Gabon

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République gabonaise (fr)
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Drapeau du Gabon Armoiries du Gabon
(Détails) (Détails)
Devise nationale : Union, Travail, Justice
Langues officielles Français
Capitale Libreville
0°23'08N, 26°58'56E
Plus grande ville Libreville
Forme de l’État
 - Président
République
Omar Bongo Ondimba
Superficie
 - Totale
 - Eau (%)
Classé 75e
267 667 km²
Négligeable
Population
 - Totale (2001)
 - Densité
Classé 148e
1 207 844 hab.
4,6 hab./km²
Indépendance
 - Date
de la France
17 août 1960
Pays limitrophes Cameroun Cameroun
 Congo
Guinée équatoriale Guinée équatoriale
Gentilé Gabonais, Gabonaise
Monnaie Franc CFA (XAF)
Fuseau horaire UTC +1
Hymne national La Concorde
Domaine internet .ga
Indicatif
téléphonique
+241
Carte du Gabon
Carte du Gabon
Carte topographique du Gabon
Carte topographique du Gabon

La République gabonaise ou Gabon est un pays situé à l'ouest de l'Afrique centrale, sur l'équateur, faiblement peuplé. Voisin du Congo-Brazzaville, de la Guinée équatoriale et du Cameroun, c’est un pays forestier où la faune et la flore sont encore bien conservées. Anciennement impliqué dans le commerce triangulaire, puis colonie française, le Gabon est indépendant depuis 1960.

Sommaire

[modifier] Histoire

Icône de détail Articles détaillés : Histoire du Gabon et Chronologie du Gabon.

Le peuplement du Gabon s'est fait par vagues successives d'immigration, jusqu'au XIXe siècle, de Pygmées puis plus massivement de Bantous, de nos jours majoritaires. C'est lors de ce processus qu'accostèrent au XVe siècle les premiers européens, des Portugais. Le nom du Gabon lui vient d'ailleurs de ces premiers colons : Gabão en portugais signifie "caban", en rapport avec la forme de l'Estuaire qui borde les côtes de Libreville. La France occupa le Gabon progressivement à partir du milieu du XIXe siècle. Le Gabon acquit son indépendance le 17 août 1960.

[modifier] Politique

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Le Gabon a un régime présidentiel. Le premier président de la République gabonaise fut Léon Mba. Le second et actuel président est Omar Bongo Ondimba depuis 1967. Entre 1968 et 1990, son pouvoir fut clairement dictatorial, s'appuyant sur un parti unique, le parti démocratique gabonais (PDG). Suite à l'agitation politique qui frappa une bonne partie du continent africain après la chute du Mur de Berlin, Bongo dut se résoudre à autoriser le multipartisme dans son pays. Depuis, il se maintient au pouvoir, élection après élection. Ses opposants contestent régulièrement la régularité des scrutins organisés, la corruption et le népotisme du régime.

[modifier] Subdivisions

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Le Gabon est divisé en 9 provinces, dirigées chacune par un gouverneur, elles-mêmes subdivisées en départements dépendant d'un préfet et, parfois, en districts, dépendant d'un sous-préfet. Certains Gabonais présentent, en plaisantant, la Guinée Equatoriale, comme le "G10", la dixième province du Gabon.Et les Camerounais disent aussi que le Gabon est la onzième province du Cameroun.

[modifier] Géographie

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Le Gabon étant situé sur l'équateur, son climat est de type équatorial, c'est-à-dire chaud et humide, avec une alternance de saisons sèches et de saisons des pluies au cours de l'année. On distingue trois régions : les plaines côtières (larges de 20 à 300 km), les massifs montagneux (monts de Cristal au nord-est de Libreville, le massif du Chaillu au centre, culminant à 1575 mètres au mont Iboundji), et les plateaux. Le fleuve le plus important est l'Ogooué, long de 1200 km. 85% du territoire est recouvert par la forêt.

Icône de détail Pour plus d'infos voir aussi Forêt du Bassin du Congo

[modifier] Principaux cours d'eaux

Hydrographie du Gabon.
Hydrographie du Gabon.
fleuve longueur bassin
Ogooué 1 200 km 215 000 km²
Nyanga 600 km 22 000 km²
Komo (ou Como) 230 km 5000 km²

Le bassin hydrographique de l'Ogooué couvre l'essentiel du territoire gabonais. C'est la raison pour laquelle cinq des neuf provinces administratives portent son nom. Néanmoins, c'est l'estuaire du Komo (ou Como), petit fleuve du nord du pays qui a d'abord attiré les Européens au Gabon, plutôt que le delta marécageux de l'Ogooué. Il existe d'autres fleuves au Gabon, comme la Nyanga ou la Ngounié dans les provinces du même nom. Au nord, le Ntem sert de frontière avec le Cameroun.

[modifier] Faune et flore

La faune et la flore du Gabon sont d'autant plus remarquables que la forêt équatoriale y est encore relativement bien préservée. Elle pourrait d'ailleurs constituer un attrait touristique important, dans la mesure ou elle regorge d'espèces rares d'animaux (le Pangolin du Gabon) et d'arbres typique à ce pays à l'instar de l'Okoumé.

Quelques animaux vivant au Gabon: boa, bongo, buffle, calao, caméléon, caracal, chat doré, chimpanzé, crabe bleu, écureuil volant, éléphant de forêt, gorille, guib harnaché, hippopotame, hylochère, ibis, lamantin, mamba noir, mamba vert, mandrill, mangouste, pangolin, panthère, picatharte, potamochère, perroquet gris, porc-épic, silure, tortue luth, vipère du Gabon.

Quelques arbres et plantes du Gabon: okoumé, manguier, atangatier, badamier, bananier, baumier, cocotier, ébène, iboga, ozigo, palétuvier, palmier, tulipier du Gabon, cacaoyer pricipalement dans la région de Makokou dans l'Ogooué-Invindo.

A l'occasion du Sommet de la Terre, à Johannesburg, en 2002, le Gabon a annoncé la création d'un réseau de 13 parcs nationaux.

parc national province superficie type de paysage
Akanda Estuaire 540 km² mangrove
Monts Birougou Ngounié, Ogooué-Lolo 690 km² montagne
Ivindo Ogooué-Ivindo 3000 km² forêt équatoriale
Loango Ogooué-Maritime 1550 km² côte sableuse
Lopé Ogooué-Ivindo 4970 km² forêt et savane
Mayumba Nyanga 80 km² côte sableuse
Minkébé Woleu-Ntem 7560 km² forêt équatoriale
Monts de Cristal Estuaire 1200 km² montagne
Moukalaba-Doudou Nyanga 4500 km² forêt équatoriale
Mwagne Ogooué-Ivindo 1160 km² forêt équatoriale
Plateaux batékés Haut-Ogooué 2050 km² forêt équatoriale
Pongara Estuaire 870 km² mangrove, côte sableuse
Waka Ngounié 1070 km² montagne

[modifier] Économie

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Le Gabon est un pays au sous-sol très riche. Il exporte du manganèse, du pétrole, du gaz, du fer, du bois et bien d'autres produits de son sol et son sous-sol depuis longtemps. L'exploitation des mines d'uranium de Mounana, situées à 90km de Franceville, a été interrompue en 2001 du fait de l'arrivée sur le marché mondial de nouveaux concurrents. La relance de l'exploitation de ses importants gisements d'uranium est aujourd'hui d'actualité. Le train de Franceville-Libreville exporte, depuis les années 1980, le minerai des mines de manganèse, d'uranium et de fer situés à Moanda. Les gisements ferreux de Bélinga au nord-est de Makokou ne sont pas encore exploités. Leur exploitation est prévue pour courant 2012.

Les revenus pétroliers, devenus importants à partir des années 1970, n'ont que très partiellement servi à moderniser le pays et à diversifier l'économie gabonaise. En fait, la population ne profite que peu des richesses du Gabon, si bien que le niveau de vie de beaucoup de Gabonais demeure moyen en dépit d'un PNB par habitant relativement élevé.

[modifier] Démographie

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Évolution de la démographie entre 1961 et 2003 (chiffre de la FAO, 2005). Population en milliers d'habitants.
Évolution de la démographie entre 1961 et 2003 (chiffre de la FAO, 2005). Population en milliers d'habitants.

[modifier] Culture

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[modifier] Religions autochtones et importées

Avant la colonisation, les peuples du Gabon partageaient des croyances animistes caractérisées par des mythes et des rites variés mais ayant comme points communs le culte des ancêtres, dont l'esprit pouvait toujours influer sur l'existence des vivants, et le recours aux fétiches. On retrouve d'ailleurs encore aujourd'hui des cadavres mutilés d'enfants victimes de crimes rituels destinés à assurer à leurs auteurs puissance et richesse. Il y eut, à partir du XIXe siècle, une véritable compétition entre missionnaires catholiques et protestants pour évangéliser les Gabonais. En pratique, beaucoup de gens associent aujourd'hui une foi chrétienne à d'anciennes croyances autochtones.

Il faut noter le succès au Gabon de toutes sortes de sectes, notamment évangélistes, inspirées de modèles américains ou bien africains. Il existe dans le pays une minorité musulmane composée essentiellement d'immigrés d'Afrique de l'Ouest. On peut supposer que la conversion d'Albert-Bernard Bongo à l'Islam dans les années 1970 lui a assuré une certaine reconnaissance.

En marge des pratiques religieuses, à mi-chemin entre ésotérisme et réseau d'influence, on peut mentionner l'existence de la franc-maçonnerie au Gabon qui compte un nombre notable d'adeptes dans les milieux dirigeants. Il existe une Grande Loge du Gabon, appartenant à la même obédience que la GNLF (Grande Loge Nationale Française) et aussi un Grand Rite Equatorial Gabonais. Il existe aussi un mouvement rosicrucien au Gabon.

[modifier] Musique

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La musique gabonaise prend une grande place dans la vie quotidienne. Elle puise ses racines dans la musique traditionnelle. L'indépendance aux autres musiques du monde donne naissance à la musique moderne. La musique d'aujourd'hui est un magnifique mélange de sonorités traditionnelles et modernes qui, jumelées, représentent toute la richesse culturelle de ce peuple. Les danses typiques gabonaises sont en l'occurrence l'Ingwala née de l'ethnie Nzebi, l'Elone de l'ethnie Fang, l'Ikokou et le Mbouanda des Punu; mais on retrouve également des danses chez les Mpongwè, et les Téké. Dans l'ensemble c'est un très riche folklore dont est doté le Gabon comme de nombreux pays africains.

Les chanteurs les plus connus sont: Pierre Akendengué, Hilarion Nguema, Pierre claver Nzeng, Prince Martin Rompavet, Kaki Disco — promoteur sur scène de la danse Oriengo, Michèle Ndoulou, Annie-Flore Batchiellilys, Lord Ekomy Ndong ☥ Patience Dabany, Makaya Mackjoss, Vickoss'Ekondo Oliver Ngoma, Nicole Amogho, Ba'ponga, Koba,Maat Seigneur Lion, Sima Mboula, etc.

Parmi les groupes les plus connus, on peut citer Mouyanga, Ngumi, Movaizhaleine, Hayo'e et Eben & Family. Enfin, à l'étranger, il faut mentionner le chanteur franco-gabonais Jann Halexander.

[modifier] Littérature

Pays de culture orale jusqu'au XXe siècle, le Gabon est riche d'épopées traditionnelles, telles le mvett chez les Fang, ou bien l'Ingwala chez les Nzebi que certains conteurs s'efforcent de maintenir vivantes. André Raponda-Walker (1871-1968) a publié une anthologie de "Contes gabonais", recueillis au cours de sa longue existence auprès d'une vingtaine d'ethnies. S'essayant d'abord à la poésie (Ndouna Depenaud, Wisi Magangue-Ma-Mbuju, Georges Rawiri), les écrivains gabonais n'abordent le roman qu'à partir des années 1970 et surtout 1980. "Histoire d'un enfant trouvé" de Robert Zotoumbat, outre cet auteur vous pouvez retrouver aussi des grand nom de la littérature gabonaise à l'instar de Jean Divassa Nyama(oncle MÄ, le bruit de l'héritage qui a d'ailleurs été un best-seller, en outre la calebasse ou bien même son petit dernier, La vocation de dignité). Depuis les années 1990, les femmes se sont mises à l'écriture et Justine Mintsa, par exemple, a atteint une certaine renommée internationale. Entre autres sujets, la littérature gabonaise aborde les thèmes de la place de la femme dans la société et des contradictions entre culture traditionnelle et modernité. On peut noter aussi le court roman de Freddy-Hubert Ndong Mbeng, "les Matitis", qui dessine avec beaucoup de réalité la vie un peu difficile des jeunes à Libreville au début des années 1990. Depuis une dizaine d'année un nouveau genre de littérature se dévéloppe au Gabon, la nouvelle. Genre peu connu, Jean Juste Ngomo en est le fer de lance. Il a déjà à son actif deux livres composé d'une trentaine de nouvelles. Son inspiration est directement puissée dans le mysticisme, l'épouvante et le fétichisme gabonais. Très sombre, ses histoires sont très souvent rapprochés du maître américain de l'épouvante Stephen King.

[modifier] Masques

Icône de détail Voir l'article détaillé Masques gabonais

Les masques traditionnels ont une part importante dans la culture gabonaise. Chaque ethnie a ses propres masques aux significations et utilisations variées. Ils sont fréquemment utilisés dans les cérémonies traditionnelles (mariage, naissance, deuil, etc.). Les plus connus sont notamment les masques Punu que l'on retrouve dans de grands musées. Les traditionalistes mettant en exergue leur art pour la sculpture du bois — en général des bois précieux — et des matières rares.

[modifier] Cinéma

Comme celui d'autres pays africains, le cinéma gabonais souffre d'un manque de moyens financiers, du petit nombre de salles de projection disponibles dans le pays (qui préfèrent, d'ailleurs, diffuser de grandes productions commerciales) et d'un manque de public. C'est encore au Centre Culturel Français de Libreville (le majestic) qu'on a le plus de chances de voir un film gabonais !

Néanmoins, un certain nombre de films, principalement des courts-métrages, ont été produits depuis les années 1970. Plusieurs cinéastes gabonais ont d'ailleurs été primés au Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO). Il s'agit de Pierre-Marie Dong en 1972 et 1973 pour des courts-métrages, d'Imunga Ivanga pour son film "Dolè" en 2001, et, la même année, de Henri Joseph Koumba Bibidi pour "Les Couilles de l'élephant". Imunga Ivanga a également reçu le tanit d'or des Journées cinématographiques de Carthage (JCC) pour "Dolè". Le CENACI (CEntre NAtional du CInéma gabonais), dirigé par Charles Mensah, s'efforce de soutenir la production de films de réalisateurs gabonais.

Un feuilleton produit en 1994 pour la télévision gabonaise, l'Auberge du Salut, a connu un réel succès dans le pays et a été diffusé dans d'autres pays d'Afrique (Côte-d'Ivoire et Burkina Faso).

[modifier] Ethnies

Le Gabon compte près d'une cinquantaine d'ethnies. Si les Fang représentent un tiers de la population gabonaise, d'autres ethnies ne comptent guère que quelques centaines d'individus. Culturellement, certaines sont amenées à se fondre progressivement dans la masse et à perdre leur langue et leurs particularités.

Il est difficile de donner une liste exhaustive d'ethnies car certaines ne sont que des sous-ensembles d'autres groupes et tout dépend du niveau de détail auquel on veut parvenir. La langue et les traditions d'une population permettent de la distinguer mais à partir de quel moment une variante locale de dialecte ou de pratiques culturelles est-elle suffisante pour justifier la qualification d'ethnie séparée ? Voici par conséquent une liste non-exhaustive et parfois redondante (un sous-groupe peut être mentionné sous une entrée propre alors que le groupe auquel il se rattache apparaît plus loin).

Plusieurs noms ou orthographes peuvent apparaître pour désigner la même ethnie. En effet, le préfixe Ba est souvent la marque du pluriel dans les langues bantoues si bien que "Bapunu" et "Punu" désigne la même ethnie, envisagée au pluriel ou au singulier. On peut aussi trouver une forme plus ou moins francisée du même nom "Punu" et "Pounou" sont un seul et même mot différemment orthographié.

[modifier] Réseau téléphonique

Depuis 2005, la numérotation téléphonique est sur 8 chiffres (format ABPQ MCDU).

* Le chiffre A correspond est l'identifiant du transporteur

       - 0 => Acheminement par le transporteur par défaut de l'appelant ;
       - 1 => Services spéciaux
       - 2 à 9 => non affecté à ce jour.

* Le chiffre B est l'identifiant des services

       Pour le RTC (Réseau Téléphonique Commuté) :
       - 1 => Abonnés de Libreville pour l'opérateur Gabon Telecom
       - 2 => Abonnés des autres provinces pour l'opérateur Gabon Telecom
       - 3 => Abonnés de Libreville pour les autres opérateurs
       - 4 => Abonnés des autres provinces pour les autres opérateurs
       
       Pour les opérateurs mobiles
       - 5 => Abonnés TELECEL -> Racheté en 2007 par Moove.
       - 6 => Abonnés LIBERTIS
       - 7 => Abonnés Celtel
       Réseaux Intelligents :
       - 8 => Réseaux Intelligents

* Le chiffre P est différencié suivant l'appartenance à l'opérateur historique ou aux autres opérateurs

       Pour les Abonnés de Gabon Telecom
       - P fait partie du numéro de l'abonné (PQMCDU = numéro actuel de l'abonné)
       Pour les autres opérateurs
       - P est l'identifiant de l'opérateur
          Dans ce cas, Q représente soit l'identifiant du commutateur de Libreville pour les abonnés
          de Libreville (MCDU est alors le numéro de l'abonné)soit l'identifiant de la province pour 
          les autres villes (CDU est alors le numéro de l'abonné).

Les numéros des services spéciaux :

Services spéciaux Numérotation
Dérangement 19 BP
Renseignements 12
Annuaire téléphonique 11
Renseignements internationaux 16
Sécurité mobile 17.18
Police secours 17.30
Pompiers 18
Gendarmerie 17.10
Urgences médicales 13.00 à 13.99
Manuel National 10

[modifier] Divers

Population : 1 221 175 habitants (en 2001). 0-14 ans : 33,29% ; 15-64 ans : 60,77% ; + 65 ans : 5,94%
Superficie : 267 667 km²
Densité : 4,5 hab./km²
Frontières terrestres : 2 551 km (République du Congo 1 903 km ; Guinée équatoriale 350 km ; Cameroun 298 km)
Littoral : 885 km
Extrémités d'altitude : 0 m > + 1 575 m
Espérance de vie des hommes : 48 ans (en 2001)
Espérance de vie des femmes : 51 ans (en 2001)
Taux de croissance de la population : 1,02% (en 2001)
Taux de natalité : 27,42% (en 2001)
Taux de mortalité : 17,22% (en 2001)
Taux de mortalité infantile : Total: 53,64 décès/1.000 naissances normales (en 2005 est)
Taux de fécondité : 3,7 enfants/femme (en 2001)
Taux de migration : 0% (en 2001)
Indépendance : 17 août 1960 Lignes de téléphone : 37 000 (en 1997)
Téléphones portables : 5 000 en 1997, entre 500 000 et 550 000 en 2005 (répartis entre 3 opérateurs)
Indicatif téléphonique : 241
Courant électrique : 220 V
Postes de radio : 208 000 (en 1997)
Postes de télévision : 63 000 (en 1997)
Utilisateurs d'Internet : 5 000 en 2000, 55 000 en 2005 (d'après l'Artel)
Nombre de fournisseurs d'accès Internet : 3 (en 2005)
Routes : 7 670 km (dont 629 km goudronnés) (en 1996)
Voies ferrées : 649 km (en 1994)(Le Transgabonais)
Voies navigables : 1 600 km
Nombre d'aéroports : 59 (dont 10 avec des pistes goudronnées) (en 2000)

[modifier] Codes

Le Gabon a pour code :


[modifier] Voir aussi

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[modifier] Liens internes

[modifier] Liens externes