République démocratique allemande
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Deutsche Demokratische Republik ((de)) (République démocratique allemande) |
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1949 — 1990
République socialiste |
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Localisation de l'Allemagne de l'est (en vert) dans l'Europe de l'époque |
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Proclamation de la République démocratique | 7 octobre 1949 | ||||||
Réunification avec l'Allemagne de l'Ouest | 3 octobre 1990 | ||||||
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Capitale | Berlin-Est | ||||||
Langue(s) | Allemand | ||||||
Religion | {{{religion}}} | ||||||
Superficie | 108 333 km² | ||||||
Population | 16 111 000 hab. (est. 1990) | ||||||
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PIB | {{{pib}}} | ||||||
PIB/hab. | {{{pib hab}}} | ||||||
Monnaie | Mark est-allemand | ||||||
Fuseau horaire | +1 (été +2) | ||||||
Domaine internet | .dd (réservé mais jamais utilisé ; supprimé en 1990 et remplacé par celui de la RFA, .de) | ||||||
Indicatif téléphonique | 37 | ||||||
Devise | {{{devise}}} | ||||||
Hymne | Auferstanden aus Ruinen | ||||||
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La République démocratique allemande (RDA, ou DDR en allemand pour Deutsche Demokratische Republik ; aussi appelée Allemagne de l'Est) est un ancien État européen qui a existé du 7 octobre 1949 au 3 octobre 1990 qui fut intégré à l'Allemagne de l'Ouest lors de la réunification allemande, le 3 octobre 1990.
Sommaire |
[modifier] Géographie
Issue de la zone d'occupation dévolue aux troupes soviétiques lors du partage territorial effectué au terme de la Seconde Guerre mondiale.
Cette zone correspondait à l'est de l'Allemagne dans ses frontières de 1937, amputée les teritoires située à l'est de la Ligne Oder-Neisse qui furent annexés par la Pologne et l'URSS.
Le territoire de la RDA était bordée par la Pologne à l'est, la Tchécoslovaquie au sud, la République Fédérale d'Allemagne à l'ouest et les côtes de la Mer Baltique au nord.
En son centre se trouvait l'enclave ouest-allemande de Berlin-Ouest, cernée par les 155 km du Mur de Berlin (dont 43,1 km sur sa longueur intra-berlinoise).
Son point culminant se trouvait alors dans le massif des monts Métallifères, à la frontière tchécoslovaque, au Fichtelberg (1 214 m d'altitude).
[modifier] Frontière inter-allemande
Les 1 393 km de frontière avec l'Allemagne de l'ouest constituait une des parties les plus surveillée du "Rideau de fer". Ses installations de sécurité qui occupaient pas moins de 344 km² en territoire est-allemand, étaient équipées de 80 500 km de barbelés et 2 230 000 mines. Les 14 000 soldats et 600 chiens qui étaient affectés en permanence à sa surveillance pouvaient tirer sans sommation contre toutes personnes qui tentaient de la franchir.
[modifier] Histoire
[modifier] Politique
[modifier] Président de RDA
[modifier] Présidents du Conseil d'État de la RDA
À la mort de Wilhelm Pieck, la fonction de "Président de RDA" (Präsident der DDR) fut supprimée et remplacée par une présidence collégiale le "Conseil d'État de la RDA" (Staatsrats der DDR) dont la présidence fut assurée par :
- Du 7 septembre 1960 au 1er août 1973 : Walter Ulbricht
- Du 3 octobre 1973 au 29 octobre 1976 : Willi Stoph
- Du 29 octobre 1976 au 23 octobre 1989 : Erich Honecker
- Du 24 octobre 1989 au 7 décembre 1989 : Egon Krenz
- Du 7 décembre 1989 au 18 mars 1990 : Manfred Gerlach
- Du 18 mars 1990 au 3 octobre 1990 (réunification allemande) : Lothar de Maizière
[modifier] Présidents du Conseil des Ministres
- 1949 - 1964 : Otto Grotewohl
- 1964 - 1973 : Willi Stoph
- 1973 - 1976 : Horst Sindermann
- 1976 - 1989 : Willi Stoph
- 1989 - 1990 : Hans Modrow
- 1990 : Lothar de Maizière
[modifier] Divisions administratives
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De 1949 à 1952, le territoire était divisé en cinq Länder : Brandebourg, Mecklembourg, Saxe, Saxe-Anhalt et Thuringe. En 1952, la forme férérale de l'état est abandonnée et ces Länder sont supprimés. Le teritoire est-allemand est alors divisé en 15 Bezirke (districts) :
- District de Berlin
- District de Dresde
- District de Karl-Marx-Stadt
- District de Leipzig
- District de Gera
- District de Erfurt
- District de Suhl
- District de Halle
- District de Magdebourg
- District de Cottbus
- District de Potsdam
- District de Frankfort
- District de Neubrandenbourg
- District de Schwerin
- District de Rostock
Lors de la réunification (Wiedervereinigung), le 3 octobre 1990, les cinq anciens Länder sont reconstitués, avec toutefois quelques modifications de frontières et des changements de dénomination (ainsi le "Mecklembourg" devînt "Mecklembourg-Poméranie occidentale"). Ces länder furent désignés sous le terme de "nouveaux États fédéraux" (Neue Bundesländer). La ville de Berlin fut également rénifiée et forme aujourd'hui un Land à part entière.
[modifier] Armée
L'Armée nationale populaire (NVA) (Nationale Volksarmee - NVA) créé en 1956 après la Bundeswehr ouest-allemande, avait en 1983 un effectif total de : 170 000 hommes (toutes armes confondues). Elle était intègrée au dispositif militaire du Pacte de Varsovie dont elle constituait l'un des éléments majeurs.
[modifier] Économie
[modifier] Les structures
En 1945, les soviétiques exproprient dans leur zone d'occupation les grands propriétaires terriens (les Junkers) possédant plus de 100 ha, les nazis et les criminels de guerre, afin de redistribuer la terre aux paysans. Ceux-ci garderont leurs titres de propriété obtenus à la suite de cette réforme agraire, et entre 1952 et 1960, ils se regrouperont en coopératives (Landwirtschaftliche Produktionsgenossenschaft, LPG) comptant parfois plusieurs milliers d'hectares.
A l'issue du conflit mondial, il y avait sur le territoire de la future République démocratique allemande 30% de l'industrie allemande (détruite à 45%). La socialisation des moyens de production fut demandée par de larges franges de la population. Le 30 juin 1946, au référendum dans le Land de Saxe où étaient concentrés les deux cinquièmes de la production industrielle de la zone d’occupation soviétique, 77,62 % des électeurs se sont prononcés pour l’expropriation sans indemnisation des meneurs nazis et des criminels de guerre. Dans l’ensemble de l’Allemagne, jusqu’au début de 1948, 9 281 entreprises industrielles et commerciales de meneurs nazis et de criminels de guerre, dont 3 843 entreprises industrielles, ont été nationalisées sans indemnisation. Elles réalisaient alors environ 40 % de la production industrielle. Parmi les grandes entreprises nationalisées se trouvaient les trusts électriques AEG et Siemens, le trust Flick, IG Farben et d’autres monopoles. Les entreprises nationalisées devenaient propriété des Länder.
En février 1945, Staline, Roosevelt et Churchill se réunissent à Yalta, ils s’entendent pour estimer le montant des réparations à 20 milliards de dollars, dont plus de la moitié au profit de l’URSS. L’Allemagne ne peut payer cette somme. C’est pourquoi les Soviétiques, en application des Accords de Potsdam (17 juillet-2 août 1945), qui les ont autorisés à prélever jusqu'à 40 % de l’équipement industriel de leur zone, se payent sur le terrain : des voies ferrées sont arrachées, les machines-outils mises en pièces détachées, des usines sont démontées ; le tout est expédié en URSS. Le président des Etats-Unis, Harry Truman, se faisant le porte-parole des vainqueurs, a déclaré : «Le premier objet des réparations est d’enlever à l’Allemagne tout ce qui peut lui permettre de préparer une nouvelle guerre». Cette volonté, formalisée dans les accords de Potsdam, permet aux Soviétiques de transférer 600 usines d’armement sur leur territoire. Deux cents autres restèrent en Allemagne où elles devinrent des sociétés anonymes soviétiques qui participèrent à la reconstruction de la RDA. Les Soviétiques et les nouveaux dirigeants de ce qui allait devenir la RDA, d’une part, veillent à l’application des dispositions prévues à Yalta et à Potsdam, et d’autre part, prennent des mesures en faveur du peuple. Dans le même temps, ils sont contraints de prendre de sévères mesures d’épuration à l’égard de la population.
La planification, la priorité accordée aux industries lourdes et le contrôle du commerce sont mis au service de la construction du socialisme. A l’occasion des élections, les partis forment une liste unique, le Front national. Les citoyens votent pour des députés qui ont été préalablement choisis par les instances politiques afin d’assurer une représentation proportionnelle des différents partis. De fait, la SED, est le parti qui a la primauté. En 1949, la RDA se dote d’une constitution. Elle respecte le principe du centralisme démocratique. Le pouvoir législatif échoit à la Chambre du peuple, composée de 500 députés élus pour quatre ans. Le pouvoir exécutif est assuré par le Conseil des ministres, élu pour la même durée par la Chambre du peuple et dirigé par un praesidium. Cette Constitution prévoit une présidence de la République. En 1960, la fonction sera remplacée par un organe de type collégial, le Conseil d’État.
Après la guerre les conditions de vie de la population sont très mauvaises, l’économie a subi une ponction énorme, ses habitants voient arriver 3 millions d’expulsés ; les paysans qui ont bénéficié de la réforme agraire sont encore mal équipés. En dépit de ces handicaps, la RDA lance un défi : la production industrielle doit doubler en cinq ans, la production agricole augmenter de plus de 50% par an. Pour aider les agriculteurs, un système d’entraide est créé, chargé de leurs trouver des moyens financiers et techniques.
L’Allemagne de l’Est invente : les usines deviennent des « entreprises possédées par le peuple », les commerces s’appellent « coopératives de production de commerce » ; etc. A partir de 1952, la multiplication des coopératives agricoles, est très rapide : de 240, leur nombre passe à 4 000 l’année suivante. Pour arriver à ce résultat, il a fallu procéder à une véritable liquidation de la classe des paysans riches : 40 000 d’entre eux quittent la RDA au printemps 1953. Ce départ provoque une crise importante.
A cette crise, s’ajoute une lutte idéologique au sein de la SED entre les partisans et les adversaires de la « ligne dure ». Méconnaissant l’ampleur du mécontentement populaire, le gouvernement impose une augmentation de 10% des normes de travail.
A la suite des multiples incidents liés aux émeutes populaire qui suivent cette mesure, le bureau politique annonce un assouplissement, sans renoncer à sa réforme pour apaiser la population : amélioration des biens de consommation, augmentation des assurances sociales, accélération de la construction de logements. Les normes de travail sont ramenées au niveau de 1953.
La RDA devient la deuxième puissance économique du bloc de l'Est, après l'URSS : comme la Bohème (intégrée à la Tchécoslovaquie), l'Allemagne était en 1939 bien plus avancée que des pays agraires et alors arriérés comme la Roumanie ou la Pologne. La RDA compte de très bons ingénieurs, de très bon chimistes, d'excellents ouvriers mécaniciens et un tissu industriel assez complet.
Conformément à la répartition socialiste des tâches, le nouvel État se spécialise dans l'extraction de la lignite, l'optique (appareils photos en particulier, dont notamment la partie "est" des fameux établissements Carl Zeiss situés à Jena), la chimie (Bitterfeld). Elle aurait atteint ainsi le 8e rang mondial en terme de PNB dans les années 1970, mais ce chiffre peut être remis en question, les sources étant peu dignes de confiance.
Cependant le niveau de vie des Allemands de l'Est était bien l'un des meilleurs du bloc soviétique, juste derrière la Hongrie réformiste de Janos Kadar. Les HLM, pas plus lugubres que ceux de nos banlieues, sont bien chauffés, la pénurie, limitée, est supportable. Le centre de Berlin-Est, sans avoir la richesse de l'Ouest, ne donne pas l'impression de misère que l'on peut voir, par exemple, à Bucarest : la circulation est relativement dense, les magasins, contrairement à ce que l'on voit en Pologne, ne sont pas totalement vides. Mais si, après une période de croissance incontestable, la RDA fait illusion à l'aune du Comecon, l'échec de la planification socialiste amorce bientôt la crise qui aboutira à la chute du système: l'appareil productif viellissant, la bureaucratie, le gaspillage, le retard technologique croissant sur l'Ouest se traduira par les même problèmes que dans les autres pays de l'est : pénurie chronique de bien de consommation, files d'attente devant les magasins, tickets de rationnement, infrastructures vétustes, monnaie au taux de change artificiel, etc. Bien que soutenue à bout de bras par des prêts massifs de la RFA, la "République démocratique", comme le reste du bloc socialiste, est, à la fin des années 80, en faillite.
La célèbre voiture Trabant (surnommée par dérision Rennpappe = carton de course), illustre ce sous-développement: conçue pour faire pièce à la Coccinelle, dans un pays qui avant 1939 fabriquait de très belles voitures, ce vehicule équipé d'un moteur deux temps n'a connu en quarante ans que des changements mineurs et est resté à côté de la Wartburg le seul modèle de voiture en RDA. De plus la production était insuffisante et les commandes soumises à des délais de 10 à 20 ans, parfois attribuées "au mérite" !
Lors de la réunification, alors que les Ossis se jettent littéralement sur les supermarchés de l'Ouest, le monde découvre l'envers du décor affiché par la RDA pendant 40 ans : un pays pollué, des habitations et infrastructures à refaire entièrement, une industrie obsolète, en retard de plusieurs décennies sur celle de l'Ouest. Aujourd'hui encore, la réhabilitation de l'ex-RDA est loin d'être terminée.
[modifier] La monnaie
- De 1949 à 1964 : Deutsche Mark (ne pas confondre avec le Deutsche Mark de l'Allemagne de l'ouest ou République fédérale d'Allemagne).
- De 1964 à 1967 : Mark der Deutschen Notenbank.
- De 1967 à 1990: Mark der DDR, "Ostmark"
- Après le 1er juillet 1990 (union monétaire): Deutsche Mark de la RFA.
[modifier] Le sport
Comme la plupart de ses homologues du bloc de l'Est, le régime de la RDA utilise le sport comme arme de propagande et d'identité nationale. L'État développe des structures tentaculaires de détection et formation des jeunes talents dans toutes les disciplines et particulièrement dans les sports "olympiques" (athlétisme, natation), n'hésitant pas à pratiquer systématiquement le dopage pour décrocher médailles et titres. L'image des nageuses est-allemandes aux épaules d'haltérophiles et à la voix grave ("Elles sont ici pour nager, pas pour chanter !" répondait leur entraîneur à une remarque d'un journaliste occidental), personnifiée par Kornelia Ender aux Jeux Olympiques de 1976, est encore dans toutes les mémoires. Le sport est-allemand peut cependant s'enorgueillir de quelques authentiques exploits. En athlétisme, par exemple, le record du monde du 400 m dames (47,60) établi par Marita Koch en 1985 tient encore à ce jour. Surtout, une génération entière d'Allemands d'un certain âge garde le souvenir de l'historique victoire de la RDA sur la RFA (1-0, but de Jürgen Sparwasser) à Hambourg, le 22 juin 1974, au premier tour de la Coupe du Monde de football, lors de la seule rencontre qui ait jamais eu lieu entre les deux équipes nationales allemandes.
[modifier] Après la réunification
Les habitants de l'ancienne RDA ont souvent eu du mal à s'adapter au niveau de vie de la RFA à cause de la différence des salaires et des prix entre les deux anciennes Allemagne. Certains anciens Est-Allemands ont la nostalgie de l'époque où l'État socialiste assurait la culture et la sécurité du peuple, même si ce n'était pas selon les critères de confort occidentaux. Cette nostalgie orientale est appelée en Allemagne l'Ostalgie (jeu de mots entre Ost - est et Nostalgie). Le film Good bye, Lenin! est une illustration de cette nostalgie. L'ex-Allemagne de l'Est souffre surtout d'un chômage important (19,4% en Saxe, par exemple), de logements vétustes non encore rénovés (p. ex. les grandes barres d'immeubles), d'un exode des populations vers les Länder de l'Ouest (la population est tombée à 13,8 millions d'habitants en 2002), et de troubles sociaux tels que l'émergence des néo-nazis et boneheads (skinheads nazis). Certains quartiers deviennent de véritables zones de non-droit (que les néo-nazis appellent "territoire national libéré"). Ce mouvement reçoit parfois la compréhension de certains habitants ou policiers. À côté de ce sombre tableau, il y a aussi d'importants progrès comme l'implantation de nombreuses usines automobiles à l'Est, en particulier en Saxe. Ainsi, la luxueuse Volkswagen Phaeton est produite à Dresde dans une usine bâtie en partie en verre, au design futuriste. De même, BMW a aussi construit une nouvelle usine à Leipzig.
[modifier] Symboles et fête nationale
- Emblème : Le marteau, le compas et les gerbes de blé rappellent l'une des désignations de la RDA, la "patrie des ouvriers et des paysans (Arbeiter- und Bauernstaat)". Cet emblème est placé dès 1959 au centre du Drapeau de l'Allemagne, devenant ainsi le drapeau officiel de la RDA.
- Fête nationale : Tag der Republik (jour de la République) le 7 octobre.
- Hymne national : Auferstanden aus Ruinen.
[modifier] Musée
À deux pas de l'Alexanderplatz, un musée permet s'imprégner de l'atmosphère de cette vie de tous les jours. C'est un musée interactif où l'on peut toucher d'authentiques objets provenant de l'ancienne RDA : on peut même s'installer au commande d'une "Trabi" et partir pour un voyage virtuel à travers Berlin-est.
[modifier] Voir aussi
- Culture
- Cinéma : voir Histoire du cinéma allemand
- Théâtre : voir ...
- Littérature : voir Littérature germanique
[modifier] Notes et références
- Heinz HEITZER, La RDA, aperçu historique, éditions Verlag zeit im bild, Dresde, 1981 ;
- article sur la RDA, XXe siècle, encyclopédie du monde contemporain, éditions Larousse, 1974 ;
- Une économie stable gage de sécurité, la RDA dans sa 35e année, éditions Zeit im Bild, 1984.
[modifier] Liens
[modifier] Liens internes
- Allemagne
- SED
- Stasi, Ministerium für Staatssicherheit
- Palais de la République (Allemagne)
- Mur de Berlin - Rideau de fer
- Liste des pays du monde
- Liste des pays disparus
- Éducation en RDA
[modifier] Liens externes
- Bibliographie internationale sur le 17 juin 1953 La litérature sur le soulèvement d'ouvriers en RDA
- Histoire des drapeaux est-allemands (site bilingue anglais/allemand)
- Berlin-Est Past and Present