Sherlock Holmes

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Sherlock Holmes
Personnage de Les Aventures de Sherlock Holmes
Image:Sherlock Holmes - The Man with the Twisted Lip.jpg
Sherlock Holmes
Origine Sherlock Holmes par Sidney Paget
Genre Mâle
Créé par Arthur Conan Doyle
Roman(s)

Sherlock Holmes est un personnage de roman policier créé par Sir Arthur Conan Doyle en 1887 (date de publication du premier roman(Une étude en rouge) A study in Scarlet où le personnage apparaît). Sherlock Holmes doit beaucoup au docteur Joseph Bell, professeur en chirurgie, dont les déductions étonnantes sur les patients et leurs maladies impressionnaient Doyle. Il est fréquemment accompagné du Docteur Watson. Sherlock Holmes apparaît dans quatre romans et 56 nouvelles qui forment ce qu'on appelle le canon. Cependant, en 1959, d’après un sondage de la BBC, 59 % des Britanniques croyaient qu’il avait réellement existé.


Sommaire

[modifier] Un détective excentrique

Né en 1854 selon les suppositions les plus courantes (aucune date n'est en effet citée) en un lieu non déterminé, descendant de petits propriétaires terriens et petit-neveu du peintre Horace Vernet, Sherlock Holmes est un célibataire endurci, plutôt misogyne, dont le seul parent connu est son frère aîné Mycroft, un des piliers du Diogenes Club et qui occupe des fonctions importantes auprès du gouvernement anglais. Le docteur Watson, son ami et biographe est la seule personne qui partage son intimité.

Watson : « Holmes me fit un résumé des événements. » Illustration de Sidney Paget dans le Strand Magazine (1892) pour La Flamme d'argent dans Les mémoires de Sherlock Holmes.
Watson : « Holmes me fit un résumé des événements. » Illustration de Sidney Paget dans le Strand Magazine (1892) pour La Flamme d'argent dans Les mémoires de Sherlock Holmes.

Il réside au 221b Baker Street, à Londres où il exerce la profession de détective privé conseil (consulting detective) . Il a commencé son activité en 1878 et rencontre le docteur Watson en 1881 ou 1882 et avoue avoir effectué un millier d’enquêtes en 1891[réf. nécessaire]. Après une disparition étrange en 1891 (appelé le Grand Hiatus), liée à son affrontement avec le professeur Moriarty, il reprend du service de 1894 jusqu’en 1903. Il reçoit la Légion d’honneur en 1894, mais refuse le titre de chevalier en 1902.

Grand, mince, élégant mais négligent, vivant de façon bohème, Holmes est un fumeur invétéré (cigarette, cigare et pipe), un sportif accompli (baritsu, boxe et escrime), un mélomane averti qui pratique le violon, un médiocre mangeur. Il ne supporte pas l’oisiveté, qui l’épuise et ne vit que pour son travail, pendant les moments où il ne peut travailler, il est parfois amené à se droguer (cocaïne et morphine), mais il en profite aussi pour compléter la culture encyclopédique nécessaire à sa profession.

Égotiste, cet esprit supérieurement intelligent supporte difficilement la lenteur d’esprit chez autrui ; artiste et doué pour les déguisements, il est toujours en représentation aimant surprendre ses clients et son excellent ami Watson. Il n’apprécie guère la police officielle et n’hésite pas à bafouer la loi lorsqu’elle lui paraît peu compatible avec la justice. Le rang de son client lui importe moins que l’intérêt de son affaire. Bien que prétendant mépriser la notoriété, il ne s’oppose en rien à la publication de certaines de ses enquêtes par Watson qui contribue à lui donner une renommée considérable. S’il méprise l’argent et n’hésite pas à enquêter pour des gens modestes, il reçoit néanmoins des récompenses importantes de grands personnages qui lui permettent de prendre sa retraite confortablement.

Sherlock Holmes résout les mystères par un processus en trois étapes : l’observation des indices, l’induction et la synthèse logique.

À l'origine, Sir Conan Doyle avait prévu d'appeler son détective Sherrinford Holmes (notes manuscrites conservées à la British Library de Londres).

[modifier] Le grand hiatus

Période comprise dans la fiction entre 1891 (pseudo-mort de Holmes) et 1894 et sa réapparition, et dans l'oeuvre de l'auteur de 1893 à 1903. Cette période de trois ans sans aventures où tout le monde croit que la mort du héros est due à la volonté de sir Arthur Conan Doyle de faire disparaitre son personnage : en effet Conan Doyle bien que devenu célèbre grace à ces aventures, aspirait au changement. Après avoir écrit un grand nombre de nouvelles (et deux romans), il désirait passer à autre chose et de ce fait décida de supprimer Sherlock Holmes purement et simplement. Il lui écrivit donc une fin digne de ce nom (racontée dans Le Problème final(1893). Holmes ayant enfin trouvé un ennemi à sa mesure, en la personne du professeur Moriarty, n'a d'autre moyen pour le vaincre qu'un combat singulier avec lui et en définitive tombe avec lui dans les chutes de Reichenbach (Suisse), ayant ainsi vaincu son ennemi au sacrifice de sa vie. Pour Conan Doyle à ce stade tout est terminé, seulement il n'avait pas compté sur l'engouement du public et la disparition de son héros fit des remous : on lui réclame Sherlock Holmes à grands cris. Pendant dix ans Conan Doyle tient bon, il écrit d'autres romans et l'on n'entend plus parler de Sherlock Holmes, à l'exception du roman Le Chien des Baskerville (The Hound Of Baskerville), qu'il écrit en 1902, pour satisfaire le public, et puis, finalement, en 1903 il cède sous la pression d'un éditeur qui lui propose une grosse somme d'argent en échange de nouvelles aventures, et c'est la parution du recueil Le Retour de Sherlock Holmes (The Return Of Sherlock Holmes) qui commence par « la maison vide »(The Empty House), nouvelle qui explique que si Holmes à survécu à sa chute, c'est qu'en réalité il n'est jamais tombé ...

[modifier] Le mythe holmésien

Panoplie de Holmes : loupe, pipe et chapeau
Panoplie de Holmes : loupe, pipe et chapeau

Rapidement adopté par le public, dès la publications de ses premières aventures dans The Strand Magazine, Sherlock Holmes est devenu un personnage de légende au point qu'aujourd'hui, encore, il fait l'objet d'une véritable adoration. De nombreuses études lui ont été consacrées et les nouvelles de Conan Doyle ont fait l'objet de nombreuses adaptations télévisées.

[modifier] Les études holmésiennes (ou « holmésologie »)

Le personnage de Sherlock Holmes a servi de prétexte à un canular littéraire qui dure depuis près d’un siècle : la création d’une science nouvelle, nommée holmésologie ou « études holmésiennes ». Des centaines d’ouvrages ont été rédigés sur le sujet.

Le but avoué de cette discipline est de retracer la vie et l'œuvre du détective à partir des écrits du Docteur Watson, ami et hagiographe de Holmes.

Alors que certaines invraisemblances et contradictions dans l'œuvre de Conan Doyle ne s’expliquent que par le fait que celui-ci a écrit ces aventures sur une période de près de 40 ans, la holmésologie prétend trouver dans les écrits de Watson les « véritables » raisons de ces hiatus.

Exemples de contradictions et d’invraisemblances ayant donné lieu à ces travaux :

  • La femme de Watson l’appelle James dans une aventure, alors que son prénom est John.
  • Dans une aventure, Watson affirme avoir été blessé à la jambe, dans une autre, c’est au bras.

[modifier] Le pionnier : Ronald Knox

En 1911, Ronald Knox donne à l'Université d'Oxford une conférence qu'il publiera peu après sous le titre Essai sur la littérature de Sherlock Holmes. Il y prend, avec humour, le parti de considérer comme réels les récits où apparaît Holmes, les tenant pour véritablement écrits par le docteur Watson.

Cela l'amène à tenter de résoudre certaines contradictions flagrantes entre les récits, lorsque par exemple, dans L'aventure de l'homme à la lèvre tordue, Watson se fait appeler « James » par sa femme, alors qu'il se prénomme « John » dans tous les autres récits. De même, il relève que la procédure d'un mariage, célébré dans Un scandale en Bohème, et la matière d'un examen d'université, qui se déroule dans L'aventure des trois étudiants, ne sont pas conformes à la réalité.

En outre, Ronald Knox essaie de rétablir la chronologie véridique des aventures narrées au fil des publications du Strand Magazine, puisque cet ordre de parution ne correspond manifestement pas à l'ordre dans lequel les différentes enquêtes sont censées s'être succédé.

[modifier] Développement des études holmésiennes

Quand cet essai sur la littérature de Sherlock Holmes est réédité, dès 1928, l'écho qu'il suscite est immense. C'est Sidney Roberts, un représentant de l'Université de Cambridge, « rivale » de celle d'Oxford, qui répliquera à Knox, devenu dans l'intervalle prélat catholique, par une Note sur le problème de Watson (1929) et un essai intitulé Dr. Watson, prolégomènes à un problème biographique (1931). Il sera suivi par T. S. Blakeney (Sherlock Holmes : fait ou fiction ?, 1932), par H. W. Bell (Sherlock Holmes et le Dr. Watson, une chronologie de leurs aventures, 1932) et par Vincent Starrett (La Vie privée de Sherlock Holmes, 1934).

Depuis, on ne compte plus les études du même genre parues de part et d'autre de l'Atlantique. La bibliographie des essais et des livres écrits à ce sujet remplissait déjà 5 forts volumes en 1994 et s'accroît de jour en jour. Christopher Morley, fondateur de la société des Irréguliers de Baker Street, a dit, paraphrasant Churchill[1] : « Jamais autant n'a été écrit par autant d'hommes à l'attention de si peu ».

Au sens large, les études holmésiennes comprennent, bien entendu, également l'analyse de l'œuvre de Conan Doyle du point de vue de l'histoire littéraire ou scientifique, ce dernier aspect ayant été traité par un savant aussi remarquable qu'Edmond Locard.

[modifier] Les sociétés holmésiennes

Très tôt, ces exégètes humoristes ont ressenti le besoin de se rencontrer pour partager le verre de l'amitié et discuter de vive voix les controverses sur la vie de leur personnage fétiche. C'est pourquoi se créèrent successivement, au début des années 1930, la Société Sherlock Holmes de Londres et les « Irréguliers de Baker Street » de New York. Cette dernière association tire son nom de la bande de gamins des rues occasionnellement employée par Sherlock Holmes pour lui servir d'indicateurs, qui sont ses yeux et ses oreilles dans Londres. Dès lors, elle a essaimé à travers les États-Unis, où pratiquement chaque ville abrite un club se réclamant des Baker Streets Irregulars.

Après les États-Unis, ce sont le Japon et la Grande-Bretagne qui comptent le plus de sociétés holmésiennes.

[modifier] En France, en Suisse et en Belgique

La Société Sherlock Holmes de Londres a organisé en 1968 un premier pèlerinage en Suisse sur les traces de son héros. On sait, en effet, que le détective a disparu en mai 1891 dans les chutes du Reichenbach, près de Meiringen. Il ne devait réapparaître, sain et sauf, qu'en 1894, causant le saisissement que l'on devine à sa logeuse, Mme Hudson, et à son ami le docteur Watson. On peut aussi mentionner La disparition de Lady Frances Carfax, dont l'action se déroule en partie à Lausanne.

Depuis, c'est devenu une tradition pour les Britanniques de traverser la Suisse en costume victorien, notamment en 1987, à l'occasion du centenaire de la création de Sherlock Holmes. À cette époque fut créée une association suisse-allemande de jeunes admirateurs de Sherlock Holmes, nommée les « Reichenbach Irregulars ».

Cependant, aucune société de ce type n'a été fondée dans le monde francophone avant 1984, quand naquit la Société des amis d'Henri Fournaye (baptisée ainsi d'après un personnage des aventures de Holmes). En 1993, la Société Sherlock Holmes de France prit le relais de la Société des amis d'Henri Fournaye, qui fut dissoute. En référence à une aventure de Sherlock Holmes, elle est aussi nommée « Les quincailliers de la Franco Midland ». Sa structure parodiant une activité commerciale, elle possède des « succursales » à travers toute la France, en Belgique et en Italie.

Suivit la création d'une société alsacienne, « Les évadés de Dartmoor », de la « Société d'études holmésiennes de la Suisse romande », du « Cercle littéraire de l'escarboucle bleue » (Toulouse) et du « Cabinet du patient résidant » (Pau).

Le 18 février 2006 a été fondée la Société Sherlock Holmes de Belgique, sous le nom de "Peloton des cyclistes solitaires".

[modifier] Le 221b Baker Street

L’adresse de Sherlock Holmes est mondialement connue : 221b Baker Street. Mais cela n’aide pas à situer la maison.

Le principe consistant à avoir un côté pair et un côté impair dans une rue n’est en effet pas très ancien. Il n’a été rendu obligatoire en Europe continentale que par Napoléon Ier (l’idée de mur métrique n’apparaît que plus tard encore). Londres n’a pas été concernée par cette obligation et n’a adopté ce système qu’après la fin de la Première Guerre mondiale, soit bien après l’emménagement du docteur Watson décrit dans Une étude en rouge, où l’adresse est déjà le 221b. Conan Doyle ne mentionne aucun changement de dénomination de la célèbre adresse par la suite.

Il existe aujourd’hui à Londres deux maisons de Sherlock Holmes ouvertes à la visite du public moyennant finances, et qui n’ont bien entendu pas plus de réalité historique que la « cellule d’Edmond Dantès » que l’on fait visiter au Château d'If. On expose dans chacune des pièces d’intérêt divers, tels que cinq pépins d’orange.

[modifier] « Élémentaire, mon cher Watson »

Bien que cette phrase soit aujourd'hui immédiatement associée à Sherlock Holmes, il ne l'a prononcée dans aucune des histoires écrites par Arthur Conan Doyle[2]. Certains avancent cependant que cette phrase est une traduction de la formule anglaise «It was the simplicity itself» (= «C'était la simplicité même», l'équivalent en français de «Simple comme bonjour») présente notamment dans «Une étude en rouge» et «Le signe des quatre». Il se peut aussi qu'elle ait été inventée par le cinéma, au début du parlant. Nous pouvons par contre citer cette phase de Sherlock Holmes à Watson dans Le chien des Baskerville: «Curieux, mais élémentaire!»

[modifier] L'exposition de 1951

En 1951 eut lieu à Londres, dans le cadre du Festival of Britain, une exposition très complète consacrée à Sherlock Holmes. Y figurait notamment une reconstitution détaillée du salon du détective, tel qu'il est décrit dans l'œuvre de Sir Arthur Conan Doyle, créateur du personnage. Parmi les objets présentés se trouvaient de nombreuses pièces authentiques ayant appartenu à Sir Arthur Conan Doyle ou à l'illustrateur Sidney Paget.

[modifier] Le Musée de Lucens

En 1965, Adrian (Malcom) Conan Doyle, le fils d'Arthur Conan Doyle, inaugurait dans son château de Lucens, en Suisse, un musée consacré au personnage créé par son père.

Dans les années 1960, Adrian Conan Doyle avait en effet acheté le Château de Lucens, où il s'établit jusqu'à sa mort en 1970. Dans une cave du château, il avait reconstitué le salon de Sherlock Holmes, à l'instar de ce qui avait été fait lors du Festival of Britain, y plaçant des meubles et objets ayant appartenu à son père. Un petit musée attenant à cette salle présentait en outre d'autres pièces en relation avec le célèbre détective et avec la vie de Sir Arthur Conan Doyle. « Jack » (Cyril Tranfield) Thorne, qui avait œuvré à l'exposition de 1951, fut engagé à cet effet et ne ménagea pas sa peine pour recréer l'esprit de l'œuvre de Sir Arthur à travers ce musée.

Ce musée, actuellement propriété de la Fondation Sir Arthur Conan Doyle, a été déménagé en 2001 dans des locaux mis à disposition par la Commune de Lucens (« Maison rouge », en face de l'hôtel de ville). Il y bénéficie de locaux plus vastes et mieux aménagés qu'au temps où il se trouvait dans le château. Le salon de Sherlock Holmes y reste exposé à l'identique. Quant au reste de l'exposition, il est présenté de manière plus rationnelle et plus didactique que précédemment, dans un décor victorien reconstitué.

[modifier] Bibliographie

Holmes selon Sidney Paget
Holmes selon Sidney Paget

L’ensemble des aventures écrites par Arthur Conan Doyle comporte quatre romans et cinquante-six nouvelles, que les holmésiens nomment le « canon ».

[modifier] "Canon"

[modifier] Ouvrages « apocryphes »

Nombreux, ils visent plus à rendre hommage au célèbre détective qu’à pasticher l'auteur, sauf exception (voir plus bas). La qualité littéraire de chacun est très variable, certains semblant être sortis de Conan Doyle. D'autres, plus loufoques, s'écartent beaucoup du corpus Holmésien original. Certains autres reprennent des personnages secondaires, comme Mme Hudson, Mycroft Holmes ou même Irene Adler.

  • La Solution à sept pour cent, où Holmes rencontre le docteur Sigmund Freud, de Nicholas Meyer
  • L'horreur du West End, où Holmes rencontre Oscar Wilde et Bram Stoker, de Nicholas Meyer
  • Sherlock Holmes et le Fantôme de l'Opéra de Nicholas Meyer
  • Elementaire, mon cher Holmes de Albert Davidson enquête autour d'un manuscrit maudit (variation sur le theme du Dr Jeckill et Mr Hyde)
  • Sherlock Holmes contre Jack l'eventreur d'Ellery Queen
  • L’Étrange affaire du chat de madame Hudson, où le physicien Colin Bruce lui fait redécouvrir par la déduction - et présenter - toute la physique moderne. Traduit par Alain Bouquet et dont un chapitre est disponible au format PDF.
  • Elementaire, mon cher Watson, de Colin Bruce où ce sont les mathématiques, par la logique et les probabilités qui interviennent dans les douze enquêtes.
  • L'Instinct de l'équarisseur, de Thomas Day
  • Marx et Sherlock Holmes, suivi par Einstein et Sherlock Holmes d'Alexis Lecaye
  • Sherlock Holmes et l'apicultrice, une série en 3 tomes écrite par Laurie King, où Sherlock Holmes rencontre Mary Russell et en fait son apprentie : Sacrifier une reine, Le cercle des héritières et Une lettre de Marie-Madeleine.
  • L'affaire Holmes-Dracula et Dracula et les spirites, de Fred Saberhagen, horreur-fantastique comme il se doit.
  • Les dossiers secrets de Sherlock Holmes et Les carnets secrets de Sherlock Holmes de June Thomson
  • La vie privée de Sherlock Holmes de Michael et Mollie Hardwick
  • Histoires secrètes de Sherlock Holmes de René Reouven
  • Enquête sur Sherlock Holmes de Bernard Oudin
  • Le rat géant de Sumatra de Richard Boyer
  • Les vacances de Sherlock Holmes de Martine Ruzé-Moëns
  • L'ultime défi de Sherlock Holmes, où Holmes affronte une fois de plus Jack l'éventreur, de Michael Dibdin
  • Le crime étrange de Mr Hyde et Les hommes de cire de Jean-Pierre Naugrette
  • Sherlock holmes et les fantômes, Sherlock Holmes revient et la série Sherlock Holmes et les espions du Kaiser de Yves Varende
  • Sherlock Holmes revient de André-Paul Duchâteau
  • Le secret de la pyramide Sherlock Holmes adolescent de Alan Arnold
  • Elémentaire , ma chère Sarah Sherlock Holmes au Brésil de Jô Soares
  • Sherlock Holmes en échecs de Raymond Smullyan
  • Le mandala de Sherlock Holmes de Jamyang Norbu
  • Sherlock Holmes Memorial de Jacques Baudou et Paul Gayot
  • Bonne Nuit Mr Holmes de Carole Nelson Douglas
  • Mémoires de Mary Watson de Jean Dutourd
  • Les aventures d'Enola Holmes de Nancy Springer où Enola est la sœur cadette de Mycroft et Sherlock.
  • Le secrétaire italien de Caleb Carr
  • Sherlock Holmes en orbite , anthologie de Mike Resnick et Martin H Greenberg
  • Un rival pour Sherlock Holmes, Wiggins et Sherlock contre Napoléon de Béatrice Nicodème, romans de littérature jeunesse dont le héros est le jeune Wiggins.
  • Sherlock Holmes dans la collection Bibliothèque verte chez Hachette Jeunesse par Allen Sharp
  • Sherlock Holmes dans la collection « Un livre dont vous êtes le héros »
  • Les Nombreuses vies de Sherlock Holmes, collectif proposant des études sur le personnage ainsi que des nouvelles apocryphes.
  • Le testament de Sherlock Holmes de Bob Garcia
  • La Liste des sept et Les 6 messies, deux romans fantastiques de Mark Frost, dont le personnage principal est Conan Doyle accompagnant un personnage qui est censé lui avoir inspiré Sherlock Holmes.
  • Sherlock Heml'os mène l'enquête de Jim Razzi, série de livres-jeux où l'enquêteur est un chien
  • Les Abeilles de monsieur Holmes de Mitch Cullin, la retraite de Sherlock Holmes

[modifier] Pastiches

Quelques auteurs ont repris les codes du roman policier selon Conan Doyle, pour le pasticher. C’est le cas de :

[modifier] Études

  • Enquête sur Sherlock Holmes, de Bernard Ourdin.

[modifier] Adaptations des aventures de Sherlock Holmes

[modifier] Voir aussi

[modifier] Notes et références

  1. Qui avait déclaré à propos du rôle des pilotes de la Royal Air Force pendant la bataille d'Angleterre « Never in the field of human conflict was so much owed by so many to so few. »
  2. Enquête sur Sherlock Holmes, de Bernard Ourdin. Chapitre II, page 28 Éditions Découvertes Gallimard

[modifier] Articles connexes

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Sir Arthur Conan Doyle

Docteur House partie Gregory House et Sherlock Holmes

[modifier] Liens externes