Varennes (Québec)

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45° 41′ 00″ N 73° 26′ 00″ W / 45.683338, -73.433338

Varennes

Image:Blason Varennes QC CA.jpg

   
Administration
Pays
Province
Canada Canada
Québec Québec
Région Montérégie
Comté ou équivalent Lajemmerais
Statut municipal Ville
Arrondissements {{{arrond}}}
Fondateur
Date de fondation
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Constitution 26 août 1972
Maire
Mandat en cours
Michel Tremblay
2005 - 2009
[ Site officiel de Varennes]
Démographie
Population 20 902 hab. (2007)
Densité 219 hab./km2
Gentilé Varennois(e)
Langue(s) officielle(s) {{{lang}}}
Géographie
Altitudes minimale : {{{mini}}} m.
maximale : {{{maxi}}} m.
Superficie 93,96 km2
Fuseau horaire UTC{{{fuse}}}
Indicatif {{{tel}}}
Code géographique 59020
Latitude
Longitude
45° 41′ 00″ Nord
         73° 26′ 00″ Ouest
/ 45.683338, -73.433338
Localisation de Varennes
Lieux d’intérêts
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Varennes est une ville du Québec qui fut fondée par René Gaultier en 1672, située dans la municipalité régionale de comté de Lajemmerais, dans la région administrative de la Montérégie. En 2007, la population de la ville était de 20 902 habitants.[1]


Sommaire

[modifier] Histoire

L'histoire de Varennes commence avec l'arrivée du régiment de Carignan-Salières. René Gaultier, sieur de Varennes, reçoit deux concessions de la part du grand intendant Jean Talon. Il est à noter que René-Gaultier est le grand-père de sainte Marguerite d'Youville. Jaques René, le fils de René Gaultier fut le 2e seigneur de Varennes. Cinq seigneuries formèrent plus tard ce qui devint la paroisse de Varennes soient les seigneuries du Cap de Varennes, de l'île Sainte-Thérèse, de Grand Maison, du Cap de la trinité et du Cap Saint-Michel. La ville fut conquise par les Britanniques pendant la guerre de Sept Ans, fit partie de la "Province of Québec" puis du Bas-Canada jusqu'en 1867, date de la création de la confédération canadienne.

En 1837, Louis-Joseph Papineau, faisant l'objet d'un mandat d'arrêt pour haute trahison en raison de ses activités patriotiques trouve refuge à Varennes avant de s'exiler aux États-Unis. [2]

Au milieu du XIXe siècle, Varennes était connu comme une station balnéaire. On y retrouvait un hôtel et différentes installations de villégiature. Les Sœurs grises y avaient aussi un hospice. Une source d'eau salée émergeait près de ces installations. À partir de la fin du XIXe siècle jusqu'au début des années 1970, une compagnie Montréalaise, Gurd, embouteilla cette eau salée qu’elle distribuait sous le nom « Vée de Vée », qui rappelle les initiales de la ville de Varennes.

En 1950, le syndicaliste Michel Chartrand installe sa famille dans une modeste demeure sise au 135-A de la rue Ste-Anne. À cette époque, Michel Chartrand est très actifs au sein de mouvements syndicaux.

En 1971, l'Institut de Recherche en Électricité du Québec (IREQ) s'implante à Varennes. Elle entraînera l'arrivée de nombreuses autres entreprises et instituts liés au domaine de l'énergie. CANMET, l'INRS - Énergie et Matériaux - et ABB en sont des exemples. Varennes représente maintenant un important pôle d'innovation en technologique énergétique en Amérique du Nord.


[modifier] Chronologie d'événements

  • 1692 Nomination de Claude Volant, premier curé résidant;
  • 1693 Ouverture des registres de la paroisse;
  • 1780 Construction de l'église Sainte-Anne;
  • 1827 Ouverture du premier bureau de poste de Varennes;
  • 1832 Érection canonique de la paroisse Sainte-Anne;
  • 1848 Constitution de la municipalité du village de Varennes;
  • 1854 Arrivée des Soeurs de Sainte-Croix pour assurer l'éducation des filles;
  • 1854 Fondation du Collège Saint-Paul. Il fût confié à cette époque aux Frères de Saint-Joseph;
  • 1855 Constitution de la municipalité de la paroisse de Sainte-Anne-de-Varennes;
  • 1881 Bénédiction (inauguration) de l'Hospice des Soeurs-Grises par Mgr Fabre. Celle-ci était située près de La Saline, une source d'eau minérale qui coulait à Varennes;
  • 1887 Construction du couvent des Soeurs de Sainte-Croix. En 1972, ce bâtiment deviendra l'Hôtel de Ville;
  • 1899 Prise en charge du Collège St-Paul par les Frères des écoles chrétiennes;
  • 1944 Fondation de la Caisse Populaire de Varennes;
  • 1972 Fusion des municipalités de Sainte-Anne-de-Varennes et de Varennes pour former la ville de Varennes;
  • 1993 L'église Sainte-Anne est déclarée basilique mineure;
  • 1997 Ouverture de l'école secondaire Le Carrefour;
  • 2007 Fermeture de l'école primaire J.P. Labarre.
  • 2008 Fermeture de l'usine Pétromont

[modifier] Personnalités natives de Varennes

  • sainte Marguerite d'Youville (1701-1771) Fondatrice des Soeurs de la Charité de Montréal mieux connue sous le nom de Soeurs grises. Elle a été béatifiée en 1953 par Jean XXIII et Jean-Paul II la canonisa en 1990.
  • Théodore Robitaille (1834-1897) Lieutenant-gouverneur de la province de Québec de 1879 à 1884. Il a par la suite été sénateur.
  • Sylvain Grenier (1977-) Lutteur de la WWE
  • Marc-André Perron (1988-) Gardien de but des Cataractes de Shawinigan.
  • Marie-Mai ( 1984-) Chanteuse
  • Marianne Jodoin ( 1993-) Joueuse de tennis, championne canadienne chez les 16 ans et moins

[modifier] Curés de Varennes

Voir l'article consacré à la paroisse Sainte-Anne-de-Varennes

[modifier] Maires de Varennes (à compléter)

[modifier] Village de Varennes

  • Marc-Amable Girard de 1862 à 1871
  • Napoléon Duschesnois de 1882 à 1886

[modifier] Ville de Varennes (depuis 1972)

  • Louis-Philippe Dalpé de 1979 à 1988
  • Jean Robert de 1988 à 2005 (a été candidat libéral dans Verchères durant l'élection partielle de 2005)
  • Michel Tremblay de 2005 à ce jour

[modifier] Les cadets de Youville

Il existe le corps de cadet de la marine royale canadienne (172 Youville) qui tire son nom de Marguerite d'Youville (CCMRC 172 Youville)

[modifier] Éducation

[modifier] Écoles primaires

La ville de Varennes est desservie par 5 écoles primaires publiques.


École primaires publiques
Nom Nombre d'élèves en 2007 Année d'ouverture
Marie-Victorin 173 1962
de la Source 377 1994
la Roseraie 272 (À compléter)
les Marguerites 271 (À compléter)
du Carrousel 267 1997

Une sixième, l'école Labarre, a accueilli ses derniers étudiants lors de l’année scolaire 2006-2007. Elle sert aujourd'hui à la formation des adultes. On y retrouve aussi le Centre éducatif Chante Plume, institution scolaire privée offrant le niveau primaire.

[modifier] Écoles secondaires

L'école publique le Carrefour accueille en 2007 environ 850 élèves, provenant de Varennes, Verchères et Calixa-Lavallée. Elle est ouverte depuis 1997. Elle offre les niveaux de secondaire 1, 2 et 3. Les élèves poursuivent généralement leur secondaire 4 et 5 à la polyvalente de Mortagne de Boucherville.

Le collège St-Paul de Varennes est une institution privée fondée en 1854 par Mgr Désautels, curé de la paroisse. Il fut d'abord confié au Frères de Ste-Croix, puis à des prêtres séculiers pour enfin, en 1899 être mis sous la responsabilité des Frères des écoles chrétiennes.

[modifier] Culture et loisirs

La bibliothèque Jacques-Lemoyne-de-Sainte-Marie dispose d'une collection de plus de 68 00 documents (livres, revues, CD, journaux, etc.). Son catalogue est accessible par Internet.

La Société d'Histoire de Varennes de concert avec ses membres et la ville de Varennes fait la promotion de son histoire et de son patrimoine. Le site de cette société peut être consulter au lien suivant : Société d'Histoire de Varennes.

Plusieurs institutions publiques ou privées favorisent le développement artistique à Varennes, comme l'organisme VarennArt (diffusion, organisation d’événements), l'école de musique Haute-Gamme et l'Académie des Arts et Beaux-Arts. Le Collège St-Paul dispose aussi d'une salle de spectacle de 475 sièges. Les cerfs-volants Coriolis offrent un vaste choix de produits et activités publiques tel le festival international de cerfs-volants "Un ciel, un monde".

Quant aux infrastructures sportives, la population a accès à un aréna (l'aréna Louis-Phillipe Dalpé), de nombreux terrains de soccer répartis dans 5 parcs, 4 terrains de baseball, 6 terrains de tennis, 8 terrains de Volleyball et des terrains de football. Depuis 2006, le parc du carrousel est équipé d'une surface synthétique pour le soccer et le football. En hiver, les Varennois disposent de 5 patinoires avec bandes, de 2 circuits glacés et de pistes de ski de fond.

Plusieurs associations sportives permettent aux jeunes de pratiquer de façon organisée leurs activités sportives. On retrouve particulièrement :

  • Association de hockey mineure de Varennes
  • Association de baseball mineur de Varennes
  • Association de football de Varennes
  • Association de soccer de Varennes
  • Club de patinage artistique de Varennes
  • Club de taekwondo de Varennes inc.
  • Club de judo de Varennes

Pour les activités nautiques, une rampe de mise à l'eau et un quai fédéral sont à la disposition des citoyens.

[modifier] Activités culturelles

Depuis 2006, les services récréatifs et culturels de Varennes organisent l’activité « Les Grands Airs de Varennes » présenté par Loto-Québec. Cet événement festif se veut un rassemblement de fans du cerf-volant. Durant 4 jours ces amateurs peuvent venir admirer ces grands oiseaux artificiels. On peut assister à des démonstrations, à des compétitions et des ballets aériens de cerfs-volants. On y voit aussi des démonstrations de parapente et de ski cerfs-volants. Des espaces sont aussi mis à la disposition des artistes locaux afin de leur permettre de présenter et vendre leurs œuvres. Enfin, des spectacles et autres événements spéciaux agrémentent les soirées.

[modifier] Monuments historiques et architecture

[modifier] Basilique Sainte-Anne de Varennes

L'érection canonique de la paroisse Sainte-Anne eut lieu en 1725.

L'église actuelle à été érigé entre 1884 et 1887. Elle est la troisième église à avoir été érigée sur ces lieux. Les plans sont des architectes Henri-Maurice Perrault et Albert Mesnard. D'architecture éclectique, elle présente un mélange de style roman, byzantin et gothique.

Elle à été désigné basilique mineure en 1993 par le pape Jean-Paul II.

[modifier] Sanctuaire Marguerite d'Youville

Construit sur le site ou vivait Marguerite d'Youville ce sanctuaire constitue un lieu de culte et de pélérinage. Il fût construit en 1961 selon les plans de l'architecte André Ritchot. Les vitraux de façade datent de 1985 et sont l'oeuvre de Claude Bettinger de Saint-Ignace-de-Loyola au Québec. Le sanctuaire est situé près de l'église.

[modifier] Calvaires

On appel calvaire une croix de chemin sur laquelle est suspendu un christ. Le calvaire de Varennes, situé à l'extrémité est de la rue Ste-Anne, représente aussi les deux brigands qui ont été crucifiés aux côtés de Jésus. Sa date d'érection est plutôt confuse. Selon le site internet de la ville de Varennes Toponymie de Varennes, il daterait de 1767 et serait attribué au sculpteur Michel Brisset. Par contre, selon le site Grand Québec.com, il daterait de 1829 . La confusion vient peut-être du fait qu'il a été reconstruit en utilisant les statuts de l'ancien.

Il fut classé monument historique en 1962.

[modifier] Chapelle de procession Sainte-Anne

Cette chapelle de procession fut construite en 1862 selon les plans de l'architecte montréalais Victor Bourgeau. Elle serait la plus grande chapelle de procession du Québec. Une chapelle de procession est généralement consacrée à un saint ou destinée à la procession du Saint-Sacrement.

La chapelle fût classée monument historique en 1981.

[modifier] Chapelle de procession Saint-Joachim

Elle fut classée monument historique en 1981.

[modifier] Hangar à grain Jodoin

Situé au 4681 rang de la Baronnie, il fut construit durant le première moitié du XIXe siècle. On y entreposait diverses variétés de grains. Il fut classé monument historique en 1983.

[modifier] Maison Brien-dit-Desrochers

[modifier] Maison Joseph-Petit-dit-Beauchemin

Elle fût classée monument historique en 1984. Elle fut incendiée en 2005.

[modifier] Transports

La ville de Varennes est desservie par deux grands axes routiers soit l'autoroute 30 aussi appelée Autoroute de l'Acier et la route 132 qui la traverse littéralement. De plus la route 229 relie la ville à Sainte-Julie via le parc industriel scientifique.

Le transport en commun est assuré par le Conseil intermunicipal de Transport Sorel-Varennes qui permet de se déplacer vers le Cegep Édouard-Montpetit et le métro Longueuil à toute heure du jour via 3 lignes.

Une voie ferrée du Canadien National traverse Varennes sans toutefois offrir de service de transport aux citoyens. Elle sert principalement au transport de matériaux et dessert le parc industriel chimique.

[modifier] Démographie

En 2007 la ville comptait 20 902 habitants. Varennes en comptait pourtant à peine 5 000 en 1980. C'est le boom immobilier des années 80 et début 90, causé par l'exode massif des montréalais vers les banlieues jumelé à un bas taux de taxation et une faible valeur des terrains, qui en est responsable. En 2007, la croissance avait ralenti beaucoup en raison du manque de terrains disponibles et de la hausse de la valeur des maisons. Cette hausse est principalement due à la tendance des "secteurs de prestige" où les maisons qui s'y construient doivent posséder une valeur minimale fixe et généralement hors de prix pour les familles à revenus moyens.

[modifier] Économie

[modifier] Secteur industriel

La ville de Varennes comporte deux parcs industriels. Le premier est dédié à l'industrie chimique. Il est situé le long du fleuve Saint-Laurent et de la route 132. On y retrouve principalement les entreprises suivantes :


  • Dow Chemical spécialisé dans la fabrication et la distribution de produits chimiques dont les produits de marque Ziploc.
  • Les Alcools de Commerce spécialisé dans la production de différents types d'alcools, plus particulièrement l'éthanol
  • Kronos Canada qui fabrique des pigments de bioxyde de titane
  • Pétromont spécialisé dans le polyéthylène haute densité et les produits pétrochimiques de base (oléfines). Elle a cependant annoncé la fermeture le 12 février 2008 de ses deux usines de Varennes et de Montréal-Est, créant ainsi au total, quelques 325 pertes d'emplois.


Le second parc est dédié à la recherche scientifique dont il constitue l'un des principal centre au Québec. Selon le site de la MRC de la Jammerais, il est l'un des 7 parcs du Québec et l'un des 200 dans le monde reconnu par l'Association internationale des parcs scientifiques (IASP). Il est situé le long du boulevard Lionel Boulet, nommée ainsi en l'honneur du fondateur de l'IREQ, entre l'autoroute 30 et la route 132. On y retrouve principalement les institutions suivantes :

  • IREQ Institut de recherche d'Hydro-Québec
  • INRS Institut national de recherche scientifique - Énergie et Matériaux. À partir de 1986, l'INRS a exploité pour fin de recherche un réacteur Tokamak. Faute de fonds et de recherches fructueuses, celui-ci cessa ses activités en 1998 et fût démantelé en 1999.
  • Asea Brown Boveri (ABB) centre de recherche et de fabrication de transformateurs. L'usine de Varennes fût inaugurée en octobre 1971 par le premier ministre québecois de l'époque Robert Bourassa. À ce moment l'entreprise s'appelait ASEA. L'usine fût construite pour la fabrication des transformateurs à 735 kV requis par Hydro-Québec qui fut le premier producteur d'électricité au monde à construire une ligne de cette puissance. Aujourd'hui l'usine est toujours la seule en Amérique du Nord à fabriquer ce type de transformateur. Elle exporte prêt de 80% de sa production.
  • CANMET - Varennes, laboratoire de recherche en énergie solaire et gazière
  • CITEQ laboratoire de recherche en transport de l'énergie

[modifier] Secteur commercial

Bien que plutôt restreint, le secteur commercial subit une certaine expansion depuis 2005. Les principaux pôles commerciaux se situent au centre-ville (axe de la route 132, entre la rue de l'Aqueduc et la montée de Picardie), sur le boulevard René-Gaultier, à l'intersection de la route 132 et de la rue de la Gabelle, ainsi qu'à l'intersection des routes 132 et 229. Les principaux commerces sont constitués principalement de super marchés, de pharmacies, de chaînes de restauration rapide et de stations services avec dépanneurs.

Plusieurs institutions financières sont présentes à Varennes dont une succursale de la Banque nationale du Canada, de la Banque Royale et de la Banque de Montréal. On y retrouve évidemment le mouvement Desjardins avec la caisse populaire de Varennes. Cette dernière fut fondée en 1944 par le chanoine André Beauregard qui fut curé de Varennes de 1942 à 1962.

[modifier] Quelques données

  • Nombre de parcs et espaces verts : 17
  • Nombre d'écoles primaires : 1 privée et 5 publiques
  • Nombre d'écoles secondaires : 1 privée et 1 publique
  • Commission scolaire : Des Patriotes
  • Nombre de commerces et d'industrie au 1er janvier 2004 : 418
  • Nombre d'emplois au 1er janvier 2005 : 7 135
  • Nombre de centres de recherches : 15
  • Division territoriale : 8 districts électoraux
  • Nombre d'unités de logements au 1er janvier 2004 : 7 482
  • Taux de taxe foncière de base : 0,883 $ / 100 $ d'évaluation
  • Superficie : 94 km²

[modifier] Villes jumelées


[modifier] Municipalités limitrophes

Repentigny,
Fleuve Saint-Laurent
Verchères
Montréal, Fleuve Saint-Laurent N Saint-Amable
O    Varennes    E
S
Boucherville Sainte-Julie
Enclave:

[modifier] Notes

  1. Estimation de la population des municipalités de 15 000 habitants et plus au 1er juillet des années 1996, 2001, 2006 et 2007
  2. Voir l'excellent texte de Sophie Geoffrion intitulé "16 novembre 1837 - Le conciliabule de Varennes" sur le site Les patriotes de 1837@1838

[modifier] Sources

[modifier] Liens externes

Autres langues