007 à 13:59 (CET)

" Le mythe grec de Narcisse se rapporte expressément à une réalité de l’expérience humaine, comme le désigne le vocable Narcisse, étymologiquement dérivé du mot ναρηoσiς, qui signifie engourdissement... Et ce en quoi le mythe de Narcisse est remarquable, c’est qu’il indique comment les hommes sont immédiatement fascinés par une prolongation d’eux-mêmes, faite d’une autre matière qu’eux-mêmes. " Marshall McLuhan, Pour comprendre les médias.

Je ne sais pas si telle ou telle « lecture » réduit ou ne réduit pas l'oeuvre, ce que je peux constater effectivement, c'est que l'article commence par décrire ce qui est une charpente de cette oeuvre. On ne peut pas dire par exemple que ce film n'a pas de structure, au contraire il est construit avec une rigueur extrême et suit une progression somme toute implacable. Et d'ailleurs ce que l'article explique à mon avis bien, c'est que cette charpente émotionnelle en trois parties nettement distinguées (narrative, je ne sais pas et cela n'a pas beaucoup d'intérêt) trouve un miroir dans l'architecture des décors, des lumières, du montage, etc. Et il est rappelé fort bien que Kubrick joue d'un mélange savant et ordonné de formes pointues et rectangulaires et de formes circulaires. Mais en fait, si on réfléchit à l'ensemble du film, on s'aperçoit bientôt que ce qui fait son unité architecturale c'est la façon dont il noie

  • par une science des lumières - soit une lumière crue et coupante pour les vaisseaux - soit une lumière enveloppante, englobante pour les intérieurs,
  • par une science du décor et des choix de focales d'objectifs : l'impression permanente d'être pris dans un bocal sans aspérités,
  • par une science du montage, et l'article rappelle bien que la césure principale du film entre le singe lançant l'os et le vaisseau s'effectue de manière directe, mais le mouvement permet d'en annihiler la brutalité : on ne sent qu'à peine le passage. (Effectivement, un fondu enchaîné aurait joué comme un symbole et aurait tout détruit. Là, le montage joue comme un escamotage),

... toute l'ambiance, et la seconde caractéristique de ce film : c'est le flottement, tout est mortellement doux et flottant, et la violence est tapie au plus profond, elle n'apparaît que de façon insidieuse. Nous sommes placés en quelque sorte, sous hypnose.

Pour moi, c'est ce mélange entre une charpente très structurée et l'annihilation permanente des sautes, des césures, des syncopes qui crée cette ambiance particulière. J'appréhende d'autant mieux le vide que soudain j'escamote sans crier gare ce qui faisait la matière des sons et des images : d'où la force du silence dans l'espace qui est monté comme est monté le fameux raccord : coupure nette, mais étrangement invisible, noyée dans l'ambiance et dans la régularité (ce que je voulais dire par "tout tourne sans fin", ce qui n'empêche pas la progression par ailleurs.)

Je voudrais citer un autre passage de McLuhan qui n'est pas sans rapport selon moi avec le film, et révèle que Kubrick sans doute avait excellemment saisi le dilemme qui se traduit selon moi par cette architecture très particulière, c'est une interview réalisée par Jean-Louis Ezine et publiée dans un livre intitulé : "les écrivains sur la sellette" publié en 1981 « JLE : Vos prophéties électroniciennes évoquent plutôt une Apocalypse qu'un avènement. Ce n'est pas là le moindre paradoxe qu'une méditation profondément influencée par les thèmes du christianisme. MML : voir également Joyce...le Finnegans Wake a lieu le jour même du jugement, le dernier jour. À l'heure électronique, chaque jour est le dernier, le jour du jugement. JLE : la logique du Software et de la communication totale, telle que vous la développez, nous semble aboutir à l'annexion puis à l'abolition de l'individu en tant que libre conscience, bref à la disparition de tout projet humain de communication et de toute possibilité d'histoire nouvelle... MML : Nous sommes tous devenus sur-humains. JLE : On croirait entrer dans l'univers rectiligne et mortel de Big Brother, le héros de George Orwell dans 1984. MML : Non pas rectiligne, mais sphérique. Je décris un système acoustique de résonances ... On sait aujourd'hui qu'il n'y a pas de suite dans la structure synchronique de la matière ; tout est présence simultanée. La gravité est un champ acoustique de résonances simultanées. La matière est immatérielle ... »

Or donc effectivement, on pourrait regarder l'article en fonction aussi de cela. En prenant toutes précautions que vous rappelez et que vous avez raison de rappeler, je pense que Kubrick explique assez bien que son film est une expérience multi-sensorielle et donc ne peut pas se réduire à la parole, forcément linéaire, tandis qu'il s'emploie à poser sur la pellicule un système de résonances acoustiques, comme le dit McLuhan. Le beau-frère de Stanley Kubrick était venu à Paris au moment de la réalisation du film de Steven Spielberg. Je lui avais posé la question concernant McLuhan à une époque où je ne savais pas que le metteur en scène avait invité l'universitaire et sa famille à une projection privée, mais où je savais que l'un de ses collaborateurs, Jérôme Agel avait travaillé avec McLuhan à cette même époque, notamment à la rédaction du livre intitulé "inventaire des effets, le média est le massage" (Maintenant, le monde entier est un sage). Le beau-frère m'a répondu qu'il ne voyait pas du tout de quoi je lui parlais et où je voulais en venir, et quand une autre personne a cité Finnegans Wake, il ne voyait pas non plus. Sur un certain nombre de points et on le sait dans les rapports qu'il entretenait avec ses acteurs, il jouait de manipulations. Je suis intimement persuadé pour exemple qu'il n'a jamais évoqué McLuhan devant Arthur C. Clarke. C'est une chose assez étonnante mais qui, vu l'ampleur de la tâche, peut se comprendre.

Jean-Loup C. le 21 août 16h20 puis --212.198.189.1 22 août 2007 à 00:56 (CEST)

Je suis maintenant d'accord avec ton idée (beaucoup plus que je ne l'était à ton premier post) sur l'hypnose. Pourrais-tu écrire dans cette page discussion un paragraphe (ou deux) qui décrirait cette vision de l'oeuvre (en précisant, commme il est de rigeur dans une encyclopédie, que cette lecture n'est pas forcément la seule) et qui permettrait d'enrichir cet article .Je m'occuperai ensuite de la mise en page et d'insérer ce paragraphe dans l'article. Merci

Cordialement Benjamin.L 22 août 2007 à 11:43 (CET)

Désolé, pas d'accord. Comme l'intervention ci-dessous le relève, cet article a déjà assez dérapé, et y ajouter un travail personnel en plus ne va pas l'améliorer. Pour mémoire, WP:TI vous fera comprendre qu'il est totalement exclu d'ajouter un paragraphe basé sur l'analyse personnelle ci-dessus. Il faudra d'ailleurs un jour nettoyer l'article de la masse d'analyses personnelles qui l'étouffent. Bradipus Bla 23 août 2007 à 08:07 (CEST)

[modifier] Tout cela est-il bien nécessaire ?

Je vois que l'article prend une ampleur considérable grace au travail de nombreux fans, mais moi qui aimait tant m'atteler à cet article... j'ai peu à peu déserté. J'ai l'impression que l'on finit par s'égarer du film, que l'on s'enfonce dans des explications trop cadrées. Le grand génie de Kubrick a été de créer un film totalement impalpable, je crois qu'un bouquin de 400 pages ne pourrait même pas cerner son oeuvre. Plus je lis vos passionantes analyses et plus je me dis "à quoi bon ?". Au fond, ce que nous essayons de faire, c'est un compte rendu de toutes les interprétations possibles. Mais c'est impossible ! 2001 : l'odyssée de l'espace est bien plus qu'un film, c'est une nouvelle forme d'art, une symphonie visuelle. On ne pourra jamais faire un compte rendu de ce qu'un morceau de musique génère, et au même titre, je pense qu'on ne pourra jamais cerner ce film. Il résonne différemment en chacun de nous, tout comme le fait la musique. On peut tirer quelques pistes de compréhension, car il y a malgré tout un scénario consistant, mais c'est comme chercher à expliquer une chanson par son texte... on passe à côté de l'essentiel. Selon moi, le meilleur hommage que l'on pourrait faire à Kubrick serait de laisser ces analyses de côté, pour n'intégrer que sa citation. Kubrick s'est toujours montré mystérieux sur son oeuvre, son explication se lit à travers son film, et seulement ici. Il n'a jamais désiré donner plus d'explications, laissons donc lui la parole, laissons les gens ressentir 2001 : l'odyssée de l'espace comme ils l'entendent, c'est ce que souhaitait Kubrick.

Poke2001 23 août 2007 à 07:03 (CEST)

Voir mon intervention ci-dessus. Totalement d'accord, l'article est un nid de WP:TI qui doit être nettoyé. Bradipus Bla 23 août 2007 à 08:08 (CEST)
J'avoue que je suis moi même embarrassé avec ce problème. Je suis tout à fait d'accord avec le fait que l'analyse de Jean-Loup C. s'écarte du but purement encyclopédique et peut même dans une certaine mesure "déraper". Cela dit il est difficile, même avec les règles de Wikipédia, de discerner l'analyse objective (nescessaire pour comprendre n'importe quelle oeuvre) et l'analyse personnelle ou le TI. Pour les analyses que j'ai avancé dans l'article (symbolique des formes, dualité des héros, ...),je ne me suis appuyé que sur des sources référencées (Michel Chion, ...) donc j'aimerais aussi savoir où se trouve ce "nid de WP:TI ". Pour ce qui est de l'analyse de Jean-Loup C., il est vrai que j'ai oublié de lui demander les sources qu'il avait utilisé et je m'en excuse. Merci de vos conseils, Bradipus et Poke2001. Benjamin.L 23 août 2007 à 11:25 (CEST)
Au sujet du nid de WP:TI (ou, en tout cas, de travait non sourcé):
  • section ellipse: relativement anodine, mais on y relève quand même "Ce montage est une spécificité de l'oeuvre de Kubrick" (Ah bon?)
  • Section "symbolique des formes": analyse non sourcée Fait Benjamin.L 31 août 2007 à 13:41 (CEST)
  • section "dualité des héros": analyse non sourcée Fait Benjamin.L 30 août 2007 à 15:35 (CEST)
  • section "analyse": analyse non sourcée
Bradipus Bla 25 août 2007 à 10:59 (CEST)
Si je puis me permettre concernant :
  • le chapitre ellipse, effectivement peut-être conviendrait-il mieux de qualifier cette ellipse comme enchaînement audacieux ou enchaînement direct si on ne veut pas le qualifier subjectivement (en musique on dirait qu'il s'agit une dissonance sans préparation à la manière de Claude Debussy), plutôt que comme une spécificité. Et là je pense que ce paragraphe devient une constatation quasi-objective qui n'appelle pas tant de commentaires.
  • le chapitre "dualité des héros", déjà la qualification de "héros" pose tout de même question, peut-on qualifier les personnages qui sont présentés comme des "héros" au sens étymologique de "demi-dieux" ? Cela peut se défendre si l'on considère le titre du film "une odyssée de l'espace" (je prends la traduction littérale à dessein), l'Odyssée étant typiquement une épopée au sens aristotélicien (Poétique (Aristote)), ceci peut se défendre, mais si l'on considère chacun des protagonistes dans leur action, le seul qui me semble convenir à la destinée épique, c'est le cosmonaute joué par Ker Dullea, les autres me semblent plutôt des figures et l'article note d'ailleurs avec justesse une étrange passivité qui ne correspond pas exactement à la définition du héros.
De même la dualité me semble renvoyer à l'aspect tragique du récit, le seul genre où l'on trouve des héros en proie à la dualité, c'est la tragédie : Oedipe, Hamlet, Macbeth, Othello etc. Et si l'on observe l'arc tragique du film, le véritable personnage de la tragédie, s'il doit s'en trouver, ce serait à nouveau le cosmonaute, pris entre le respect de la mission qu'on lui a confié et sa propre survie, pour les autres il semble qu'il faudrait plutôt parler d'ambivalence.
Si l'on voulait établir un caractère encyclopédique au titre du chapitre peut-être conviendrait-il déjà pour commencer d'intituler ce chapitre : ambivalence des protagonistes, et en sous chapitre : dualité du héros, si jamais il se trouve une spécificité à son égard.--Gihel C. 25 août 2007 à 14:38 (CEST)
C'est pour cela que j'ai ajouté cela dans la partie discussion, comme un appendice. Je me garderai bien de toucher à l'article et cette contribution peut même disparaître de la discussion je n'en prendrai pas ombrage. Il va de soi que mon analyse est personnelle, elle résulte d'un regard personnel sur l'oeuvre - cela fait un moment que je fais cela, la référence que je peux fournir c'est celle de ma thèse de troisième cycle sur l'espace cinématographique : "LES MOTIFS DE PERCEPTION VISUELLE DE L'ESPACE EN PROFONDEUR DES IMAGES ANIMÉES PLANES AU CINÉMA ET A LA TÉLÉVISION, LEUR VARIATION SUIVANT LA TECHNIQUE DE DIFFUSION DE L'IMAGE"

Référence : 88PA010561. Donc je fais l'hypothèse d'un lien avec McLuhan simplement à la vue des images (et à l'audition du son), il y a quelques années de cela : je vois l'ellipse et je pense au medium comme prolongement du corps : symboliquement l'idée de Mcluhan était comme traduite directement à travers le geste et l'ellipse, mais effectivement c'était une interprétation. Cependant, en cherchant des livres sur le sujet, je découvre l'existence de celui de Jérôme Agel, sur 2001 précisément, or à la même époque avait-il édité celui de McLuhan. Bizarre coïncidence confirmée plus récemment par deux biographies de cet auteur, celle de Philip Marchand « The Medium and the Messenger » publié chez Ticknor& Fields (NY) en 1989 qui décrit ceci - la traduction est approximative je vous prie de bien vouloir m'en excuser : « Au même moment, d'autres étoiles des mass-media sollicitèrent McLuhan à New-York. Stanley Kubrick organisa une projection privée pour la famille McLuhan de son nouveau film 2001 : une odyssée de l'espace. Par malchance McLuhan détestait la science-fiction : c'est peut-être habile, pensait-il mais c'est loin de ce que l'art peut apporter comme richesses perceptives. Sa fille Teri le retint de quitter la salle au bout de dix minutes de projection, mais le film ne changea pas son opinion sur le genre. Au beau milieu, la valse de Strauss était ponctuée de ronflements (McLuhan eut la même réaction en face des projets d'avant-garde, des montages multi-écrans dont il se découvrit le sujet à New-York). » Quand on lit Mcluhan le point de vue sur la science-fiction est beaucoup plus nuancé que le biographe le laisse entendre, le canadien cite de lui-même Robert A. Heinlein, qu'il a visiblement lu, et j'en passe d'autres. La biographie de W. Terrence Gordon, intitulée “Escape to understanding” et publiée en 1997 chez Basic Books, New-York, décrit la scène ainsi : « Les Mcluhan furent invités à une projection privée, personnelle, du film de Stanley Kubrick, 2001, avant que celui-ci ne soit distribué en salles, mais dix minutes suffirent pour plonger McLuhan dans l'ennui. Ce n'est que sur l'insistance de Teri qu'il resta jusqu'à la fin, somnolant la plupart du temps. C'était une réaction typique de sa part, que cet aphorisme résume : “comme il est plaisant d'avoir l'avant-garde derrière soi.” » Puis l'auteur de la biographie cite cette autre phrase : « Qu'est-ce que tout cela a à voir avec mon travail ? » Il est bien possible que le film réponde de lui-même à la question, et il semble bien que l'avant-garde ait été bien proche si ce n'est devant.

Il semble clair que Stanley Kubrick a dû être profondément blessé du résultat de la projection, visiblement c'était un hommage qu'il voulait lui rendre : avant la sortie publique, organiser une projection privée réservée d'un film aussi cher à tous points de vue, cela ne me semble pas anodin. D'où l'idée naturelle de se demander : qu'est-ce qui attirait Kubrick dans la lecture de McLuhan, notamment le livre « pour comprendre les medias » paru en 1964 ?

Il est évident que McLuhan n'en a jamais parlé, pas plus que Kubrick, et sans doute devait-il regretter plus tard son attitude qui résultait d'un préjugé (à cette époque l'opération de sa tumeur au cerveau datait de quelques mois), les textes dont je reproduis un court extrait le démontrent, on pourrait prendre d'autres exemples, il est dit dans le corps de l'article que l'un des deux cosmonautes est gaucher : dans le travail de McLuhan il y avait cette notation sur les deux hémisphères du cerveau qu'il attribuait pour l'une à la civilisation visuelle et séquentielle et l'autre aux civilisations orales et intuitives, - être gaucher c'est percevoir le monde sous un autre angle - et dans le film il est évoqué cette dualité entre l'intuition, ou plutôt une sensation impalpable, et la logique. Cependant vous avez raison, cela mérite au préalable une publication écrite, c'est un projet que j'ai mais il est à longue haleine parce que je veux publier en une seule fois l'ensemble de mes cours de scénario et de mise en scène.

Je rajoute un petit appendice humoristique, entre tous ces médias prolongation du corps : l'os qui s'élance dans le ciel et le vaisseau spatial qui retombe dans la nuit, il y a bien quelque chose que Kubrick glisse malicieusement un prolongement de même forme et qui flotte pareillement : un stylo. Un stylo que l'hôtesse s'empresse de ranger dans la poche de son utilisateur endormi.

--212.198.189.1 23 août 2007 à 18:22 (CEST).

[modifier] Un joli exemple pour mémoire...

Digression bourée de fôtes révertée par Gonioul. Digression qui nous permet de constater que Kubrick était vraiment un visionnaire: qui d'autre que lui aurait été capable de synchroniser, en 1968, son film avec un morceau de musique sorti en 1971 Mort de rire Bradipus Bla 11 octobre 2007 à 22:54 (CEST)

Ce n'est pas parce qu'un "morceau de musique" (des Pink Floyd tout de même... et de 20 minutes) est publié en 1971, qu'il n'a pas été composé 3 ans plus tôt pour Kubrick. Cette rumeur persiste, et je pense qu'il n'est pas inutile de la connaître. Poke2001 14 octobre 2007 à 01:32 (CEST)

[modifier] Suppression

Je viens de voir qu'un autre utilisateur avait supprimé toute une partie de l'article car il l'a jugeait trop peu objective. J'ai annulé cette modification , non que je le désapprouve totalement mais parceque je pense qu'une décision de cette ampleur doit avant tout etre discutée avant d'etre appliquée. Je précise que ce n'est pas moi qui ait rédigé cette partie supprimée. En attendant vos reactions... Benjamin.L 08 décembre 2007 à 15:11 (CEST)

Vu le contenu, la suppression était largement justifiée. keriluamox reloaded (d · c) 8 décembre 2007 à 16:57 (CET)
Et j'ai resupprimé: je comprend ta réaction en un sens, mais en fait il a tout à fait raison, tout ce texte, pas inintéressant, est non sourcé et est donc a priori un travail inédit interdit sur WP. Tout le monde peut s'exercer à la philo de comptoir sur 2001, et certaines analyses peuvent être intéressantes, mais si elles n'ont pas été publiées dans une source vérifiable, elle doivent être supprimées. Il y aurait d'ailleurs encore du travail sur cet article Clin d'œil Bradipus Bla 8 décembre 2007 à 16:58 (CET)
Le problème aussi, c'est qu'il y a un copyvio de http:// cine-passion.site.voila.fr/f2/odysee.htm , donc pas question de le remettre (voir même faire une purge d'historique). Flot2 (d) 8 décembre 2007 à 17:11 (CET)
Mais qui a copié? Lors de sa création le 26 avril 2006 (http:// web.archive.org/web/*/http:// cine-passion.site.voila.fr/f2/odysee.htm) , la page de Cinépassion copie la page de WP du 13 avril 2006. Si je ne m'abuse, ce site est géré par un ex-contributeur dont on ne veut plus entendre parler (et dont le site est blacklisté). Bradipus Bla 9 décembre 2007 à 12:10 (CET)
Devant vos justifications la suppression me paraît légitime. Si jamais quelqu un veut la contester par la suite il n aura qu a expliquer ses raisons ici. Et bien maintenant...il va falloir se mettre au travail pour rédiger un petit texte pour remplacer l'ancien (car le son et la musique sont tout de meme importants dans 2001). J'essaierai de le faire au cours du prochain mois.Benjamin.L 09 décembre 2007 à 12:45 (CEST)
C'est moi qui avait effectué la première suppression. Je ne suis pas le Père Fouettard, et ce passage était vraiment intéressant, mais bon, dura lex sed lex. Par ailleurs, ça serait vraiment une bonne idée de sourcer la section "Interprétation" de manière un peu plus rigoureuse (trois notes de bas de page, c'est quand même pas lourd). Pourquoi ne pas s'inspirer de la version anglophone de l'article? Mrbluesky (d) 1 mai 2008 à 22:56 (CEST)

[modifier] Exégèse musicale

Le fait que J.Strauss est antérieur à R.Strauss est effectivement facile à vérifier, mais le fait que Kubrick aie volontairement utilisé cette inversion chronologique pour "ajouter du mystère" reste à démontrer, et surtout à sourcer. Ceci est un pur hasard, sans signification, et l'interprétation de ce hasard est une exégèse qui relève du travail inédit. Il est évident que cette exégèse ne peut subsister dans l'article que si elle est vérifiable, ce qui n'est pas le cas actuellement.

J'ajouterais que l'utilisation de la musique de Ligeti, plus moderne encore que les Strauss, pour illustrer le monolithe qui date de temps immémoriaux, est une inversion temporelle encore plus brillante et qui ajoute un mystère encore plus insondable Clin d'œil. Qu'en pense le reste de la communauté qui suit cet article ? --Jean-Christophe BENOIST (d) 20 mai 2008 à 11:20 (CEST)

parfaitement, bravo ! ajoute-le ;-) --Axel (d) 21 mai 2008 à 19:05 (CEST)

Je partage ton avis sur le fait qu'il s'agit, faute de référence, d'un travail inédit d'analyse (Brunok (d) 20 mai 2008 à 13:59 (CEST))

bah oui, mais inédit est-il synonyme d'inintéressant ou de dénué de sens ? la remarque apporte-t-elle quelque chose ? (pour moi oui...) --Axel (d) 21 mai 2008 à 19:05 (CEST)

Là n'est pas la question. Même si ton exégèse était objectivement foudroyante et géniale (ce qu'elle n'est pas), c'est tout simplement incompatible avec WP:TI et WP:V. As-tu au moins lu ces deux pages ? Pourquoi contribuer à un projet dont tu refuses de respecter les règles les plus essentielles ? Si on accepte ce genre d'exégèse inédite dans cet article (ou dans d'autres), alors comment traiter et gérer les mégatonnes d'exégèses inédites qui peuvent être faites sur ce film, et qui pourraient être mises ici par n'importe qui. Sur quel(s) critère(s) les juger ?

mais justement, il serait peut etre intéressant de les entendre, non ??? (voir aussi ce que j'ai dit sur ma page de discussion) --Axel (d) 22 mai 2008 à 17:23 (CEST)

Je suis inquiet que tu ne perçoive pas l'absolue nécessité pour WP de respecter ces deux règles. Si tu n'es pas convaincu par les deux pages que j'ai citées, et par mes propres arguments, il faudrait qu'un administrateur te les répète, avec des arguments qui peuvent être plus percutants.

et bien justement, j'aimerais beaucoup avoir un avis officiel ... personne ne peut trancher ? il n'y a pas de comité des sages ? de modérateur ? on ne peut pas demander un arbitrage ? --Axel (d) 22 mai 2008 à 17:23 (CEST)

--Jean-Christophe BENOIST (d) 21 mai 2008 à 19:52 (CEST) Tout au plus Kubrick y aura vu une opportunité, sans source c’est de la spéculation,

mais bon sang, c'est une constatation OBJECTIVE : les musiques SONT dans cet ordre !!! --Axel (d) 22 mai 2008 à 17:23 (CEST)

pourquoi ne pas reformuler la phrase plutôt sur "une musique mystérieuse et insondable" sans faire mention de cette inversion ? --Proto 21 mai 2008 à 20:15 (CEST)

ah ben non, justement, là ça devient du charabia psycho-bidule... Le seul intérêt c'est l'inversion justement !!!

@ Axel mais inédit est-il synonyme d'inintéressant ou de dénué de sens ?, dans le cadre de wikipédia, on s'en fout. LA règle est simple, pas de travail inédit WP:TI, et aucune objection possible à cela. En l'état, j'ai posé un {{refnec}} sur la phrase en question, car si ça se trouve, il peut exister des sources. Mais si aucune source ne peut etre trouvée (ce qui me semble probable, vu que tu avoues toi meme que c'est ton analyse), je repasserai pour supprimer cette phrase. Cordialement, Maloq causer 21 mai 2008 à 20:47 (CEST)

merci, ça me parait déjà moins stalinien ! --Axel (d) 22 mai 2008 à 17:23 (CEST)

Déplacement de commentaire ayant coupé la discussion [1]:

merci quand meme ! --Axel (d) 22 mai 2008 à 17:23 (CEST)

D'accord avec Maloq, application d'un principe de base de wikipédia. Sans source notable rapidement trouvée, à supprimer de l'article. Bradipus Bla 22 mai 2008 à 18:28 (CEST)